Pourquoi les gens de tous bords politiques ne peuvent-ils changer le monde ?
Tôt ou tard, le désir de changer le monde, par tout ce que vous aurez déjà vu ou entendu, par celui des gens de pouvoir, de partis, de l’idéologie, de l’économie, ou moyens médiatiques, d’être bien vus, suivis, applaudis, adulés, vous semblera un jour ou l’autre complètement vain, au regard de la grande crise morale qui ébranle peu à peu le monde moderne.
Un peu partout dans le monde, malgré leur bonne volonté, nos élites, les grands de ce monde, ne savent plus comment faire pour nous rassurer. Elles utilisent toutes sortes de méthodes et autres procédés de plus, hélas rien n’y fait, c’est la fuite en avant, le monde tourne en rond, et s’en inquiète. A ces problèmes qui s’accumulent sans cesse : crise du pétrole, crise financière, crise énergétique, crise climatique, crise alimentaire, crise sociale, crise du politique, crise du religieux, crise des institutions, banques, pays, sociétés, professions et autres nous entraînent de plus en plus au bord de la faillite…
Plus surprenant, l’équilibre de notre climat s’en trouve de plus en plus chamboulé par l’entêtement d’hommes et de femmes ne voulant absolument pas changer leur mode de vie actuel, surtout véhiculé par les premiers de ce monde. L’homme s’interroge, travaille sans relâche, sous pression, sans guère mieux trouver une meilleure qualité de vie ou dignité humaine en retour, sans réel repos de l’être pour lui et les siens, en s’oubliant même comme les autres, du matin jusqu’au soir, en perdant même la santé. Formules et méthodes nouvelles, plus brutales, plus expéditives et après des mois, des années, des générations d’hommes, de discours ou d’efforts infructueux, les citoyens finissent peu à peu par perdre le sens de la vie ou le sens du travail en société, le respect même de celui qui travaille pour eux, qui les emploie, ou qui les gouverne de haut, mais ça peut se comprendre… Le moral n’y est plus, tant de familles éclatées, déchirées, formatées par les vaines valeurs en cours, chacun pour soi, sauve qui peut… que les peuples en finissent inévitablement par perdre patience, respect, estime, et confiance en leurs élites, aux institutions défaillantes, ce n’est plus guère l’esprit de charité ou le souci du prochain comme auparavant, et beaucoup finissent par se demander intérieurement : mais qu’est-ce qui a bien pu nous induire en erreur, à nous conduire à cette impasse, à qui la faute ? Alors, nous nous mettons tous à chercher cet unique coupable dans les livres, avant tout dans les autres !
Le capitalisme ? Le socialisme ? Le libéralisme ? L’athéisme ? La religion ? La science ? La tradition ? L’éducation ? La télévision ? La presse ? La culture ? Le savoir ? L’individualisme ? Le collectivisme ? Ou alors peut-être un peu de tout cela à la fois ? Y avez-vous déjà pensé avec eux ? Bien sûr, la plupart du temps, nous préférons suivre la voix de l’accusateur, comme dans ce film que vous avez peut-être vu, L’Associé du diable, celui qui ne recherche qu’à exalter encore et encore la vanité de l’homme moderne, en rejetant souvent le blâme sur autrui, le parti voisin, le pays voisin, l’idéologie voisine, ou selon vos goûts personnels ou plus raffinés à choisir le parti qui incarnera toujours à vos yeux le parti du bien et non celui du malin dans l’histoire, et quand je parle du malin en ces termes, je fais mention à l’être ou corps vital de tout à chacun, ou dit, autrement, cette partie la plus indécrottable ou Bête de l’homme, pas étonnant d’ailleurs que le monde ne puisse toujours pas changer par le seul biais du discours politique, marchand et de surface. Cette partie de vous ou de moi, qui veut souvent s’enorgueillir de produire sans cesse tant de vaines œuvres modernes supplémentaires, en voulant souvent régner en maître absolu en nous-mêmes comme pareillement extérieurement dans les autres un peu partout.
Voici une parabole sur laquelle les gens de toutes tendances devraient méditer : des gens de tous bords politiques, sont assis dans un car, roulant à très vive allure, sirène hurlante, feu rouge après rouge, le car traverse des villes de plus en plus en piteux état. Ils voient des gens de plus en plus désabusés, mécontents et en colère, on se demande d’ailleurs pourquoi. Mais les volets du car sont baissés. Bizarrement il fait même trop chaud ou froid dehors, mais peu importe, ils ont la climatisation, la vie est belle, ils ont le confort, des joueurs de flûtes aussi, ils n’ont plus la moindre idée de la manière dont les gens peuvent vivre au dehors. Toute la durée de leur voyage se passe en chamailleries, afin de décider qui disposera prochainement de la meilleure place, qui sera applaudi, qui aura tous les honneurs, qui sera le plus courtisé, oh bien sûr de temps en temps le car s’arrête, pour faire la pause, pour le divertissement ou le repas, préparer les belles cérémonies et vaines réceptions de plus, et qu’est-ce que nous entendons alors : "Oh ma très chère amie, vous avez vu tous ces pauvres malheureux que nous avons pu voir à la télévision, comme c’est bien triste, ils n’ont plus de quoi manger, sinon comment trouvez-vous ma robe ?" "Oh super, très chic ma chère, magnifique, comme elle vous va si bien, vous êtes si élégante avec, ça me rappelle une robe que j’ai failli mettre l’autre jour pour un bal masqué, sinon comme nous sommes très contents de faire partie du Parti mon mari et moi". Et puis après ça remontent dans le car, et ils continuent ainsi leur petit manège et leurs chamailleries jusqu’au prochain arrêt, jusqu’à la fin du voyage.
Dommage d’ailleurs que la plupart des gens qui préfèrent s’identifier à vie à telle ou telle pensée politique ne prennent jamais le temps de méditer cette observation ou vérité toute simple : plus ils rechercheront à en faire, plus nous les pousserons à se croire importants, indispensables, et plus tous leurs efforts de changement n’aboutiront à rien, ils ne feront qu’empirer les choses. Comme ceux qui les ont précédés, je peux bien sûr me tromper, mais c’est souvent la même rengaine, comme lorsqu’on essaie d’éteindre le feu avec les mêmes incendiaires, les mêmes procédés ressassés encore et encore dans l’esprit des hommes, qui d’ailleurs ne solutionnent jamais rien… Le monde politique, un univers impitoyable qui ne change toujours pas ?
C’est d’ailleurs souvent pour le changement qu’ils veulent gouverner, imposer leurs idées aux autres, réformer une société, le contraire nous aurait bien sûr étonné, se prétendant même être plus indispensables à l’homme que le soleil lui-même se trouvant au zénith ! Il est à craindre, hélas, que la seule conduite des gens de parti ne puisse vraiment suffire, et cela en voulant souvent passer par des petits exploits individuels ou bêtement collectifs en politique, par la vaine prétention idéologique des uns sur les autres : chacun son tour, tournez manège, ou en s’enivrant soir après soir d’entendre le grand réformateur du moment à l’antenne, qui nous dit à chaque fois :
"Moi je suis celui que tout le monde devrait suivre, moi, une fois élu, je vais faire ceci ou cela, moi j’ai les moyens, moi je ne suis pas comme les autres, c’est moi le plus fort ou le plus malin, qui va vous en mettre plein la vue, c’est moi le grand dirigeant que tout le monde attendait depuis si longtemps, c’est moi le nouveau petit chef fier et arrogant de ma tribu". Un peu d’ailleurs comme nos ancêtres les Gaulois qu’en pensent les Druides au pied du vieil arbre sacré, ce genre de conduite est-elle bien exemplaire ?
Bien évidemment qui s’élève de trop, n’est jamais rabaissé aussitôt dans les petits ou grands partis. A se demander si c’est bien préférable de vouloir mettre souvent ce genre de comportement à la tête de nos institutions défaillantes. La tempérance, une vertu cardinale qui fait cruellement défaut aux hommes de notre temps, lorsqu’ils ne trouvent plus guère le temps de se réformer intérieurement. A quoi bon réformer une société à grands frais supplémentaires au contribuable, pire dans l’entêtement ou l’aveuglement le plus total sur votre action, si vous êtes convaincu que vous avez toujours raison et que les autres ont tort !
Cela cher Madame, Monsieur, ce n’est pas du tout réformer une société avec meilleur esprit, meilleure conduite, mais vouloir plutôt la gouverner de haut, selon votre bon plaisir, vos humeurs, vos envies, vos impatiences, vos idées fixes, selon les mêmes méthodes employées de nos jours, tout juste une plus grande condescendance à l’égard de vos administrés, de vos concitoyens que vous n’appréciez guère sans doute pour leur simplicité ou sobriété de vie, lorsque parfois vous n’avez plus la grande cote, contrairement à votre propre train de vie affiché, sans doute bien plus dépensier qu’une centaine de familles pauvres et modestes réunies à la fois, amis notables puissants et riches à vos côtés, vivant peut-être pareillement et bien confortablement comme vous dans l’opulence matérielle.
Quelle grande mascarade que le désolant spectacle politique français de nos jours, est-ce la même chose dans d’autres pays, j’espère que non ! Ne soyez donc pas si fiers de votre action médiatique, de tous ces gens bien complaisants à vos côtés, car votre action c’est quoi, quand dans le même temps vous aimez bien vous perdre dans les vaines valeurs actuelles, pour mieux jouer aux rois du pétrole, faire la fête, le malin, entre gens de bonne compagnie ou réputation… Vous aimez la mondanité et les caméras à vos côtés, très important pour l’ego du parti, du politicien de se sentir souvent bien admiré par des gens qui vous ressemblent, et qui vous imitent sans doute dans votre rapport à l’autre, vous me rappelez tant de personnes.
Mais comment peut-on encore suivre de nos jours, des idées, des partis, des ego qui ne recherchent continuellement qu’à s’attribuer à eux seuls tout ce qui pourrait sortir de bon ou de bien dans une société ? Pas étonnant alors que les hommes ne recherchent plus guère à s’améliorer, si seulement nous pouvions être plus ouverts et inspirés à vivre plus courageusement et autrement… Et puis comment voulez-vous que le politique puisse vraiment se réformer, changer les mentalités, si à chaque fois que l’homme commence à s’en interroger sur ses blocages, le tout politique lui répond à chaque fois : "Non pas touche à la sacro-sainte image du politique, de peur que quelque chose de plus grave n’arrive plus tôt à l’homme…"
"C’est juste, nous disent-ils, que nous n’en avons pas encore assez fait en politique". Foutaises oui, mais jusqu’à quelle calamité de plus les grands de ce monde cesseront-ils d’enivrer les habitants de la terre. Si seulement la croissance pouvait être plus équitable, bénéficier généreusement à tous, que nous puissions également atteindre un plus haut degré d’humanité, de tempérance, de sobriété, de conscience, de compréhension, mais en ne recherchant pas continuellement et dangereusement à faire davantage commerce de Corps et d’Âmes à la fois dans le monde ! Mais quelle grande folie humaine, que de vouloir nuire plus longtemps à l’équilibre du climat pour gagner je ne sais quel prix ou gain de plus, et puis après, si pour voir davantage d’hommes ou de familles se lamenter demain en bourse ?
Dans un monde qui en perd de plus en plus la boussole, le souci du prochain, et la banquise prochainement, il faudrait toujours choisir celui qui nous serait tellement recommandé de suivre à l’antenne. Ce qui, vous avouerez, n’est pas bien nouveau à entendre, que tout un chacun pourrait toucher du doigt, pour mieux nous rassurer, de ne pas faire fausse route. Par conséquent, quelqu’un de politiquement correct, fortement même étiqueté à suivre pour celui qui hésite encore en son Âme et Conscience… Cela ne vous rappelle rien, lorsque par exemple on vous demande d’être de plus en plus en accord avec toutes ces méthodes brutales et obligatoires qui se mettent un peu partout en place. Car sinon c’est la porte, ou alors la mise au placard si vous n’êtes pas content d’être traité de la sorte, ou par le biais d’un chantage de plus, par ceux qui vous emploient ou vous gouvernent… Vous constatez que ce genre de comportement se répand comme tache d’huile dans la société.
A les entendre de nouveau, pour remédier à tous les problèmes de notre temps, il faudrait encore éduquer les enfants du monde à vivre comme nous autres dans les pays riches, à suivre celui qui incarnerait le mieux, ou trait pour trait à l’homme moderne, l’homme nouveau, fier et arrogant, pressé ou agité, qui les guiderait, qui nous conduirait sans doute toujours vers le salut, qui donnerait paraît-il à l’homme un meilleur sens à sa vie, et puis par-dessus tout de la sécurité en plus, en mal de garde-fou, le réformateur idéal, quelqu’un qui nous serait proche, par le téléviseur dernier cri, comme pour nous éclairer ou nous divertir tout le temps, comme par exemple avec la lumière d’un astre vis-à-vis de l’homme, toujours bien évidemment pour qu’on parle de lui, à chaque minute… Et puis après, si seulement ce genre de comportement pouvait nous éviter le pire, à y réfléchir, j’ai bien peur qu’une certaine catégorie de personnes dans ce monde fassent totalement fausse route, mais ça je ne vous l’apprends pas, vous le pressentez déjà fortement en vous. Oh bien sûr les gens de partis les plus en vues ne vous diront jamais cela les premiers, cela va à l’encontre des idées reçues.
Dommage d’ailleurs qu’une fois élus, ils n’en font toujours qu’à leur tête, en s’en mettant parfois plein les poches au passage… Ils en viennent même à penser ou à croire qu’une société qui change c’est bien entendu une personne qui vote à vie pour eux, souvent d’ailleurs très flatteur pour l’électorat, traitant même la plupart du temps leurs opposants ou contradicteurs politiques ou apolitiques comme des hommes ou des femmes n’étant pas du tout à la hauteur de leur si exemplaire conduite en société. Il est vrai qu’ils ne se donneront guère la peine de venir manger le même plat de lentilles chez vous pendant plusieurs mois, à moins bien sûr d’avoir beaucoup de caméras, photographes ou journalistes à leurs côtés.
Tant, bien sûr, que cela ne nuise pas trop à leur image, se voir en bonne compagnie, gens précieux d’un bord politique ou d‘un autre, peu leur importe à qui ils serrent la main, si c’est pour être toujours bien montrés ou entendus les premiers, et ça prétend réformer son monde, mais laissez-moi en douter. Pour l’instant ce qu’ils nomment des "réformes", n’équivaut qu’à changer les meubles de place, à faire du bruit pour rien, à brasser de l’air. Si vous étiez un politicien, si vouliez être élu, ou étiez un militant pur et dur, ou très endoctriné par le message politique de votre parti, et vouliez toujours faire élire votre favori, comment verriez-vous les gens, les autres, les riches, les pauvres, l’homme, les hommes ou femmes apolitiques qui ne pensent ou ne se conduisent pas exactement comme vous, quels sentiments domineraient principalement votre intérêt pour eux ?
Je me demande sincèrement s’il faut plutôt en rire ou en pleurer, s’en moquer ou s’en désoler, lorsqu’ils veulent continuellement faire la une de leur propre société, et puis après magiquement tout ira mieux avec eux. Malheureusement lorsque des gens de parti passent trop à l’action, que se passe-t-il ensuite ? Eh bien, ils déçoivent forcément, ils ne font que remplacer un arbitraire par un autre, une propagande par une autre, une ligne éditoriale par une autre, une injustice par une autre, un pouvoir politique par un autre, s’imaginant même qu’ils seront toujours bien jugés ainsi ! Ce n’est pas non plus parce que tout un parti dit de vous que vous êtes un grand réformateur, que vous l’êtes systématiquement pour une société.
Votre action à la tête de votre clan, tout juste de l’interventionnisme de plus, qui n’est d’ailleurs pas très éloigné de l’autoritarisme pur et dur que vous vous vantez tellement de combattre au quotidien, certes moins reconnu publiquement, mais tout aussi reconnaissable à de l’autoritarisme politique, qu’on veuille ou non l’admettre ! Bien sûr quelque chose de rarement dénoncé par les gens qui vous suivent. En recherchant même trop à en faire, vous en susciterez même davantage le scandale, et le rejet du politique, des institutions, pire encore des valeurs que vous vous vantez tellement d’incarner ou de défendre les premiers dans une société, dommage que la plupart des gens qui vous suivent ne vous permettent même plus de prendre le temps de comprendre cela.
Allez, allez, jetez les masques, vous avancez simplement en étant plus masqués, plus interventionnistes que d’autres, sur les sujets qui vous tiennent le plus à cœur de parler. Quand obligerez-vous tout à chacun à vous saluer à chaque passage devant eux, vous aimez tant voir les autres vous cirer les pompes, se coucher ou se taire devant vous, vous faire des louanges comme les gens qui vous mettent sans cesse en avant à la télévision, alors bien sûr plus personne n’ose vous prendre en défaut. Et puis quand vous ne savez plus quoi faire de mieux, alors on prend le téléphone, on préfère aussi piquer sa petite colère, taper du poing sur la table lorsqu’on vous pose des questions trop dérangeantes ! A quand vos propres chaînes de télévision, comme ailleurs, au risque même de rentrer davantage en conflit avec d’autres ?
Vaine mentalité des gens de parti, poussant continuellement les hommes à se juger, à se déchirer, ou à se flatter entre eux, à ne plus voir objectivement et au fil du temps ce qui passe, le genre de personnes qu’ils viennent de mettre en place, les mentalités qui n’évoluent guère mieux que j’en finirais par me demander : "Mais jusqu’à quand cela peut-il encore durer ainsi" ? Il est à espérer, et je le souhaite de tout cœur, pour l’homme, pour nos enfants que cela ne soit pas toujours le cas, cela me rappelle une petite histoire. Un jour une petite fille dit à un petit garçon à l’école :
"Tu es de ce parti comme mon Papa et ma Maman ? - Non , répond-il, je grandis hélas comme toi dans une autre abomination politique à la maison !"
Mais rassurez-vous vous n’êtes pas les seuls à avoir reçu une excellente éducation, si seulement les gens de tous partis pouvaient d’abord changer avant de vouloir vainement changer les autres, le monde, si seulement le nationalisme politique ou économique pouvait être la seule cause ou la seule racine de tous les conflits internationaux qui ont débouché sur plusieurs guerres mondiales.
Je pense que l’international économique marchand y contribuera beaucoup pour la prochaine, malheureusement cette concurrence de plus en plus féroce et bête des hommes dans le tout commerce, et autres pays supplémentaires, dans l’outil de production, la consommation de masse, pour les plans d’un monde plus heureux paraît-il, d’acheteurs ou de marchands, ne rendra pas toujours le monde meilleur, plus rassurant, plus confiant, plus différent, bien au contraire, la seule croissance matérielle des grands pays riches n’embellira pas toujours le monde, ne réjouira pas toujours le cœur et l’esprit des hommes, ne remplira pas toujours les estomacs, aux famines de plus.
Vous aimez tant l’idée de mettre en lumière des mesures de plus en plus liberticides et mises en place un peu partout dans le monde, si vous étiez d’origine allemande, hongroise ou italienne, française, que vous viviez également dans un autre pays au bord de la faillite, du chaos économique, climatique, aimeriez-vous également qu’un jour on vous cause davantage de soucis, que l’on vous mette des bâtons dans les roues ? Oh bien sûr vous travaillez beaucoup, ne supportez aussi aucunement l’erreur chez les autres, comme chez vous, orgueil, vanité, colère, envie, impatience, ambition, avidité, et puis est-ce bien raisonnable de vouloir toujours acquérir, posséder, des richesses plus que nécessaire, dans le luxe, le faste, et l’opulence alors que tant d’hommes n’ont plus de quoi boire ou manger de nos jours, oh bien sûr ce n’est jamais de votre faute, si vous poussez même davantage le désir de revanche politique ou idéologique dans l’esprit des hommes. Hélas tout homme, tout parti politique qui tend à persister dans ses erreurs, se renforce même lorsque les conséquences deviennent catastrophiques se rapproche du déni de plus en plus grand de la réalité. Et si le politique devenait tout puissant encore, croyez-vous vraiment qu’il puisse supprimer tous les problèmes de ce monde à la fois ?
Faut-il vraiment en attendre et en réclamer un autre de plus malin encore en matière de communication politique à croire que oui, pour nos précieuses élites qui n’ont toujours rien compris, à ce qui est en train de se produire. Pour mieux nous endoctriner, manipuler, tromper, rabaisser, indigner, écraser, stigmatiser, offenser, humilier, insulter, pire faire chanter sournoisement tous ceux qui se mettraient trop en travers de leur chemin. Regardez-les se pavaner sur la scène, sur les diverses tribunes de ce monde, les sujets brûlants ne manquent pas pour se montrer. Pour comprendre le malheur des hommes, il faut encore l’avoir éprouvé durement. Que savent-ils des vicissitudes humaines, ceux qui gouvernent le monde qui se trouvent bien à l’abri du danger ? Connaissent-ils la faim ? La soif ? la pauvreté ? L’épreuve ? La maladie ? L’handicap ? Le rejet ? La malchance ? L’humiliation ? Les vexations ? L’injustice ? Ont-ils bien vécu de la sorte en servitude comme vivent ceux dont ils s’arrogent tant le droit de gouverner brutalement le destin ?
Il y aurait tant à dire sur l’ego des grands de ce monde sur la "psychologie des gens de parti" il faut bien sûr que tout change, mais uniquement en passant par eux, par leur vocabulaire, à tour de rôle, afin que rien ne change vraiment. S’imaginant même pouvoir toujours conduire les hommes, au-dessus des étoiles les plus hautes de l’univers, si c’était possible. Voulant tant se faire l’égal des Dieux, au risque même d’y perdre davantage votre Âme avec eux, marchands de tapis et autres, faux porteurs de lumière et les voilà tous tombés du ciel, ministres et astres bien déclinants d’un monde moderne de plus en plus désenchanté.
Achetez, achetez, et puis vendez, vendez-vous, car il est bien évidemment toujours question d’argent, ou de vaine réussite humaine dans leur si précieux monde ! Les affrontements commerciaux, énergétiques, et monétaires qui se profilent promettent d’amers lendemains. Au déni démocratique de plus en plus fréquent de nos gouvernants sur les peuples sur certains sujets brûlants, la voie vers le totalitarisme et la prochaine guerre est désormais de nouveau ouverte grâce à l’avidité de l’argent ou le pouvoir de plus en plus grandissant de ce genre d’hommes. Mais qu’ont-ils donc appris de l’Histoire…
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