Quand les Fauxcialistes tentent de garder l’Elysée
Quand un parti politique a le pouvoir, il entend le garder. C’est trop bon. Dorures, avantages, déplacements gratuits, salaire conséquent, plus les à côtés, (le plus à côté possible.)
Or les Fauxcialistes qui ont été en rade pendant de nombreuses années et qui sont à présent sous le soleil des puissants, se rendent bien compte qu’ils vont gicler aux prochaines élections et que même l’affrontement avec Miss le Pen ne les assure pas d’une victoire.
Que faire ?
Ils ont dû se réunir, surtout quand ils ont reçu les résultats du dernier sondage où Hollande a dévissé d’un point et Valls de beaucoup plus…
Ils ont donc pris la décision suivante : séparer les troupes en deux : la gauche qui se dit à gauche. Et la gauche qui est à droite. Chef d’équipe de la n°2 : Valls. Chef d’équipe de la numéro1 : Montebourg qui, depuis les primaires, joue le rôle de rebelle.
Or lui, il faut le garder au chaud. On ne sait jamais. Si les affaires tournent encore plus mal, il en faut un qui puisse relever le drapeau de la gauche de gauche.
Choisir Montebourg qui sort du think tank des "Young american leaders" , comme beaucoup de ses potes de tous les partis, comme représentant de la vraie gauche, est assez cocasse. Mais bon. On fait avec ce qu’on a sous la main.
Par ailleurs, Mélenchon a parlé hier du futur candidat aux élections de 2017, qui est une candidate, qui s’appelle : La sixième république.
Or, n’est-ce pas Montebourg qui s’est fait le chantre de cette sixième république ??????
Suivez mon regard…
Hollande va donc tenir autant qu’il peut tenir avec sa droite sioniste, en gardant précieusement une gauche avec Montebourg qui pourra jouer les utilités au cas où. Il y en a un qui est au courant : c’est Joffrin qui tout à coup change complètement sa partition ! Il était pour les US et l’UE et son dernier article décapite cette abominable oligarchie des banques qui traite si mal les pauvres ! Joffrin s'intéresse aux pauvres ! ça doit lui rapporter !!
Mélenchon s’est bien fichu de lui et il faut avouer que ce changement de religion chez Joffrin, est aussi cocasse que si un islamiste devenait petite sœur de l’enfant jésus.
Il y a donc anguille sous roche.
Mélenchon joue-t-il un rôle là-dedans ?
Hier il déclarait qu’il ne voulait absolument pas de l’union de la gauche car il n’était pas question de s’unir avec Valls et Hollande. Et avec Montebourg ??? Et les révoltés ( les énervés, que sais-je) qui votent quand même la confiance au gouvernement ?
Et le FDG ? Que le PC a mis benoîtement dans sa poche… Mélenchon a dit qu’il n’était pas question de l’abandonner, que de malheureux militants qui n’avaient que lui seraient perdus… Certes… Qu’on pouvait discuter dans un groupe…(Il va se rabibocher avec Laurent ?) Certes…
Mais il faut que Mélenchon sache quil a en face de lui, nonobstant son talent qui, dans l’attaque des US et du CRIF a été superbe, des gens qu’on n’abuse pas si facilement…
Donc la gauche tenterait de sauver sa peau autour de Montebourg…
Je propose un slogan pour eux. (Et gratuitement. )
« Le changement c’est maintenant. »
Si j’ai un conseil à donner à Mélenchon, c’est de se tenir à l’écart de tout. Surtout de Montebourg. C'est l'union du peuple qu'il veut ou l'union des guignols ?
39 réactions à cet article
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Entièrement d’accord avec toi Ariane.
Ce à quoi nous assistons c’est au bal des médiocres.
En ce qui me concerne je préferais pour eux le « bal des ardents ». Ça ferait un peu d’air...
Ils ont réussi à transformer le PS en groupuscule.
« Tout le monde le petit doigt sur la couture du pantalon ». Clame plat de nouille 1er ! « A moi les nuls, les médiocres, les fascinés par le pouvoir et l’argent ! Je ne veux qu’eux ! »Ceux qui resteront et entrerons dans ce cloaque qu’ils nomment gouvernement seront les pires déjections que les solfériniens ont engendrés.
Pas question pour autant de défendre le dévoré d’hybris Montebourg, ni le rebelle de la dernière heure Hamon.
Qu’ils disparaissent à jamais.Il n’y en a qu’une qui sauvegarde ce que l’on pourrait appeler l’honneur. Madame Aurélie Filipetti.
http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/08/25/filippetti-je-ne-serai-pas-cher-francois-candidate-a-un-nouveau-poste-ministeriel_4476394_3246.htmlEst ce un hasard s’il s’agit d’une femme ?
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« Est ce un hasard s’il s’agit d’une femme ? »
affligeant...
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Garance 25 août 2014 16:36Ce qui devait arriver arrive : l’explosion est imminente
Etant d’un naturel porté à la rigolade : j’ai rallumé la télé ( éteinte depuis 2 ans et demi) et me suis calé sur BFM- TéléUn vrai déliceExcusez-moi Branlebourg va parler : quel suspense...... !!!!!20 mn de retard : vraiment il exagèreJe suis en transes.....
On me dit à l’oreillette qu’il est en retard parce que lui et son « équipe » font leurs valisesLe champagne est prêt pour quand Hollande fera les siennes ( ce qui ne saurait tarder )-
En attendant, ce gouvernement sera plus à droite que jamais, afin de maintenir leur projet de récession généralisée et de pacte d’irresponsabilité.
Le MEDEF aura toujours plus d’oreilles pour distiller ses mesures anti-sociales.
Mais les contradictions iront toujours croissant.
Comment en effet justifier de telles mesures alors que les profits des grandes entreprises n’ont jamais été aussi élevés ?
L’hyper-compétitivité a un corolaire, l’hyper appauvrissement de la population, la perte des recettes de l’Etat, l’augmentation de la dette, et à terme la banqueroute.
Plus le gouvernement écoutera le MEDEF, plus la faillite générale se rapprochera, même si quelques actionnaires seront pour un temps contents de voir grimper leurs dividendes.
Tout le monde occidental est dans une impasse similaire, puisque l’aboutissement de la réduction des coûts du travail tendrait vers des coûts nuls, ce qui tarirait le flux de la consommation et donc de la production elle-même.
Ne resterait que l’inflation financière, créant des plus-values fictives, jusqu’au jour de l’effondrement final.
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L’hyper-compétitivité a un corolaire, l’hyper appauvrissement de la population, la perte des recettes de l’Etat, l’augmentation de la dette, et à terme la banqueroute.
Plus le gouvernement écoutera le MEDEF, plus la faillite générale se rapprochera, même si quelques actionnaires seront pour un temps contents de voir grimper leurs dividendes.
Tout le monde occidental est dans une impasse similaire, puisque l’aboutissement de la réduction des coûts du travail tendrait vers des coûts nuls, ce qui tarirait le flux de la consommation et donc de la production elle-même
@JP foscarvel,
d’accord avec toi, malheureusement on a beau répéter cela à longueur de forums, cette évidence est loin d’être comprise par beaucoup...... c’est pourtant la clef de ce qu’on vit actuellement .....
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Valls fait le ménage. Montebourg et Taubira vont propablement sautés.
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Ils ont donc pris la décision suivante : séparer les troupes en deux :....je pense que non, je crois plutôt que Hollande et Valls sabordent le PS pour mener jusqu’au bout et coute que coute la politique anti-ouvrière décidée à Bruxelles.
Hollande et Valls veulent imposer : 50 milliards d’euros d’économies sur les finances publiques et 40 milliards d’euros pour les patrons
Gattaz se félicite au nom du Medef : « Le gouvernement fait ce qu’il faut et va dans la bonne direction. »
La réalité : un pays au bord du gouffre, avec plus de 5 millions de chômeurs et plus de 9 millions en dessous du seuil de pauvreté.
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alex
1. Hollande n’existe pas....
2. Iznogoud Valls....et ... ? parce que je ne vois pas le rapport avec mon commentaire,
cela change quoi que se soit au fait qu’ils veulent jusqu’au bout de la feuille de route dicté par Bruxelles ? -
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Bonjour, Alex.
Entièrement d’accord avec ce commentaire. Et Ariane a tort dans son analyse, à mon avis, car la « baudruche » semblait bel et bien décidée, d’après les confidences qui sortent ici et là, à faire le dos rond une fois de plus après les déclarations de Montebourg. C’est donc Valls qui a pris les choses en main et exigé de Hollande un remaniement d’ampleur sans les frondeurs et ceux qui les soutiennent.
Ce faisant, Valls 2 risque en effet d’être encore plus coloré à droite, tant la réserve de personnalités hollando et surtout vallso-compatibles se resserre. En fait, on assiste sans doute à un nouveau déplacement du curseur, les partis à la gauche du PS étant perdus comme soutiens de la politique gouvernementale libérale pour les 3 ans qui viennent.
La question qui se pose : dans le climat de dureté que Valls entend installer à son profit au sommet, les frondeurs du PS auront-ils les couilles pour maintenir la pression ou s’écraseront-ils le moment venu (le vote du budget notamment) sous la menace d’une dissolution qui entrainerait la chute de la majorité d’entre eux ?
A suivre...
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alex et fergus
vous mettez en avant la petite histoire des ambitions personnelles minables de valls et vous passez totalement sous silence les faits importants : la destruction de ce qui reste du tissu social français pour le seul bénéfice des grands banquiers , qui vont se goinfrer les 50 milliards, avec la bénédiction de Bruxelles .
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Bonjour, Chapoutier.
Vous avez mille fois raison, mais ce n’est pas le cœur du sujet aujourd’hui dans la mesure où cette réalité n’est pas, loin s’en faut, la préoccupation des personnages cités.
Cela dit, il est toujours bon de rappeler à quel point ces messieurs et dames qui nous gouvernent, à gauche comme à droite, privilégient leurs propres intérêts et ceux des oligarques qui les manipulent aux intérêts du peuple qu’ils sont censés servir.
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fergus
mais ce n’est pas le cœur du sujet aujourd’hui dans la mesure où cette réalité n’est pas, loin s’en faut, la préoccupation des personnages cités. .
peut-être que je suis complétement à coté de la plaque , car au contraire je crois que c’est le cœur du problème . la question centrale de ce gouvernement est comment appliquer les directives de Bruxelles, comment allez plus avant et même au devant des exigences du grand capital sans déclencher une contestation politique majeure .
ce qui déchire les sommet du PS c’est de savoir comment être le plus efficace contre les intérêts du peuple travailleur.
c’est aussi de déterminer quel est le point de rupture du peuple, déterminer le moment ou le peuple fera irruption sur la scène politique.
la crise de régime que nous voyons en directe démontre que malgré la peur d’un soulèvement populaire ils sont décidé à aller jusqu’au bout, quitte à saborder le PS pour de longues années. -
fergus
l’édito du 20 aout du journal Informations ouvrières, donc antérieur à la panique de ce début de semaine
En quelques jours, les déclarations se sont précipitées. Le ministre de l’Economie reconnaît que le gouvernement est incapable de tenir ses objectifs. Valls déclare cependant au Journal du dimanche qu’il est « hors de question » de changer de politique et que « le pacte de responsabilité va véritablement entrer en oeuvre maintenant ». Hollande, sous prétexte du 70e anniversaire du débarquement en Provence, en appelle à l’unité nationale. Inconscience ? Provocation ? Ou calcul délibéré ?
Le pays est au bord du gouffre, avec plus de 5 millions de chômeurs et plus de 9 millions en dessous du seuil de pauvreté : effondrement social, économique, dislocation de la nation. La crise du régime est à son comble. Toutes les institutions et formations politiques se décomposent. Mais le calcul de Hollande et Valls est simple : en dehors d’eux, il n’y a pas de recours.
La droite en crise « dénonce », mais sur le fond, elle n’a pas de désaccord avec le pacte de responsabilité et tente de préparer « l’alternance » pour 2017. Au nom du Medef, Gattaz déclare ce 18 août : « Le gouvernement fait ce qu’il faut et va dans la bonne direction. »
A gauche, le Parti communiste réclame « un changement », tandis que la gauche du PS réclame une « réorientation » et une « remise à plat du pacte de responsabilité ». Certes, certes… Mais à qui ces demandes sont-elles adressées ? A Hollande ? Au gouvernement ? Toute la question est là.
Conformément à la logique bonapartiste des institutions de la Ve République, tous — les uns avec déférence, les autres avec fermeté — se tournent… vers Hollande, pour lui demander de bien vouloir modifier sa politique.
Tous… sauf l’immense majorité de la population. Un sondage Ifop publié ce dimanche indique que 85 % des personnes interrogées ne font aucune confiance au gouvernement pour lutter contre le chômage. Le rejet est total. C’est bien là que le bât blesse.
Dans son éditorial du 18 août, intitulé : « Et maintenant, monsieur le Président ? », le journal Le Monde salue la « lucidité » du gouvernement, mais s’inquiète : « Ce que les Français attendent désespérément, c’est le temps des solutions et si possible des résultats. »Or Le Monde, qui appuie pourtant les mesures annoncées par le gouvernement, relève : « Rien de tout cela n’est à l’évidence suffisant, ni de nature à convaincre le pays que le gouvernement se donne tous les moyens de sortir de l’ornière. (…) Le pire, désormais, serait qu’il apparaisse désarmé. »
Il faut donc que le consensus se réalise autour du gouvernement et de sa politique. Mais cette exigence de consensus se heurte à ces 85 % de la population qui refusent toute confiance au gouvernement.
En ces derniers jours de la période de congés d’été, ces affirmations répétées de Sapin, Hollande, Valls poussent à l’explosion sociale.
La confiance que la classe ouvrière refuse au gouvernement, c’est à elle-même qu’elle doit se l’accorder, c’est-à-dire prendre confiance en sa capacité à construire sa lutte de classe unie, avec ses organisations, sur ses revendications.
Cela implique que les organisations qui parlent au nom de la classe ouvrière refusent tout soutien au gouvernement Hollande-Valls, et campent fermement sur le terrain de l’indépendance fondée sur les revendications et aspirations fondamentales de la classe ouvrière, de la jeunesse et de l’ensemble de la population.
Seule l’action collective des exploités et des opprimés unis avec leurs organisations dégagera une issue de rupture avec la politique actuelle. C’est la voie par laquelle la volonté politique de la majorité peut s’imposer.
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@ Chapoutier.
« En ces derniers jours de la période de congés d’été, ces affirmations répétées de Sapin, Hollande, Valls poussent à l’explosion sociale. »
En théorie, oui, surtout si l’on regarde la situation avec des yeux militants ou un regard d’observateur attentif à la vie politique.
Mais je crains fort qu’il ne se passe rien tant les Français me semblent désabusés et beaucoup plus proches de la résignation que du soulèvement. Il suffit à cet égard d’écouter les discussions dans les bistrots : on y parle de tout, mais quasiment plus de politique, le sujet, lorsqu’il est rarement abordé, étant évacué d’un haussement d’épaules qui en dit long.
Cela dit, les révoltes surviennent lorsqu’on ne s’y attend pas...
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En tout cas Montebourg est soit un vrai faux-cul, soit un imbécile, lui qui avait appelé à voter Hollande aux 2em tour des primaires socialistes de 2011.
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Bonjour, Paco.
Faux-cul, indiscutablement !
Montebourg est en effet un arriviste et un carriériste, comme la plupart des caciques en politique. Il a donc fait, lors des primaires, un choix qui lui assurait un poste de ministre de bon rang en soutenant Hollande, net favori des sondages pour le 2e tour de ces primaires. Mais il est à peu près certain qu’il aurait, avec la même conviction affichée, soutenu Aubry (dont il était plus proche) si celle-ci avait eu de meilleures chances que Pépère.
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C’est sûr que la Convention pour la Sixième République et ses 32 propositions, a un peu plus de gueule que la Sixième de Mélenchon, qui d’après son discours de Grenoble et Raquel Garrido secrétaire nationale du PG dans le JDD du 24/08/2014 se résume à
« Osons la révocabilité des élus, osons la parité, osons le vote obligatoire dès 16 ans et la prise en compte du vote blanc, osons la neutralité du web, osons la désacralisation de la propriété privée, osons la citoyenneté dans l’entreprise, osons le droit à la Ville, osons la Règle verte ! » ; Avant de mettre d’essayer péniblement de mettre cela en forme, il y en aura des palabres et des fins de soirée arrosées, pour des « petits matins lumineux » pour l’Humain.
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Une sixième république est indispensable.
Mais avant tout :Osons la démocratie !
Osons une assemblée constituante par tirage au sort !Ce n’est pas aux routiers rentiers de la politique à décider de leurs pouvoirs.
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Vous voulez sans doute parler de la C6R initiée en 2001 par Arnaud Montebourg ? Pour celle-ci, c’est fini, oublié ; en tout cas, plus de trace sur internet... www.c6r.org ne répond pas. (images INA)
Autrement, il y a la Convention pour la VIe République crée, en 1992, par les jeunes du PS, Marie-Noëlle Lienemann, Julien Dray, et un barbu nommé Jean-Luc Mélenchon.
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Oui, je parlais de la C6R de Montebourg, du juriste Rousseau, et présidée par Aliès il y a même pas un an .
Quant au truc de Lienneman et consorts (Dray Mélenchon) elle n’a jamais rien produit.
Outre que je m’en fiche, que cette C6R ait depuis disparu , (je n’en sais rien) , il y a quelque temps, il y avait encore un blog sur Médiapart du dernier président. Mais ce n’est pas mon problème parce que moi le chiffre de la république n’a aucune importance. D’ailleurs mon blog s’appelle depuis 2006 « Changer la République » et non changer de république. http://changerlarepublique.over-blog.com/ ou Pacte démocratique. http://pacte-democratique.blogspot.fr/search?updated-max=2010-12-29T00:56:00-08:00&max-results=1 .
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la C6R existait encore au mois de Novembre 2013. depuis je ne sais pas. Voici le dernier article de son Président Paul Alliés.
http://blogs.mediapart.fr/blog/paul-allies/151113/invitation-revenons-aux-sources-de-la-republique
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Tu vas être contente, ce nul d’Hamon qui a à peine son certificat d’étudiant contestataire vient de démissionner. A défaut d’être compétent, il est au moins assez malin pour s’éviter un camouflet de rentrée. Il est rentré dans le gouvernement Valls pour voir (un poste de Ministre, ça peut lui permettre de mettre quelques lignes sur son C.V) et il en est sorti une fois qu’il a vu...qu’il n’était pas à la hauteur de la fonction
Bon, fini de jouer...Et si on mettait enfin des gens compétents à des postes de ministre ?-
Ben dis donc la désagrégée des lettres de son moulin à paroles obligée d’écrire des articles sans tête en queue de peloton.
Ha ! Mais que sont devenus ces appels délirants pour les manifs du guignolo, ces dons de sa personne pleins de béates certitudes, ces lendemains pleins de promesses, ses analyses marquées au coin du bon pardon du mauvais sens ; la pauvre cotisons pour la boîte de kleenex.
Revenons dans six mois, d’ici quelle nous lance un appel aux rassemblements en faveur de Juppé, le meilleur d’entre eux.
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@bonjour Ariane,
J’attendais un vrai papier sur celui que je nommerai plus pour ne pas écorcher mon clavier.
Sur un autre article j’ai écrit que je pouvais prendre acte sur ce qu’il à dit à Grenoble mais qu’il n’avait pas parlé de Dieudonné.( je me suis forcé à tout écouter).
Un posteur a gentiment fourni un lien où il le dégomme cet artiste.
En conclusion, c’est un rigollot qui marche dans le système sioniste et ce n’est pas parce qu’il a égratigné le CRIF et les US qu’il se refait une virginité.
C’est même pas un tribun.
Désolé, tu te trompes encore sur cet individu.
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Montebourg s’arrête au milieu du gué.
Comme tous ceux qui ont bossé à Bercy, il fait les mêmes constations qu’ Asselineau a fait quand il y était : la libre circulation des capitaux et des marchandises prônée par les traités européens, nous mène à la ruine.
Il s’arrête au milieu du gué, car la logique voudrait que Montebourg appelle à la sortie unilatérale de l’ UE et de l’euro. Ce qu’il ne fait pas. Comme beaucoup de gens à Gauche, qui espèrent que l’ UE va changer de politique, il croit aux miracles... faut aller à Lourdes, pour ça, pas à Bruxelles !Quant à Méluche, il joue toujours sur l’émotionnel pour faire pleurer les Ariane dans les chaumières, mais il ne propose rien de plus convaincant que Montebourg...
Au lieu d’expliquer l’article 50, il bavasse sur une VIe République.
« La nouvelle crise gouvernementale résulte du maintien suicidaire de la France dans l’euro ».-
Bonjour, Fifi.
« cette construction ne pourra jamais fonctionner à cause des divergences d’intérêts nationaux entre les 28 pays »
En effet, tant qu’on restera sur les traités tels qu’ils existent. Mais d’autres sont envisageables. A nous de les rendre possibles en mettant à la tête des exécutifs des gouvernants non inféodés à la doxa libérale dominante. Quant aux différences, elles n’ont pas empêché la construction de la nation française, malgré de très grandes disparités économiques d’une province à l’autre. Et cela vaut également pour l’Allemagne, l’Italie et la Suisse.
C’est d’ailleurs vers un modèle fédéral à l’allemande que l’Europe devrait tendre. J’espère sincèrement qu’un tel projet pourra voir le jour sur des bases très différentes de ce que nous connaissons.
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Fergus,
Pour faire autre chose, il faut d’abord en sortir.
Ce que vous ne demandez jamais.
Ensuite, il faut demander l’avis des peuples.
Je doute qu’ils aient encore envie de se lancer dans une usine à gaz. -
Bonjour, Gauche Normale.
Ce n’est parce que les tentatives passées d’Europe unie sont à mettre sur le compte de conquérants que cela ferme la porte à un projet fédéraliste basé sur des aspirations populaires et non sur des délires mégalomaniaques.
Quant aux artistes et intellectuels que vous avez cité (là et dans un autre commentaire) quel crédit accorder à leur pensée sachant que l’on peut sans aucun doute trouver tout autant d’artistes et d’intellectuels qui pensent exactement le contraire, à commencer par Hugo, Kant, Proudhon ou Saint-Simon qui n’ont pas précisément été des gens stupides ?
De manière générale, toutes les pensées humaines donnent d’ailleurs lieu à des opinions contradictoires...
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Fergus,
Voici un texte paru dans l’ HUMA en 1957. C’est exactement ce qui s’est passé.
L’Allemagne a gagné, elle est le « correspondant » de Washington, et la France est dans les choux.
Ils veulent qu’on s’occupe de la France et des Français.
En refusant de sortir de l’ UE, vous ne faites de renforcer le FN.
Et ensuite, vous viendrez pleurer que les Français sont des veaux. -
@ Fifi.
Non, je n’ai jamais traité les Français de veau, quel que soit leur vote, et ce n’est pas demain que je le ferai.
Bonne nuit.
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Bonjour FERGUS,
Les remèdes sont connus.
Sortir de l ’OTAN, ne plus rien faire avec les anglos saxons, construire une Europe indépendante avec alliance avec la Russie, supprimer les avantages de tous les corporatismes, arrêter l’immigration illégale,garder les spécificités de notre petit continent,virer les sayanims, etc.
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Après les européennes, j’avais suivi l’émission ouverte de Médiapart ; il y avait là le PS pur et dur sucre, Liehmemann et je ne sais plus qui de Nouvelle Donne ! La « gauche » du PS et Nouvelle Donne envisageaient un groupement qui inclurait le FdeG !
Face à cette future bouillie, je voulais me désinscrire des listes électorales, m’assumer en tant qu’anar, quoi !
J’ai bien peur que ce soit ça notre avenir ! Mais ces gens-là sont le nez dans le guidon et ne se rendent absolument pas compte de la réalité ! Donc, nous irons à droite toute ou bien, comme l’Italie vers un gouvernement de technocrates !! Ah moins que le peuple se bouge.
Je me méfie de la ’ fidélité" de Mélenchon vis à vis de ce qu’il croit ou affecte de croire être la gauche du PS ! Ce sera un test grandeur nature sur sa lucidité et la sincérité de son engagement.
Je propose qu’on fasse des paris, comme au PMU !!!
Il ne faut pas oublier que d’ici là, il y aura TAFTA, plus de SMIC, plus de retraite ou quasi, un chômage à la grecque qui éteindra les dernières lueurs d’espoir et les dernières énergies !
Mais pour ma part, si cette bouillie se coagule, oui, je me désinscris ; l’abstention, c’est trop peu de chose !!-
++++++++
Excellent et tellement vrai...avec de l’humour en plus.. !
On en redemande...heu..pas du PS bien sur.. !-
Salaire « conséquent ».
S’il était encore de ce monde, Maître Capello aurait certainement froncé les sourcils...
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D’accord avec le fait que Montebourg est mis en réserve pour une nouvelle opération politicienne impliquant les complices du PCF et sans doute le PdG... et nos opportunistes d’EELV qui brûlent de revenir au pouvoir. Ce ne serait qu’une nouvelle gauche plurielle de sinistre mémoire.
Mais c’est un peu mésestimer le fait que nous sommes dans une situation économique gravissime : la déflation et au bord de la faillite.Celle-ci a montré au Japon qu’elle détruit r apidement les gouvernements ;Abe s’en tire plus ou moins parce qu’il pratique la fuite en avant et qu’il joue sur la fibre nationaliste en uilisant les problèmes avec la chine, les corées, ...-
JM Berniolles,
Pour l’instant, à gauche du PS, c’est plutôt le foutoir complet ....
Pas sûr, hélas que les Français fassent confiance à un attelage disparate, dont aucun ne demande la sortir de l’ UE & de l’euro.-
Mais je suis entièrement d’accord, le naufrage économique, industriel, scientifique et social de la France, ne permet plus ces unions souvent contre nature type gauche plurielle, mais nécessite au contraire un grand rassemblement des forces progressistes de ce pays en laissant de côté des idéologies qui souffrent de ne pas avoir été remises à jour.
Pour être précis avec vous je pense effectivement que votre parti l’UPR qui apparemment se développe malgré la censure devrait faire parti de ce sursaut national. pour des mesures de sauvegarde :*sortie de l’OTAN et des institutions européennes (évidemment cela implique la sortie de l’Euro)* relance de notre pays avec un programme de reconstruction type CNR[ceux qui rigolent en trouvant cela dépassé sont des gens qui ne connaissent pas la réalité de notre faillite complète, que leur enfants vivent. Ils n’ont qu’à regarder le sort qui leur est réservé]* Il faut être bien conscient que cela doit comprendre nécessairement une dose de protectionnisme. -
@fifi
Je voudrais comprendre.
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