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Accueil du site > Tribune Libre > Place publique : une exécution en règle, sans surprise
#54 des Tendances

Place publique : une exécution en règle, sans surprise

Celles et ceux qui ne savaient pas que ce « parti politique » est verrouillé par de médiocres intrigants doivent se rendre à l’évidence.

C’est une bouse flattée par les merdiacrates qui adorent respirer du lisier.

 

Claire Nouvian a de gros défauts : sincérité, convictions, désintéressement.

Thomas Porcher a quitté ce radeau de la méduse dès mars 2019.

La coréférente nationale des Jeunes Place publique, Anaïta David, vient de faire de même.

 

«  Mes attentes en matière d’honnêteté et de courage ne sont pas compatibles avec la tambouille politique, explique Claire Nouvian. C’est moi qui suis inadaptée à ce milieu  ».

 

«  Nous savons tous, en théorie, que la politique fonctionne ainsi, selon un système féodal d’allégeances, mais en faire l’expérience pratique change tout. J’ai été dégoûtée par cette forme de prostitution de la démocratie qui a comme conséquence que les plus vils obtiennent les meilleurs postes  »

 

«  Une poignée d’intrigants formés à l’école du vice des partis politiques ont transformé Place publique en organe classique où règnent les luttes intestines et où les courtisans réussissent plus que les combattants  », regrette la présidente de l’association Bloom, une ONG de défense des océans.

 

Quant au PS, c’est «  une machine asséchée qui ne sait plus penser, qui n’est plus tendue par une quête idéologique, qui a sa violence propre. Mais ce n’était pas le seul problème […] Tout s’est dégradé lorsque, les sondages ne décollant pas, le PS a voulu sécuriser ses arrières en faisant intervenir Cazeneuve, Hollande et consorts  ».

 

«  La promesse d’Olivier Faure était de transformer le PS de l’intérieur pour atteindre un nouvel horizon  : la social-écologie. Mais cet objectif ne peut pas se réaliser avec ceux qui, au PS, y sont opposés et n’ont pas un microgramme de conviction écologique  »

 

« Mon erreur a été de revenir, de remettre une pièce dans la machine malgré ses défauts de mise en œuvre et les dysfonctionnements humains… Il y avait de belles personnes dans l'aventure, mais nous n'avons pas été en mesure de faire la peau à des pratiques politiques exécrables. Nous avons fait l'expérience de notre impuissance. On s'était souvent répété l'adage prêté à Mauroy, “quand les dégoûtés partent, il ne reste plus que les dégoûtants”, et c'est pour éviter cette fatalité politique que j'étais revenue », dénonce Claire Nouvian. Avant d'ajouter : « La campagne a appuyé sur nos faiblesses structurelles et fait tomber les derniers masques. C'est à la guerre que les natures profondes se révèlent. Je me suis fait des amis pour la vie, mais j'ai aussi identifié des individus que je ne veux plus croiser. Les arrivistes auront toujours, par définition, une longueur d'avance sur les autres puisqu'ils passent leurs journées à calculer leurs coups, puisqu'il n'y a rien d'autre dans leur horizon que leur carrière et la constitution d'une rente politique. »

 

« Un courtisan qui avait déjà fait fuir des gens formidables est venu m'entreprendre au cas où je déciderais de m'engager aux côtés d'Anne Hidalgo dans la campagne municipale. Comme il est prêt à tout pour devenir conseiller de Paris, il venait se vendre. Se vendre. Ni plus ni moins. Je me retrouvais en position d'acheter sa fidélité en échange d'une rente politique ».

 

« J'ai servi de caution écolo une fois, pas deux. Place publique a échoué, à mon sens, à mettre en place des garde-fous permettant de se prémunir de tels comportements. Je ne dis pas que c'est facile, mais il faut au moins que la culture de l'évitement du conflit n'ait pas le dessus sur celle du courage. Or l'exemplarité a fait défaut. La radicalité en politique, ce n'est pas pour demain. » Auprès de L'Obs, elle étrille également Raphaël Glucksmann : « Nous ne sommes pas faits du même bois, nous n'avons pas les mêmes points forts. Je dirais que les siens sont son intelligence et sa culture, les miens ma sensibilité et mon intégrité. Mes attentes en matière d'honnêteté et de courage ne sont pas compatibles avec la tambouille politique. » Et d'ajouter : « C'est moi qui suis inadaptée à ce milieu. »

 

« L'idée de ne pas passer la barre des 5 % a plongé l'appareil PS en crise de nerfs et ils se sont mis à faire n'importe quoi, à tout repeindre en rose, à imposer leur logo au détriment des autres, à trembler de peur dès que j'allais prendre la parole, puisque mon discours ne changeait pas d'un iota par rapport à la feuille de route idéologique et programmatique sur laquelle nous étions tombés d'accord. Cela mettait du coup en abyme les agissements incohérents de fin de campagne. »

 

« Bloom est très efficace. On agit avec méthode, stratégie, expertise. On obtient des victoires concrètes, mais elles sont sans cesse remises en cause par les lobbies. Il ne faut jamais baisser la garde. Je pense que nous avons changé d'ère, que l'irréversible est en marche et que pour faire face aux changements radicaux, impensables et impensés qui se présentent à nous, il aurait fallu se préparer culturellement depuis longtemps, éduquer nos enfants autrement, questionner nos préférences morales collectives et intégrer la coopération à nos schémas de pensée »

 

"On a été trustés par des petits arrivistes médiocres, terribles et infréquentables, des gens qui ont infiltré le système. Ils ont beau être jeunes, ce sont déjà des professionnels de la politique, et on n'a pas envie de cheminer à côté de ces gens-là", a-t-elle dit, manifestement dépitée.

 

Thomas Porcher, en désaccord avec la ligne du mouvement, quitte le parti en dénonçant une « liste d'apparatchiks, pas de citoyens »

 

En poste depuis un an, Anaïta David, la coréférente nationale des jeunes du parti, a annoncé sa démission hier. En cause, le fonctionnement interne et l’éloignement du NFP.

 

La coréférente nationale des Jeunes Place publique, Anaïta David, a annoncé il y a 3 jours sa démission. « J’ai eu envie de partir dès les négociations autour du NFP et le peu de bonne volonté de Place publique pour y participer », n « Mais désormais, on n’est plus dans les décisions du NFP, poursuit David. Il n’y a pas de consultations en interne : la position de Place publique, c’est celle de Glucksmann. Et puis ses interviews où il tape sur tous les chefs de partis, c’est désolant. Tout le monde a un peu oublié qu’on a été créé pour faire l’union de la gauche. »

 

Bref, le vide intersidéral entre les oreilles de glucksmann devient étourdissant.

Et celles et ceux qui lui reconnaissaient un qi supposé impressionnant n’en reviennent pas de s’être autant fourvoyé(e)s.

 

Et alors ? Me rétorquez vous …

Tous les partis fonctionnent comme ça !

Sans blague ?

Il faudrait donc accepter ce marécage,

qui infecte la politique avec des politiciens professionnels insincères,

refuser d’avoir des principes de vérité et de justice,

accepter le verrouillage de toutes les instances du pouvoir par des incapables obsédés par leur propre position sociale ?

 

Eh bien pas du tout.

 


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19 réactions à cet article    


  • leypanou 20 décembre 13:23

    Je pensais que Place Publique a été créée pour contrer LFI. Lors des Européennes, Raphaël fils de l’autre a été promu par les mms, juste après l’italo-kabyle, ce qui lui a fait atteindre les 14%, loin devant les 10% de LFI.

    Mais, tout le monde promeut la fable du dérèglement climatique, tout en étant incapable de dire ce que c’est un climat non déréglé.

    Bien sûr, tout le monde parle du changement climatique comme si un climat qui ne change pas existe.

    Bref, on a affaire à des rigolos.


    • suispersonne 20 décembre 15:05

      @leypanou
      Vous soulignez que place publique a fait 14%, « loin » devant lfi qui est monté de 6 à 10%. C’est votre avis.
      Votre opinion hostile à une notion de dérèglement climatique, dont tout un chacun parle à tout bout de champ, peut s’entendre, mais quels arguments avez vous pour la nier ?
      Bon courage.


    • Eric F Eric F 20 décembre 17:22

      @leypanou
      Le terme de ’’réchauffement’’ porte sur la hausse de la température moyenne (des continents, océans et l’atmosphère), mais cela n’empèche pas les périodes froides, donc il est récusé.

      Le terme ’’changement’’ est vague et ne désigne pas la nature et l’ampleur, donc il ne fait pas l’affaire.

      Le terme ’’dérèglement’’ est plus parlant, il désigne davantage le fait que les phénomènes extrêmes sont soit plus fréquents (nombre décennal de périodes de canicules dans nos contrées...), soit plus sévères (tempêtes, cyclones, réduction des glaciers...).

      La réalité de la tendance est mesurable, par contre les causes sont sujettes à débat, l’ alarmisme est le mot d’ordre de la communication officielle dans nos pays, avec des injonctions et contraintes dont s’exonère le reste du monde. Comme pour la crise sanitaire, les média sonnent le tocsin à toute volée.


    • leypanou 20 décembre 18:10

      @suispersonne
      un climat est un ensemble de données comme la température (la plus basse, la plus haute, la moyenne), la pluviosité, le vent, etc, etc.
      Il n’existe pas de référence comme quoi le climat en un endroit donné ce sont les données suivantes.
      Donc, parler de dérèglement climatique est une escroquerie sémantique.


    • suispersonne 20 décembre 18:35

      @leypanou

      Désolé, je ne suis pas assez intelligent pour comprendre vos propos.


      Voici le peu que j’ai compris sur le sujet.


      Le dérèglement climatique n’a rien à voir avec aucune définition théorique de la notion de climat, qui englobe une masse de données locales, globales, moyennes.

      Il est établi avec une évolution défavorable, qui empire, des conditions à la vie sur terre.

      Par exemple.

      Si la température de surface de l’océan augment de 1°,

      l’évaporation est multipliée par 7,

      ce qui donne 7 fois plus de précipitations quelque part,

      par exemple multiplication par 7 des précipitations reçues en moins de 2 jours sur la région de Valence.


    • leypanou 20 décembre 18:54

      @suispersonne
      Lisez Christian Gerondeau, en particulier le livre intitulé Le Climat par les Chiffres (qui ne coûte que 9,90€) et vous ne goberez plus la propagande de l’oligarchie.
      Il y a aussi Tatiana Ventôse qui a fait une video récemment : écoutez la.
      Si vous constatez que seuls ceux qui promeuvent la doxa ont droit à la parole dans les mms, il est temps que vous changez de « camp ».


    • suispersonne 21 décembre 11:27

      @leypanou
      Désolé de vous contredire, mais restons amis.
      Vous n’avez vraiment pas de références sérieuses.
      Christian Gérondeau est un menteur professionnel du même niveau intellectuel que le tocard allègre.
      Tatiana Ventôse est une harpie dénuée de toute consistance, qui est passée de la gôche à l’extrême droite, comme ce petit arriviste de kotarac.


    • leypanou 21 décembre 11:41

      @suispersonne
      si je vous réponds, c’est que je considère qu’échanger avec vous en vaut la peine.
      Il n’y a pas que Gérondeau s’il vous dérange, mais mes lectures sont en majorité en anglais.
      Acceptez seulement que le matraquage 24/7 de la doxa devrait déjà vous mettre la puce à l’oreille.
      Rappelez-vous du théâtre lors de l’acceptation du COP21 (ou 15) à Paris avec Fabius, Royal ainsi que d’autres.


    • suispersonne 21 décembre 11:56

      @leypanou
      Merci.
      Je crois plutôt difficile de vous convaincre de vous éloigner des pseudo démonstrations de ceux qui contestent les travaux du giec.
      Il faudrait pour cela des argumentations détaillées, point par point, pour parvenir à attirer votre attention sur la mauvaise foi des avocats de la partie adverse.
      Un exemple est celui qui prétend expliquer portnawak en retraçant le voyage de notre planète dans les bras de la voie lactée pendant des milliards d’années, ou cet autre qui évoque la période volcanique qu’a connue la planète, avec des températures mortelles.
      En revanche, votre méfiance de toute doxa est justifiée : les pouvoirs politiques instrumentalisent tout, sans aucune volonté de solutions réelles.


    • leypanou 21 décembre 12:07

      @suispersonne
      si vous êtes proche de LFI, dites leur qu’ils se trompent à mon avis sur leur position sur cette question, en particulier la décarbonation ne tient pas la route (pour être poli) car infaisable mais surtout cela coûte très cher.
      Et avec ça seulement, ils se décrédibilisent.
      A d’autres échanges.


    • suispersonne 21 décembre 14:05

      @leypanou
      Chez lfi il n’y a pas de « position », il y a du vrai débat et construction du consensus.
      C’est le seul endroit où cela existe.
      Je sais, ce n’est pas facile à piger, et encore moins à reconnaître par les gens qui ne recherchent jamais la vérité, mais seulement à avoir raison.
      Ni par les carriéristes insincères et qui ne montrent aucun signe de désintéressement : ils sont conduits dehors sans ménagement, que ce soit au sein des groupes d’action locaux, comme dans les instances.
      Tout fait établi est évalué en rapport avec les priorités de justice sociale qui nous rassemblent.
      Aucun vocable réducteur ne peut intervenir sans déroulement complet de sa signification et ses conséquences : « décarbonation » en est un exemple, foutoir aussi débile que la haine du « woke », ou la supercherie de shift project, parmi d’autres.
      SI vous croyez lfi assez débile pour se raccrocher à des modes du moment ou à des slogans volatiles, vous devriez vérifier.


    • SilentArrow 23 décembre 06:02

      @suispersonne
       

      Il faudrait pour cela des argumentations détaillées, point par point,
      pour parvenir à attirer votre attention sur la mauvaise foi des avocats de la partie adverse.

      L’inverse est aussi vrai ; il suffit d’argumentations détaillées, point par point, pour démontrer l’ineptie de cette théorie du réchauffement causé par le CO₂ anthropique.

      Je l’ai fait plusieurs fois sur ce site.

       
      1) Bon, pour commencer, la théorie de l’effet de serre du CO₂ prétend que les infrarouges du rayonnement thermique de la terre qui sont absorbés par les molécules de CO₂ sont ensuite réémises dans toutes les directions, donc pour moitié vers le sol, ce qui produit le réchauffement (en ralentissant le refroidissement).

      Je vous mets au défi de me trouver une seule publication scientifique faisant état de mesures de ce rayonnement réémis par le CO₂ en direction du sol.

      Et pour cause, car ce rayonnement n’existe pas.

      Une molécule de CO₂ qui a absorbé un photon infrarouge peut effectivement se désexciter en réémettant le même photon, mais ce n’est pas le seul mécanisme lui permettant de revenir à son état normal. La molécule peut se désexciter par ce qu’on appelle le canal cinétique, c’est à dire en se débarrassant de son excès d’énergie sous forme d’énergie cinétique moléculaire lors d’une collision avec une autre molécule de l’air.

      Le temps de vie moyen d’un état excité de la molécule de CO₂ étant beaucoup plus long que le temps moyen entre deux collisions moléculaires dans la basse atmosphère, toute l’énergie absorbée par le CO₂ se retrouve sous forme d’agitation moléculaire de l’air. Cet air légèrement réchauffé monte et ne réchauffe absolument pas le sol.

      Dans la haute atmosphère, par contre où l’air est raréfié et beaucoup plus froid, les collisions entre molécules sont plus rares et une molécule excitée par le rayonnement direct du soleil a le temps de réémettre un photon. Comme la moitié de ces photons réémis le sont en direction de l’espace, on peut dire que le CO₂ a un effet réfrigérant en haute altitude.

       

      2) Autre chose. Des mesures ont montré que le rayonnement thermique de la terre situé dans la bande d’absorption du CO₂ est entièrement absorbé sur une épaisseur d’air d’environ 10 m.

      Si on ajoute du CO₂, cette partie du rayonnement sera absorbée sur une épaisseur plus faible, mais la quantité d’énergie absorbée et restituée à l’air sous forme de chaleur sera exactement la même. Autrement dit, l’effet de serre du CO₂, même restreint à ce qui est expliqué ci-dessus, est saturé : on peut ajouter autant de CO₂ qu’on veut, cela ne changera rien au climat.

      Ce n’est pas comme si, à la concentration actuelle de CO₂, une partie de ce rayonnement parvenait à traverser l’atmosphère pour se perdre dans l’espace. Dans ce cas, en effet, en ajoutant du CO₂ on augmenterait cet effet de serre.

       

      3) La concentration de CO₂ atmosphérique est d’environ 420 ppm, soit 50% de plus que les 280 ppm d’avant l`ère industrielle. Durant le Carbonifère, elle était d’environ 1400 ppm, soit 400% de plus que ces 280 ppm et la température était de douce à tropicale. C’est à cette époque où il n’y avait pas encore de bactéries capables de digérer le bois que se sont formés la plupart des gisements de charbons. En bûlant du charbon, on restitue à l’atmosphère une partie du CO₂ qui lui a un jour appartenu et on contribue au verdissement de la terre.

      Où est passé tout ce CO₂, à part celui qui est piégé dans le charbon ? L’eau de mer est capable d’en dissoudre beaucoup, mais dans l’eau le CO₂ se combine au calcium pour former les carapaces de crustacés et se retrouver piégé dans les couches de calcaire. Là aussi, en chaffant ce calcaire pour le convertir en chaux, le cimenteries restituent du CO₂ à l’atmosphère.

       

      4) On voit donc que le CO₂ anthropique ne peut être responsable d’un réchauffement climatique de la planète. Ce qui est par contre vrai et facilement vérifiable, c’est que plus la température de l’eau augmente mois elle peut dissoudre de Co₂. Une augmentation de la température des océans conduit donc toujours à un rejet de CO₂ dissout dans l’atmosphère. On observe donc bien une corrélation entre le taux de CO₂ atmosphérique et la température de la planète mais il ne faut pas prendre l’effet pour la cause.

       

      5) Le climat n’a jamais été réglé ; il suit approximativement des cycles liés entre autre aux variations de l’orbite de la terre. On se trouve entre deux glaciations, la dernière s’étant terminée il y a environ 10 000 ans. Entre deux glaciation, la température augmente, ainsi que le niveau des océans. Cette augmentation n’est pas tout à fait régulière, il y a des période de ralentissement et d’autres d’accélération du réchauffement. Par exemple, il y a eu l’optimum médiéval, suivi du petit âge glaciaire. On peut difficilement attribuer l’optimum médiéval au CO₂ anthropique.

       

      6) Autres arguments. Il paraît que la NASA a détecté un réchauffement sur la Lune, Mars et d’autres planètes., là où on peut difficilement mettre en cause le CO₂ anthropique. J’attends la confirmation de ces mesures.

      Des spécialistes de la thermodynamique de l’atmosphère ont avancé d’autres arguments à l’encontre de cette théorie carbocentrique. Comme je n’ai pas étudié ces arguments en détail, je n’en parle que pour les signaler à votre curiosité.


    • Eric F Eric F 20 décembre 14:31

      Bon, en un mot, c’est le courant politique idéal de la ligne éditoriale des chaines publiques (France Info and co) : social-démocrate, écologiste, européiste, atlantiste, ukrainiste, ce qu’il faut de minoritarisme mondain.

      C’est ce courant que Macron rêvait d’intégrer dans sa grande coalition, mais le résultat des européennes semble avoir été un mirage, à gauche, le NFPisme est ébranlé mais pas mort, il n’y a qu’une pincée de dissidents non-alignés qui pourraient soutenir le gouvernement, dont la base restera la même que celle de Barnier, et la même dépendance à sa droite.


      • Com une outre 20 décembre 16:10

        Place Publique cherche à être macron-compatible, c’est donc sans avenir. En gros comme pour tout le PS, devenu un parti de centre droit de plus mais peint en rose. Un parti de bobos aisés qui pourrissent la vie des autres, comme leurs alliés Verts savent si bien le faire. Qu’ils disparaissent tous, sauf qu’il nous manque en France une génération qui prend la relève. Qui aujourd’hui se distingue dans cette mélasse politique ?


        • Eric F Eric F 20 décembre 17:04

          @Com une outre
          Rose pâle avec une touche de vert, compatible avec l’orange central.
          Mais la gauche, même modérée, ne veut pas servir de force d’appoint au macronisme en déroute. Si la proportionnelle est établie, ils espèrent tirer leur épingle du jeu le coup suivant.


        • Parrhesia Parrhesia 20 décembre 17:59

          « place publique » est, à peu-près comme tout le reste du marigot politique actuel : une micro tendance politique manipulée dans l’ombre à partir du Q.G. mondialisme lui-même

          dans le but de fractionner toujours plus le camembert électoral national.

          Et le système s’étend jusqu’au monde associatif subventionné depuis l’échelon national jusqu’aux échelons locaux pourvu qu’ils soient « bien pensants ».

          Et la plupart des bases militantes, « écolo » ou autres, n’y voient toujours rien !

          Ce n’est pas encore cette année que nous allons mettre fin au jeu des « chaises musicales » qui permet aux mêmes gugusses et à certaines de leurs familles de se maintenir au pouvoir des restes de la France quoi qu’il advienne.


          • Tolzan Tolzan 21 décembre 16:17

            Il était évident dès le départ que "place publique" n’est qu’une coquille vide, juste un tremplin destiné à propulser dans les médias un nouvel homme politique d’envergure nationale… le sauveur Glucksmann, fabriqué en quelques mois, omniprésent sur les plateaux télé dont il semblait avoir les clefs… Ainsi vont la manipulation des masses et la fabrique de l’opinion en 2024 !


            • L'apostilleur L’apostilleur 21 décembre 23:23

              Glucksmann un type pas très fiable. Il a été soutenu par Olivier Faure et ce qu’il restait du ps pour son élection aux européennes. A la présidentielle Glucksmann a décidé de ne soutenir aucun candidat de gauche.

              Pas très fair-play avec le ps le bobo 

              Glucksmann et sa place publique sans le ps quel avenir ?

              Même aux européennes il fera maigre maintenant... pas grave, ses discours écolos ressassés ne manqueront à personne, pour les banalités convenues Tondelier sait faire aussi bien. 


              • Matlemat Matlemat 23 décembre 01:58

                « Thomas Porcher a quitté ce radeau de la méduse dès mars 2019. »

                Il a fait encore parler de lui après la crise sanitaire en sortant des âneries plus grosse que lui sur la dette.

                Bonne analyse de Trouble Fait (sauf quand il parle du Venezuela).

                https://www.youtube.com/watch?v=KjYlg_XT_mA



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