Présidentielle 2022 : L’euthanasie et l’avortement et ce que j’en crois !
Bonjour chers internautes !
Puisque l'on ne me demande rien et que ça me regarde quand même, en cette période pré-électorale présidentielle française de 2022, je relève pour vous deux ou trois sujets qui sont eux aussi (en plus du désarmement nucléaire militaire !), soigneusement évités et éclipsés, mais qui reviendront de toute façon à l’ordre du jour dans les prochaines semaines, une fois le nouveau président (ou la nouvelle présidente !) élu(e) avec son troupeau d’élu(e)s majoritaires qui nous feront la pluie et le beau temps dans ce pays déjà bien ravagé par la pauvreté (plus de 10 millions de pauvres en 2022 !)
Puisqu’il semble que les élus passent beaucoup de temps à débattre chaque année de sujets qui fâchent comme l’euthanasie (lire ici !) ou encore comme la durée prolongation de la possibilité d’avorter (de 12 à 14 semaines !) (lire ici !), sans s’accorder sur une évolution possible des lois, je vais y aller de ma position personnelle comme citoyen et ensuite comme croyant.
Et comme j’avais justement écrit un article en 2008 sur le sujet de l’euthanasie, j’ai plaisir à vous le partager !
Bonne lecture à vous !
Votre serviteur de l’inutile,
Pierre Sarramagnan-Souchier, le 21 janvier 2022.
L’Euthanasie en France en 2008 : le droit de mourir dignement
Une polémique vivace à propos de la demande de malades d’en finir librement avec la vie (1* et 2**)
Le droit de choisir le moment de son départ dans la dignité !
Au nom de quoi devrait-on être obligé d'en référer à une instance judiciaire ou à un Président de l'exécutif d'un pays pour avoir le droit de choisir sa mort dignement !
C'est un constat d'irresponsabilité citoyenne que de faire reposer sur la justice et sur un représentant d'un pays, la vie quotidienne et la décision de terminer son existence pour un malade ayant une maladie dégradante irréversible dont il n'y a aucune issue de guérison et dont la souffrance est insupportable !
Tous malades devraient avoir la possibilité de choisir entre vivre jusqu'au bout ou mettre un terme à son existence. Cela semble être le bon sens que d'accepter cela.
Décidément ce pays qui croule déjà sous les lois, ferait bien d'évoluer vers un minimum de souplesse.
Le récent livre lucide et percutant “Le divorce français” de Monsieur François de Closets qui avait décrit justement dans l'un de ses chapitres, le cas des débats des élites de ce pays sur le sujet de l'euthanasie, montre bien qu'il y a un vrai décalage entre la réalité vécue par les citoyens de cette nation et les décrets verbeux concoctés par leurs élites, sur cette demande de liberté des citoyens à pouvoir choisir librement sans contrainte judiciaire, une fin de vie décente.
Il est effarant de considérer qu'à chaque décision citoyenne sur le droit de choisir sa propre mort, le citoyen s'attire les foudres des institutions judiciaires qui ne proposent alors que des punitions et condamnations à l'entourage de la personne décédée. On se croirait au jardin d'enfants où le citoyen ne serait qu'un éternel irresponsable et où l'Etat devrait continuellement décider pour lui.
Il serait quand même temps que l'Etat reconnaisse à ses citoyens leurs libertés quand à leurs décisions du choix de leur départ terrestre.
Que je sache, nous ne sommes pas dans un pays théocratique où toutes décisions doivent se rapporter à des docteurs de la loi (généralement imbus d'eux-mêmes !).
Une République laïque, pour tolérante qu'elle doive être, doit tenir compte de cela et l'accepter en proposant par le choix, l'exemplarité de la différence pour chaque citoyens de vivre et mourir au moment qu'ils choisissent. Même si c'est difficile à accepter.
Je crois bien me souvenir que c'est justement le mot Liberté qui est inscrit dans la Constitution française, à côté des deux autres engagements républicains (Egalité et Fraternité).
Il est vrai que cela impliquerait de la part des politiques, un minimum de courage. Ce qui à l'évidence, ne semble plus être le cas depuis des décennies comme le constate M. de Closets dans son livre sur bien d'autres sujets où les élites ont fait preuve d'une lâcheté sans nom, dans leurs décisions et laxismes gouvernementaux (surarmement atomique démentiel, insécurité routière, déficits budgétaires et gouffres titanesques de l'endettement national laissés en héritage pour les prochaines générations, etc. !)
Et à cela, on ajoutera qu'il serait temps que les Français comprennent qu'il n'y a pas incompatibilité à vivre dans un pays laïc républicain tout en ayant sa propre religion à titre privé, sans craindre une remise en cause des valeurs du peuple.
Et donc que l'on ne vienne pas imposer les directives des religions pour gérer un état laïc et républicain.
Si la conscience et les états d'âmes d'un individu est du domaine du privé, il doit à plus forte raison, s'il est pratiquant d'une religion, accepter la différence pour celui qui n'est pas croyant et athée.
La conscience universelle voudrait que l'acceptation de toutes les positions religieuses et athées, se placent sur la sécularisation (la laïcité positive qui reconnaît toutes les religions et même les non-croyants comme le définit lui-même le Dalaï Lama) en acceptant que des citoyens qui ne fassent pas le même choix de fin de vie que les autres aient le droit de choisir dans la dignité leur départ en éternité.
Que je sache, un non-croyant n'interdit pas à un croyant de prier pour son Dieu au moment de son départ, alors pourquoi lui interdirait-il aussi de rejoindre l'Eternel d'une autre manière toute aussi digne ?
Au nom de quel Dieu d'ailleurs ?
Ce serait alors réduire la perception de la dimension du divin à un niveau bien bas…
Pierre Sarramagnan-Souchier, le 13 mars 2008.
Note : On constatera une fois de plus que ce pays a encore un temps de retard par rapport à ses voisins européens en matière de législation sur l'euthanasie. Des pays comme la Suisse, les Pays-Bas, la Belgique et récemment le Luxembourg, sont bien plus libéraux et nettement plus souples et adaptés à la réalité de la souffrance du malade et de sa liberté de choix pour son départ terrestre.
Cherchons l’erreur :
Mercredi 19 mars 2008 : En Europe : 2 poids 2 mesures… Deux pays et deux départs le même jour !
- L'un dans l’illégalité républicaine française :
Madame Chantal Sébire “est retrouvée morte" à son domicile (formule diplomatique polie de circonstance) alors que les autorités de la République française ne lui reconnaissait pas le droit de partir en toute légalité et liberté en Eternité bien qu’elle soit atteinte d’une maladie rarissime : l’esthésioneuroblastome qui était dans sa phase terminale. Elle serait donc décédée seule à cause d’une loi rigide et cynique. Il ne manquerait plus qu’une autopsie soient demandée par les instances judiciaires pour que ce pays plonge définitivement dans le ridicule. Autopsie qui vient d’être ordonnée comme l’avis des proches de la défunte. Triste pays décidément, plus soucieux de juridicité et de répression que de liberté et de fraternité.
26 juin 2008 : Rebondissement dans cette affaire : La justice française ouvre une enquête pour “provocation au suicide” ! Décidément ce pays ne craint pas le ridicule…
- L'autre, dans la légalité royale belge :
L'écrivain et poète belge flamand Hugo Claus est décédé mercredi à l'hôpital anversois Middelheim. Hugo Claus souffrait de la maladie d'Alzheimer. Il avait demandé à être euthanasié. L'auteur du “Chagrin des Belges” âgé de 78 ans a pu être entouré de sa famille pour son départ.
En France : Un scandale, une interrogation, une incrédulité et toujours une interdiction légale pour un départ.
En Belgique un départ légal et assumé par une personne également atteinte d’une terrible maladie.
Cherchons l'erreur ! Plus raide et stupide qu’un Français… tu meurs… (mais… librement) ! Quand on vous dit qu’il y a divorce entre les élites d’une nation et son peuple…
Pierre Sarramagnan-Souchier, le 20 mars 2008.
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Ceci étant exposé, voici maintenant, ma position sur ce sujet comme croyant.
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“la souffrance n'est en réalité que la conséquence de notre éloignement de Dieu” A.C. Emmerick
L'Euthanasie en France : le droit de mourir dignement
Le problème de la mise sous coma (euthanasie passive) permet à une personne de mourir au bout de quelques jours (une ou deux semaines ou de beaucoup plus s'il y a non alimentation et non hydratation).
La mise en euthanasie active non autorisée par la loi française, par injection ou absorption permets à une personne de décéder en quelques minutes ou quelques heures.
(voir le reportage en Belgique sur ce sujet : Dr Yves de Locht : L'euthanasie, "c'est le dernier soin que je donne au patient pour apaiser ses souffrances")
Les médecins savent que dans le cas d'une mort lente (par non alimentation) même sous coma, le corps souffre. On le constate rien qu'en regardant le corps…
Je n'en rajouterai pas plus sur le sujet.
Dans les deux cas, il s'agit bien de mort d'une personne. Le temps à mourir est la différence.
On pourra toujours objecter à ceux qui refusent l'euthanasie active comme impossible car un médecin ne peut donner la mort et que les églises ne reconnaissent pas le droit de donner la mort, que l'euthanasie passive est aussi une mort et tout aussi condamnable à ce moment là, car il s'agit de non assistance à personne en danger (par non alimentation) … de mort. Le résultat est le même, la durée est la différence…
Je ne vais pas débattre du bien fondé de partir en conscience ou en état comateux. Je retiens cependant que les églises dont celle de Rome demandent cependant à ce que l'on ne maintienne pas inutilement la vie artificiellement en partant de ce constat qu'une mort inconsciente maintenue artificiellement n'a pas de sens.
Je ne désire pas juger et encore moins condamner les diverses positions.
Je ne suis pas un surhomme et ne désire pas vivre des instants de ce genre ou comme celui vécu par le Pape Jean-Paul II sur la fin de sa vie ou même de membre de ma famille. « Que Dieu m'en garde… ! »
Je me dis aussi que si j'étais dans la position de cette femme souffrante, il est bien possible que ne pouvant pas supporter cette souffrance, je puisse avoir la même attitude qu'elle et ne vais donc pas jouer les héros défenseurs de la vie alors que je suis en ce moment en bonne santé. Cela pour répondre à madame Boutin ministre de la République… (Je ne vais pas imposer aux autres ce que je ne pourrais pas moi-même assumer. Principe de base élémentaire… d'un chrétien !).
Pour autant, je plaçais mon article sous l'angle de la laïcité républicaine.
Là est le problème.
Une nation ne devrait pas infantiliser les citoyens en se retranchant derrière des lois. C'est quand même à l'individu de se présenter devant l'Eternel. Pas à la nation de le remplacer. Où alors nous sommes des citoyens irresponsables.
Pour un croyant d'une religion ou d'une autre (je suis un œcuménique séculariste comme le décrit le Dalaï Lama !), la notion de départ vers l'Eternel, se doit d'être consciente pour un individu. On ne peut pas demander à une personne sous coma de prendre physiquement son départ en charge vers l'Eternel. C’est généralement un texte pour se faire euthanasier, à écrire quand l’on est en bonne santé ou alors aux proches de la famille de décider de ce qu’il convient de faire… Même si je sais qu'en étant comateux votre âme a pouvoir de décision sur ce sujet. Mais le pouvoir de l'âme ne concerne plus les décisions des citoyens en ce domaine…
On notera au passage, que si l'entrée en état comateux peut se faire sans trop de douleur, car en cas d'accident, c'est le choc qui fait office d'anesthésiant, en revanche, pour ce qui concerne le retour de l'esprit et la réintégration dans son corps physique, cela n'est pas sans douleur. J'avais à cette occasion gardé à titre personnel dans mon enfance, le souvenir après un séjour comateux de trois jours d'un retour dans mon corps physique comme une souffrance avec un emprisonnement dans une contrainte très désagréable…
Voir aussi en parallèle l'expérience de M. Jean-Dominique Bauby dans son livre : le scaphandre et le papillon (et aussi le film tiré de son livre qui est remarquablement mis en scène).
Par contre rien n'empêche à un croyant de prier pour ses proches et de prier aussi pour des non croyants qui se trouvent dans ces cas là. J'indiquais justement à une internaute que le croyant avait même de nos jours la possibilité d'envoyer par courriel des prières d'intercession auprès de la Vierge comme à Ostina par exemple (ou à Guadalupe, etc.)
Mais cela reste du domaine de l'initiative privée et ne regarde en rien le citoyen d'une République laïque !
(La femme de Napoléon III n'avait-elle pas à titre privé fait un voyage et tiré de l'eau de source à Lourdes et faite une demande à la Vierge concernant la guérison de son enfant alors que son Prince Président de mari n'était pas spécialement pour cette reconnaissance de l'apparition dite miraculeuse qui pouvait contrarier son pouvoir et ses élections…)
Concernant la maladie en temps que telle, j'ai relu récemment ce que disait Anne-Catherine Emmerick : Il semble que la maladie ait un rapport entre l'acceptation et / ou le rejet de la présence divine.
A l'évidence, pour le cas de cette personne qui désire en finir avec la souffrance qu'elle ne peut plus supporter, il ne semble pas, tout au moins publiquement, qu'elle ait fait mention d'une croyance particulière en l'Eternel. Mais elle parle de départ dans l'amour avec l'entourage de ses proches.
Mais dans son entourage, peut-être que des personnes prient pour elle. Quand à savoir si des croyants se sont proposés pour lui parler de foi, je n'en ai rien lu à ce sujet. Bien qu'étant devenue aveugle et "salement handicapée" cette femme pourrait recevoir un don de Dieu. Mais quelle serait la personne pour lui porter le message ?
Concernant la question du deuil d'un proche suite à un décès après de longues années de coma. Ou encore de disparition du corps (attentat, accident d'avion, de bateau comme le Titanic, etc.), je préfère la vision hindou et bouddhiste où le corps chez les Hindous est brûlé pour redevenir en poussière. Cela est très beau et permet d'accepter l'impermanence du monde.
Vouloir à toute fin conserver un corps pour un croyant chrétien pour moi tient un peu du ridicule pour la raison suivante que la résurrection ne se fait pas par le corps physique, mais il s'agit de la résurrection de l'âme et de son état de lumière et d'élévation qui a été accompli pendant son incarnation terrestre.
Les Eglises tout comme les états laïques on trompé les peuples et lâchement détourné le véritable message de la résurrection et de ce que cela implique de message "révolutionnaire" comme prise de conscience de notre temps de passage comme "visiteur" sur terre et non comme "propriétaire terrestre Ad vitam et Ternam” (pour la vie éternelle) !
Donc, même si pour un humain il est raide d'accepter la mort d'un proche, il faut en faire son deuil en sachant que l'essentiel est l'âme et non le corps. (ce qui n'enlève d'ailleurs rien à la douleur…) Relisez la Bible sur ce sujet de la résurrection et ce qu'en dit le Christ.
Bon ! Comme d'habitude, il s'agit bien d'un partage et non d'une leçon de morale que je viens de vous transmettre. Enfin prenez le comme cela venant de ma part…
Bien à vous et en partage,
Pierre Sarramagnan-Souchier, le 18 mars 2008.
Note : Je vous entends déjà penser : “C'est bien beau tout cela, mais n'y a-t-il pas paradoxalement une contradiction entre ma position de citoyen d'une république laïque et ma position d‘un être humain croyant. En fait, toute l'interrogation de l'humain dans une société tourne autour de cela sa vie durant. A vous de choisir en dernier ressort si vous mourrez comme citoyen ou comme croyant. Et là, la réponse est personnelle.
Je n'ai donc pas à répondre à cette question… n'étant pas représentant à quelque échelon que ce soit d'une république hormis celle de simple citoyen et d'une religion hormis celle d'un simple croyant universel séculaire.
Et là j'en ai déjà beaucoup dit dans la réponse… (Le "lumineux" Pape Paul VI qui vécu très longtemps, priait tous les jours Dieu de l'aider le moment venu à passer par la bonne porte en Eternité…)
Remarque :
Précisions à propos de la citation d'A.C. Emmerick qui figure en titre de cet article. A la demande d'internautes qui s'étonnent qu'il puisse y avoir un rapport entre “l'éloignement de Dieu, la maladie et la souffrance”, je vous mets le complément d'informations ci-après :
Si l'on vit dans l'unité prônée par de nombreux sages et dont on retrouve des enseignements chez le Christ, on se rend compte qu'il y a du divin dans la vie. Du début à la fin (et même avant le début car nous sommes d’essence divine avant même notre incarnation ici-bas sur cette planète !). Que par sa liberté de fonctionnement et d'agir, les espèces dont l'homme s'éloignent du divin et s'encrassent l'existence au point d'en être malades, cela me semble une évidence. (Lire à ce sujet les milliards de vivants massacrés (appelés improprement : animaux !) par les humains pour satisfaire leur ventre de beaufs : (Symphonie végétarienne : À propos de la nécessité de réviser nos modes de vies, décroissance au Nord, aide au développement au Sud, permettant de favoriser la dénatalité mondiale, en favorisant une alimentation plus végétarienne…)
Pour info, on enseigne le respect du Divin dans les premier cours de yoga. Vous pouvez d’ailleurs télécharger un dossier d'une amie qui justement en parle à propos des rapports entre les chakras dans le yoga et des textes de la Bible.
Si vous pouviez seulement vous rendre compte qu'il y a aussi une possibilité de guérir rien qu'en émettant des pensées positives et propager des ondes bienfaisantes autour de vous, vous en seriez étonné. De même, vous avez la possibilité de vous détruire rien qu'en émettant des pensées négatives et vous propagez des ondes qui peuvent aussi détruire autour de vous.
Le pouvoir de la prière est une chose tout à fait étonnante. Et là on peut "toucher du doigt" (façon de parler) à l'une des illustrations du pouvoir du Divin.
Eloignez-vous du Divin et vous verrez que vous, votre entourage, votre peuple, votre pays, votre espèce en pâtira grandement.
Il m'eut été agréable de vous en convaincre, mais il n'est pas en mon pouvoir de vous imposer cette façon de voir. D'ailleurs cela ne s'impose pas. Cela s'accepte et s'apprivoise. Comme la vie…
Notez maintenant aussi ceci :
En médecine par exemple, on peut retrouver cela dans l'approche de l'homéopathie. Mais cela ne remplace pas non plus la démarche d'un chirurgien qui peut aussi amputer un membre qui aurait été abîmé par accident. Il n'y a pas contradiction en la matière (autre façon de parler !). Il y a aussi de grands yogis qui peuvent arrêter sur eux une hémorragie, mais je n'ai pas encore vu un humain s'amputer un membre rien que par la pensée. Il y a une acceptation des circonstances dans la vie que l'humain doit prendre en compte et cela en reconnaissance du Divin.
Dans ce prochain millénaire (et siècles proches), je peux vous signaler, que nous découvrirons de quoi est composé l'humain médicalement parlant et que nous pourrons remédier aux maladies et éventuellement prévenir les épidémies.
Mais précisément parce que nous saurons approcher le Divin correctement, nous pourrons soigner et avoir une approche préventive. Nous pourrons aussi détruire en nous servant de ces connaissances comme le rappel la Genèse avec l'histoire de la pomme (de discorde !) d'Adam et d'Eve et du Serpent (la tentation de l'ego qui se prend pour Dieu avec ses Connaissances). Cela sera aussi notre liberté.
Et nous éviterons aussi de tomber dans la fausse traduction millénaire de la Bible qui voulait faire croire que la Femme avait fauté à cause du serpent ! Lire à ce propos : "Le mensonge universel de P. Jovanovic". Depuis presque trois mille ans, des millions d'hommes et de femmes ont été nourris d'un texte qui a été entièrement maquillé, truqué et transformé par un ou plusieurs scribes hébreux entre 1250 et 800 av. J.-C. Il n'y a jamais eu de serpent. Il n'y a jamais eu de péché de la femme. Mais beaucoup de fourberie chez l'humain…
Cependant, je reste cependant optimiste car l'Esprit de l'Homme s'ouvrira sur le Divin et sera alors en reconnaissance divine.
Oui, je sais, vous allez être dépité car cela concerne très probablement un temps où votre petite personne ne sera déjà plus de ce monde car l’évolution de l’humanité se fait très très lentement sur cette planète. Et je devine que vous allez encore râler et vous en prendre à Dieu de ne pas vous avoir tout préparé pour votre incarnation. Ce serait d'ailleurs oublier que vous avez choisi votre temps d'incarnation dans une période précise… Et ce n'est pas Dieu qui vous l'a imposé que je sache. N'allez pas encore reprocher à Dieu si vous êtes incarné à notre époque ! Cela serait une preuve de votre incroyance dans la roue céleste des incarnations.
Mais restez confiant en la grâce divine car la lumière divine est éternelle. (Mais vous avez cela d'écrit dans la Bible et le Christ n'a-t-il pas parlé de l'Eternel et de Résurrection ? Alors que craignez-vous hormis votre petite mort comparable à un incroyant…)
Alors n'accusez pas Dieu dans les fléaux (comme les maladies) et virus actuels. Car cela n'a rien à voir. Ce n'est pas parce que l'humain n'a pas la connaissance du Divin qu'il doit continuellement s'en prendre à Dieu et lui demander des comptes. Vous inversez les rôles.
Tout à fait entre nous, nous avons bien de la chance d'avoir eu des personnes comme “la mère Emmerick” et d'autres pour nous avoir rappelé aussi certaines vérité Divines que nous n'acceptons pas à cause de notre manque de lumière intérieure…
En partage et fraternellement,
Pierre Sarramagnan-Souchier, le 19 mars 2008.
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Légende de l’illustration :
La place de l’homme sur terre dans l’échelle des vivants…
" Si les êtres humains ont évolué des singes… parce qu'il y a encore des singes ? "
Cette question (assez fréquente, en particulier sur internet) est le résultat d'une interprétation erronée du processus évolutif. La Très populaire image où l'évolution humaine est représentée par une ligne le long de laquelle nous trouvons-de gauche à droite-Singes, donc l'australopithèque, l'homo erectus et ainsi de suite jusqu'à l'homo sapiens sapiens, est fausse.
Nous ne sommes pas évolué des singes, nous avons un ancêtre en commun avec eux.
Il n'a pas de sens même pas parler de l'espèce " plus évoluées " ou " moins évoluées " étant donné que tous les êtres vivants qui peuplent aujourd'hui la planète sont le résultat des mêmes processus évolutifs qui les ont poussés à se diversifier jusqu'à l'heure actuelle.
C'est pour ça que des images comme celle de l'homme qui évolue le long d'une ligne sont mauvaises et ne reflètent pas la réalité de l'évolution. Les êtres vivants qui peuplent aujourd'hui la planète ne sont pas " ancêtres " ou " créatures inférieures " à l'homme, en revanche, nous sommes tous des cousins éloignés.
C'est pourquoi aujourd'hui, on a tendance à préférer une représentation comme celle ci-dessous : http://www.zo.utexas.edu/faculty/antisense/tree.pdf
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