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Accueil du site > Tribune Libre > Que sommes-nous ? Avec notre agressivité

Que sommes-nous ? Avec notre agressivité

A l'heure où la violence fascine et pourvoie des électeurs pour les libéraux adeptes de la répression, comme pour les fascistes dogmatiques salvateurs de l'humanité par la recherche de l'être parfait, excluant tout pardon qui y conduit.

 

Le Savoir impose d’apprendre ou d’essayer de comprendre ce que nous sommes avec notre agressivité parce que nous l’observons.

« L’agressivité naturelle » est indispensable à la survie de toutes les espèces, dont la nôtre.

La socialisation nous permet d’en définir différents concepts de manière à pouvoir en bannir quelques-uns comme asociaux.

Néanmoins, « l’agressivité » reste l’élément moteur, bien que socialisé et de ce fait rendu acceptable.

Maîtrisée durant l’évolution de nos aptitudes et de notre capacité cérébrale, elle a façonné l’humain, et lui en retour son espace au rythme du nécessaire.

Par « agressivité naturelle », j’entends la capacité d’action de l’Homme d’interagir seul ou avec les autres, sur toutes choses de son environnement, pour prendre dans son seul intérêt.

C'est-à-dire dissocier de son ensemble la chose prise en imposant contraintes, transformations ou destructions instinctivement.

Ignorant être un TOUT, au sein d'un TOUT plus grand, il en prend conscience et la décrit et définit à sa ressemblance.

Dans ces conditions l'agressivité, et la violence qui la qualifient, forment un couple, dont la socialisation, le consentement, l'amour du prochain, la pondèrent.

l'économie est conflictuelle, meurtrière, elle représente le modèle même de l'agressivité le plus répandu au monde.

En effet, chaque Être ou sujet ou individu, n’est qu’un élément inséparable d’un ensemble, d’un Tout, que nous appelons l’espèce humaine. Elle-même étant contenue dans un ensemble plus grand, dont elle, est issue, l’univers.

Elle ne peut donc qu’être régie par les mêmes lois qui ont construit l’univers, et qui ont donné naissance à des singularités, telles que notre planète. Des lois que nous commençons à mieux cerner au travers des sciences et des moyens technologiques qui nous supplaient.

À leurs sujets, Stephen Hawkins disait : « L’histoire des sciences tout entière n’est que la compréhension progressive du fait que les événements n’arrivent pas de manière arbitraire (libre arbitre), mais qu’ils reflètent un certain ordre sous-jacent qui peut ou non, avoir été inspiré du divin ». Cette constatation est d’autant plus importante qu’elle s’applique à nous, elle s’applique au déroulement de notre existence. Aujourd'hui, avec la nouvelle genèse quantique, le big-bang ou la Baryogénése, ce divin est devenu indéfinissable, du moins de ce que j'en écris.

De telle manière que les événements de notre existence ne proviennent que des ordres (systèmes, organisations) qui les ont inspirés. Notre cerveau par la construction de son psychique en est un producteur efficient dans la représentation de ses affectivités à partir de la nécessité vitale fondatrice de se nourrir, s’accoupler et s’abriter.

Partant de là, l’agressivité prendra des nuances capables de répondre à toutes les éventualités de 0 à l’infini que nos schémas conceptualisés lui suggéreront, suivant la traduction et la représentation des informations que nos sens recueillent du monde, pour façonner les moyens de vivre ou s’entre-tuer.

Ceci est d’autant plus important à préciser que nous essayons en permanence de réduire l’éventualité de s’entre-tuer, et nous regardons l’agressivité, comme nécessité naturelle motivée par la frustration, ou bien par une approche morale, comme la nocivité, le méfait, le mal, le crime quand l’Homme est un loup pour l’Homme, pour pacifier nos relations.

Le paradoxe en est, en vain, sa pratique acceptée pour s'en dissuader (force de l'ordre, punitions, prisons). Le contraire de la bienveillance dans un idéal d’amour ou d’harmonie sociale (amour, pardon, solidarité).

 

Pour en pénétrer toutes les nuances, il nous faudrait avoir accès à l’infini. Infini dont nous ne connaissons ni début ni fin. Pourtant, au lieu de nous décourager, cela doit nous permettre de comprendre, si depuis 2000, voire 3000 ans ou plus, nous appliquons toujours les mêmes principes punitifs ou méritocratiques sans résultats. Principes s’apparentant à de la persécution dogmatique, valorisant et stabilisant une vision des relations humaines, issues de pratiques ancestrales réorganisées par la sédentarisation sur lesquelles nous devrions nous interroger.

Donc la capacité d’agressivité ne doit pas être prise comme seulement l’expression de violence, mais en un sens plus générique qui est la capacité d’agir pour aller prendre chez l’autre (son alter ego et le monde) ce qu’il dont il dispose afin d’exister, quelles qu’en soient les motivations qu'il nous appartient de mesurer. L‘Homme n’est donc pas irrévocablement d'une essence violent. Il est lui-même la construction d’un amalgame d’informations ordonnées qui ont organisé son psychique. Sa difficile obligation, à partir de celui-ci, est de quantifier et de qualifier les informations reçues, dans l’ignorance la plus totale du monde objectif, en bâtissant au fil des millénaires l’image, la vision de ce qu’il a pu comprendre de lui, du monde, suivant sa personnalité, son caractère, sa position sociale et ses désirs.

 

Ce n’est qu’à partir des valeurs suggestives signifiantes afférentes, qu’il devient en mesure de transformer par la culture, une agressivité innée en violence mortelle intraespèce, en l’absence d’un inhibiteur inné. Donc l’information des acquis est capitale pour l’Homme, et traiter l’information oblige d’apprendre, d’apprendre en permanence, sinon on la subit. Nous la subissons dans toutes les formes imparfaites et barbares dans lesquelles nous la figeons en nous croyant possesseurs de la compréhension ultime. De ce fait nous faisons en permanence le procès de l’Homme, au lieu de comprendre sa construction psychique, même si celle-ci porte un nom par acteur, tout en n’ayant jamais appris à cet acteur comment fonctionnait un organe aussi essentiel que son cerveau, avec lequel il allait devoir passer sa vie.

Ceci, parce que tous les raisonnements que nous soutenons au travers d’un psychique, organisé, borné par sa culture bonne ou mauvaise de manière close, par nécessité structurelle, se doivent d’évacuer l’incertitude, la peur développant craintes et angoisses.

 

Cette construction structurelle du psychique retransmettra l’aptitude de son organisme à s’ouvrir à l’autre ou au monde, en fonction d’une multitude de paramètres environnementaux. Ce raisonnement sera sous-tendu par l’inconscient qui contrôlera en permanence, si les décisions, que notre psychique culturalisé prend en retour sous sa direction, sont compatibles avec les informations dont il bénéficie pour survivre. Informations qui sont de veiller à ce que la structure organique qui le porte puisse se nourrir, copuler, s’abriter : Vivre. Il en est ainsi au quotidien indépendamment de nous dans toutes les décisions que nous prenons. C’est pour cela qu’il est si important que l’Homme soit assuré et épanoui, pour que son agressivité innovante et persécutrice au travers d’organisations systémiques sociétales ne se retourne pas contre lui et son alter ego ; mais, si nous ne pouvons pas agir sur l’inconscient, nous pouvons le tromper, et c’est un autre débat.

 

En conclusion l’hominisation vers laquelle nous tendons ne consiste pas à définir nos pulsions originelles comme étant criminelles (ce qui l’est, c’est l’organisation culturelle qui l‘exhibe), car peut-être dans quelques milliers d’années ou quelques siècles, ce sont elles (les pulsions) qui sauvegarderont l’espèce dans celles de vie ; mais d’en instruire l’Homme de sorte qu’il les contrôle par la compréhension de ce qu’il s’interdit ou s'autorise en attendant que ce qui caractérise l’hominisation, le développement et la compréhension de son psychique, poursuive son évolution.

 


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19 réactions à cet article    


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 juillet 2023 09:41

    La violence n’a pas d’objet, elle est brute et sans objectif précis que de détruire pour détruire. L’agressivité elle s’engage par rapport à autrui, dans une jeu de compétition pour la victoire et aussi la survie.


    • Julian Dalrimple-sikes Géronimo howakhan 24 juillet 2023 10:20

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.

      Salut, la coopération équitable volontaire est le seul chemin, c’est un effet d’autre chose en nous et pas une idée...il est remarquable de noter que nous n’en voulons plus..
      il n’y a aucn libre arbitre à ce sujet , notre démence recherchée et voulue, par erfus de la vie et de ce qu’elle est coté matiere, début = fin, n’a rien à voir avec un pseudo libre arbitre
      il y a un pourquoi en chacun...personne ne peut manger à la place d’un autre...donc..
      non sujet planétaire...
      depuis 12 ans , j’en ai 68, j’ai vu et vois, je n’y étais pour rien bien sur, notre trajectoire, hélas tout était et est encore si juste..
      ces mêmes augures ont montré que il faut remonter vers 1500 et Calvin-Luther pour l’origine technique de cet actuel coup d’état de l’homme contre la vie et l’homme..
      bien sur ce désastre est vieux de tant de millénaires, que la fausse histoire ne peut aider à rien saisir
      quel gachis...mon Dieu quel gachis !!
      On, la pensée devenue totalitaire sur le cerveau, empechant nos autres capacité de s’ouvrir le moment venu et de marcher, cette pensée qui dit je suis génial , les autres sont des choses à utiliser pour moi, en est quand meme rendu à nier que il y ait une origine ultime...
      que la logique ultra rapide en général en panne va voir comme ne pouvant que avoir toujours été..à faire par et pour soi même, ne pas croire un autre..
      belle performance.
      le sommet du gouffre est atteint..
      mes respects


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 juillet 2023 09:50

      Tout l’art d’un bon coac est de canaliser la violence pour la transformer en agressivité de bon aloi et en respectant les rêgles du jeu.... 



        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 24 juillet 2023 09:53

          Salut DD,

          Anecdote toute récente....

          J’ai écrit un reportage sur le 21 juillet après le préambule politique et historique.
          Je ne suis ni royaliste ni républicain. Le but est informatif.
          Le soir du 21, je regarde l’évent au Cinquantenaire. Je prends des photos de l’écran télé.
          Coup de fil qui va casser l’ambiance. Une fuite d’eau dans l’aile à côté au 1er étage.
          Branle-bas de combat. Les uns veulent couper l’eau au niveau de tout le building puisque j’ai les clés de la chaufferie. Il y a même quelqu’un qui dit que comme on ne fait pas de chauffage, ce n’est pas un problème de couper l’eau.
          Les autres veulent appeler les pompiers pour peut-être casser la porte ou un carreau...
          Pas là, le président du building...
          L’idée vient de passer par la terrasse d’appartement en appartement. Coup de bol, la fenêtre de la cuisine où il y a la fuite est entrouverte.
          Une machine à laver tourne à vide en projetant de l’eau à l’extérieur de la machine.
          L’électricité et l’eau non coupées. Correction du problème. Tout s’arrange et limite la fuite
          Le lendemain, j’explique au président et puis plus rien.
          L’après-midi j’écris à la société de gestion pour formaliser les faits. Je fais une erreur : je copie le président alors qu’il n’était pas impliqué
          Immédiatement après une réponse de sa part. 
          Je ne te mets pas la copie de ce mail. « Je fais du blabla !!!!!!! ». 
          Je ne te donne pas les termes des mails suivants.
          Je ne réponds plus au téléphone, ni ne répond plus si on sonne à ma porte.
          The show must go on, but without me. 

          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 24 juillet 2023 09:56

            Quand on ne sait pas ou un ne peut pas lire ou écrire, un seul « MERCI » aurait suffit.


          • Sirius Grincheux 24 juillet 2023 10:05

            sans pulsions, pas de désir, pas de plaisir


            • Sirius Grincheux 24 juillet 2023 10:21

              Vous savez que les chimpanzés sont capables d’utiliser la langues des signes, comme les sourds-muets ?

              En fait, comme pour le genre « pan » dont elle n’admet pas faire partie, l’humanité se divise en deux catégorie : les bonobos et les chimpanzés. Chez les uns, ce sont les mâles qui dominent, chez les autres ce sont les femelles, et leur sexualité ne joue pas le même rôle : les conflits chez les bonobos sont souvent résolus par le sexe (mâle-femelle mais aussi entre spécimens du même sexe) alors que les chimpanzés utilisent la force et l’agressivité pour exercer leur pouvoir.

              La différence, c’est que les chimpanzés et les bonobos ne se fréquentent pas, et qu’ils sont séparés depuis un million d’années par le fleuve Congo, alors que l’espèce « hommes » a toujours beaucoup voyagé et s’est mélangée. D’où les malentendus !


              • ZenZoe ZenZoe 24 juillet 2023 10:30

                @Grincheux
                J’ai souvent l’impression d’ailleurs que l’espèce humaine s’est mélangée globalement en prenant le pire de chaque autre espèce, à part quelques spécimens pour qui c’est le contraire, mais qui sont trop rares.


              • Sirius Grincheux 24 juillet 2023 10:38

                @ZenZoe

                ils sont canonisés ?


              • ZenZoe ZenZoe 24 juillet 2023 12:11

                @Grincheux
                Surtout pas !


              • ZenZoe ZenZoe 24 juillet 2023 10:24

                Je vois l’agressivité plutôt comme une malveillance gratuite à l’égard d’autrui, quelque chose de négatif, ayant pour objet la destruction sans but ultérieur.

                Il me semble que le sujet de l’article est plutôt la combativité, qui elle est positive puisqu’elle a pour objet la conquête et la défense personnelles d’une place dans la société. Et oui, la violence en fait partie, qu’elle soit physique ou psychologique, il ne faut pas se voiler la face.

                Un individu timoré qui se sacrifie par peur de causer du tort à autrui vivra toujours frustré. De même, une société qui se laisse marcher dessus sans réagir est vouée au délabrement et à la destruction. Inversement, une montée de la violence aveugle et débridée a les mêmes effets et finira par éclater.

                La chose la plus difficile au monde est de trouver un compromis acceptable, qui s’appelle la civilisation....


                • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 juillet 2023 10:36

                  @ZenZoe
                  Tout à fait. D’où l’importance de mettre en place’ des codes, des limites et de tra&nsformer la foire d’empoigne en un jeu constructif et créateur. 


                • alinea alinea 24 juillet 2023 17:21

                  Tout à fait d’accord, avec le texte mais je pensais, à la conclusion.

                  Dans mon esprit c’est assez simple : l’agressivité qui pourrit la vie, y compris de l’agresseur, est une perversion d’une donnée vitale pour nous : savoir attaquer pour survivre, ou savoir se défendre. On n’a tellement plus d’instinct que tout se mélange, et l’attaque pour survivre devient l’agression d’une mémé pour lui piquer son sac dans lequel il n’y a pas grand chose, ou se défendre, tirer sur un passant parce que l’on est complétement parano !

                  Il faut trouver notre santé mentale ; et j’ai quelques idées... déjà sur les causes !! et c’est un vaste programme !!

                  merci pour ce texte, ça fait du bien de lire des réflexions...


                  • ddacoudre ddacoudre 25 juillet 2023 14:25

                    @alinea

                    Bonjour alinéa

                    Quand un enfant vient au monde il est neuf, il n’a hérité que de ses ascendants que ce qui a pu s’inscrire dans ses gènes au fil des siècles faire à mesure de ses nécessités, et il a ajouté à cela ce que nous appelons les acquis, dont nous intégrerons dans nos gênes que ceux qui ont fait preuve de leur indispensable utilité pour le développement et l’adaptation de l’espèce. Il est vrai que la génétique qui modifie les gènes nous pose des concepts moraux, tant qu’il s’agit de choisir la couleur des yeux, passe, voire la santé OK, mais si l’on pratique une forme d’eugénisme physique ou spirituel par la recherche de domination et de puissance c’est autre chose.

                    Or cette recherche-là a dirigé les hommes depuis presque 9000 ans, et toute tentative de pacification a échoué devant la pression de la répartition de la rareté. (produire ce que la terre ne donne pas sans travail, ou pas assez en abondance)

                    les hommes ont découvert l’altruisme au contact des femmes qui le tiennent de nature pour élever leur progéniture. Les premières puissances divines étaient des femmes qu’adulaient les hommes, car ils ne savaient pas qu’ils concouraient à la procréation. Avec les dieux anatoliens et autres de l’Asie Mineure, les codes changent et dans les évangiles la sainteté de la vierge Marie n’est que le rappel symbolique qu’il ne peut y avoir de vie sans les femmes. C’est le retour d’un hommage à sa capacité procréative qui engendre l’œuvre divine, le fils de dieu, Jésus Christ. C’est loin d’être une stupidité, cela relève même d’une bonne connaissance historique et de la condition humaine pour cette époque.

                    Malheureusement ceux qui relatent cela tous les dimanches n’ont rien compris, à la symbolique. Je me souviens d’une discussion avec un évangéliste à qui je disais ne pas croire au 21 siècle que Jésus était le fils génétique de dieu. Il me dit alors, tu n’es pas chrétien. Mais si je suis pour l’amour de son prochain, le pardon de ceux qui se trompent, la fraternité solidaire et la suppression des punitions, car Jésus a donné sa vie pour ce en quoi il croyait, pour régler une fois pour toutes les fautes des hommes de son sang pour que les hommes ne s’entre-tuent plus et pardonne.

                    Développer cela à cette époque était génial, et c’est toujours d’actualité, car les, chrétien et tous ceux qui sont attachés à la bible ont étaient les plus grands meurtriers de l’occident

                    aujourd’hui ne pas croire en dieu est une ineptie. Mais bien sûr pas celui du conte biblique qu’il faut trier, mais celui apparu avec le big bang grâce à la science et a ceux qui ont voulu découvrir la création du monde, n’étant plus convaincu par le conte infantile de la bible à l’adresse des analphabètes de ces temps, qui sont encore légions dans l’occident autour des littéralistes bibliques.

                    Si Dieu ressemble aux hommes, je ne préfère pas le fréquenter.

                    Aujourd’hui la Baryogénése est le nouvelle et conte fondateur, œuvre de rencontre de particule de matière et d’antiparticule, le barion resta seul et il explosa pour donner l’univers. Dieu aujourd’hui est avant cela et il est toujours indéfinissable, peu importe le nom que nous donnons à la création quand nous savons qu’un arbre n’est pas un arbre, et que les chiens pissent sur leur tronc sans le nommer. Comme nous la création existe, et les hommes ont vécu sans la nommer.

                    L’on peut donc comprendre combien sont navrantes nos guerres religieuses qui servent de prétexte pour s’approprier la rareté et combien il est prétentieux pour ne pas dire démagogique de rechercher la vérité du monde objectif que nous ne connaissons pas, celui où est supposée loger le dieu où se trouver la création. Pour ne pas avoir à s’interroger, tous ces croyants ont réhabilité Mammon le dieu de l’argent. Heureusement qu’il y a encore des femmes pour s’élever contre la société patriarcale et capitaliste.

                    Aujourd’hui elles manquent encore de connaissances historiques et n’ont pas de structures politiques. Bien sûr pas celles qui suppléaient les hommes aux commandes du modèle patriarcal capitaliste. On en a pour des siècles, mais c’est encourageant. Pour le moment elles sont exclues des grands médias si elles ne fustigent pas le mâle violeur, violent/meurtrier, harceleur sexuel, etc. Dans le monde il y a 40 000 décès de femmes par ans cela représente 0,0005 %, pas de quoi leur cracher dessus.

                    cordialement ddaoudre overblog


                  • vaietsev1 6 août 2023 11:17

                    @ddacoudre

                    aujourd’hui ne pas croire en dieu est une ineptie. Mais bien sûr pas celui du conte biblique qu’il faut trier, mais celui apparu avec le big bang grâce à la science et a ceux qui ont voulu découvrir la création du monde, n’étant plus convaincu par le conte infantile de la bible à l’adresse des analphabètes de ces temps, qui sont encore légions dans l’occident autour des littéralistes bibliques.

                    Si Dieu ressemble aux hommes, je ne préfère pas le fréquenter.


                    Cependant ,si c’est bien Dieu avec qui il peu nous arriver de parler , au vu de ce qu’il est si on l’écoute ,il est préférable de ne pas le fréquenter .

                    Dieu serait mort que je n’en serai pas surpris ,ou du moins si des années durant,Dieu aurait pu avoir l’apparence d’une petite fille dans son royaume qu’il gère et entretien comme il l’entend , parce qu’il aurait rencontré des gens assez malins ou sournois que lui ,il se serait enticher d’enfiler ses habits de très vieux hommes .

                    Aujourd’hui l’entendre si c’est lui cette voix dans nos oreillettes ,c’est se rendre compte combien il ne nous considère aucunement comme notre ami .

                    A ce moment là , Il est clair qu’il est pas de bonne compagnie ,Dieu est mort et perçois tel un chat toute les moindres petites choses ,et malgré le fait que le monde est changé ,et que celui là ne lui convienne pas ,le fait même que Dieu soit mort ,l’amène à rejoindre la cruauté des hommes ;allors à condamner ceux qu’il à pourtant aimé ,sauf si ce Dieu toute une vie n’a été autre que le diable des détails ,et sur ce point j’ai comme un doute .

                    Rien toutefois n’empêche de croire , mais au vu de la teneur de ce monde ,de tout ses interdit ,de toute ses nocivité y compris dans ce qui est beau ,comment ne pas croire que Dieu n’est autre chose que le mal ,d’abord car il y vis au plu haut ici ou est Dieu ,dehors alors .

                    Dieu à t’il toujours été un moderne peut on en conclure . ?


                    Vassily 


                  • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 août 2023 14:10

                    @ddacoudre
                     
                     ’’aujourd’hui ne pas croire en dieu est une ineptie.’’
                    >
                     Vraiment !? Je dirais plutôt le contraire.
                     



                  • ddacoudre ddacoudre 8 août 2023 10:02

                    @vaietsev1

                    Bonjour, dieu ne peut pas mourir ; dieu c’est la création de l’univers, comment nous œuvre de cet univers pouvons nous dire que dieu est mort. Quand nous disons cela nous affirmons que nous ne croyons pas à la représentation que les hommes en ont donnée il y a 4000 ans avec Shamas le dieu de Mari, puis avec celui des juifs. Ces hommes n’étaient pas des sots, tant s’en faut. Ils ne disposaient pas des savoirs qui sont les nôtres aujourd’hui. Et il n’est pas dit que dans que »laques siècle ce soit nous qui passions pour des sots.

                    Cordialement. ddacoudre overblog


                  • Tzecoatl Tzecoatl 25 juillet 2023 12:15

                    L’agressivité s’exprime beaucoup chez les individus carencés en magnésium (80% de la population américaine par ex). Cela provient de la consommation d’alcool, la transpiration, la perte de minéraux dans les productions agricoles industrialisés ou plutôt la malbouffe. D’ailleurs, il n’y a pas de test fiable à ce sujet, le magnésium allant dans les cellules et non dans le sang.Par ailleurs, la nicotine (certains légumes) permet de contrôler les nerfs.

                    L’excès de cholestérol est également source d’agressivité, et dans une moindre mesure, l’excès d’iode, le stress oxydatif.

                    On pourra sans doute évoquer d’autres substances (drogues, etc), mais c’est un domaine qui m’est inconnu.

                    Bref, connaitre ces simples faits permet objectivement de la contrôler en partie.

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