On peut remarquer, pour TOUS les produits, que, dans la chaine qui va du producteur au consommateur, le producteur est LE SEUL à devoir constamment se battre pour survivre. Il est notoirement considéré comme la « variable d’ajustement », également soumis à la concurrence de pays à bas coût de production.
Les autres, grossiste, transporteur, revendeur ... se paient, parfois grassement, au passage du produit et s’en sortent toujours.
L’agriculteur-producteur, lui, est soumis « aux forces du marché ». J’ajoute qu’il est très désavantagé par le fait que le principal syndicat agricole, la FNSEA est une quasi « succursale » de l’UMP. Seule, une vraie union des producteurs, sans ces syndicalistes, peut leur permettre de mieux négocier leurs prix. Et cela, il n’y a qu’eux qui peuvent le réaliser/