Quant Sarkozy fait sa campagne électorale depuis l’étranger
Depuis qu'il a pris un bain de foule en Libye - pour marquer Calderon à la culotte qui y était parti et que la presse française oublie de citer - pour une victoire encore même pas acquise et à la Pyrrhus en adoubant à la tête du CNT l'ancien ministre tortionnaire de la justice de Kadhafi et maître de la charia pour une guerre qui, selon Juppé, devait durer 48 heures, Sarkozy qui coule en France cherche à redorer son blason avec son cynisme absolu et une amoralité sans fond à partir de l'étranger où il est facile de brosser les « indigènes » dans le sens du poil et de se faire ovationner avec des propos irresponsables et faciles qui n'engagent à rien.

Qui a dit : « Sarkozy adopte ce type d'accroche après avoir été effrayé par les derniers sondages politiques en France » et cela : « Il serait mieux, pour la sérénité en France, en Europe et dans le monde, que M. Sarkozy abandonne le rôle de l'historien et se creuse un peu la tête pour sortir son pays du gouffre économique dans lequel il se trouve et produise des projets pour l'avenir de l'Union européenne » ? On croirait des propos d'opposants en France. Ce qui aurait pour réaction immédiate de la part de l'UMP de renvoyer les déclarants dans les cordes avec des arguments du genre et Mitterrand alors ? Et la crise ce n'est pas Sarkozy qui l'a inventée, Mon chat est mort écrasé c'est la faute de Sarkozy, hein ? etc.
En fait il s'agit (Le Figaro) du ministre turc des affaires européennes qui a bien repéré "l'opportunisme politique" de "propos qui s'inscrivent totalement dans le contexte électoral en France". Le président français Nicolas Sarkozy ferait mieux de s'occuper des problèmes des Français plutôt que de jouer les historiens sur la question du génocide arménien.
Le Figaro dont Etienne Mougeotte est le patron tout en étant partie prenante dans la cellule de réflexion de la campagne électorale élyséenne et dont l'actionnaire est Dassault qui ne vit que de commandes de l'Etat (une belle bouillabaisse) nous présente Sarkozy comme un intrépide chevalier : « Je vais lancer une grenade dégoupillée », prévenait jeudi Nicolas Sarkozy devant une partie de la délégation qui l'accompagnait à Erevan, en Arménie.
Voilà le grand courage : aller dire aux Arméniens que les turcs sont des salauds et leur donner une belle leçon (quelle grenade dégoupillée ! il l'a gardée dans la main et lui a explosé au visage en fait). Et tout cela car il n'a pas tenu une de ses innombrables promesses électorales. Il a déjà voulu en 2007 se rallier les voix des arméniens en promettant une loi pour eux, loi qui n'est jamais allée au bout. Alors il va faire le fier à bras à Erevan (je vous laisse goûter à l'immense flagornerie du Figaro, on se croirait sous Staline) : Hier, le visage recueilli, le président de la République s'est exprimé plus fortement qu'il ne l'avait fait depuis le début du quinquennat, en dénonçant « un négationnisme qui n'est pas acceptable ». « La Turquie est un grand pays qui s'honorerait à revisiter son histoire, comme d'autres grands pays l'ont fait. Le négationnisme collectif est pire encore que le négationnisme individuel. Si la Turquie ne regarde pas son histoire en face, il faudra sans doute aller plus loin », a-t-il martelé, à 25 km seulement de la frontière turque. Après la Libye et la Côte d'Ivoire, son injonction témoigne du grand retour des droits de l'homme dans la diplomatie du président.
Mais voilà il y a parfois des retours de bâton et celui-ci fut éclair et violent et lorsque l'on sait la chasse aux Roms on peut se dire qu'il faudrait réfléchir à deux fois avant de faire le matamore (attention je ne confonds absolument pas le renvoi des Roms avec un génocide et l'assassinat programmé de milliers de personnes, bien évidemment) : Une vive réaction était à prévoir et la réponse, cinglante, ne s'est pas fait attendre. Vendredi, Ahmet Davutoglu a conseillé à la France d'« affronter son passé colonial avant de donner des leçons aux autres pays ». Le ministre turc des Affaires étrangères a également insisté sur la situation des étrangers, considérés comme des « citoyens de seconde zone » dans l'Hexagone, selon lui.
Mais cela ne lui suffit pas. Il est parti ensuite pour Tbilissi pour donner des leçons aux Russes. Ce gars-là ne manque d'aucun culot. Son arrogance, soin cynisme, sa mauvaise foi, son électoralisme sont sans fonds. Le tonneau des Danaïdes c'est lui tout seul. Il ose, cet homme qui est parti avec un projet d'accord pour Moscou en août 2008 contenant 4 clauses en est reparti après s'être vautré comme un minable devant Poutine et Medvedev et en est reparti avec un autre accord en 6 points qui a permis à la Russie de faire ce qu'elle a fait. C'est cet homme qui a dit publiquement qu'il comprenait le droit aux Russes d'aller partout dans le monde, avec la force s'il le faut sans doute, défendre ses compatriotes ce qui donnait une caution morale à Moscou pour envahir la Géorgie. Moscou qui a annexé deux régions, qui a implanté son armée et qui a débordé les frontières des régions annexées. Et Sarkozy va faire le coq gaulois et donner des leçons lui qui est co-responsable de ce qu'il dénonce. Lui qui a ce grand courage de flatter les populations chez elles et jamais d'aller dire aussi haut dans les pays accusés ce qu'il dit si fort sous les ovations faciles. On l'attend toujours pour le Darfour, pour le Tibet, pour la Corée, pour la Chine.
Le Figaro : Trois ans après avoir négocié un cessez-le-feu toujours contesté, le chef de l'État a profité de la dernière étape de sa tournée dans le Caucase pour rappeler fermement la Russie à ses engagements, dénonçant ses « menaces et intimidations ». Il a notamment critiqué le maintien, « à rebours des engagements pris », d'importantes forces militaires « de l'autre côté des lignes de séparation », en Ossétie du Sud et en Abkhazie. Allusion aux forces que Moscou, loin d'avoir réduites, a renforcées dans ces deux provinces géorgiennes sécessionnistes, dont la Russie a reconnu unilatéralement l'indépendance. Les accords de 2008 prévoyaient pourtant que leur statut serait défini dans le cadre de négociations, aujourd'hui en panne. […] C'est cependant à la Russie qu'il a fait allusion dans la foulée en affirmant qu'il fallait que cessent « la rhétorique de confrontation (…), les intimidations, les menaces et les tentatives de déstabilisation proprement inacceptables ».
Mais Le Figaro, pour une fois, est obligé de rappeler : Oubliée, dans les déclarations du moins, la vente par la France de quatre porte-hélicoptères Mistral à la Russie, qui pourraient faciliter, selon Tbilissi, une éventuelle intervention militaire russe. Précisons qu'il y a également transfert de technologie ce qui est pour l'avenir introduire le loup dans la bergerie et se créer de toutes pièces un concurrent avec notre propre ingéniérie.
Sarkosy est donc parti à la pêche aux voix par la bande espérant que les trompettes de l'étranger le feront remonter dans les sondages et l'aideront à gagner des bulletins de vote. Il est vrai qu'il est extraordinairement silencieux sur la crise multiple qui secoue notre pays : la dette, l'Europe, l'euro, la crise financière, économique. Lui qui devait faire une présidence impériale du G8 et du G20 qui est donc complètement effacé, inefficace. Il veut sans doute que l'on ne parle pas trop de Dexia qui à l'époque avait été sauvée par Sarkozy lui-même, à tel point qu'il avait fait placer un de ses amis à la tête de la banque et que cet homme, digne cousin de Sarkozy, n'avait pas hésité une seconde avant de se faire augmenter d'une façon que même l'indécence en rougirait de 30 % pour un salaire de, tenez-vous bien dans une banque où on perdait tout ce qu'on voulait et licenciait à tour de bras - 1 million d'euros avec un bonus maximal de 2,5 millions ! Wikipédia : Le successeur d'Axel Miller, Pierre Mariani, un proche de Nicolas Sarkozy, s’est octroyé un salaire fixe en hausse de 30 % par rapport à Axel Miller.
Le conseil d’administration de Dexia a accepté « à l’unanimité » le 13 novembre 2008 de porter à un million d’euros le salaire annuel du directeur général et de fixer à 2,25 millions d’euros son bonus maximum. Axel Miller ne touchait « que » 825 000 euros de fixe, et son bonus était plafonné à 1,8 million d'euros. C’est le comité des rémunérations, composé notamment de Denis Kessler, ex-numéro 2 du Medef, et d’Augustin de Romanet, directeur général de la Caisse des dépôts, qui a fait ses propositions.
Evidemment le sauveur de la « Caucasie » et de l'Arménie n'a pas trop envie de regarder en France, ce pardfis des affaires. Son ami Wildenstein, légionné d'honneur, co-fondateur de l'UMP, éminent membre du Premier Cercle, proche de notre Président de la République vient de se voir signifier une plainte par l'Etat. Il est vrai que la police a mis son nez dan ses petites affaires. IL est vrai aussi que l'Immaculé Eric n'a pas réagi malgré deux lettres explicites, documentées et avec des preuves de l'avocate de la veuve, aujourd'hui décédée, du père Wildenstein, concernant la fraude fiscale, la fraude à la succession, les tableaux à l'étranger, les fiducies et autres trust Le Point : Après presque dix ans de tergiversations, l'État a décidé d'engager des poursuites contre Guy Wildenstein pour "fraude fiscale". Réputé proche de Nicolas Sarkozy - qui l'a décoré de la Légion d'honneur -, le marchand d'art est soupçonné de n'avoir déclaré qu'une infime partie de la succession de son père, décédé en 2001, dont la fortune se serait chiffrée en milliards d'euros.
"Abus de confiance" et "blanchiment"
La plainte a été signée durant l'été par François Baroin, peu avant son passage du ministère du Budget à celui de l'Économie. Le parquet de Paris a aussitôt ouvert une information judiciaire confiée au juge Guillaume Daieff, qui instruit déjà sur d'éventuels "abus de confiance" et "blanchiment".
Succession en 2001, 2002 fondation de l'UMP première mouture, sans oublier que Sarkozy en 2004 était ministre des finances et que Woerth fut le ministre des impôts de 2007 à 2010. Il a donc fallu attendre que la police sur plainte de spoliation découvre tant de choses que cette-fois-ci il était impossible de rester dans le statu quo bénéfique à Wildenstein, pour que Baroin dans le plus grand secret décide ce que lui imposait les faits.
Il est vrai aussi que l'on découvre qu'Horfeux a menti et que ce n'est pas par la lecture de Médiapart qu'il aurait ses sources d'informations. En effet Tant Marianne que Médiapart (L'ancien ministre de l'intérieur a livré à Thierry Gaubert des informations sur l'audition de sa femme par la police. Contrairement à ce qu'il affirme, ce n'est pas en lisant Mediapart qu'il les a obtenues. Peu après avoir vu Brice Hortefeux, Thierry Gaubert a reproché à sa femme d'avoir communiqué une clé USB aux enquêteurs. Un détail resté secret.) révèlent qu'il avait en sa possession des informations non communiquées : Dans l'entretien qu’il a accordé au JDD, le dimanche 2 octobre, à la question : « comment avez-vous été au courant des déclarations d'Hélène de Yougoslavie affirmant que son mari, votre ami Thierry Gaubert, et Ziad Takieddine, remettaient des fonds à Nicolas ? », Brice Hortefeux a répondu : « Un site Internet a publié le 13 septembre des informations concernant « un témoin » accablant Thierry Gaubert. Connaissant bien la famille et sachant que celui-ci était en plein divorce, j'ai eu une première indication sur l'identité du témoin. Cela est devenu une quasi-certitude lorsque j'ai appris que Mme Gaubert avait le même avocat que Mme Takieddine … ».
Disons les choses clairement : compte tenu des informations dont dispose Marianne, l’explication de l’ancien ministre de l’Intérieur est particulièrement sujette à caution. Le site Internet en question, Médiapart, a bien publié le 13 septembre, un article faisant état de la déposition d’un témoin dont le nom n’apparaît pas. Hélène de Yougoslavie, épouse de Thierry Gaubert, puisqu’il s’agit d’elle, a été interrogée dans le plus grand secret le 8 septembre par les policiers de Division nationale des investigations financières (DNIF).
Ce n’est que huit jours plus tard que Le Nouvel Observateur dévoilera son nom. Lorsque Brice Hortefeux appelle son ami Thierry Gaubert, le 14 septembre, pour l’avertir que sa femme « balance », aucun média n’a cité le nom de l’avocat d’Hélène Gaubert, en l’occurrence Me William Bourdon. Question : comment Hortefeux sait-il qu’elle a le même avocat que Nicola Johnson, ex-Mme Takieddine ? Voilà la réponse, lapidaire, qu’il a dressé à Marianne : « Après avoir été entendu, comme témoin et à ma demande, par l’autorité judiciaire, je me suis exprimé dans les médias et ai répondu point par point dans un journal télévisé puis dans la presse écrite. Je n’ai donc rien à ajouter ».
[…]
Qui ? Quand ? Comment ? La veille de cette audition, le 19 septembre, la question a été posée par les enquêteurs à la princesse Hélène de Yougoslavie : que savait exactement son ex-mari, Thierry Gaubert ? La réponse laisse pantois : « Il savait que j’avais déposé l’enregistrement (de lets conversations,qu'elle a dé"posé sous forme de clef USB NDLR) lors de mon audition par les policiers. Il a su que j’avais été entendue par les policiers et que j’avais déposé cet enregistrement. Quelqu’un le lui avait dit. Il m’a demandé ce que j’avais dit. Je ne lui ai pas dit. Il m’a demandé de me rétracter. Je lui ai dit que je ne mentais pas. Il m’en voulait, en gros c’est de ma faute ».
Il est vrai que cette affaire Takieddine - qui, il faut sans cesse le rappeler, n'a pas beaucoup intéressée les media français tant que la justice ne s'est pas affolée alors que Médiapart avait fait des révélations continues et fracassantes - est une épine acérée et empoisonnée dans le talon de la Sarkozie (Mediapart) : La société française Amesys, filiale du groupe Bull, a bien vendu aux Libyens un vaste système d'espionnage du net. L'intégralité du contrat, aujourd'hui dévoilée par Mediapart, présente même des traces d'interceptions de mails au sein d'un laboratoire de l'université Paris-VI. Pour tenter d'étouffer le scandale, Amesys menace de poursuites judiciaires ses anciens salariés qui parleraient à la presse.
Il est vrai que Boillon, l'OSS 117 de la Tunisie, le proche de Sarkozy disait de l'aujourd'hui honni Kadhafi, était son père.
Au fait, un peu de carnet rose, où en est Carla et son bébé (électoral ?) ? Se pourrait-il que le père, pourtant si enthousiaste à l'idée d'être à nouveau père ait sapé la naissance de son 4é fils ? N'est-ce pas lui dont Cécilia disait qu'il n'aimait que lui et pas ses enfants ? Quoiqu'il en soit il ne pouvait se trouver que dans les deux situations suivantes : soit il laissait de côté son job pour s'occuper de son petit et il fallait qu'il laisse sa place, soit il ne s'occupait pas du petit (ou de la petite, excusez-moi) et il était un mauvais père, très mauvais père. Il aurait donc choisi un voyage surprise sans aucune contingence de temps, sans aucune urgence alors que la science a dû donner une fourchette de dates pour l'accouchement et peut même en décider d'une précise, ce qui est utile quand on est si occupé qu'avec ce foutu Job à 240 000 € et gros navion, et aurait préféré laisser Carla toute seule pendant plusieurs jours. Voilà ce qu'est le dévouement à son pays !
Sarkozy peut donner des leçons de morale au monde entier, il ricane et se met en colère.
- La première année de Sarkozy
- La biographie de Sarkozy apocryphe
- La Biographie de Lefebvre
- L’affaire Tapie
- Les petites affaires de l’Immaculé Eric
- l’affaire Karachi
- l'affaire Takieddine (patrimoine de 40 m€ non imposé, Karachigate, SAWARI II, MIKSA (350 millions d'euros), contrats avec la Libye et commissions occultes, tractations obscures avec la Syrie, la protection qu'il a ou a, eu selon Mediapart, de la DGSE
- l’affaire GDF
- l’affaire Tapie, enrichie d'évasion fiscale du magot vers la Belgique
- l’affaire Clearstream
- l’affaire Bettencourt
- les affaires Wildenstein
- l'affaire César
- l'affaire Pleyel
- l’affaire de Compiègne
- l’affaire Peugeot
- l'affaire Abdallah Senoussi, bras droit de Kadhafi, patron des services spéciaux libyens et beau-frère de Kadhafi, condamné à une peine de perpétuité en France dans l'affaire de l'attentat contre le DC10 d'UTA et visé depuis lors par un mandat d'arrêt international., que Guéant et Sarkozy ont tenté de protéger
- les affaires Djourhi, Takkiedine
- les micros partis de Copé, Wauquiez, Woerth, Sarkozy etc.
- l'affaire du Fetia Api
- les discours de Dakar, Riyad, Latran et du Puy en Velay, la lettre de Guy Môquet, le parrainage d'un enfant de la Shoa, sur la mort de Ben Laden
- l'invitation des dictateurs pour le 14 juillet, celle de Kadhafi avec les ors, le tapis rouge, les petits plats dans les grands, celle d'El Assad en décembre 2010, le copinage avec Dos Santos, les silences sur le Tibet, le Darfour, le prix Nobel de la paix, la présence l'ouverture des JO de Pékin et le fils Louis dans les bras de Poutine
- les fils Pierre et Jean invités dans les voyages officiels à l'étranger (Mexique, Maroc) alors qu'ils ne représentent aucun intérêt pour le bien de la nation.
- la gestion catastrophique de la crise Géorgienne (le Russes y sont encore et ont implanté des bases de missiles), celle de la crise financière, celle de l'Europe, celle des révolutions tunisienne et égyptienne, le fiasco libyen, l'inaction en Syrie
- l’affaire de la Jatte, du Fouquet's payé par Desmarais, du Paloma payé par Bolloré, de la villa mexicaine, de Wolfeboro payé par les dirigeants de Prada et Tiffany, des repas au Bristol 2 fois par semaine, du voyage en Egypte …
- l’affaire Pérol
- l’affaire de l’Epad (et du scooter)
- Gandrange
- les vaccins du virus H1N1
- les accords entre l'UMP et le Parti Communiste Chinois, l'UMP et la mairie de Paris pour payer les frasques de Chirac, l'envoi par l'UMP des bulletins d'adhésion aux restaurateurs dans la période de la baisse de la TVA à 5,5 %
- les affaires Yade, Boutin, Copé, Juppé, Joyandet, Bertrand, Blanc, Estrosi, Lefebvre, Santini, Proglio, Amara, Laporte, Péchenard, Mitterrand, Ouart, Solly, Soubie, Richard, Fillon, Squarcini, Marleix, Charon, Longuet, Bachelot, Mignon, Morano, Giacometti, Besson, Courroye,Tron, Laroque (Baroin), Guéant (contrats avec la Libye), Dupuydauby, Fontaine …
- l'utilisation du contre-espionnage pour des affaires privées
- l'utilisation de l'Elysée pour recevoir les caciques de l'UMP et les satellites jusqu'à plusieurs fois par semaine, l'utilisation des moyens de l'Etat pour la propagande et pour préparer et faire la campagne du candidat Sarkozy, la proposition de Sarkozy à Lauvergeon d'une prime de 2 ans de salaires comme si Aréva lui appartenait et qu'il sortait l'argent de sa poche
- les légions d'honneur (Servier, Widenstein, Desmarais, Frère, Maistre, Peugeot etc.)
- l'Air Sarko One (250 millions d'euros dont 50 % de dépassement selon René Dosière) et ses deux fours à plus de 131 000 € (TTC et avec l'étude), le cocktail de New York à 400 000 euros, le dîner pour l'UPM à 1 million d'euros, les 4 X 4 Nissan de Megève
- la proposition de loi sur la déchéance de la nationalité française et son extension, et le débat sur la nationalité, le fichier EDVIGE, Wauquiez et son cancer de la société, le RSA
- l’affaire de la rémunération illégale de septembre au 31 décembre 2007 (rémunération comme ministre de l'intérieur alors que Nicolas Sarkozy est président), l'augmentation stratosphérique, le divorce, le mariage, l'inscription hors délai sur les listes électorales, la déclaration des impôts en retard, le tout illégal ou non pénalisé
- la circulaire Hortefeux, ses amitiés avec Takieddine, ses déclarations d'Auvergnat, celles de Guéant dont celles répétées sur l'échec scolaire des enfants d'immigrés, l'autre récidiviste, celles de Guaino (béatification, prison, etc.)
- la nomination à la têtes des chaînes audio et vidéo publiques par le pouvoir
- la réforme constitutionnelle
- les ministres aussi maires ou élus, le mélange des genres, la non séparation de l'exécutif et du législatif avec le retour sans élection des députés virés du pouvoir
- l'irresponsabilité pénale du Président de la république
- la position d'Hortefeux dans la condamnation des 7 policiers, et ses deux condamnations à lui
- l’affaire des sondages
- les classements du parquet
- le site France.fr (des millions d'euros pour rien)
- les évictions des préfets pour crimes de lèse-pelouse ou de sifflets
- la paralysie des villes et les moyens de quasi guerre (2 000 CRS pour 600 habitants par exemple) au coût pharaonique pour les déplacements du président
- l’affaire de l’espionnage des journalistes par le contrespionnage
- l’affaire de la validation des comptes de campagne de Balladur et de Chirac
- la scientologie
- l'affaire Servier dont Nicolas Sarkozy a été l'avocat. Coût 1,2 milliards à la Sécurité Sociale en plus des morts.
- l'affaire Bongo
- la proposition de MAM d'aide à Ben Ali et son pouvoir pendant la révolte tunisienne, les lacrymos et son voyage entre Noël et le jour de l'an et ses quatre mensonges fondamentaux, les petites affaires des parents, et Ollier (ses amitiés libyennes en plus), l'utilisation de la Libye et du Japon par Nicolas Sarkozy pour raison électorale
- les vacances de Fillon payées par Moubarak dont la clique a détourné plus de 45 milliards de $ et dont 3 ministres ont été arrêtés pour corruption et détournement de fonds publics, et sa justification, celles Sarkozy au Maroc. Et la Ferrari prêtée en 2009 en pleine crise à Fillon, ses voyages à 27 000 € pour retourner en Sarthe alors que le train met 1h20
Vignette Wikipédia
12 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON