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Accueil du site > Tribune Libre > Non à la Gare du Nord, joignons nos forces !

Non à la Gare du Nord, joignons nos forces !

Il faut lutter contre ce grand projet inutile, ahurissant, abrutissant et consumériste qu’est la rénovation de la gare du Nord ! Nous ne pouvons laisser une bande de capitalistes assoiffés de libéralisme faire de cette gare un nouveau temple de la surconsommation.

Nous ne sommes pas du bétail qu’on peut traîner d’un Zara à un Mango en passant par un H&M dans le seul but de nous faire dépenser nos deniers en vêtements made in china de mauvaise qualité. Avant d’être des « clients » ou des « consommateurs », nous sommes des humains, des individus ! C’est pour cette raison que nous devons nous opposer au projet de réaménagement de la gare du Nord. Si cette gare doit bien être rénovée, elle ne doit pas être transformée en un centre commercial pensé comme un terminal d’aéroport dont le seul objectif sera de forcer les voyageurs à longer des vitrines de magasins pour les appâter afin que des enseignes dont le vocabulaire tourne uniquement autour du mot « profit » s’en mettent encore un peu plus dans les poches.

On aurait pu penser que la crise sanitaire que nous traversons actuellement et les élans de solidarité qu’on a vus se développer ici et là auraient poussés nos élites à repenser notre modèle économique et surtout la façon dont NOUS sommes malmenés depuis de trop nombreuses années. Force est de constater que non !

NOUS ne sommes, encore et toujours, à leurs yeux que des portefeuilles sur pattes destinés à les engraisser.

 

NOUS DEVONS DIRE STOP !

 

La rénovation planifiée de la gare du Nord est l’occasion de le leur faire comprendre.

Il est indispensable de soutenir ce combat initié par le collectif RETROUVONS LE NORD A GARE DU NORD. D’autant que bon nombre d’architectes, d’urbanistes et même d’historiens ont d’ores et déjà dénoncé le projet. « Inacceptable », « graves insuffisances », « grave offense », « erreur urbaine », c’est en ces termes qu’ils ont qualifié ce grand projet inutile.

Même la mairie de Paris juge le projet trop « dense » et trop « commercial » ! Imaginez ! Qui aurait pu croire que dans ce combat, Mme Hidalgo rejoindrait nos rangs ?

Et alors que l’État vient de signer le permis de construire validant le début des travaux, la mairie de Paris, et donc notre nouvelle camarade (Mme Hidalgo comme vous l’aurez deviné), a justement annoncé vouloir s’y opposer. C’est donc dès maintenant que nous devons être présents à ses côtés dans ce combat. Car si la mairie entend mener une bataille sur le plan judiciaire, nous devons quant à nous occuper le terrain aux côtés du collectif RETROUVONS LE NORD A GARE DU NORD.

Il est temps de se faire entendre et surtout de leur faire comprendre que nous ne sommes pas des mougeons qu’ils peuvent manipuler à leur guise.

Ils craignent la création d'une ZAD par les opposants au projet…et pourquoi pas ? Nos amis l’ont fait pour anéantir le projet écocidaire qu’était Europacity et pour une fois qu’une ZAD reçoit le soutien de la Mairie de Paris, et donc de Mme Hidalgo (nouvelle zadiste en puissance) nous aurions tort de nous en priver !

JOIGNONS NOS FORCES !

 

[email protected]


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19 réactions à cet article    


  • hans-de-lunéville 19 août 2020 18:19

    amusant, dès qu’un projet surgit il y a un groupe contre, vous ne vous réjouissez pas que cette gare sinistre devienne un peu un espace de vie ?


    • binary 19 août 2020 18:50

      La gare du Nord c est dans quel pays ?


      • Jean Guillot Jean Guillot le retour 19 août 2020 18:51

        J’ai pleuré quand on a démoli la gare Montparnasse dans les années 60 , quand nous partions en Bretagne ma mère m’achetait le nouveau Tintin que je dévorais pendant le voyage jusqu’à St Brieuc .

        De Rennes à St Brieuc c’était une locomotive car la ligne n’était pas électrifiée

         smiley


        • Clark Kent Séraphin Lampion 19 août 2020 20:01

          @Jean Guillot le retour

          dans un train électrique, le premier wagon qui a des moteurs et un pantographe pour capter le courant de la caténaire s’appelle aussi « locomotive »... « une motrice », c’et=st autonome, c’est un autorail, et une micheline, c’est sur des peuneus, mais y en a plus !
          ta mère, elle aurait dû t’acheter Bécassine pour aller en Bretagne, d’abord, et éventuellement Spirou pour que tu apprennes avec l’oncle Paul le vocabulaire ferroviaire


        • Armand Griffard de la Sourdière Armand Griffard de la Sourdière 19 août 2020 20:46

          @Séraphin Lampion
           Tu pinailles Sérafarin t’as des actions Snecefe ou une dent contre Jean Guillot ?
           En plus tu devrais être content puisqu’il lisait tintin dans lequel t’as un p’tit rôle à jouer .
           Bécassine c’est pour les filles ... non ?
          Jeannot voulait sans doute parler de la Lison (la bête humaine ) ou peut être de « Gabrielle » la loco U$ smiley


        • Germain de Colandon Germain de Colandon 19 août 2020 21:42

          @Armand Griffard de la Sourdière

          Zola a surnommé sa locomotive Lison en référence à la gare du même nom située dans le Calvados. (En réalité la Gare de Lison (Paris-Caen-Cherbourg & Caen-Saint-Lo-Granville) ne se trouve pas sur le territoire de cette commune, mais sur celui de Sainte Marguerite d’Elle.


        • Armand Griffard de la Sourdière Armand Griffard de la Sourdière 20 août 2020 08:10

          @Germain de Colandon

          Merci pour cette précision ferroviaire .
          Cela dit pour aller à Caen mieux vaut prendre le car... cher à Raymond Devos smiley


        • Germain de Colandon Germain de Colandon 19 août 2020 20:36

          On s’en secoue de la Gare du Nord ! On s’en secoue des parisiens têtes de chiens, parigots têtes de veaux ! Paris, cancer de la France !


          • binary 19 août 2020 20:44

            @Germain de Colandon
            Il y a bien longtemps qu aucun parisien ne s aventure à la gare du nord.


          • Armand Griffard de la Sourdière Armand Griffard de la Sourdière 19 août 2020 20:54

            @binary
             les derniers devaient être Arletty et Louis Jouvet dans l’Hotel du même nom .


          • titi titi 19 août 2020 22:01

            Bah clairement si je dois choisir entre la gare Montparnasse avec ses boutiques, ses fast food, etc... , et la gare du Nord qui est un vrai coupe gorge, alors y’a pas photo.

            Oui à la Gare du Nord !


            • Français du futur Français du futur 20 août 2020 03:22

              Personne ne vous oblige à acheter quoi que ce soit, en plus notre économie désindustrialisée est centrée sur le tertiaire alors mieux vaut avoir des centres commerciaux dans les gares, qui plus est majeures, que repoussés à l’extérieur des villes où un véhicule personnel est obligatoire pour y accéder.

              Concernant de grands projets ferroviaires pour la capitale, on attend toujours une interconnexion entre les voies des gares du Nord et Est vers les gares de Lyon et Montparnasse pour enfin avoir des TGV et corails traversant Paris et proposant de vraies correspondances de quai à quai. Ne pas avoir prévu ce chantier lors de la construction du complexe du Châtelet est une grossière erreur à mon avis que l’on paie aujourd’hui avec l’interconnexion Est qui n’est vraiment pas pratique du tout, ce qui se ressent au niveau du faible nombre de circulations dites inter-secteurs.


              • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 20 août 2020 13:59

                Le bobo Parigot n’a pas besoin du secteur marchand, il compte sur l’état pour emplir sa gamelle d’hystérique écolo-gauchiste.

                Le bobo ne se met pas à la place des autres.

                Ici il chie sur la demande des voyageurs.

                Seul sa petite personne compte.


                • ETTORE ETTORE 20 août 2020 19:17

                  Plus les trains auront du retard, plus les boutiques.....

                  Après de quoi s’étonner qu’une gare fasse gare marchande ?

                  On vas bien faire un panoramique d’un toit de cathédrale restructurée par un incendie miraculeux.

                  Dieu est un commerçant....D’ici qu’il y ait une boucle ferroviaire pour faire la tournée « de la consommation à ne pas manquer » il n’y a qu’un rail......de blanche pour certains, fractionné à coup de carte bancaire....bien sûr.


                  • xenozoid Xenozoid 20 août 2020 19:21

                    @ETTORE
                    Dieu n’est pas mort, il a été transformé en argent « - Entretien avec Giorgio Agamben - Peppe Sava

                    Peppe Sava : Le gouvernement Monti invoque la crise et la situation d’urgence et il semble être la seule solution à la fois pour la catastrophe financière ainsi que les formes indécentes assumées par le pouvoir en Italie : le point de vue de M. Monti ,est il la seule solution ou pourrait-il à la contraire devenir un prétexte pour imposer des restrictions graves sur les libertés démocratiques ?

                    Giorgio Agamben : Ces jours-ci , les mots « crise » et « économie » ne sont pas utilisés comme des concepts , mais plutôt comme des mots de commande qui facilitent l’imposition et l’acceptation de mesures et restrictions que les gens n’accepteraient pas autrement. Aujourd’hui , la « crise » signifie « vous devez obéir ! » Je pense qu’il est très évident pour tous que la soi-disant « crise » est continue depuis des décennies et qu’elle n’est en fait rien d’autre que le fonctionnement normal du capitalisme à notre époque . Et il n’y a rien de rationnel sur la fonctionnement du capitalisme a l’heure actuelle .

                    Pour comprendre ce qui se passe , nous devons interpréter l’idée de Walter Benjamin que le capitalisme est véritablement devenu une religion , la religion la plus féroce , implacable et irrationnelle qui ait jamais existé , car il ne reconnaît ni les trêves ni rachat . Un culte permanent est célébrée en son nom , un culte dont la liturgie est la main-d’œuvre et son objet , l’argent . Dieu n’est pas mort , il a été transformé en argent. La Banque avec ses drones sans visage et ses experts - a pris la place de l’église et de ses prêtres , et par sa commande sur le crédit ( comme les prêts à l’Etat, qui a si allègrement abdiqué sa souveraineté ) , manipule et gère la foi —la rare et incertaine foi qui reste encore de notre temps . D’ailleurs , l’affirmation selon laquelle le capitalisme d’aujourd’hui est une religion est plus efficacement démontrée par le titre qui est apparu sur la première page d’un grand journal national , il y a quelques jours : « sauver l’euro Quel que soit le coût » . Voyez vous, le « salut » est un concept religieux , mais qu’est-ce que « quel que soit le coût » signifie ? Même jusqu’a sacrifier des vies humaines ? Car seulement dans une perspective religieuse ( ou, plus exactement , une perspective pseudo-religieuse ) pourrait -on faire de telles déclarations manifestement absurdes et inhumaines .

                    La crise économique qui menace maintenant de nombreux pays européens : peut être elle generalement conçue comme une crise de la modernité dans son ensemble ?

                    La crise qui affecte désormais l’Europe n’est pas tant un problème économique, comme on nous dit, mais avant tout une crise de notre rapport au passé . La connaissance du passé est la seule façon d’avoir accès au présent . C’est grâce à leur quête pour comprendre le présent que les hommes , ou du moins les Européens - se sont senti obligé d’interroger le passé. J’ai précisé que cela impliquait « nous, Européens, » parce qu’il me semble, en admettant que le mot ’Europe ait un sens, il semble maintenant évident que ce sens ne peut pas être politique, ou religieux , ou même beaucoup moins économique , mais consiste dans le fait que l’ homme européen , contrairement , par exemple , aux Asiatiques et Américains , dont l’histoire et le passé ont un tout autre sens - ne peut approcher sa vérité que par la voie d’une confrontation avec le passé , et donc , par le règlement de comptes avec son histoire. Le passé n’est pas seulement un patrimoine d’objets et de traditions , de souvenirs et de connaissances , mais surtout une composante anthropologique essentielle de l’homme européen, qui ne peut accéder au présent seulement en regardant ce qui s’est passé dans le passé. La relation spéciale que les pays européens (Italie et bien sûr Sicile sont exemplaires de ce point de vue ) ont , avec leurs villes , avec leurs œuvres d’art , et avec leurs paysages, n’est pas une question de préserver le plus ou moins précieux , mais externe et accessible, des choses : il s’agit de la vraie réalité européenne , sa survie incontestable . C’est pourquoi, en détruisant la campagne italienne avec le béton des routes et des trains à grande vitesse, les spéculateurs, tout en refusant de se priver de leurs bénéfices , sont en train de détruire notre identité. L’expression même, « biens culturels » est trompeuse, car elle suggère que le terme englobe certaines marchandises et en exclut d’autres, des biens qui peuvent être exploités économiquement et même vendus , comme si on pouvait liquider et offrir sa propre identité à la vente.

                    Il ya plusieurs années, un philosophe qui fut aussi un haut fonctionnaire de l’ Europe, naissante , Alexandre Kojève, a soutenu que l’homo sapiens avaient atteint la fin de son histoire et qu’il n’avait que deux choix : l’accès à une animalité post-historique ( comme en témoigne l’ American Way of Life ) ou snobisme ( comme illustré par les Japonais ) qui continue à célébrer la cérémonie du thé , vide et dépourvue de tout sens historique . Entre un aux États-Unis intégralement re- animalisé et un Japon qui reste humain en renonçant à tout le contenu historique , l’Europe peut offrir l’alternative d’une culture qui reste humaine et vitale, même après la fin de l’histoire , car il est capable de faire face à sa propre histoire dans sa totalité afin de procéder à partir de là pour atteindre un nouveau futur

                    Votre livre le plus célèbre, Homo Sacer , est une étude de la relation entre le pouvoir politique et la vie mise a nue et révèle les difficultés que ces deux termes impliquent. Quel est le point de possible de convergence entre ces deux pôles ?

                    ce que mes recherches m’ont montré est que le pouvoir souverain a été fondée depuis ses origines sur la séparation entre la vie nue (la vie biologique en Grèce a eu lieu à la maison ) et de la vie tel qu’elle défini politiquement ( qui a lieu dans la ville ). La vie nue a été exclu de la vie politique et était en même temps inclus et capturée par son propre exclusion : en ce sens , la vie nue est la base de la puissance négative. Cette séparation atteint sa forme la plus extrême en bio-politique moderne . Ce qui s’est passé dans les États totalitaires du 20ème siècle est que le pouvoir ( peut-être par le biais de la science ) a décidé exactement ce que , en fin de compte , est une vie humaine et ce qui n’est pas une vie humaine . En opposition à ce point de vue , ce que nous avons à faire est de concevoir une politique de formes vitales , c’est une vie qui ne peut être séparé de sa forme , qui ne sera jamais nue à nouveau .

                    L’ ennui, pour employer un euphémisme , avec laquelle la personne ordinaire est confrontée a la politique : est-ce en rapport avec les conditions spécifiques de l’Italie ou est-il en quelque sorte inévitable ?

                    Je pense qu’ aujourd’hui, nous sommes confrontés à un nouveau phénomène qui va au-delà du désenchantement et de la suspicion mutuelle entre les citoyens et le pouvoir, un phénomène qui touche l’ensemble de la planète . Ce qui se passe est une transformation radicale des catégories avec lesquelles nous avons l’habitude pensé à la politique. Le nouvel ordre de la puissance mondiale est basée sur un modèle de gouvernance qui se définit comme démocratique , mais qui n’a rien de commun avec ce que ce terme signifie . Le fait que ce modèle est , du point de vue de la puissance , plus économique et plus efficace , est prouvé par le fait qu’il a été adoptée même par les régimes qui étaient jusqu’à tout récemment des dictatures . Il est beaucoup plus facile de manipuler l’opinion des gens par le biais des médias et de la télévision que d’avoir à imposer de façon permanente toutes les décisions au moyen de la violence . Les formes politiques que nous connaissions - le une fois état nation , la souveraineté , la participation démocratique , les partis politiques , droit international, sont arrivés à la fin de leur histoire . Ils continuent à faire partie de nos vies comme des formes vides , mais la politique contemporaine prend la forme d’ une « économie » , c’est à dire un gouvernement de choses et d’hommes . Alors que notre seul recours est de penser d’un seul tenant , sur la base du principe que nous avons précédemment défini par l’expression , qui est d’ailleurs aussi obscure , de la « vie politique » .

                    L’état d’exception dont vous avez lié à la notion de souveraineté semble prendre aujourd’hui le caractère d’une situation normale , mais les citoyens sont toujours perdant face à l’incertitude de leur vie quotidienne : est-il possible d’atténuer ce sentiment ?


                  • xenozoid Xenozoid 20 août 2020 19:22

                    @suite

                    Nous avons vécu pendant des décennies dans un état ?d’exception, qui est devenu la règle, comme dans le cas de l’économie ,dont la crise est l’état normal . L’état d’exception qui devait être limitée dans le temps à pris la place du modèle normal de la gouvernance aujourd’hui et cela est vrai mêmes dans les Etats qui se disent démocratiques . Peu de gens sont conscients du fait que les règlements de sécurité introduites après le 11 Septembre (ils avaient été mis en place en Italie depuis les années de plomb ) sont pires que ceux qui étaient imposés sur les livres sous le fascisme . Et les crimes contre l’humanité commis sous le nazisme ont été rendue possible par le fait que Hitler ayant pris le pouvoir et avait alors proclamé un état d’exception qui n’avait jamais été abrogé. Hitler, cependant, n’a pas eu les mêmes possibilités de contrôle (données biométriques , caméras de surveillance , les téléphones cellulaires , cartes de crédit) qui sont à la disposition de nos Etats contemporains . On pourrait très bien dire aujourd’hui que l’Etat considère chaque citoyen comme étant un terroriste virtuel . Cela peut avoir comme conséquence de diminuer et rendre impossible la participation à la vie politique qui est censé définir la « démocratie ». Une ville dont les places et les rues sont contrôlées par des caméras de surveillance ne peut pas être un lieu public : c’est une prison .

                    l’avenir sera-t-il meilleur que le présent ?

                    L’optimisme et le pessimisme ne sont pas des catégories utiles pour la réflexion. Comme l’écrivait Marx dans une lettre à Ruge : « c’est précisément la situation désespérée qui me remplit d’espoir ".

                    16 août 2012

                    Traduit de l’ espagnol traduction en Février 2014.

                    Traduit de l’italien à l’espagnol pour Rebelión par Susana Merino.

                    Source de la traduction en espagnol : http://www.rebelion.org/noticia.php...

                    Source de l’interview en italien : http://tinyurl.com/mvdztv4


                  • ETTORE ETTORE 20 août 2020 19:55

                    Xenozoid

                    Tout cela est bien pressenti et bien dit.

                    Par manipulation successives, promesses après promesses, on nous as agenouillé face au veau d’or.( qui est coupable ? En vrai ?)

                    Et ceux qui descendent aujourd’hui de la montagne, ne reviennent qu’avec des missives vendues comme des « indulgences » au droit d’exister, jouant sur les inégalités pour enfoncer encore un peu plus, les adorateurs compulsifs des objets/doudou qu’ils courent amasser sans raison.

                    Que penser de ce futur accordé, autorisé, vendu prêt à vivre, par ces multinationales des bonheurs, bien emballés, standardisés pour la multitude, pourtant vendus comme« just for you » ?

                    Ce monde est un magasin de jeux, ou les jouets se rient des clients.

                    Ou les puzzles économiques défient la raison, tout en nous faisant croire que nous avons le mode d’emploi pour assembler les pièces bien à plat.

                    C’est bien ça le problème, rien n’est plus dans notre dimension, car on nous as enlevé depuis belle lurette, le tapis de jeux conducteur.

                    Nous ne sommes plus que des cerfs volants, où ceux qui se libèrent du fil, pour de multiples raisons, ne sont même plus récupérés.

                    Le VENT, est trop occupé à souffler dans une seule direction, et pas forcément celle voulue par la majorité de l’humanité., tenue....en laisse !


                    • xenozoid Xenozoid 20 août 2020 20:05

                      @ETTORE

                      merci , yep ,mais on sait tous qu’on va dans le mur,tenu en laisse ou pas


                    • pierre 21 août 2020 16:29

                      cela ne ferait pas partie de « agenda21 » ?

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