• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Quand l’esprit guérit le corps
#31 des Tendances

Quand l’esprit guérit le corps

Le physique et le moral ont-ils partie liée comme l’état neurologique avec l’état mental ? De nombreuses données scientifiques attestent d’une action de la pensée sur la matière, notamment en matière de guérisons dites « inexpliquées » voire « miraculeuses »... Quelle est « la nature » de « l’esprit » et celle, ultime, de la « réalité » ? Un ouvrage écrit à quatre mains fait le point sur ce qui agit aux frontières entre l’esprit et le corps.

 

La maladie et la mort donnent à penser aux humanités de toutes les cultures et de tous les temps, confrontées à l’épreuve de la souffrance comme à l’énigme de leur venue au monde. S’il y a une quête de sens qui affecte les individus des sociétés traditionnelles comme ceux des sociétés occidentalisées « postmodernes », c’est bien le rappel de nos corps souffrants.

Ce « donné corporel brut, universel » de la maladie est est pour chacun la plus intime, la plus commune et la plus humaine des expériences. Depuis le commencement, l’art de guérir pose la question des rapports entre le corps et l’âme, la question de la croyance et de la qualité du lien social mobilisé pour le processus thérapeutique : « La perception d’une dimension spirituelle du monde est probablement la marque la plus caractéristique et la plus ancienne de notre conscience » constate le neurologue Antoine Sénancourt (pseudonyme du Dr Antoine Moulonguet).

La médecine (c’est-à-dire l’ensemble des connaissances ayant pour objet la conservation ou le rétablissement de la santé) serait née avec la religion (c’est-à-dire l’ensmble des croyances et des dogmes définissant le rapport de l’homme avec le sacré) : « Toutes les traditions spirituelles ont une tradition médicale » rappellent Antoine Sénancourt et Jocelyn Morison dans leur essai à quatre mains qui invite à entrer dans la danse entre l’esprit et la matière.

La première fonction sociale dans les communautés humaines a vraisemblablement été le chaman, le prêtre-guérisseur qui connaissait les interactions entre le corps et « l’esprit » et préparait ses propres médications. Toute thérapie passait alors par un contact avec « le surnaturel » et le sacré. La guérison nécessitait un « état d’esprit spécifique dominé par un sentiment puissant et une certitude qu’un miracle allait se produire  », portée par une ambiance de foi et une énergie collective. Ainsi, les miracles ou l’autoguérison « dépendrait de notre confiance et de la puissance que notre espérance leur communique  ». Ce que Dostoïevski (1821-1881) exprimait ainsi : «  Chez le réaliste, ce n’est pas la foi qui naît du miracle, mais le miracle de la foi  ».

La médecine occidentale aurait commencé avec l’approche analytique et synthétique d’Hippocrate (450-377 avant J.-C.), fondée sur l’observation et le raisonnement, dans l’île de Cos – elle est considérée comme la première « rupture » avec l’empirisme et la « pensée magique » des civilisations antérieures.

Graduellement, entre la Renaissance et les Lumières, l’homme cesse d’être considéré par rapport et en fonction d’un transcendant. « Dieu » ne structure plus l’espace politique, moral et culturel – d’où une irrémédiable raréfaction du tonus symbolique des sociétés humaines occidentales.

Notre médecine est issue d’une société désenchantée qui identifie « le bien » à l’avoir plus qu’à l’être et considère la santé comme un « capital » - la maladie étant perçue comme une perte voire un dysfonctionnement de la machine humaine. Pourtant, le génie du vivant n’en finit pas de nous étonner...

 

Effet placebo, guérisons « inexpliquées » et médecine quantique

 

Les travaux de Cleve Backster (1924-2013), ancien spécialiste des interrogatoires à la CIA, sur les réponses galvaniques des plantes à divers stimuli, physiques ou psychiques, au moyen d’oscilloscopes ou de polygraphes, ont révélé leur sensibilité à la souffrance de leurs congénères ainsi qu’à la souffrance animale » : « Les plantes semblent entrer en résonance avec toutes les formes de vie qui les entourent et cela inclut les humains ».

Antoine Béchamp (1816-1908) rappelait que si l’attaque d’une bactérie est capable de créer une infection, c’est parce « ce que nous sommes détermine le degré de réponse de l’organisme et donc l’impact final de la maladie » - « la maladie n’est rien et le terrain est tout »...

Ainsi, « la première question que posait Hippocrate à ses malades était : « Qui êtes-vous ? » Sommes-nous bien certains d’être « soumis à la chimie du cerveau » ? Ou avons-nous le pouvoir d’agir sur notre matière cérébrale ? Selon cette approche, le corps n’est pas seulement celui dont on souffre et que l’on remet passivement aux bons soins du médecin, mais aussi une entité porteuse de son propre potentiel de régénération – un potentiel que le sujet actualiserait par un bon usage de sa pensée, par un acquiescement et un abandon confiant à une puissance vitale active dans le rapport de soi à l’univers...

Ainsi, « croire ferait gagner quatre à six ans d’espérance de vie", avec un effet positif sur la tension artérielle, le rythme cardiaque, l’immunité ». Explication : « Le cerveau croyant synthétise des neuromédiateurs comme la sérotonine qui améliore notre humeur, ainsi que des endomorphines , molécules très proches de la morphine, qui atténuent l’importance de nos douleurs  ». La preuve par l’effet placebo ? Le terme vient du psaume 114 des vêpres, récité pour les morts dans les églises : «  Placebo domino in regione vivorum » (« Je plairai à Dieu »). Le seul médicament reçu par nombre de malades guéris par une substance sans principe actif était « une substance immatérielle et immortelle : l’espoir » selon les termes du neuropsychologue Mario Beauregard qui en précise le processus : si l’effet placebo « repose spécifiquement sur la croyance et la conviction mentale qu’un remède particulier sera efficace  », il mobilise un potentiel d’autoguérison parfois spectaculaire dans les cas avérés de guérisons dites « miraculeuses ».

Ainsi, « les croyances de la personne modifient la réponse du cerveau ». Selon le psychiatre Edouard Zafarian, l’effet placebo est la « somme des convictions de guérir du soigné et du soignant ».

La pratique de la méditation aurait un « effet protecteur sur la taille du télomère, petite structure à l’extrémité des chromosomes dont le racourcissement avec le temps entraîne des processus de vieillissement  ». Ainsi, des études révèlent une « augmentation de la production de l’enzyme télomérase, qui permet l’allongement et la restauration des télomères  » avec la pratique de la méditation.

Ce qui n’est pas rappeler la notion de « conscience pure » des traditions spirituelles d’Inde et d’Asie « pour lesquelles le substrat même de la réalité est une supraconscience primordiale que l’on « rejoint » lors de la méditation profonde ou d’autres expériences, "car elle est notre nature profonde et véritable ».

Pour les praticiens qui se réfèrent à la « médecine quantique » (l’appellation « médecine informationnelle » serait plus appropriée à ce stade des connaissances...), il y aurait « une énergie en amont du monde physique accessible à nos sens  ». La pensée de base de la médecine quantique est que « tout en nous est vibratoire et et possède donc une fréquence spécifique, que ce soient les cellules de nos différents organes, mais aussi les agents infectieux ou cancéreux ».

Selon cette approche, les maladies « correspondraient à une diminution de notre énergie interne qui fait basculer nos atomes vers une forme corpusculaire moins énergétique qu’une forme ondulatoire  ». C’est la conviction de Joe Dispenza : « Plus votre corps est matière, et moins il est énergie, plus vous serez à la merci de la deuxième loi de la thermodynamique – la loi d’entropie – qui postule que des systèmes organisés abandonnés à eux-mêmes tendent à devenir, avec le temps, de moins en moins stables et organisés. » (Le Placebo c’est vous ! éditions Ariane, 2014) Un traitement par ondes appropriées permettrait-il de rétablir l’équilibre fondamental vers un état ondulatoire « optimisé » de notre substance corporelle ? Pour les praticiens se référant à la médecine « quantique », il existe des mouvements perpétuels d’énergie dans une vaste matrice cosmique : les particules matérielles seraient les « émergences de ces paquets d’énergie ».

En physique quantique relativiste, « le vide est rempli de champs électromagnétiques qui conservent une énergie résiduelle, même au zéro absolu  ». Selon certaines études menées depuis les années 80, les « mains du miracle » de nombre de guérisseurs « émettraient des ondes de 7,8 Hz, tout comme les ondes cérébrales en état de relaxation » - elles seraient reçues par le patient, « au niveau de la glande pinéale, ce qui remettrait l’organisme « en cohérence » avec l’environnement, car cette fréquence n’est autre que la principale « résonance de Schumann » du champ magnétique terrestre  ».

En 1993, Brendan O’Regan et Caryle Hirschberg de l’Institut des sciences noétiques retiennent, après analyse des cas de guérisons dites « inexpliquées », 1574 cas de rémissions spontanées entre 1864 et 1992 – essentiellement des mélanomes. Leurs études ont identifié des modifications immunitaires dans le sang des sujets qui guérissaient – il semble possible de stimuler le système immunitaire sans que les influences de l’esprit «  puissent être réduites à des réactions chimiques ou converties en mesures de concentration de neuromédiateurs ».

Il y a aussi des « lieux qui guérissent » - en l’occurence, des lieux d’élévation spirituelle,comme l’église de Thuret (Auvergne), qui auraient été le théâtre de guérisons plus ou moins spectaculaires.

Le pélerinage à Lourdes suscite parfois des « miracles ». Ainsi en août 2009, Antonietta Raco, une quinquagénaire immobilisée depuis 2005 par une sclérose latérale amyotrophique (maladie de Charcot), repart guérie. Les spécialistes constatent une constante chez tous ces « miraculés » : « sauf exception, ils n’ont jamais demandé la guérison pour eux-mêmes  »...

Des patients anesthésiés ont vu leur corps abandonné sur la table d’opération, entouré de soignants fébriles, et rapporté que « l’esprit » continue d’exister sans son support physique – ils ont perçu, lors de cette situation de décorporation, d’autres présences leur insufflant la certitude que « ça allait bien se passer »...

Peut-on réduire l’esprit à une faculté du cerveau ? Son déploiement excède les connexions neuronales : « Le cerveau ne secrète pas l’esprit comme le foie secrète la bile ». Ce qui se joue, au-delà de la vitalité organique et l’activité cérébrale du sujet, c’est la mobilisation de ses propres potentialités immunitaires et curatives – ce que Claude Levi-Strauss (1908-2009) nommait l’efficacité symbolique en observant une cure chamanique, sous-tendue par une vision du corps et de l’univers en vigueur chez les Indiens Cunas au Panama.

Le paradoxe de notre postmodernité sécularisée est bien là : d’un côté, elle a désenchanté le monde réduit à un stock de ressources exploitables à merci, et de l’autre, elle prétend « promouvoir un accomplissement individuel réclamant un surcroît de ce spirituel qu’elle a contribué à chasser  » - valorisation oblige...

Le déficit de foi, le manque d’énergie collective et la désymbolisation générale feront-ils place au retour d’une « spiritualité » efficiente par une réintégration dans un champ de signification symbolique porteur ?

S’ il est avéré que « nos croyances ont un effet créateur » sur les phénomènes dits « paranormaux » que nous observons, peut-on envisager l’existence d’une conscience-énergie organisatrice de toutes les formes manifestées et à l’oeuvre dans nos processus de pensée ?

La « science » ne trouve que ce qu’elle cherche dans l’univers phénomenal, c’est-à-dire ce qui fait « l’objet d’un investissement ». Ne mettrait-elle « en narration » que ce qui assurerait certains « retours sur investissement » ? L’effervescence de divers syncrétismes et autres thérapies alternatives annoncerait-elle les retrouvailles du médical et du religieux ?

Voilà un champ de recherche prometteur vers un gisement de ressources inutilisées et un réservoir d’énergie collective inemployée dont la (re)mise en oeuvre dans une communauté de bonnes pratiques répondrait à un besoin jusqu’alors inasouvissable... Ce que l’auteur de science-fiction Philip K. Dick (1928-1982) reformulerait sans doute ainsi, dans un système-monde dont les coutures narratives craquent de partout : la réalité, «  il faut la créer, plus vite qu’elle ne vous crée  ».

Antoine Sénanque & Jocelyn Morisson, Comment l’esprit agit sur la matière – psychokinèse et guérisons inexpliquées, Guy Trédaniel éditeur, 256 pages, 20 euros


Moyenne des avis sur cet article :  2.35/5   (17 votes)




Réagissez à l'article

21 réactions à cet article    


  • babelouest babelouest 31 décembre 2024 17:33

    Le spirituel m’ennuie..... mais je me demande si la crainte de la mort n’est pas justement un facteur en précipitant la venue.


    • lephénix lephénix 1er janvier 10:49

      @babelouest
      « spiritualité » ou pas, les personnes qui guérissent font-elles l’expérience du « réel » ou font-elles une expérience réelle ?
      depuis la « révolution néolithique » l’animal parlant se distingue des autre espèces par une dimension magico-religieuse qui lui a permis de conquérir la planète, faute de se dominer lui-même, et de se guérir de certains maux quand cette dimension est prise en compte...


    • colibri 31 décembre 2024 18:21
      J’habite près de Thuret , c’est un lieu en effet chargé pour ceux qui ressentent les énergies , mais il y en a beaucoup d’autres dans le coin et en Auvergne en particulier , dans les nombreuses églises romanes .
      Les différents curés de Thuret étaient réputés pour les guérisons qu’ils obtenaient , les gens venaient les voir de partout .Le curé en lui -même ne possédait pas de pouvoir , mais se servait de l’énergie du lieu.

      Mais il y a d’autres endroits chargées comme Notre Dame de l’Osier en Isère , c’est là ou j’ai ressenti l’énergie la plus forte .La France est donc remplie de lieux d’énergie , ou il suffit de puiser.

      Si il n’y avait que l’effet placebo , un lieu ou un autre n’aurait pas d’importance , or ce n’est pas le cas puisque si vous allez demander de l’aide à un champ de poireaux , vous n’obtiendriez pas le même résultat que dans une église romane .
      La force de l’esprit ne suffit donc pas ...et croire à quelque chose qui n’existe pas non plus ...

      • lephénix lephénix 1er janvier 10:54

        @colibri
        dans tous les pays mais plus particulièrement en France, il y a des hauts lieux telluriques, ce que les géobiologues ont documenté maintes fois... dans toutes les religions, il y a de tels lieux comme la source Zemzem à la Mecque, etc.
        la chartreuse de Cadouin a aussi été le lieu de guérisons miraculeuses depuis le haut moyen âge jusqu’en 1935... cette année-là un expert en langues orientales a analysé un tissu que l’on croyait être le suaire ayant enveloppé le corps du Christ. Son verdict : ce n’est pas un suaire mais un manteau ayant appartenu à un calife égyptien et les bandes ornementales sont une invocation appelant Allah à assurer la protection du détenteur du vêtement... ainsi, pendant des siècles, des milliers de chrétiens ont été guéris par un manteau musulman...


      • GoldoBlack 4 janvier 09:37

        @lephénix
        « il y a des hauts lieux telluriques »
        Quelle connerie !


      • charlyposte charlyposte 4 janvier 09:55

        @GoldoBlack
        Sources ?


      • colibri 4 janvier 21:33

        @GoldoBlack
        si c’est pour critiquer sans argumenter , vous montrez juste votre bas niveau 


      • colibri 1er janvier 13:57
        quelle importance la religion , ce n’est pas la religion qui compte mais l’énergie , 
        et il n’y a pas que des lieux chargés mais aussi des objets , qui transportés conservent leur énergie , l’explication tellurique n’est donc pas la bonne ...



        • lephénix lephénix 1er janvier 17:28

          @colibri
          ce qui compte c’est l’expérience authentique vécue, que ce soit dans un lieu dont la réputation suscite une attente confiante ou avec un objet talisman « chargé »,que cette expérience se produise « dans l’esprit » ou dans le cerveau voire le plexus car notre corps a de la présence d’esprit...


        • colibri 4 janvier 21:29

          @lephénix
          les lieux ou les objets agissent même quand la personne n’en n’a pas conscience , ces lieux existent en dehors des gens , 


        • ricoxy ricoxy 1er janvier 18:10

           

          L’esprit... heu, oui et non. S’il y a un esprit sur terre, c’est bien le cerveau humain, capable du meilleur (rélisations techniques, chefs d’œuvre de l’art, prouesses médicales, etc.). C’est le côté dieu. Et capable du pire (tueries, idéologies, déshumanisations, etc.). C’est le côté diable.

           


          • colibri 1er janvier 18:47

            @ricoxy
            en effet , l’homme est inspiré soit par le divin , soit par le diable , à lui de choisir 


          • GoldoBlack 4 janvier 09:36

            @colibri
            Y aurait pas de libre arbitre, hein, les crétins, pardon les chrétiens.


          • charlyposte charlyposte 4 janvier 10:50

            @GoldoBlack
            Il est vrai que le dieu des chrétiens n’est pas vraiment une lumière...à peine une lueur selon moi...idem pour tant d’autres pseudos religions ou chacun puisera une quelconque porte de salut au milieu d’un chaos parfaitement organisé....pour le moment smiley


          • colibri 4 janvier 21:31

            @charlyposte
            et vous vous prenez pour une lumière ? une lumière ténébreuse alors 


          • colibri 4 janvier 21:32

            @GoldoBlack
            pourquoi il n’y aurait pas de libre arbitre ? ou avez vous vu ca ? le libre arbitre sert à choisir Dieu ou satan , 


          • Astrolabe Astrolabe 4 janvier 22:12

            @colibri
                   
            Admettons.
            Mais j’ignore comment différencier les deux, sachant que le Malin peut prendre l’apparence du Bien pour nous tromper ?!


          • karim 1er janvier 21:48


            « Combien de personnes en bonne santé sont mortes sans cause et combien de personnes malades ont survécu pendant un certain temps ».
            Article très intéressant qui pose des questions, en soulève d’autres, et nous montre les limites des connaissances de l’Homme sur lui même et sur son existence « les « mains du miracle » de nombre de guérisseurs émettraient des ondes de 7,8. Un Ph équilibré de notre corps se situe autour de 7. On prête à Hippocrate cette sentence : le nombre sept de par ses vertus cachées maintient dans l’être toute chose, il dispense vie et mouvement, il influence jusqu’aux êtres célestes. On lui prête aussi que toute chose en ce monde est déterminée selon le chiffre sept. D’autre part les vibrations dont il est question, seraient-elles un langage commun à toutes les créatures, un langage que nous pouvons percevoir et qui serait peut être en rapport avec le chiffre 7 qu’on rencontre dans différents domaines. Un chiffre qui représente un mystère dans toutes les cultures et que l’humanité aurait perdu de mémoire de part son immersion dans le monde matériel. Et ce n’est qu’en retrouvant notre dimension spirituelle que nous pouvons comprendre « ce langage », construire de nouveaux rapports avec notre environnement, vivre en harmonie dans cet Univers, vivre sereinement et comprendre le sens de la vie, de la maladie et de la mort.
            PS/. Sauf que le diable pourrait nous induire en erreur et nous égarer


            • GoldoBlack 4 janvier 09:35

              Salmigondis de pseudoscience sectaire.


              • charlyposte charlyposte 4 janvier 10:00

                @GoldoBlack
                À l’image du nouvel ordre mondial et la doctrine de la pensée unique !


              • charlyposte charlyposte 4 janvier 10:36

                Selon mes sources, le genre humain est malléable à l’infini....trop cool et tout bénef pour les actionnaires de L.I.A ! smiley

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité




Palmarès



Publicité