Norouz, le nouvel an des Perses
En tant qu'un jour non-islamique, Norouz développe aujourd'hui un nouveau concept pour les Iraniens. Il ne signifie pas seulement une reprise de la culture préislamique, mais que la cérémonie de Norouz est implicitement une résistance non-violente contre l'establishment de l’Etat des Mollahs. Dans cette perspective, le fait est que Norouz devient de plus en plus politisé et est un symbole de la liberté du people iranien du joug des Mollahs.
Parmi les festivités les plus connues de l’Iran, Norouz marque un grand symbole de l’anciens Perse Les Iraniens de l’ancienne Perse croyaient qu’il y a une lutte continue entre le bien qui représentait de la lumière et le mal qui est l’obscurité, ce qui finalement s’aboutit à la victoire du bien sur le mal. Cela a donné au Nouroz une festivité idéale pour accomplir les tâches les plus importantes tout en oubliant le mal. Norouz est maintenue au premier jour du printemps qui commence habituellement le 21 Mars.
Normalement le 20 ou 21 mars est Norouz selon du calendrier persan et alors célébré comme la Nouvelle Année en Iran, Afghanistan, l’Asie centrale, une partie de la Chine, et les autres cultures perses depuis des milliers d’années.
La célébration de Norouz débute avec des bourgeons de fleurs, la beauté de l’environnement et le début de la vitalité de la vie. C’est le moment où le jour et la nuit deviennent égaux et le soleil commence à faire revivre la nature. Le comportement humain commence sa phase florissante et le sens de la vie prend un nouvel élan. Dans l’ensemble, Norouz est un jour heureux pour célébrer.
Norouz est célébré pendant au moins 3000 dernières années par les anciens Perses autour d’un vaste territoire. On pense que l’idée est un rappel de la dernière ère glaciaire, il a environ 18 mille ans quand l’hiver glacial a à son extrémité et le printemps était attendu pour sortir la chaleur et la vie à nouveau.
Parmi les festivités les plus connues de l’Iran, Norouz marque un grand symbole de l’anciens Perse Les Iraniens de l’ancienne Perse croyaient qu’il y a une lutte continue entre le bien qui représentait de la lumière et le mal qui est l’obscurité, ce qui finalement s’aboutit à la victoire du bien sur le mal. Cela a donné au Nouroz une festivité idéale pour accomplir les tâches les plus importantes tout en oubliant le mal.
Les envahisseurs musulmans Du 7ème siècle et leur califat islamique ont tenté d’étouffer les cérémonies persanes « non-islamiques » en faveur des valeurs islamiques imposées. Mais les califes Omeyyades et des Abbassides devraient permettre à nouveau la célébration de Norouz. Alors, Norouz résista aux envahisseurs, mais il a dû accepter des compromis. Dans ce sens, le Coran a été ajouté à la « Haft Sin », une nappe ou table de 7 articles commençant par la lettre persane »S« , bien que le mot « Coran » ne se commence pas par « S » en persan. Un autre article a été ajouté poisson d’or, « Mahi » qui ne se commence non plus par « S » : des millions de ces poissons élevés en aquariums, ceux surtout de petits, meurent après quelques jours de cérémonie. Cette pratique contraire à l’éthique d’anciens Perses nous rappelle la fête musulmane du sacrifice, quand des millions de moutons sont sacrifiés rituellement par les musulmans. Heureusement, cette dernière composante de Norouz est maintenant considérée comme une immoralité et alors rejetée ou peu pratiquée.
Norouz est une bonne occasion pour les enfants qui reçoivent des cadeaux, « Eidi » de leurs familles et membres de la famille et les amis se rendent visite pendant la festivité.
Contrairement aux nombreuses cérémonies de racine islamisée, Norouz ne provient pas de rites religieux ou sacrificiels. C’est l’une des raisons pour lesquelles le régime islamique a tenté en vain de le faire disgrâce. Pas étonnant, quand Norouz se passe dans le mois de deuil chiite de Muharam, les musulmans fanatiques tentent de faire le deuil pendant Norooz. Pour eux, il faut faire le deuil au lieu de célébrer.
Pendant la dynastie Safavide, Nouroz est connecté avec la tradition chiite et avec abondante de la piété et la foi de la secte chiites tel que la cérémonie soit vidée de la joie car la joie n’est pas conforme à l’Islam. Norouz servi alors l’ordre du jour de la dynastie qui a brutalement imposé l’islam chiite comme la religion d’Etat. Depuis sa création, le régime islamique a tenté d’éteindre disgrâce à toutes les valeurs non-islamiques des Perses, y compris le Norouz. L’ayatollah Motahari, un érudit Mollah du régime islamique, a qualifié la fête de « Suri Charshanbeh », le dernier mercredi avant Norouz, devant une foule Iranienne comme « l’héritage de vos idiots ancêtres ! », indiquant les Perses avant de l’invasion de l’islam.
Toutefois, dans les dernières années, certaines factions opportunistes au sein du régime islamique ont tactiquement retiré leur disgrâce à Norouz. Ils ont répandu l’idée que le Prophète Muhammad dans ce jour de Norouz a nommé Imam Ali, le premier Imam des chiites, comme son héritier ou le Calife des musulmans - ce qui n’est pas approuvé par la plupart des musulmans (90% de secte sunnite). Grâce à cet événement allégué, Norouz pourraient être sauvegardés en tant qu’un jour « saint. » Ainsi, d’après un érudit de l’islam politique, Ali Shriati, un propagandiste du nouveau despotisme islamique d’« Ummat sur l’Imamat », Norouz "fortifie l’amour des Iraniens pour Islam (chiite. Quelles que soient les tactiques de diversion du régime et de ses théoriciens, Norouz reste une épine dans les yeux des Mollahs, car elle ne correspond pas aux rites et à leurs normes religieuses.
En tant qu’un jour non-islamique, Norouz développe aujourd’hui un nouveau concept pour les Iraniens. Il ne signifie pas seulement une reprise de la culture préislamique, mais que la cérémonie de Norouz est implicitement une résistance non-violente contre l’establishment de l’Etat des Mollahs. Dans cette perspective, le fait est que Norouz devient de plus en plus politisé et est un symbole de la liberté du people iranien du joug des Mollahs.
Norouz résisté à l’Islamisme, malgré tous les hauts et les bas historiques, Norouz conserve ses véritables valeurs de non-islamiques et reste dans les cœurs et les esprits de la plupart des Iraniens comme une fête joyeuse et le patrimoine culturel de l’Iran préislamique.
Par jahanshah Rashidian
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