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Accueil du site > Tribune Libre > Quand un scandale sanitaire est trop gros pour éclater

Quand un scandale sanitaire est trop gros pour éclater

 

J'enquête depuis presque 2 ans, sur une substance chimique qui a littéralement envahi nos vies, en particulier celles des nourrissons. Pour le pire.

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Il y a des produits toxiques qui ont un statut particulier : ceux dont la rentabilité financière est si importante qu'ils échappent à toutes les règles, à toutes les lois en vigueur, en particulier en matière de sécurité. Pendant près d’un siècle, l'Industrie a ainsi dissimulé les méfaits du plomb dans l'essence, de la cigarette ou de l'amiante. Toujours avec les mêmes arguments :

1. Ce toxique s'élimine facilement

2. Ce toxique est "naturellement" omniprésent

3. Ce toxique n'est utilisé qu'à faibles doses

4. Ce toxique est utilisé depuis longtemps : RAS

5. Ce toxique est indispensable

Pour défendre ces poules aux œufs d'or, l'Industrie est capable d'absolument tout, y compris d’avoir recours à une « science du faux » : la science dite « défensive », dont le seul but est de produire de fausses informations, d’attaquer les chercheurs indépendants, de faire croire que le toxique n'est pas toxique. L'important est de gagner du temps, un temps précieux pour les profits au détriment de la santé publique (voire de l'écosystème mondial dans le cas du glyphosate).

Mais le nombre de victimes augmente, et peu à peu, le public s’interroge. On détourne alors l'attention des citoyens vers de faux débats, des soi-disant « controverses » fabriquées de toute pièce, comme s’il y avait un désaccord entre les chercheurs, comme si « le principe de précaution » était toujours abusif, comme si émettre un doute était franchement irresponsable, voire idiot. Objectif : empêcher la science indépendante et le public de découvrir la vérité. Et pour cela, produire de fausses informations, changer le sens des mots, avoir recours à la censure la plus dure, à la propagande la plus agressive.

S’interroger sur la sécurité du produit devient alors un comportement hautement suspect.

L'élément chimique sur lequel j'ai enquêté a un statut encore plus particulier, car ce sont les États eux-mêmes qui ont engagé leur responsabilité pour garantir sa sécurité. Toutes les agences sanitaires du monde soutiennent que ce produit est sûr. C'est ce que j'ai tout simplement voulu vérifier.

Et c’est à ce moment précis que ma vision du monde a été bouleversée :

1) Ce produit est un neurotoxique avéré dont la toxicité peut être retardée (les troubles peuvent apparaître des années plus tard).

2) La sécurité de ce produit n'a jamais été évaluée sérieusement sous prétexte qu'il est utilisé depuis longtemps, argument très discutable. Il bénéficie d'un "droit acquis" : on suppose qu'il est inoffensif sans jamais avoir vérifié ce postulat. Aucun test toxicologique n'a jamais été exigé pour sa commercialisation, alors même que ce produit est administré aux nourrissons, parfois dès la naissance.

3) Une seule étude théorique produite par la Food & Drug Administration américaine garantit la sécurité de ce produit chez le nourrisson, qui reçoit les plus fortes doses de ce toxique sans aucun filtrage naturel.

Problèmes :

a) Si l'on applique les niveaux de sécurité européens (7 fois plus sévères que les niveaux américains) à l’étude de la FDA, ces niveaux sont dépassés pendant au moins la première année de vie du nourrisson. Les bébés sont donc officiellement intoxiqués par ce neurotoxique (= dangereux pour le cerveau).

b) L'étude théorique de la FDA repose sur une seule étude expérimentale in vivo qui observe que ce neurotoxique peut entrer dans le cerveau.

c) Fin 2017, la FDA a retiré son étude, qui n'est donc plus valable aujourd'hui.

Pourtant, la sécurité du produit est toujours mondialement affirmée : les 2 uniques études (théorique et expérimentale) sur lesquelles s’appuient cette affirmation démontrent au contraire le danger de cette substance.

Nos enfants sont donc, de facto, les cobayes d'une expérience à grande échelle, contraire au code de Nuremberg, au consentement éclairé, au Code de la santé publique...

La science indépendante, malgré le manque du subventions, malgré la pression des industriels, des institutions et des médias, publie de plus en plus d'études sur ce problème majeur de santé publique et est parvenue à démontrer que :

1) Ce produit neurotoxique peut entrer dans le cerveau, encore plus facilement chez le nourrisson dont la barrière hémato-encéphalique, protectrice du cerveau, est encore immature les 6 premiers mois (en moyenne).

2) Un neurotoxique dans un cerveau en développement peut activer le système immunitaire du cerveau (la microglie) qui, à son tour, sécrète certaines cytokines pro-inflammatoires dont IL-6. Ces molécules, nécessaires à faibles doses pour le développement du cerveau, peuvent provoquer des dysfonctionnements neurologiques importants si leur concentration augmente sur une durée prolongée.

3) Peuvent alors apparaître des "troubles neuro-développementaux", un large spectre de troubles : de la vue, de l'ouïe, troubles moteurs, du langage, troubles du spectre autistique…

4) Oui, la cause de l’autisme (sécrétion chronique d’IL-6) est connue depuis 2007, mise en évidence par une équipe de Caltech, aux USA. Depuis, un solide corpus d'études internationales l'a démontré : tout neurotoxique qui entre dans le cerveau en développement peut déboucher sur un trouble neuro-développemental s’il produit IL-6 pendant une durée suffisamment longue.

5) Or le produit neurotoxique en question provoque la sécrétion d’IL-6 dans le cerveau, c’est démontré.

6) D’autres troubles sont également provoqués par cet élément, à court ou long terme : allergies, asthme, auto-immunité, syndromes de Fatigue Chronique… ainsi que certaines maladies neuro-dégénératives et certains cancers. Chaque trouble étant étudié par diverses équipes de chercheurs dans le monde. Aucun test de sécurité n’a jamais été produit en amont de sa commercialisation.

7) Ce toxique relève également de la toxicité des particules fines : aucune dose ne saurait être une garantie d'innocuité (plus la particule est fine, plus elle fait des dégâts).

8) L'analyse de 5 cerveaux autistes a révélé la présence de ces particules, spécifiquement incluses dans la microglie cérébrale de ces cerveaux.

Les enfants d'aujourd'hui grandissent dans un monde hyper pollué : leur organisme est soumis à de multiples toxiques dès la conception. L’état inflammatoire devient chronique pour nombre d'entre eux. Leur organisme peine de plus en plus à éliminer ces toxiques. Le fait d’introduire un neurotoxique directement dans leur organisme relève de l'inconscience et peut compromettre le bon développement neurologique d’un nourrisson à court, moyen ou long terme.

Les recherches indépendantes se multiplient et gênent les industriels : elles sont attaquées de toutes parts et leurs signaux d’alarme ne parviennent pas jusqu’au public. Dans le même temps, l'industrie continue à produire en toute impunité des études cliniques objectivement biaisées par l'utilisation de faux placebos (qui gomment l’émergence des effets secondaires), pratique qu’il faut absolument dénoncer. Le mot « placebo » a tout simplement changé de définition.

 

Il s'agit d'un problème éminemment politique, un problème majeur de santé publique. Un problème aux enjeux financiers gigantesques. Les troubles du neuro-développement spécifiquement autistiques coûtent à la collectivité 7 milliards d’euros par an, en France, selon la cour des comptes : on estime à 1% le nombre d'enfants souffrant de Trouble Autistique. Aux USA, c’est un enfant sur 59 qui est officiellement autiste (CDC 2014), 54% vivent avec une maladie chronique. En France, toujours pas de chiffre officiel.

 

Ce problème ce sont les adjuvants d'aluminium, présentés comme « indispensables » aux vaccins (alors que l’Institut Pasteur avait justement développé une alternative avec le phosphate de Calcium, jusqu’en 1986), aluminium injecté directement dans l’organisme des nourrissons, de façon systématique et obligatoire.

Je me demande si vous m'auriez lue, si j'avais commencé par là.

Et le scandale continue, trop gros pour éclater… Et moi, simple maman, j’ai fait ce que j’ai pu : j’ai réuni toutes ces informations, toutes ces sources (plusieurs centaines), dans une vidéo que j’ai mise en ligne sur youtube. Car il faut du temps pour bien comprendre le délire des adjuvants d'aluminium des vaccins. Si vous le pouvez, aidez-moi à diffuser ces informations. Il y a urgence.

Vidéo complète « L’Alu Total » : www.agoravox.tv/actualites/sante/article/dangers-de-l-aluminium-des-vaccins-79460

Brochure récapitulative : https://docdro.id/FPcrcC4

Liste des sources : https://alutotal.wordpress.com/le-danger-des-adjuvants-daluminium-liste-des-sources/

 


Moyenne des avis sur cet article :  3.8/5   (25 votes)




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46 réactions à cet article    


  • ricoxy ricoxy 29 mars 2019 17:19

     

    Décidément, l’alu t’obsède. Je suis, moi aussi, inquiet à propos des vaccins, mais aussi à propos des médicaments, le plus souvent enveloppés dans des plaquettes aluminisées.

     

    Quant à la pollution, elle est généralisée. Il suffit de lire Un empoisonnement universel de Fabrice Nicolino.

     

     

      Lire les 22 réponses ▼ (de ricoxy, Hypatie, pierrot, ELAA, foufouille, Alren, Francis, agnotologue, tobor, CoolDude, undefined, Ruut)

    • Matlemat Matlemat 29 mars 2019 20:38

      L’aluminium est un élément dont aucun être vivant n’a besoin pour son métabolisme, il est aussi utilisé dans le traitement de l’eau comme agglomérant.


      • foufouille foufouille 1er avril 2019 14:48

        @Zolko
        ça se fait encore en france et aux states, avec quelques morts à la clé.


      • foufouille foufouille 30 mars 2019 08:57

        trop mort de rire. donc l’autisme n’existait évidement pas avant l’alu des vaccins ........ c’est d’un connerie ......

          Lire les 6 réponses ▼ (de ELAA, foufouille, baldis30)

        • Hervé Hum Hervé Hum 30 mars 2019 12:33

          Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais lorsqu’un journaliste quelconque d’un grand média télé et sans doute aussi les autres, parlent de la réticence des parents à faire vacciner leurs enfants, ils n’évoquent jamais la raison, soit, les adjuvants d’aluminiums, mais uniquement parce que les gens se laisseraient convaincre que les vaccins ne servent à rien et que leur utilisation servirait uniquement de pompe à fric et donc, qu’il s’agirait d’une fake new de type conspirationniste..

          Mais vous pouvez vérifier, aucun ne parle d’aluminium comme unique raison !!!


          • pierrot pierrot 30 mars 2019 15:06

            @Hervé Hum
            Il faut être particulièrement ignorant pour nier les travaux démonstratifs de Pasteur concernant l’intérêt des vaccins qui concourent à éliminer les grandes épidémies.


          • Hervé Hum Hervé Hum 30 mars 2019 22:54

            @pierrot

            mais je n’ai pas écris qu’il faut arrêter de vacciner.

            L’aluminium n’est pas le vaccin !


          • zygzornifle zygzornifle 30 mars 2019 12:50

            Ils ont le droit car ils ont certainement financés aidés et soutenus Macron pour son élection ....


            • baldis30 30 mars 2019 13:25

              Bonjour,

               On a beaucoup parlé de l’aluminium et des vaccins, et seulement évoqué le plomb comme si ce dernier problème était réglé ... J’ai des doutes et des doutes ...

              En effet avec juste raison on parle du radon, gaz radioactif mais on oublie que son descendant est le plomb bien stable quelque soit l’isotope ! 

              Descendant à quelle vitesse ... ? très rapide... quelques jours au maximum  ! 

              Or le radon est un gaz très soluble dans l’eau ... et donc présent initialement dans toutes les eaux minérales notamment ayant lixivié des roches magmatiques ou volcaniques .... j’aimerais bien qu’un médecin donnât son avis là-dessus et sur la concentration trophique du polluant ultime ... ( analogie avec le mercure dans la baie de Minamata )


              • pierrot pierrot 30 mars 2019 15:11

                La toxicité des radons 222 et 226 provient de sa radiotoxicité mais en terme de masse c’est de l’ordre du nano grammes et donc le plomb issu des radons est en quantité infime sans aucun risque pour la santé.

                par contre les fortes teneurs en radon (supérieures à 400 Bq/m3) présentent un début de risque sanitaire. Cependant à quelques exceptions les habitants de Bretagne et du Limousin sont en bonne santé, s’ils évitent de fumer, de boire des boissons alcoolisées etc...


                • baldis30 30 mars 2019 15:46

                  @pierrot

                  certainement pas de la radioactivité étant donné la faible période ! ... mais les descendants et la concentration c’est autre chose !


                • pierrot pierrot 1er avril 2019 23:02

                  @baldis30
                  Le radon 222 est un radionucléide naturel qui provient du 238 uranium. (6 ième descendant). Il se désintègre en 218 Polonium (émetteur alpha) puis par une cascade qui aboutit au 206 plomb stable.
                  Il faut savoir que ’il est nécessaire de prendre des mesures lorsque la concentration en radon dépasse 400 Béquerel par m3 d’air mais cela représente une masse de quelques milliardièmes de gramme, c’est sa toxicité radioactive qui est dangereuse.
                  Le descendant le plus toxique est le 210 Polonium dont la radiotoxicité est largement supérieure au 239 Plutonium.

                  Le plomb 206 stable de quelques milliardième de gramme ne présente aucun danger, rien à voir avec l’accident des rejets de mercure au Japon (milliers de tonnes).


                • baldis30 2 avril 2019 09:31

                  @pierrot
                  merci des leçons ...
                  Le radon comme tous les uranides et transuranien terminent en plomb
                  FAUT-IL VOUS L’ECRIRE EN MAJUSCULES POUR QUE VOUS COMPRENIEZ !
                  Et que le saturnisme est parfaitement documenté même à faibles concentrations initiales ... ! Mais l’aveuglement radioactif fait oublier le problème principal ... !


                • Lanla 30 mars 2019 16:52

                  @Pierrot

                  il faut être particulièrement ignorant (pour reprendre vos propres termes) pour ne pas savoir que Pasteur a « piqué » l’essentiel de ses travaux à Béchamp et que ses expérimentations vaccinales sur la rage se sont déroulées dans des conditions plus que douteuses...


                  • pierrot pierrot 1er avril 2019 22:47

                    @Lanla
                    Je ne connais pas l’antériorité des travaux de Pasteur. Si Béchamp a eu une grande contribution, c’est un bienfaiteur de l’humanité. Qu’il en soit récompensé.


                  • Esprit Critique 31 mars 2019 22:00

                    Je parcours l’article, et je ne comprends rien.

                    Si c’est vraiment grave, la prochaine fois , on peut espérer un article intelligible ! ?


                    • Hypatie Hypatie 1er avril 2019 14:14

                      @Esprit Critique

                      Encore faudrait-il lire, plutôt que parcourir... Prendre un peu le temps, c’est parfois nécessaire.


                    • Esprit Critique 1er avril 2019 19:16

                      L’Autisme mène a tout, a condition d’en sortir. Essayez les vrais Placebos, ça marche si on y croit suffisamment.
                      Fort de votre aide, je vais me faire un petit stock de « Faux-Placé-Bobaux », je sais maintenant les reconnaitre, et je les offrirais a ceux de mes amis, non vaccinés, qui souffrent d’effets secondaires a la lecture de certains articles.

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