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Politiquement direct

"Les gens réclament à cor et à cri la fin du politiquement correct. Nous avons enquêté. A 80 pour cent, ils en ont ras le bol ».

John Midgley, porte-parole du groupe Campagne Contre le Politiquement Correct (CAPC) en G-B

En France nous aimons bien nos gens d’État, ceux qui nous "gouvernent". Nos politiciens corrects.

Avec indulgence, nous observons d’en bas leurs façons juvéniles voire infantiles, leurs maîtresses vite promues, leurs ex à lunettes noires, leurs joggings, leurs menus plaisirs et leurs replâtrages. Avec délectation, nous bêtifions sur leurs rejetons sacralisés parfois même pas encore nés. Avec fascination, nous lorgnons sur papier glacé leurs innombrables résidences de solides pierres séculaires à l’ombre de nos clochers muets, leurs vacances au Maroc, leurs limousines et leurs jets privés. Avec compassion, nous les regardons tressauter dans les discothèques, bien éclatés dans leurs peaux retendues de quadrasses gaillardes (Morano) ou de quinquas émoustillés (DSK), fiers de leur totale différence.

Vous chantiez, ils sont bien aise, dansez PC maintenant.

Quelle chance ils ont, ce sont sûrement des princes, des princesses échappés d’Ali Baba et les 40 Voleurs ou des Mille et Une Nuits de brouillis.

Leurs livrées chamarrées scintillent tandis qu’ils se tiennent au garde à vous sur la calèche des dirigeants de sociétés obèses, des spéculateurs de pyramide ou de châteaux de cartes. Des livrées certes, mais commandées chez les plus grands faiseurs, plus belles encore que celles de leurs patrons.

Alors quelle différence. Avec nos lorgnettes à petit bout, nous ne la voyons pas. Nous les acclamons, votons pour leurs verroteries en vrais diamants et leur sourire refait chaque fois qu’on nous l’impose. Nous cherchons bien à voir les maîtres, derrière les rideaux tirés de la calèche qui galope vers on ne sait quelle falaise ou fadaise. Avant, c’était nous, à l’intérieur. Des fantômes ? Mais il faudrait exploser la vitre. Les laquais veillent. Ce serait cher payé, plus cher peut-être que ce qu’ils nous coûtent.

Nous ne ferons rien tant que nous pouvons rêver sans relâche sur les pages de Paris Match, Voici, Gala, Libération, Métro, Le Monde, le Figaro, le JDD... et leurs cousines en anglais, en allemand en espagnol... qui toutes, entre deux stars des variétés uniformes ou des diversités monotones, nous renseignent à gros jet continu sur le bonh€ur incessant de nos pelotons de serviteurs de l’État.

Nous savons par cœur ce qu’ils aiment et ce qu’ils n’aiment pas, ce qui est correct et ce qui ne l’est pas.

Dior, elles adorent, tout en or. Eux, ils raffolent plutôt des avions, des montres et des stylos. Ils aiment épouser sur contrat de méfiance les héritières en fleur mais pragmatiques de gros commerçants qui ne ressemblent guère à nos beaux brins de stagiaires de filles.

Elles, les politiciennes, apprécient les hommes qui ont de l’assise, de la brioche, du dégarni (capillaire seulement) et de l’entregent. Rien à voir avec nos grands gars à ventre plat (creux ?) des générations précaires. Elles aiment aussi pour montrer l’exemple, comme les Dupondt quand ils voyagent quelque part sur la planète, s’affubler de tenues exotiques (Marie-Ségolène), ou ado-décalées par rapport à leur âge mûr (Carla), ou achetées chez Tati avec pantoufles assorties (Martine), histoire de faire peuple.

Eux, ils ne se déguisent même plus en tendeurs de carottes. Le bâton leur suffit. Le verbe haut, la morale mondiale à la bouche, l’orthographe et le beau parler de Loire en berne, ils sont, dans leurs coûteuses guérites, les pasteurs incultes du troupeau tondu. Ils aiment votre honte, vos mea culpa et vos avachissements. A tout instant ils les réclament, les ordonnent, les suscitent. Entre eux, ils aiment rigoler. De vous.

Et s’avachir, pour de bon.

Ils goûtent le changement dans la continuité. Le changement c’est nous, de force. La continuité, c’est eux, tout doux.

Ce qu’ils n’aiment pas est encore plus fourni.

Ils ont en horreur les frontières, même entre "droite" et gauche", surtout entre public et privé, entre ce qui est à vous et ce qui leur revient, sauf celle de l’argent des maîtres qu’ils défendent à coups de matraque, de bombes, d’amendes, de jugements, d’insultes, d’écrits, de films et d’émissions. Protéger des importuns celui qui les a mis où ils sont avec votre argent, c’est leur fonction domestique. Ils l’assument.

Ils n’aiment pas vos villages ni vos villes, sauf pour en acquérir les terres et les anciens manoirs à prix d’ami. Ils haïssent vos potées, vos choucroutes, vos puddings, vos polentas et autres paellas ; enfin ce qu’il en reste, car ils détestent activement, les bougres. Ils n’aiment pas vos gniards qui les gonflent, qu’ils parquent et mixent et idiotifient sans souci. Ils n’aiment pas votre peau, jeune ou vieille, rose, perle ou pêche, sauf pour un usage provisoire et personnel, collectif de préférence. Ils exècrent vos chansons, vos binious, vos dessins, vos sculptures, votre tendance immémoriale à vouloir mener tout seul votre bourrique sur votre petit bonhomme de sentier à noisettes. Ils n’aiment pas vos dimanches ni vos lundis. Ils n’aiment pas le grand Meaulnes ni la princesse de Clèves. Ils n’aiment pas vos timidités, vos pudeurs, vos scrupules, le sang qui vous monte aux joues, les larmes aux yeux, quand on effarouche votre fibre intime ou l’héroïsme des ancêtres. Ils n’aiment pas votre passé, votre présent, votre avenir.

En résumé : ils s’aiment, eux. Ils ne nous aiment pas, nous.

Comme des enfants battus, nous persistons à les étudier, les prévenir, nous conformer à leurs desiderata. Encore un petit effort, peut-être gagnerons-nous leur bienveillante indifférence ? Ils jactent, nous nous taisons. Ils nous parlent comme des valets à leurs ânes. Nous rions. Ils s’achètent de lourdes gourmettes. Nous nous perçons le nombril, sans doute pour qu’ils les y accrochent. Ils ont de si belles maisons, dont nous payons l’entretien. Il paraît qu’elles sont à nous. Ils ont sans doute raison. Si vous étiez à leur place, vous en feriez autant, pas vrai ? D’ailleurs ils sont tous pareils.

Non monsieur.

Ils ne sont pas tous pareils.

Il y en a qui défraient la chronique. Allez savoir pourquoi certaines personnes dites « controversées » alors qu’elles ont au sommet de leur popularité, privilégient en politique le bien commun et la paix de leur conscience sur le petit intérêt personnel. Têtus, implacables, elles s’opposent au politiquement correct. Leur fonction revendiquée : gouverner pour et par leurs administrés, en suivant la loi. Leur ambition : la prospérité de ces administrés dont elles ont la responsabilité, le respect de leurs convictions, de leur honneur, de leur histoire et de leurs familles, la justice, la liberté de parler et d’entreprendre, autant que possible

Ho ho ! rirez-vous cyniques et usés, à force. On le connaît, le refrain. Voilà du discours pré-électoral parfaitement exotique, pas du vécu.

Exotique, je vous le concède, mais de l’exotisme européen enraciné dans la tradition. Et pas du vécu, du vivant.

Nous citerons Peter Davies, le maire résolu de Doncaster, ville anglaise du Yorkshire sud. On ne sait pas s’il aime ses administrés. En tout cas, tout anglais qu’il est, il aime le franc-parler. En perfide Albion on appelait cela jadis « le parler direct ». Pas de contorsions, pas de morale. Action.

Récemment élu (3 mois seulement) par vox populi et non par les membres du Conseil municipal, ancien instituteur de la vieille école, il a commencé son mandat en réduisant son propre salaire de 73,000 £ à 30,000 £, renonçant à la limousine et autres luxes. Il a éliminé les emplois municipaux parasitaires (consultant à la motivation pour la recherche d’emploi, consultant pour la cohésion dans la communauté, conseillers municipaux pléthoriques à12,590 £ par an, passés de 63 à 21, associatifs de jumelage en perpétuels voyages d’agrément...) ainsi que des fêtes de fierté futures subventionnées à la gloire de la sexualité, réalisant ainsi d’importantes économies et détaxant d’autant les contribuables et entrepreneurs locaux. Il a supprimé le mot « diversity » de la prose municipale.

« Le Gouvernement vient de disposer que les Tziganes doivent recevoir un traitement spécial, ce qui fâche tout le monde. Moi je veux que tous les citoyens de Doncaster soient traités à égalité. »

On le craint, des tories au Labour. Il est sans doute l’un des hommes les plus écoutés d’Angleterre. On l’invective sournoisement. Il n’en démord pas. Sa technique : parler droit, demander justice, montrer l’exemple, couper les branches mortes, être ce qu’il est et ce qu’il représente, revendiquer le droit naturel qui récompense le travail et la vertu, punit la délinquance.

Discours plus direct, tu meurs. Non, tu revis. Un « souffle d’air frais » comme dit son slogan de campagne malgré un goût à déplorer pour la voiture individuelle et toutes ses émanations.

Peter Davies n’est pas seul. Il y en a de plus audacieux encore au Royaume-Uni et dans le reste de l’Europe, mais ceux-là subissent l’omerta. Souvent du reste, ils ne cherchent pas spécialement à ce qu’on parle d’eux, surtout en France oligarchique, sous peine de subir le sort de préfets ou de professeurs réputés mais toutefois virés par caprice présidentiel. Ces maires-là ou députés courageux qui font ce qu’ils peuvent, pensent ce qu’ils disent et disent ce qu’ils pensent dans un système gangrené ont gagné le cœur de leurs administrés. Tout doucement ils s’imposent.

Le Daily Mail a déjà décidé que le discours de Davies constitue "le commencement de la fin du politiquement correct" et le signal que "la contre-révolution a commencé".

On se méfie bien sûr, si c’est le Daily Mail qui le dit. Mais c’est un début qui fera tache d’huile.

Ou nous périrons étouffés mais corrects.

 

Références

http://www.dailymail.co.uk/news/article-1209841/ROBERT-HARDMAN-The-PC-supermayor-slashed-public-spending-axed-pointless-jobs-banned-word-diversity.html

http://www.youtube.com/watch?v=FpXDw4Z79IE&feature=related

http://www.youtube.com/watch?v=0Qfy0ikDox8

http://www.youtube.com/watch?v=tgoFlqY8OiA

http://www.youtube.com/watch?v=x0gEQe_D7Fs

http://www.youtube.com/watch?v=MrbRd-viu0Y

http://www.youtube.com/watch?v=bcSKEHUH4E4&feature=related


Moyenne des avis sur cet article :  4.78/5   (18 votes)




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12 réactions à cet article    


  • jakback jakback 5 septembre 2009 12:23

    J’ai fait un rêve :
    Que chacun dise tout haut ce qu’il pense tout bas, avec ses mots a lui, sans censure, ni sanction.
    La vérité est un cauchemar, le contrôle et l’interdit sont lois.
    Ou seraient aujourd’hui, Desproges, Coluche, en prison, éreintés sous les procès, les amendes colossales, l’opprobre et la vindicte.
    Beaucoup sur AVX crient la démocratie est en danger , que nenni elle est morte !


    • lisca lisca 5 septembre 2009 18:21

      Il y a une « démocratie » parallèle qui s’est instaurée sur le net cependant. On peut encore se renseigner sur à peu près tout. C’est un bon début.
      Ce globalisme ne tient pas la route, il va s’effondrer.
      Quand ? Préparons-nous.
      « J’ai fait un rêve :
      Que chacun dise tout haut ce qu’il pense tout bas, avec ses mots a lui, sans censure, ni sanction. »
      On peut déjà essayer dans son coin. A coeur vaillant, rien d’impossible. Bien sûr il nous faudrait reconquérir les médias squattés.Mais tout viendra en son temps.


    • Merlin 5 septembre 2009 15:05

      Même les lecteurs du Monde (!) en ont assez de cette chape de plomb ...

      http://www.lemonde.fr/archives/article/2009/09/04/agacements-par-veronique-maurus_1235877_0.html


      • lisca lisca 6 septembre 2009 09:02

        Merci pour le lien vers le Monde et la citation de Montaigne qu’on y trouve.
        La conclusion de la journaliste : « l’humanisme, jugé naïf, n’est plus de saison. Faut-il pour autant renoncer à défendre ses valeurs ? »
        « L’humanisme » selon le Monde, c’est bien sûr le « politiquement correct » devenu carrément criminel, à protéger les pires salopards. Dans une récente affaire relatée par la Voix du Nord, nous avons pu savoir le patronyme d’une victime de pédophile âgée de sept ans, bien de chez nous, mais pas celui du pédophile pourtant majeur. La mère de la victime qui est allée corriger elle-même l’abuseur de son enfant (impuni sous des prétextes non admis en droit : il est bête, il a souffert à cause de quelqu’un d’autre, il est probablement d’origine extra-européenne) sans lui laisser de séquelle physique, a été arrêtée pendant 48 heures ainsi que le frère de 15 ans de la victime, et ils font l’objet d’une plainte du parquet. L’abuseur est lui fort bien traité dans une maison de soins, très coûteuse au peuple rebaptisé « contribuables » et uniquement considéré comme tel.
        Une autre afffaire concerne une gamine de 14 ans paumée, carrément pêchée dans son camping et sciemment, par un ex sans papiers aidé de son cousin, emmenée en voiture à l’hôtel, relâchée dans un quartier de prostituées, disparue 5 jours.
        Comme, apparemment, le sans papiers ne l’a pas violée, il n’a rien eu que des compliments. L’enlèvement, la souffrance de la famille, la mobilisation des services de police et de justice, l’innocence de la mineure de moins de 15 ans passent à la trappe.
        Vous comprenez c’est un ex sans papiers, un saint ! Légalisé sans notre accord, il sera à jamais un ex sans papiers, intouchable !
        Il y a aussi le fait qu’il aurait pu faire comme ils font souvent, et a eu peur des conséquences. Alors quel héros ! Tapis rouge.
        Le problème, s’il s’était appelé Jean Bonhomme, né de Marcel Bonhomme et de Mimi Dupont, contribuables et contribués indigènes : il serait en prison, traité de sale type et de vieux salaud, cogné par les autres prisonniers.
        Que valent notre fillette de 14 ans, notre poète de sept ans, à côté d’un saint-casse-pied ?
        Rien, a dit le juge.Le saint-casse-pied fait baisser les salaires, contribue à démoraliser et intimider Jean Bonhomme qui n’ose plus se rebiffer contre celui qui l’a fait venir, fait travailler les tribunaux : c’est bon, ça.


      • Loan 5 septembre 2009 16:52

        DAVIES PRESIDENT. On peut toujours rêver...


        • lisca lisca 5 septembre 2009 18:15

          Sans aller jusque là (présidence), le fait qu’on parle de M. Davies dans les médias de grande diffusion, alors qu’on passe sous silence ou qu’on entrave toute intiative ou discours du BNP, tout aussi ou encore plus franc de collier, relève probablement d’une volonté de préparation des esprits à la suppression de toutes sortes d’emplois du secteur tertiaire, et pas seulement les emplois inutiles. Le politiquement correct, institué par ceux-là même qui prédisent sa fin prochaine, va subir quelques modifs mais pas fondamentales.
          Pas trop d’illusions : pour le pouvoir en place, il faut trouver une alternative crédible au BNP, tout en abandonnant par force la politique « correcte » mais ruineuse, donc impossible une fois la ruine consommée, et en gardant les rênes.
          M. Davies est un bon maire qui se comporte normalement pour une fois. Il n’offre pas trop d’obstacle à une mainmise et un détournement puisque isolé. De toutes façons, il ne décide pas des vrais problèmes qui accablent la GB ou la France : l’afflux massif et superflu (pas pour les grands patrons) de populations inadaptées et leur installation concurrentielle sur le sol européen déjà très densément peuplé. L’Angleterre est le pays le plus densément peuplé du monde après la Chine et l’Inde, sans compter Gaza.


        • Massaliote 5 septembre 2009 16:56

          Nous avons Vanneste et, qui ?


          • lisca lisca 5 septembre 2009 18:16

            Massaliote
            Bonjour !
            Nous avons du monde, patience.


          • monbula 6 septembre 2009 00:11

            Surtout que le correctement poli cache les mensonges, leurs bassesses, leurs regards hautains, leurs incompétences, leurs faiblesses d’esprit, leurs couardises, leur manque d’imagination et leur savoir faire à garder leurs places chaudes, etc,etc,etc....

            Je suis méchant . NA


            • Christoff_M Christoff_M 6 septembre 2009 01:20

              merci à Zemour, Naulleau et autres d’exister, et quelques uns ici, sinon nous aurions l’impression terrible de vivre le meilleur des mondes qui est la pire chose qui puisse arriver à l’humanité, le nivellement et la pensée molle, la fin de la culture française et de l’esprit critique à la Zadig, qui nous a fait connaitre partout dans le monde bien plus que les névrosés du nombril ou psychologisants consultants qui sont désignés un peu facilement maintenant par une clique de nantis, propres à idolatrer un nouveau Raspoutine !!


              • Christoff_M Christoff_M 6 septembre 2009 01:30

                vu les audiences et les tirages de journaux « people » en France, je ne suis pas sur que le politiquement correct ne soit pas tres à la mode dans notre beau pays !!

                Nicolas Sarkozy et Carla ne sont pas la par hasard !!


                • lisca lisca 6 septembre 2009 13:09

                  La presse britannique, donc le prêt à penser et le salmigondis des « valeurs » ne sont pas contrôlés par les Britanniques. Ces derniers consomment, s’imbibent, suivent, bêlent, c’est tout. En ce moment, ils se rebiffent un peu.

                  Chiffres pour 2001 :

                  Le Daily Mail dirigé par Guy Zitter avait alors 2 millions et demi de lecteurs quotidiennement, et jusqu’à 6 millions peut-être le dimanche. C’était le journal le plus lu en moyenne.

                  Au total, chaque semaine, plus de 85 millions d’exemplaires des journaux britanniques se sont vendus cette année-là. Ils étaient contrôlés par Richard Desmond, Rupert Murdoch, Guy Zitter, Conrad Black et Barbara Amiel qui suivent tous la même ligne idéologique du politiquement correct sociétal, à savoir multiculturalisme et multisexualisme, préférence au tiers-monde tant qu’il sert au mélangisme uk. Les revues de pipoleries comparables à Gala, Voici et autres « Sun » (propriétaire : Murdoch) font partie de leurs grands groupes.

                  Jenny Abramsky est la directrice de la BBC, même tendance.

                  Si les rédacteurs et correcteurs ne sont pas d’accord avec nous, ils devront le manifester une fois leur emploi quitté. La paie stoppe avec la propriété. C’est moi le responsable du bulletin de salaire. Par conséquent, c’est moi qui détermine en dernière analyse ce que dit le journal et comment il doit être dirigé. » a dit Conrad Black, « troisième magnat du monde pour la presse de grande diffusion” en G-B, entre autres le groupe Telegraph et le Hollinger International, selon le Media Guardian.

                  « A la base, il veut conquérir le monde » Sumner Redstone, magnat américain d’AOL, parlant de Rupert Murdoch.

                  Le « Cultural Diversity Network » (réseau pour la diversité), a été lancé le Octobre 2000 en G-B. IIl inclut ITV Network Centre, Carlton Communications plc, le Granada plc, la BBC, Channels 4 et 5, BSkyB, ITN, la Independent Television Commission, la Royal Television Society, BAFTA, le Film Council et le Broadcasting Standards Commission, Carlton et Granda.

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