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Accueil du site > Tribune Libre > Oui, reconstituer le parti des Rouges !

Oui, reconstituer le parti des Rouges !

A partir du roman Les Rouges, de Pascale Fautrier, Julien Guérin de République et Socialisme 77 avance une réflexion sur la manière dont une nouvelle unité peut être trouvée à gauche pour fonder un nouveau parti des rouges et contrer la politique délétère d'un exécutif aplati devant le grand patronat.

 C’est une belle fresque que nous livre Pascale Fautrier avec Les Rouges. Son volumineux et ambitieux roman retrace plus de 200 ans d’histoire de la gauche française. De la Révolution française au militantisme étudiant des années 1980 en passant par les pages héroïques de la Commune, du Front populaire et de la Résistance, sans oublier Mai 68 et la victoire de mai 1981 Pascale Fautrier fait revivre avec talent ces moments où les travailleurs « se lancèrent à l’assaut du ciel ». On suit avec plaisir les aïeux bourguignons de Pascale Fautrier qui, de 1789 à nos jours, épousèrent tous les grands combats du mouvement ouvrier et démocratique français. Elle n’évacue cependant pas la page sombre du stalinisme qui dénatura l’espérance socialiste. Le livre est également un éloge de la transmission d’une histoire en train de d’évaporer mais dont les grands parents de la narratrice, les vaillants communistes de Migennes, Madelaine et Camille, ont veillé à ce que la flamme rouge demeure vivace pour les nouvelles générations. Mettant en exergue un extrait du discours d’investiture de Mitterrand en mai 1981 c’est bien « ces millions d’hommes et de femmes qui deux siècles durant (…) ont façonné l’histoire de France sans y avoir accès » qui sont au centre de ce livre plus actuel que jamais à l’heure où le gouvernement Hollande-Valls au pouvoir tourne justement le dos à cet héritage.

 

 Des jacobins aux trotskistes avec Camélinat comme guide

 L’histoire débute avec l’évocation de la belle figure de l’ancêtre jacobin Antoine. A l’ombre de la basilique de Vezelay, ce rude paysan a cultivé une haine tenace du clergé et des aristocrates. Il voue un véritable culte au député Montagnard Lepeltier de Saint-Fargeau. Ami de Robespierre, assassiné par un royaliste la veille de l’exécution de Louis XVI, ce noble qui possède un château en Bourgogne a pris le parti du peuple qu’il veut sortir de l’ignorance par un grand plan d’éducation. La famille d’Antoine est amie avec celle du forgeron Camélinat dont elle partage les convictions républicaines. Les petits enfants des deux jacobins poursuivent le combat et s’enflamment aux côtés des démocrates socialistes de la Seconde République. Avec la répression du soulèvement ouvrier de juin 1848 c’est au cours de cette période qu’apparaissent les premières fractures à gauche entre ceux qui veulent gérer loyalement le capitalisme en arrachant quelques miettes pour les ouvriers et ceux qui veulent radicalement transformer le système. Ces années de défaites et de répression où Napoléon III établit son Empire sont traversées par l’évocation du député de la Nièvre Pierre Malardier. Instituteur du peuple, infatigable propagateur des idées socialistes dans les campagnes du Morvan, il incarne le meilleur des traditions de la gauche. Ayant payé son engagement de sept années d’exil sous le second Empire puis de huit nouvelles années de détention pour son soutien à la Commune de Paris, Malardier s’est toujours fermement tenu du côté des Rouges, quel qu’en soit le prix à payer. Un extrait d’un de ses discours résume bien la démarche du roman : « le socialisme cherche par la démocratie radicale des remèdes à la question sociale et politique. Il y a une lutte entre la bourgeoisie et le peuple. Vive la fin de la misère et de l’inégalité ! Plus de domestiques, plus de prolétaires ! ».

 C’est au cours de ces combats contre Napoléon III que le jeune Camélinat, arrière-petit-fils du jacobin, forge ses solides convictions révolutionnaires. Quittant le village ancestral de Mailly pour aller se faire ouvrier à Paris, Camélinat suit, comme des milliers de jeunes provinciaux, le chemin de l’exode rural. L’industrialisation pousse les ruraux vers les villes, déplaçant ainsi le cœur de la lutte ouvrière vers les milieux urbains. Ouvrier bronzier, Camélinat se mêle bien vite aux tentatives d’organisation syndicale des travailleurs parisiens. Il adhère en 1864 à la section française de l’Association internationale des travailleurs créée à Londres par Karl Marx. Au printemps 1871, Camélinat prend toute sa place dans les rangs de la Commune de Paris où il occupe le poste de directeur des Monnaies. Le scrupuleux militant ouvrier hésite à faire main basse sur le trésor de la banque de France pour le mettre à disposition du peuple. Lors de la semaine sanglante, il parvient à se cacher puis à gagner Londres où il reste en exil jusqu’à l’amnistie de 1880. Il y côtoie Marx et Engels et s’imprègne de la pensée des philosophes allemands en gardant toutefois une certaine distance avec le marxisme orthodoxe. Revenu en France il se fait élire député de Paris en 1885 et constitue le premier groupe parlementaire se réclamant explicitement du socialisme. Il participe à l’unification des différents courants socialistes qui donne naissance à la SFIO en 1905. Camélinat en est le trésorier et adhère pleinement à la synthèse jaurésienne qui croise l’héritage républicain et les combats du mouvement ouvrier. Il est aux côtés de Jaurès lorsque le tribun est assassiné le 31 juillet 1914 à Paris. D’abord rallié à l’effort de guerre, Camélinat prend progressivement ses distances et adhère en décembre 1920 au parti communiste qui se constitue. Il devient, au fil des ans, le symbole vivant de la Commune dont il est le dernier survivant. Ses obsèques en 1932, dans le petit cimetière de Mailly la ville sont une démonstration de force, orchestrée par le PCF, en faveur d’une certaine idée du mouvement ouvrier.

 Dès lors le pèlerinage sur la tombe de Camélinat devient un gage de fidélité aux valeurs du socialisme. A Mailly-la-Ville, les grands-parents de la narratrice fondent une cellule communiste portant le nom du Communard et c’est fort logiquement que le maquis bourguignon reprend encore, tel un étendard, le nom de Camélinat. Madeleine, la grand-mère se fait alors passeuse de mémoire et va patiemment raconter à sa petite-fille l’histoire des luttes populaires. Madeleine et son mari Camille s’établissent à Migennes, bastion cheminot où les militants du PCF sont très actifs. On suit les luttes de l’après-guerre et les heures terribles de la guerre froide. Le stalinisme est la colonne vertébrale du PCF et fait des ravages dans ses rangs. Cependant, on ne peut être que touché par l’abnégation et le dévouement de ces militants communistes qui frappent aux portes des cités cheminotes et vont à la rencontre du peuple pour vendre l’Humanité dimanche. Le père de la narratrice, fils de Madeleine et Camille, plonge aussi dans le bain militant avec ferveur. Instituteur, il est un militant discipliné qui applique la ligne sans sourciller. Les premiers doutes affleurent au moment de Mai 68 et Bernard s’éloigne d’un PCF sclérosé et irrémédiablement aligné sur l’URSS. En 1970, ses dernières illusions tombent lorsque la fédération de l’Yonne instruit un procès en sorcellerie à son encontre. Ouverture des courriers, mensonges, pressions… rien n’est de trop pour « démasquer » le traitre. Il se réfugie alors dans un communisme libertaire teinté de psychanalyse lacanienne. C’est sa fille Madeleine, la narratrice, qui reprend le flambeau militant en rejoignant, après le 10 mai 1981, l’OCI trotskiste de Pierre Lambert et l’UNEF-ID alors dirigée par un certain Jean-Christophe Cambadélis. Commence alors un dialogue entre Madeleine, toujours fidèle au vieux Camélinat et à ceux de Migennes, et « JC », apparatchik trotskyste puis député socialiste et aujourd’hui premier secrétaire du PS. La romancière rappelle avec force la grande histoire des Rouges à un « JC » qui lui a désormais largement tourné le dos.

 

 Migennes où un concentré de la France d’aujourd’hui

 Les derniers pages du livre sont une excellente réflexion sur le recul des concentrations ouvrières et le déclin du militantisme de gauche traditionnel. Prenant l’exemple de la ville cheminote de Laroche-Migennes, Pascale Fautrier pointe avec acuité le terreau sur lequel prospère le Front National. Cette France des marges, socialement et économiquement reléguée, heurtée de plein fouet par la désindustrialisation donne depuis quelques années ses meilleurs scores à l’héritière de Montretout… La conscience de classe y a reculé sous les coups de boutoirs du néolibéralisme. Pascale Fautrier écrit : « chassés des villes, émiettés, spoliés de leur tradition politique et syndicale, isolés dans de minuscules entreprises perdues dans la campagne, où l’arbitraire règne, et qui sont tout ce qui reste du tissu industriel français, les ouvriers partagent avec les employés , les mêmes bas salaires et la même précarité. (…) La plupart de ses salariés ne possèdent rien, ils sont des prolétaires (…). En France la moitié de la population gagne moins de 1600 euros par mois ». La base sociale de la gauche, cette classe en soi pour parler en termes marxistes, existe donc bel et bien mais laminée par 35 ans de défaites et de trahison elle s’est délitée, réfugiée dans l’indifférence politique.

 

 La politique de Hollande-Valls où la négation de l’histoire des Rouges

 Ces millions d’hommes et de femmes font encore épisodiquement irruption sur le devant de la scène sociale et politique et se rappellent au bon souvenir des appareils politiques depuis longtemps vidés de leur substance populaire. Les centaines de drapeaux rouges envahissant la Bastille le 18 mars 2012 pour revendiquer, avec le Front de Gauche, une VIe République en sont une belle illustration. Défié par les déclarations belliqueuses de Sarkozy le 1er mai 2012, la majorité du monde du travail s’est vengée dans les urnes le 6 mai en infligeant au président des riches une défaite méritée. Les illusions sur la gauche au pouvoir étaient certes tombées mais le peuple attendait quelques améliorations qui, depuis plus de deux ans, ne sont jamais venues. Le Front de gauche avait d’emblée refusé la participation à un gouvernement qui n’entendait pas sortir des sentiers battus du libéralisme. Acceptation du traité de rigueur budgétaire européen dès l’automne 2012, refus d’augmenter les bas salaires et d’amnistier les syndicalistes, allongement de la durée de cotisation pour une retraite à taux plein, refus d’une vraie réforme fiscale, abandon des ouvriers de l’aciérie de Florange à leur triste sort… le président Hollande inaugurait son mandat par une série de capitulations sans condition.

 Le pire était encore à venir avec la reprise de tout un pan du programme économique du MEDEF et du terrible substrat idéologique sur le prétendu coût du travail. La guerre à la finance ne fut jamais à l’ordre du jour et le capital dort tranquillement sur ses deux oreilles. Le pacte de responsabilité annoncé en janvier 2014 et ses 41 milliards d’euros de baisse de cotisations sociales offert au patronat ainsi que les coupes drastiques dans les budgets publics ont achevé la mutation libérale d’une partie de la gauche. Tournant sans complexe le dos à l’histoire des Rouges, cette politique de droite a désespéré un peu plus un peuple de gauche au moral déjà chancelant.

 

 Reprendre le drapeau : reconstituer le parti des Rouges

 Dès lors comment rebondir alors que le Front national menace et que les réformes de Valls lui ouvrent un boulevard ? Cette rupture avec tous les fondamentaux de la gauche ouvre paradoxalement une brèche pour reconstruire une perspective. Le Front de gauche, qui a eu le mérite de résister aux sirènes libérales, n’est pas parvenu à convaincre de sa capacité à incarner à lui seul l’alternative à Hollande. Mélenchon a parfois eu tendance à oublier les profondes aspirations unitaires qui irriguent les veines du peuple de gauche. C’est ainsi que le NPA a sombré depuis trois ans. La récente éviction du gouvernement de Montebourg et Hamon, qui avaient osé émettre quelques timides critiques sur le cap économique de Valls, prouve que le doute s’est insinué jusque dans les rangs du PS et au-delà de sa traditionnelle aile gauche. Les écologistes ont quitté le gouvernement et le MRC, qui avait rejeté le pacte de stabilité européen dès le départ, n’a pas voté le pacte de responsabilité à l’Assemblée. On trouve là des raisons d’espérer.

 Socialistes contre l’austérité, communistes, trotskystes unitaires, républicains sociaux, éco-socialistes…les contours d’un nouveau parti des Rouges se dessinent sous nos yeux. Refonder un tel parti des travailleurs, démocratique et pluraliste, au carrefour de toutes les identités de la gauche française est un beau et grand défi. Ce pourrait être la manière de rendre espoir aux millions d’ouvriers et d’employés qui, ne se sentant plus représentés, se sont tournés depuis longtemps vers le FN ou l’abstention. Plusieurs préalables doivent être levés pour atteindre cet objectif. La gauche socialiste n’a pas encore renoncé à conquérir la majorité au sein du PS, l’appareil du PCF n’est pas prêt à accepter de se dépasser tandis que certains réflexes sectaires d’une partie de l’extrême gauche ne facilitent pas les choses. Les vaines batailles internes des uns et les illusions des autres ne pourront cependant durer éternellement. La question d’une nouvelle représentation politique du monde du travail finira par se poser et le livre de Pascale Fautrier est une excellente entrée en matière. Il existe néanmoins des écueils à éviter. La construction d’un parti révolutionnaire d’avant-garde est dépassée. De même la constitution d’une force démocrate sans rivage, niant sa filiation avec le mouvement ouvrier comme en Italie, est un contre-exemple absolu. C’est en réalité le projet de Valls et de l’aile droite socialiste.

 Reformer le parti des Rouges permettrait de conjurer une telle catastrophe. La fondation de la SFIO en 1905 peut être une référence utile. Dépassant leurs vieux débats ce n’est pas moins de cinq courants socialistes qui faisaient leur unité à la salle du Globe. Guesdistes, jaurésiens, néo-blanquistes, broussistes et possibilistes se rassemblaient dans un grand parti. Deux préalables étaient posés : la reconnaissance de la lutte des classes et le refus de participer à un gouvernement dit bourgeois. Forte de son unité la SFIO attire rapidement de nouveaux adhérents et augmente ses scores électoraux d’élections en élections jusqu’à la cassure de 1920. Aujourd’hui les deux préalables à la reconstruction d’un tel parti des Rouges seraient le refus du carcan austéritaire imposé par les traités européens et la volonté de bâtir une VIème République démocratique, sociale et laïque. Ce nouveau parti des Rouges repartirait ainsi à la conquête de cette France des marges que cherche à séduire le FN. Désobéir aux directives européennes, mettre fin au règne patronal dans l’entreprise et en finir avec le présidentialisme remettraient au centre du débat le concept de souveraineté populaire, permettant ainsi au peuple et aux salariés de reprendre en main leur destin et de couper l’herbe sous le pied au FN. La tribune des meetings contre la constitution européenne en 2005 et les rassemblements populaires du Front de gauche pendant la dernière campagne présidentielle préfigurent déjà ce nouveau parti des Rouges. 100 ans après la mort de Jaurès ce serait une belle manière d’être fidèle au vieux Communard Camélinat. A défaut d’arriver à cet objectif ambitieux, que tous ceux qui veulent rester fidèles à la grande histoire ouvrière et offrir un autre cap à la gauche que celui fixé par Hollande s’unissent autour d’un projet qui rende sa fierté à ceux qui travaillent sans recevoir la part qu’ils méritent.

 

 Julien GUERIN (République et Socialisme 77)


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26 réactions à cet article    


  • César Castique César Castique 1er septembre 2014 10:18

    « A défaut d’arriver à cet objectif ambitieux, que tous ceux qui veulent rester fidèles à la grande histoire ouvrière et offrir un autre cap à la gauche que celui fixé par Hollande s’unissent autour d’un projet qui rende sa fierté à ceux qui travaillent sans recevoir la part qu’ils méritent. »



    Bof ! C’est fini, les contes à dormir debout des intellucinés du XIXe siècle, qui en foutaient plein la vue à des prolétaires ignorants et miséreux, dont l’espérance de vie moyenne à la naissance s’établissait aux alentours de 40 ans.


    Aujourd’hui, presque plus personne n’y croit à votre charabia à base d’émancipation, de société sans classe, de propriété collective des moyens de production, de socialisme « scientifique », de dialectique marxiste du processus révolutionnaire - poil au blair ! - à la semaine de 5 heures et à la retraite jusqu’à 60 ans.

     

    Ce à quoi le prolo aspire, c’est de vivre un peu mieux, avec un peu plus de respect et de sécurité, dans le pays qu’il a reçu en héritage de ses ancêtres, qui l’ont bâti, sans avoir à faire les comptes avec des voisins de palier, plus ou moins exotiques, dont il n’a jamais souhaité la proximité. 

    Dites-vous bien que si vous cafouillez dans les urnes, c’est tout simplement que votre suranné discours ne passe plus, que vous ne prononcez pas les mots que les prolétaires voudraient entendre et que ce n’est pas en les laissant se faire dépouiller de leur pays par des gens venus d’ailleurs - A celui qui n’a plus rien, il reste la patrie", disait Jaurès, la patrie, la terre des pères -, que vous remonterez vos scores électoraux.

    Cela dit, je vous fais confiance pour persévérer avec tout le diabolisme dont vous êtes capables smiley


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 2 septembre 2014 13:32

       On prétend se battre pour des valeurs, mais au moment de vérité chacun se bat d’abord pour ses intérets. La politique est de convaincre l’autre que notre interet est le sien. Au palier de Quidam Lambda, on jase.... Mais en haut de la pyramide, duand on s’approche de la réalité, tout est corruption.


      PJCA

    • Spartacus Lequidam Spartacus 1er septembre 2014 10:18
      Y’en a qui sont resté en 1920.
      Ils n’ont pas intégré que le rouge est l’idéologie la plus criminogène qui soit.

      les goulags de 30 à 53, igonrés ?
      la grande famine de 23 à 33 en URSS, de 59 à 61 en Chine, inconnue ?
      les grandes purges de 36 à 38, Inexistantes ?
      les déplacements forcés de population, Dans le déni ?
      l’invasion de la Pologne, Jamiais évoqué ?
      la RDA et ses camps de travail forcé de 48 à 56, Oubliés ?
      la Hongrie en 56, Motus ?
      la Tchécoslovaquie en 68, Savaient pas ?
      les laogais chinois de 54 à 78, Trop loin ?
      la révolution culturelle, véritable guerre civile, Déni toujours ?
      l’occupation du Tibet,
      la Corée du Nord, le Cambodge de 75 à 79, Cuba, l’Afghanistan...
      100 millions de morts, la fourchette bloquant sur les morts de Chine.

      Encore aujourd’hui le communisme sévit encore :
      -Corée du Nord, camps de redressement, Famines organisées
      -Zimbabwe, spoliations, planifications ethnicisme.
      -Cuba 

      Comment peut-on encore se réclamer du rouge communiste en 2014 ?

      • Yanick Toutain Yanick Toutain 1er septembre 2014 18:18

        Vous faites la liste des crimes du stalinisme.
        OR le pire massacreur de communistes fut Joseph Stalinie
        Pourquoi usurper le nom de Spartakos (qui ne s’appelait donc pas Spartacus) en crachant sur les véritables révolutionnaires ?


      • Spartacus Lequidam Spartacus 1er septembre 2014 19:14

        @y toutain

        Ce sont d’absurdes gauchistes qui ont phagocyté le nom de ce personnage, qui luttait pour le même traitement de tous contre un état romain.

        Mot pour mot, 
        Pour info on ne peut être égalitariste et libéral. C’est totalement antagoniste.
        Un libéral est équitable strict. Il souhaite les même droits pour tous et n’est pas jaloux des revenus des autres. 
        Un égalitariste souhaite le nivellement individuel, et ne reconnait pas le droit à la différence....

        Il y a différence entre égalité et équité.




      • epicure 2 septembre 2014 04:37

        @Par Spartacus (---.---.---.220) 1er septembre 10:18

        il y a un usurpateur qui n’a pas compris que le rouge dont parle l’article n’est pas le rouge frelaté du stalinisme.

        LA Corée du nord est aussi communiste que démocratique , puisqu’elle se proclame les deux.

        Donc il y a deux attitudes :
        l’attitude irrationnelle, la carte c’est le territoire , le régime de corée du nord se définit par les étiquettes qu’il se donne, donc il est communiste et démocratique. Défendre le communisme ou la démocratie, c’est partager les idées du régimes de corée du nord.

        l’attitude rationnelle, la carte n’est pas le territoire, et donc il n’est ni communiste, ni démocratie, bien qu’il s’en réclame, car ses caractéristiques ne correspondent ni à l’un , ni à l’autre.


      • epicure 2 septembre 2014 05:05

        @Par Spartacus (---.---.---.220) 1er septembre 19:14

        Spartacus luttait contre l’esclavage, contre l’exploitation, la domination d’êtres humains au nom de la propriété privée.

        Le libéral proclame l’égalité de droit, mais au nom du droit à la différence par la propriété privée il défend une inégalité de fait.

        Le libéral est tellement pour l’égalité de droit, que une fois au pouvoir par une révolution, il a instauré le suffrage censitaire masculin, réservé aux hommes les plus riches, et donc droit de vote et de pouvoir politique nié au reste de la population, esclaves compris bien sûr.... ( révolutions libérales anglaises, américain et française )

        L’égalitaire défend l’égalité de droit , autant de façon explicite, que de façon implicite, et cette égalité de droti ne peut que passer par le refus d’un droit différencié.

        Le libéral est un hypocrite qui prend les propriétaires pour l’ensemble de l’humanité, et méprise les libertés de ceux qui n’ont pas de proproiété privée.

        Qu’est ce qui limite le plus la liberté ? :
        qu’une source d’eau soit du domaine de la propriété collective, ainsi que le terrain environnât ?
        ou
         la même source d’eau privatisée , ainsi que le terrain environnant avec des barrières pour marquer le terrain privé ?

        Qu’est ce qui donne le plus de liberté politique ? :
        le pouvoir politique collectif où chacun a le même poids de décision ? ou dit autrement la démocratie qui faisait peur aux libéraux historiques
        ou le pouvoir politique propriété de quelques uns ? par exemple comme dans le système représentatif où les élus peuvent faire ce qu’ils veulent une fois élus, comme hollande depuis 2012.

        Dans les deux cas le premier choix est égalitaire, le deuxième libéral

        Dans l’un on a une égalité de droit réelle, dans l’autre une égalité de droit hypothétique.


      • Baasiste 2 2 septembre 2014 11:24

        tu confonds incapacité et droit, le libéral pour lui la liberté c’est l’absence d’interdictions pas la suppression des incapacités à avoir telle chose surtout quand ça se fait par la solidarité coercitive forcé, chaque homme est libre c’est ça l’égalité pour le libéral. pour le droit de vote et co le libéral veut un système qui respecte l’égalité des droits naturels et la vraie démocratie met en danger cela.


      • Baasiste 2 2 septembre 2014 11:27

        staline et corée du nord=communisme, ils ont appliqué le communisme, ce sont des etats se disant démocratiques car pour marx la démocratie c’est le collectivisme, normal.


      • epicure 2 septembre 2014 21:27

        @Par Baasiste 2 (---.---.---.200) 2 septembre 11:24

        non le libéralisme dés ses débuts crée une inégalité de droit par la propriété privée.
        Nombre des droits proclamés par les libéraux n’ont aucune valeur pour les gens qui sont dans la misère, ou ceux qui n’ont aucune éducation digne de ce nom.

        Cela veut dire quoi le droit à l’information dans une société où la majorité est illettrée ?
        et la liberté de presse pour l’ouvrier sans droits réels, qui travaille dur pour pas grand chose ?
        etc...
        l’égalité de droit libérale c’est un monument d’hypocrisie qui cache un grand pouvoir pour les propriétaires en l’absence de régulation de ce pouvoir.

        Le libéral défendait le droit de vote uniquement pour les hommes riches, cela s’appelait le vote censitaire. C’est ce qu’ont produit les 3 révolutions libérales. On était bien dans une inégalité de droit manifeste.

        C’est la révolution populaire du 10 aout 1792, portée par des idées universalistes qui a inventé le suffrage universel, mais c’étaient pas des bourgeois libéraux. Ceci expliquant cela.

        La vrai démocratie, c’est l’accomplissement de l’égalité des droits réels.... notamment l’égalité de droit politique, de vote, sans privilège pour quelque faction que ce soit.


      • epicure 2 septembre 2014 21:31

        @Par Baasiste 2 (---.---.---.200) 2 septembre 11:27

        communisme : abolition de l’état, de la police, régime d’assemblée par démocratie directe

        rien de tout cela chez les deux zigotos dont tu parles, bien au contraire, ils en sont à l’opposé.

        Mais la démocratie c’est le collectivisme politique.


        toujours à ne pas comprendre ce dont tu parles....
        tu as beau changer de pseudo, tu ne changes pas.


      • Baasiste 2 2 septembre 2014 22:41

        « non le libéralisme dés ses débuts crée une inégalité de droit par la propriété privée.
        Nombre des droits proclamés par les libéraux n’ont aucune valeur pour les gens qui sont dans la misère, ou ceux qui n’ont aucune éducation digne de ce nom.

        Cela veut dire quoi le droit à l’information dans une société où la majorité est illettrée ?
        et la liberté de presse pour l’ouvrier sans droits réels, qui travaille dur pour pas grand chose ?
        etc...
        l’égalité de droit libérale c’est un monument d’hypocrisie qui cache un grand pouvoir pour les propriétaires en l’absence de régulation de ce pouvoir. »

        encore une fois le droit à quelque chose ce n’est pas le pouvoir de l’avoir ou de le faire. le droit à avoir un jet privé c’est pas la capacité à l’avoir, c’est l’absence d’interdictions le droit point toi le droit à une mercedes ou à un palace se ferait par la solidarité forcé coercitive qui serait anti-libertés, les libéraux c’est tous els hommes sont égaux car ils sont libres c’est pas tous les hommes sont égaux car ils ont le même revenu.

        sinon la propriété bourgeoise acquis par le droit naturel avant l’application du libéralisme, ça ne devrait poser aucun pbs et même après.


        « Le libéral défendait le droit de vote uniquement pour les hommes riches, cela s’appelait le vote censitaire. C’est ce qu’ont produit les 3 révolutions libérales. On était bien dans une inégalité de droit manifeste.

        C’est la révolution populaire du 10 aout 1792, portée par des idées universalistes qui a inventé le suffrage universel, mais c’étaient pas des bourgeois libéraux. Ceci expliquant cela.

        La vrai démocratie, c’est l’accomplissement de l’égalité des droits réels.... notamment l’égalité de droit politique, de vote, sans privilège pour quelque faction que ce soit. »

        la révolution populaire de 1792 n’était pas universaliste mais patriote-nationaliste et populaire. arrêtes de coller le mot universaliste partout à ce qui te plait.

        le libéral haï la démocratie car ça viole les droits naturels, l’égalité des droits naturels, seul ça compte pour lui.


      • Baasiste 2 2 septembre 2014 22:47

        « communisme : abolition de l’état, de la police, régime d’assemblée par démocratie directe

        rien de tout cela chez les deux zigotos dont tu parles, bien au contraire, ils en sont à l’opposé.

        Mais la démocratie c’est le collectivisme politique.


        toujours à ne pas comprendre ce dont tu parles....
        tu as beau changer de pseudo, tu ne changes pas. »

        le communisme a une période de transition et le communisme sans police attends : olololololol inapplicable. et comme je l’ai dis si le prolétariat en démocratie communiste pisse sur le marxisme, il se passe quoi ? le marxisme est mort. pareil al dictature du prolétariat n’a pas fonctionner car le prolétariat ne voulait pas du communisme, donc le parti a imposé le communisme à la place du prolétariat. c’est simple, staline et pol pot ont essayer d’appliquer le plus possible une utopie irréalisable, ils ont essayer d’appliquer le communisme avec les limites de la dure réalité. de plus oui marx est anti démocrate car il faut le collectivisme quel que soit l’opinion de ,la majorité. de plus marx veut aucun etat mais on voit que sa société ne ferait qu’apporter une autre forme d’etat.


        la démocratie le clown celui qui comprend rien c’est le collectivisme c-à-d obliger le partage absolu ? et si la majorité veut pas si la majorité veut la liberté éco, le droit à la propriété individuelle ? le marxisme est anti démocrate oui.


      • Erdal 29 janvier 2015 23:20

        Cessez de vous cacher derrière des chiffres, c’est d’un ridicule... D’ailleurs à ce propos : https://progreshumain.wordpress.com/2014/11/15/lhistoire-contre-le-livre-noir-du-communisme-le-communisme-et-les-100-millions-de-morts/


      • Aldous Aldous 1er septembre 2014 10:26

        77 ? pourquoi 77.

        Ah oui, je sais, en 1977 Léonid Brejnev cumule les fonctions de président du Conseil et de président du Soviet suprême.
        Et toujours en 1977 Pol Pot devenu premier ministre, se lance dans des purges qui aboutieront à l’extermination de 20% de la population Khmer.

        • République et Socialisme 77 République et Socialisme 77 1er septembre 2014 14:14

          Non. Tout simplement car il s’agit du comité seine-et-marnais de République et Socialisme.


        • Aldous Aldous 1er septembre 2014 20:35

          Il reste des prolétaires en Seine-et-Marne ? smiley


        • Yanick Toutain Yanick Toutain 1er septembre 2014 18:16

          De mon passage de 10 ans dans l’internationale d’Ernest Mandel (celle de Krivine, Bensaid et Weber) j’ai retenu plusieurs leçons fondamentales.
          - La théorie fonde tout. En théorie, l’humanologie doit être conforme à la philosophie (gnoséologie et matériologie incluant les lois de la dialectiques pré-construites par Engels)
          Le parti doit donc être formé de chercheurs et non de perroquets. L’OCI avait ce travers...... en loupant même sa possible plus géniale découverte « les forces destructives » qui seront une des pierres du ..... postmarxisme.
          - Le programme est déterminé par la théorie : l’égalitarisme scientifique - tel que Marx le définirait - n’est donc pas un « égalitarisme utopique ».
          - L’organisation (celle des masses et celle des avant-gardes) dépend donc ET de la théorie ET du programme. 
          Pour les masses, c’est l’HUMANOCRATIE des délégués révocables. En commençant par des MINI soviets de 25 (déjà faits en Espagne 1936 et amorcés en Italie du Mai rampant)
          Des délégués de base par groupe de 25 sonneront le glas du capitalisme. En sabotant les tentatives de saboteurs de manipuler les AG.....

          Le résultat de tout cela figure en creux dans mon dernier article (non validé ici) mais lisible sur Revactu et NObsRevActu

          http://revolisationactu.blogspot.com/2014/09/melenchon-denonce-hollande-droitier.html
          http://nobsrevactu.blogs.nouvelobs.com/archive/2014/09/01/melenchon-denonce-la-politique-gouvernementale-est-de-droite-540801.html
          En janvier 1905, Trotsky et Parvus avait sorti des archives et nettoyé le vieux concept de Marx de « révolution permanente ».
          J’ai fait la même chose : il n’y aura pas de REVOLISATION sans ABOLITION des DIPLÔMES et des DROITS d’AUTEURS....
          .... et c’est là que pleins de partisans du parti des « Rouges » partent en courant...... comme partirent en courant les ingénieurs de 1906 craignant l’abolition du capitalisme ou les .... Napoléonistes de 1848 quand ils comprirent le projet de Marx et Engels....
          Une dernière chose fondamentale que j’ai appris de la LC-FCR-LCR : on ne construit un parti qu’avec les gens qui travaillent avec vous à organiser les masses.
          Ceux qui font les bergers de la démocratie en putréfaction, les électoralistes, les « constituantistes » (je viens d’inventer le néologisme..... quand je dénonce leur comportement depuis des années) ne sont pas un parti des Rouges mais une ROUE DE SECOURS GEANTE..... La formoisie tentant de perpétuer le règne de son bourreau : la strate des Parasites......et son noyau le plus pourri : la bancocratie et la slavoisie (bourgeoisie esclavagiste)
          La révolution est pour demain.
          A la condition de s’armer de la théorie ET de commencer la construction de groupes de 25 délégateurs....
          NB Je lirai un jour ce livre avec intérêt.

          • Yanick Toutain Yanick Toutain 1er septembre 2014 19:18

            Comme il le méritait, j’ai transformé ce commentaire en article.
            Mais comme les trois quarts de mes articles sur Agoravox sont censurés je suis allé le poster ailleurs
            http://nobsrevactu.blogs.nouvelobs.com/archive/2014/09/01/lecons-strategiques-apprises-a-la-lcr-de-1973-a-1982-un-rapi-540838.html
            en ajoutant un petit chapeau

            Il peut paraître curieux de faire cet article ici et non de commencer par en faire un article sur Agoravox.
            Mais c’est logique : sur Agoravox les articles ne paraissent que si le Comité de Lecture du Soviet Central de l’Agora (le CLSCA mais les habitués disent le XACA) en décide ainsi.....
            Et ce sont donc 3 acceptés pour 16 refus.
            Cela dissuade y compris d’aller faire le copier coller de ce commentaire.
            sous cet article

            Oui, reconstituer le parti des Rouges !

            par République et Socialisme 77(son site)  

            A partir du roman Les Rouges, de Pascale Fautrier, Julien Guérin de République et Socialisme 77 avance une réflexion sur la manière dont une nouvelle unité peut être trouvée à gauche pour fonder un nouveau parti des rouges et contrer la politique délétère d’un exécutif aplati devant le grand patronat.

             

            Ma réponse :
            THEORIE, PROGRAMME ET ORGANISATION

          • Yanick Toutain Yanick Toutain 1er septembre 2014 19:26

            Je réponds à 
            +++

            @y toutain

            Ce sont d’absurdes gauchistes qui ont phagocyté le nom de ce personnage, qui luttait pour le même traitement de tous contre un état romain.
            Mot pour mot, 
            Pour info on ne peut être égalitariste et libéral. C’est totalement antagoniste.
            Un libéral est équitable strict. Il souhaite les même droits pour tous et n’est pas jaloux des revenus des autres. 
            Un égalitariste souhaite le nivellement individuel, et ne reconnait pas le droit à la différence....
            Il y a différence entre égalité et équité.
            +++++
            Vous mélangez et embrouillez
            Spartakos a commencé une révolution anti-esclavagiste. Il a commencé à démolir un Etat esclavagiste. Il était un révolutionnaire.
            Pas vous semble-t-il.
            L’égalitarisme est la conséquence de la prise de conscience de la double erreur de Adam Smith et de Marx
            Ils sont fait avec le travail la même bourde IDEOLOGIQUE que Le Quesnay avec l’agriculture.
            Mais les vraies richesses humaines sont LE FEU, LES MOTS, l’AGRICULTURE et les NOMBRES
            Sans cela vous n’êtes un singe crevant de froid et poussant de petits cris.
            Même pas un bonobo comptabilisant ses « conquêtes ».
            Vous allez donc payer les DROITS D’AUTEURS ANCESTRAUX
            Et vous découvrirez alors ce qu’est le VERITABLE LIBERALISME.....
            Pas celui de ceux qui FERMENT LES FRONTIERES pour que la slavoisie Bolloré puisse payer 50 euros en Afrique !
            PAs ceux qui bafouent l’article 222-13-1 tous les jours en organisant la DESTRUCTION DE LA JEUNESSE INNOVANTE.
            Mon monde libéral verra les jeunes comprendre les logarithmes à 4 ans, les équations différentielles à 7 et devenir entrepreneurs au même âge.
            Ils investiront 10 révos (1 euro) par jour dans le projet de leur choix....
            Mais sans RIBA !

            • Spartacus Lequidam Spartacus 1er septembre 2014 21:40

              Ça doit être un signe de ralliement, le mépris des contradicteurs....Chez les Bolcheviques.


              Faut dire qu’il vous reste un grain après avoir côtoyé les pires débiles Boudarelliens que le communisme Français a engendré.

              On doit difficilement se « venter » d’avoir connu ces débiles communistes ex-profs de communisme qui ont formé les cadres en France qui ont engendré la planification agraire et la destruction de 1/3 des habitants du Cambodge......

              Les pourris comme Krivine, qui savaient le génocide de masse au Cambodge et ont fermé leur gueule au nom de la « solidarité communiste ». A gerber vos « amis »....

              Vous faites vous donc partie des gens qui devraient passer en procès pour apologie de crimes contre l’humanité comme vos amis ? 

            • julius 1ER 2 septembre 2014 00:49

              Tas raison Spartacus l’Espagne de Franco, le Chili de Pinochet et toutes les joyeuses dictatures de la planète, où on vous payait des allers simple en avion ou en hélico, c’était une époque formidable !!!!!!!!!!!!!!!

              et arrêtes de nous emmerder avec ta Corée du nord soit disant-communiste, c’est un régime totalitaire.....point barre. Tous les penseurs socialistes ont toujours affirmé que la démocratie devait faire partie d’un projet socialiste aucun n’a jamais parlé de transmission de pouvoir dans un pays à la manière des rois cad de père en fils..........et je te signale qu’au Cambodge ce sont tes amis américains qui ont semé le désordre dans ce pays pour finalement l’offrir sur un plateau au timbré de Pol pot et ses sbires. Tu devrais remercier les horribles communistes vietnamiens qui malgré 30 années de guerre ont mis fin à ce régime sanglant ...... l’histoire, il faut l’appréhender dans son entité et pas de manière tronquée comme tu le fais sans cesse !!!!!!!!

            • Spartacus Lequidam Spartacus 2 septembre 2014 08:50

              Parce qu’il y aurait eu Pinochet ou Franco que cela exonérerait les communistes Français d’avoir engendré les crimes au Cambodge et au Vietnam ?

              Encore en 2014 les minorités sont persécutées par les cocos au Vietnam (Hmongs).

              Les communistes ont tué 100 millions de personnes....Terrorisé des millions. 

              Vous êtes des gens a gerber avec vos dénis. 
              Souhaitons qu’un jour les cocos Français et coupables rendent des comptes.


            • epicure 2 septembre 2014 21:14

              déjà les khmer rouges n’étaient pas des communistes : ils se sont alliés avec les américains contre son voisin anticapitaliste, le Vietnam, et une fois au pouvoir, ils ont pratiqué non pas la dictature du prolétariat mais la dictature contre le prolétariat, plus exactement le génocide du prolétariat, puisque les victimes du génocide étaient ce qui fait la base du comunisme le prolétariat urbain.

              Dans les 100 millions de victimes dont ut parle il y a des communistes, des marxistes, des anarchistes etc....
              Demandes toi pourquoi......

              Les gens dont tu parles ne sont plus au parti communiste français, donc tu fais un procès qui se fera contre des chaises vides.

              Dis moi :
              si je décrète un mouvement que j’appelle parti monarchiste catholique, qui une fois arrivé au pouvoir décapiterait les rois, reines, nobles, leurs partisans ( stéphane bern compris ), les membres du clergé, intaure un régime d’assemblée de démocratie directe qui interdit la pratique de toute religion, est que que tu considèrerais mon mouvement comme monarchiste catholique ?

              Est ce que tu attribuais l’action de ce mouvement au monarchisme catholique ?

              Pourtant c’est ce que tu fais, toi comme beaucoup d’autre avec le communisme.... en amalgamant tout ce qui porte l’étiquette communiste.


            • Baasiste 2 2 septembre 2014 22:30

              si on compte toutes les fois où le capital s’est plus ou moins allié à des régimes adverses (qu’il a ensuite combattu bien souvent) comme le régime de hussein (aides des us à ce régime contre l’iran), d’Hitler, de mussolini, les talibans, l’urss (fournit par les us et allié avec les us, lors de la 2nd gm), la rév bolchevique (financé par wall street)... on a pas fini. c’est pas un argument. les us font des alliances de circonstance bien souvent. 


              le pcf est social-démocrate aujourd’hui, mais l’époque des khmers rouges, le pcf était plus ou moins stalinien et restait officiellement révolutionnaire.

              pol ,pot a exterminé les prolétaires voulant pas du régime comme staline a génocidé les prolétaires ukrainiens en partie, comme marx voulait avec engels le génocide des bretons-serbes, highlanders d’écosse,basques... prolétaires ou pas.

              pol pot, staline et co... ont appliqué une politique athéiste, égalitaire et collectiviste. vous parlez de dictature du prolétariat mais quand celui ci ne veut pas établir ou diriger cette dictature, faut bien que le parti prenne la relève.

            • Le Corbeau Magnifique Le Corbeau Magnifique 1er septembre 2014 20:43

              Très bon article... pour le18em siècle !

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