Nicolas Sarkozy 2012 : Amour, gloire et trahisons
Quand l'un ou l'autre commence à en avoir marre, à devenir réticent, méfiant, voire même infidèle, c'est qu'il y a un soucis, moi je vous le dit ! En toute connaissance de cause...
Celui qu'on croit être la cause de ce mal-être revient, celui pour qui nous avons donné corps et âme, lui, a passé tout son temps à nous rire au nez tout en nous dépouillant.
La rupture est proche, mais il est obstiné et persévérant. C'est tout lui, ça.
Il revient comme prévu : tout gentil et mignon. Il tente de nous faire de jolies cabrioles et autres courbettes pour essayer de reconquérir l'être qu'il avait tant aimé autre fois, et qu'il essaye de retenir.
Cela dure depuis cinq ans. Peut-être un peu plus, peut être un peu moins.
Tout dépend à partir de quel moment on commence à compter.
L'être qui tente de se racheter, c'est le candidat-président Nicolas Sarkozy.
Et maintenant, le couple qu'elle forme avec lui bat de l'aile, zut. C'est en partie sa faute.
Pas n'importe quelle vérité, attention ! LA vraie de vraie des vérités. Pour de vrai !
Et puis, en ce qui concerne le compte commun, il faut s'y faire. C'est fait. Il n'y a qu'une façon de remonter la pente : travailler encore plus que nous l'avions fait pour mettre ce que nous y avions mis autre fois. Fallait y penser.
« Être Français, c'est accepter l'idée que ce qui nous unis est plus fort que ce qui nous sépare ».
Partant de là, il me dit qu'il ne dira pas tout et son contraire en l'espace de 24H...
Il me dit... Il me dit tant de choses... Il me dit des mots d'amour, des mots de tous les jours.
Ce que je sais par contre, c'est qu'il m'a demandé de l'aider.
Il me demande de l'aider à m'aimer. Moi, la Belle France, qui a tout pour moi. Alors là, ça devient compliqué si je dois l'aider à m'aimer et surtout, si moi, je ne sais plus si je veux continuer... Il dit que c'est pour mon bien. Il veut me sauver. Certes…
Il s'est mis sur son « trente-et-un ». Si il y a bien une vérité sur cela, c'est que personne ne pourrait résister à son charme, ''tellement il a fait des efforts, tellement il est irréprochable et tellement c'est la faute des autres, de toute façon''...
Prudence ! Restons sur nos gardes, nous savons que c'est un Don-Juan de première classe, et qu'il ne faut surtout pas céder aux premières demandes du goujat, sans l'avoir fait mariner. Allons bon...
Tout en sachant ça, je suis folle aussi. Oui ! Car la Jolie France, elle, ne sait plus quoi penser du coup. Elle a eu mal, mais les sentiments sont encore là, éparpillés en petits morceaux, mais toujours là. Les ruptures peuvent être difficiles et éprouvantes. Elle ne les aime pas, elle est gentille, donc elle veut y croire encore. Croire que les contes de fées avec un petit prince Charmant finissent bien.
La question fatidique se pose silencieusement : « Alors, on arrête ou on continue ? », alors que nous savons d'avance que l'un souffrira plus que l'autre.
Il ne laisse par contre aucun doute en disant : « je suis fait ainsi, et je n'ai pas l'intention de changer ». C'est à rendre un sot plus fou que ce qu'il n'est déjà.
Les trucs réchauffés perdent beaucoup en saveurs et tendent à laisser plus un mauvais souvenir...
« Donnez moi le courage d'aimer la France ».
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