Macron, cet homo-sapiens qui se surkiffe !
Et si E. Macron était un homme dangereux ?
Lui qui n'a joué aux petits soldats, au mieux, que lorsqu'il était un enfant, qui n'a pas connu le service militaire et encore moins ce qu'est la guerre et ce que sont les horreurs de celle-ci, n'a pourtant exprimé, en temps de paix, qu'un langage belliqueux sitôt confronté à des dossiers difficiles.
E. Macron s'est dit en guerre contre les Gilets Jaunes (ces factieux), contre le Covid (ces antivax idiots complotistes), le terrorisme, la drogue...
Alors, imaginez sa "satisfaction" de pouvoir justifier de tels discours quand la perspective d'entrer en guerre se profile !.
Mon beau miroir..., dis-moi...
Mis à part ceux ("experts" des médias) qui ne voient des défauts que chez les dirigeant(e)s des oppositions et ceux (h/f politiques) qui dépendent, par intérêt personnel, du président en exercice, soit pour l'instant d'E. Macron, rien dans son attitude, dans ses discours n'est surprenant pour qui sait, objectivement, observer le parcours autocentré d'un ex enfant gâté devenu un (sur)homme de pouvoir.
Sa récente "prestation" de boxeur défiant un sac de frappe... en est une énième démonstration.
Notez la servilité des médias "politiquement corrects" qui se précipitent pour saluer la démonstration du président Macron, les mêmes qui n'avaient pas assez de mots pour se moquer d'un V. Poutine à cheval ou de D. Trump au golf et dont on ne doute pas qu'ils qualifieraient, pour tout opposant, par exemple du RN, qui se livrerait à ce genre de communication d'homme "fort" de populiste, de démagogique mais surtout de ridicule !.
La seule obsession de Macron/Narcisse étant celle d'apparaître comme le centre de tout, de ne pas tolérer de concurrent pouvant lui prendre la (sa) lumière.
En guise de boutade, force est de reconnaître que le parcours privé et professionnel d'E. Macron aura suivi une trajectoire assimilable à celle d'un robot d'assez bonne facture tant il aura fallu un certain temps pour qu'apparaissent les premiers bugs et défauts communs à la plupart des objets à l'obsolescence programmée.
Plus sérieusement on se doit d'observer et de regretter que ce qui préoccupe la majorité du public chez E. Macron est moins lié aux réels dangers que ses décisions et postures risquent d'entraîner pour tout citoyen qu'à de petits détails concernant sa potentielle inclinaison sexuelle et/ou à celle de son épouse.
Résumons en quelques mots car cet aspect privé n'en mérite pas plus au regard de ce qui motive son action publique mais qu'également la sexualité de qui que ce soit n'a aucune importance pour autant que celle-ci n'en soit pas, à l'instar des religions, l'alpha et l'oméga de toute mesure à imposer aux autres, le pourquoi de ces doutes et rumeurs persistantes concernant la sexualité d'Emmanuel Macron.
Depuis sa première décision d'enfant de quatorze ans qui déterminera son futur d'adulte et qui sera celle d'épouser plus tard sa professeure Brigitte qui fut la première à le magnifier jusqu'à celui de ses choix d'hommes promus membres de gouvernement ou faisant partie de son cercle le plus proche, il est envisageable pour certains qu'officialiser son union avec B. Trogneux, certes d'une autre génération et ayant eu des enfants d'une précédente union, lui permet de masquer une éventuelle homosexualité (contrariée) et d'afficher l'image d'un couple "classique", sans histoire et donc, en principe, sans angle d'attaque pour les oppositions politiques ou pour une partie de gens et donc d'électeurs affichant des valeurs d'un autre temps ou d'une autre culture...
En somme, un plan de carrière élaboré dès l'adolescence qu'il aura eu le mérite de façonner obstinément et avec succès !.
La case état civil ayant été cochée, il ne lui restait plus qu'à remplir méthodiquement celle de sa carrière professionnelle, de saisir toutes les opportunités pour gravir, discrètement tout en s'assurant de ne jamais passer inaperçu, d'abord quelques échelons de la finance avant de toucher au but, lui aussi probablement fixé dès l'adolescence, à savoir graviter au sein du milieu de la politique.
Encore quelques années à œuvrer sans trop dévoiler son ambition démesurée, ce qui lui a valu quelques frustrations en tant que ministre du gouvernement de F. Hollande et nous voilà arrivés au tournant de sa carrière, celui qui lui permettra de déployer ses ailes, de régler, enfin, ses comptes avec ceux qui ont cru pouvoir le priver de son graal tels les F. Hollande qui l'a sous-estimé, l'ex premier ministre M. Valls qui osa le contredire en séance publique, F. Bayrou qui le fit roi de France mais qui eut le malheur de trop s'en vanter ou encore d'un P. De Villiers, général des armées qui s'était permis de se croire militaire de carrière plus au fait de la chose militaire qu'un citoyen politicien lambda entre-temps devenu président.
Notez que cette particularité à évincer toute personne qui, d'après lui ou en lien avec un quelconque complexe personnel, se poursuivra tout le long de ses deux mandats à l'image, parmi les nombreux exemples, de la mise à l'écart d'E. Philippe trop populaire dans les sondages ou plus récemment, sa reprise en main du dossier de la colère agricole dont son nouveau premier ministre G. Attal s'était saisi, un peu trop brillamment, semble-t-il aux yeux du président qui lui a ainsi fait comprendre que la lumière ne se partageait pas.
Jamais avare de compliments adressés à... lui-même (Jupiter, esprit complexe...), le voilà donc devenu président de la France sans que cette suffisance habilement masquée en empathie ne dérange grand monde, du moins lors de son premier mandat.
Pour le grand public ou du moins pour ceux dont la réflexion se limite à "Vu à la TV donc c'est vrai !", une succession de crises aurait dû pourtant permettre de savoir à qui on avait affaire.
La crise des Gilets Jaunes le voit, dans un premier temps, déstabilisé voire un peu surpris, lui qui, jusque là naviguait doucement sur un fleuve tranquille et il aura fallu que le gouvernement d'E. Philippe finisse par délier les cordons de la bourse pour éviter que la situation ne dérape sérieusement d'autant plus si on se rappelle l'épisode plutôt "particulier" lié à A. Benalla qui a donné lieu à cette mise en scène assez ridicule d'un E. Macron qui s'est cru fort (cloîtré sous bonne garde à l'Elysée) de lancer au public sa célèbre invitation à ce qu'on vienne le chercher !.
La crise Covid, elle marque un net durcissement dans l'attitude autoritaire et dans les mots blessants, méprisants d'un E. Macron dont l'arrogance, jusqu'alors, réfrénée, se dévoile enfin..
On le vit plus qu'agacé de constater que des citoyens, cette masse de gens de peu qualifiés par ces "élites" autoproclamées de "peuple", puissent douter, se poser des questions quant aux effets indésirables, au sérieux des études ou à l'historique quant à l'efficacité d'un "vaccin ARN", se défier de ses promesses sur lesquelles il revient au nom d'un "en même temps" version technocratique du "tout mais surtout n'importe quoi".
Et alors que dire de ces gens qui remettent en cause toutes ces contraintes et mesures liberticides en termes de comportements tant en public qu'en... privé jusqu'à intervenir dans la sphère familiale de chacun.
Le pire de tous ces récalcitrants qui, en démocratie, pensaient avoir encore le droit de disposer de leur propre corps, sans pour autant mettre quiconque en danger, furent donc ces fameux idiots complotistes qualifiés, avec tout le mépris qui caractérise ceux qui sont au pouvoir mais dont les intérêts sont en jeu, de factieux voire de criminels aux idées extrémistes probablement fascistes qui osaient refuser de se rendre gentiment, sagement en suivant les flèches dans les centres de vaccinations !.
Pour ces "élites", douter de la science à ce point ne pouvait être, ne peut toujours être que l'attitude d'idiots complotistes.
Oui mais, au fait, de quelle science douter ?
Celle d'éminents professeurs spécialistes mondialement reconnus dont la vie fut consacrée à la virologie tels les Raoult et Montagnier ou celle de simples médecins de la sphère politique tel les A. Buzyn et surtout O. Véran ou celle de la sphère médiatique tels les M. Cymes ou L. Alexandre ?!.
Visiblement se sera celle des dirigeants du "Machin UE" (merci U. VdL & Co) associée à celle des pharmas (merci Pfizer & Co) qui aura le dernier mot.
Pour rappel : Conflit d'intérêt : les activités dérangeantes du couple von der Leyen !.
Les activités commerciales de Heiko von der Leyen dans l'industrie pharmaceutique sont-elles compatibles avec le rôle institutionnel de sa femme, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne ? (M. Rivasi/Mediapart).
Mais là où E. Macron réussit à montrer, sauf pour les éternels aveugles décrits plus haut, toute sa volonté de briller, d'apparaître comme le soleil de la galaxie, c'est dans le déroulement de ce conflit en Ukraine.
La progression de son aura va de pair avec l'enlisement de ce conflit qui, maintenant et en grande partie du fait de la montée en puissance... verbale... du roi de France, consul du "Machin UE", lui permet de se projeter comme le leader minimo d'un monde "libre" déconnecté du monde réel quitte à ce que cela dégénère en guerre mondiale épisode 3.
Pour l'anecdote, E. Macron aura du attendre un certain temps pour ravir la place de vedette du film made in USA/OTAN à l'acteur Zelensky qui, jusque là, lui faisait de l'ombre au point d'éviter de trop le rencontrer.
Maintenant qu'E. Macron a perçu tout l'intérêt (pour lui) de s'attaquer à V. Poutine plutôt qu'à défendre V. Zelensky, ce qui, de facto, lui confère un statut supérieur et ainsi d'accéder au cercle restreint des dirigeants mondiaux, on ne peut que constater que cette stature lui procure une véritable jouissance qui, espérons-le, se limitera à quelques harangues agressives et autres déclarations matamoresques.
Mais que voulez-vous quand on a un ego surdimensionné, il faut bien pouvoir choisir la taille de son écrin...afin de lui trouver une place à sa mesure.
En cela, la France étant pour le roi Macron bien trop petite, chacun a constaté que, depuis son premier mandat, il préfère s'adresser aux pays européens en tant que consul du "Machin UE" et qu'assez logiquement, si cette guerre Ukraine-Russie lui permet de s'imaginer jouer le rôle de petit maître du monde sans être passé par un quelconque casting, il s'y investira corps et âme !.
Tout ceci ne pourrait être que propos de chroniqueurs indépendants non soumis à la propagande "politiquement correcte", élucubrations d'un quidam adepte des discussions de comptoirs ou encore d'un anonyme envieux et jaloux de la réussite des autres qui poste sur les réseaux sociaux un condensé de ses propres frustrations et donc, dans les trois cas, sans aucune importance pour la vie des citoyens..., ce qui serait finalement plutôt rassurant.
Sauf qu'ici, un nauséabond parfum de guerre semble affoler les narines de nombre de ces dirigeants du "Machin UE" aux intérêts multiples quoique potentiellement assez fréquemment personnels qui paniquent à l'idée de perdre leur (cher) pouvoir avec à sa tête un "Narcisse" et qui tous, semblent prêts à jouer avec la vie des militaires et des citoyens, tous pays et tous âges confondus
Au mieux, il reste à espérer que ce jeu malsain ne vise qu'à canaliser l'information des médias, fidèles complices du pouvoir politique actuel et donc à vouloir détourner l'attention des électeurs largement insatisfaits qui, au vu des sondages, se préparaient à infliger une cuisante débâcle au pouvoir en place et que, par conséquent, ce scénario catastrophe se limitera à la période des élections européennes.
Ce qui est certain, c'est que ne pas se préoccuper de cette dramatisation à outrance jusqu'à ne pas se saisir des prochaines élections pour clairement déposer dans les urnes des bulletins confirmant le rejet total de ce scénario catastrophe ne peut que, tous collectivement, nous entraîner dans une guerre au motif injustifié avancé par E. Macron qui prétend, comme tout dirigeant européen, que l'Ukraine défend...notre démocratie !.
Et ici, comme dans tous autres dossiers dont se saisit E. Macron, de nous sortir une de ces formules sorties de son catalogue personnel "Le Redouté", toutes destinées à se montrer fort dans les mots pour cacher la faiblesse dans les actes... du type :<je ne reculerai pas - je ne lâcherai ou ne cèderai rien- j'assume tout...mais aussi rien>.
Et dans le cas précis de ce conflit, le plus binaire d'entre tous ses raccourcis simplistes qui voudrait que toute remise en question d'un soutien inconditionnel à l'Ukraine, à Zelensky, y compris celui qui, de facto, finirait par détruire une partie de notre économie, de notre agriculture, ne parlons même pas des morts..., ne serait qu'une preuve manifeste de complicité avec V. Poutine !.
Ne nous leurrons pas, tout ce déferlement de provocations verbales ne peut que nous conduire à subir les affres d'une guerre qui ne tuera plus, comme depuis 1945, les seuls citoyens et militaires de pays suffisamment éloignés que l'Occident a parfois défendu mais qu'il a, la plupart du temps, attaqué mais qu'au contraire, cette fois, il s'agira de blessés et de morts, de militaires et de citoyens de tous âges qui se pensaient à l'abri, confortablement assis devant la télévision ou surfant sur leur smartphone à regarder les spectacles offerts par les chaînes en continu de nos guerres chirurgicales destructrices et meurtrières dites d'ingérence démocratique conduites par les occidentaux ou celles qui, quoique discontinues dans toutes les régions du monde, sont moins diffusées par nos médias "politiquement corrects" et dont les dirigeants occidentaux ne daigneront s'en préoccuper que s'il y va de leurs seuls intérêts.
Oui mais... à chacun ses "valeurs" !.
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