Quelques réflexions sur l’affaire JDD
Le bras de fer entre M. Bolloré et les membres de la rédaction du Journal du Dimanche s’éternise. L’absence de ce journal dans les kiosques en laissera indifférent plus d’un, dont je fais partie. Mais ce conflit peut inspirer quelques réflexions de plus ou moins bon sens, des litotes convenues. Voici les miennes.
Dans une entreprise, c’est le capital qui nomme les dirigeants, en général indirectement via un conseil d’administration. Que cela plaise ou non aux salariés, c’est ainsi depuis qu’existe le concept de société. L’expérience des soviets n’a rien d’enviable nonobstant ce qu’en pensent quelques rescapés du Stalinocène, sans doute en voie d’extinction. Les salariés qu’un dirigeant ne satisfait pas ou plus sont libres de coller leur démission et de partir vers un pré localisé là où l’herbe est plus verte. Et il n’y a pas de raison objective pour que dans des entreprises de presse, ce soit différent.
Le sectarisme quasi univoque dont témoigne le microcosme politico-médiatique prompt à fustiger l’orientation du JDD souhaitée par son actionnaire est bien triste. Il fleure bon son Louis Antoine de Saint-Just et son mantra « pas de liberté pour les ennemis de la liberté ». Le quasi monopole d’une bien-pensance se sent si fort qu’il prétend interdire toute concurrence ! C’est littéralement un abus de position dominante, avec d’éventuels recours à la puissance régalienne1 quand celle-ci devrait s’abstenir au nom d’une très hypothétique neutralité de l’état. N’oublions pas en outre que dans ce monde orwellien, les censeurs se proclament généreusement les défenseurs de la démocratie.
Il serait temps de poser un constat qui répugne à toutes ces belles âmes : la prestation de service de diffuser une information (fiable ?) devrait être rémunérée par un acte de commerce. Sauf que quand les médias n’inspirent plus confiance, la diffusion payante diminue et les recette publicitaires chutent. Le traitement normal dans une entreprise serait de tenter d’augmenter les revenus en inspirant plus de confiance à plus de gens. Mais nous sommes en France, l’argent public n’y est pas rare. Il se déverse très généreusement : subventions au numéro, TVA réduite, tarifs postaux préférentiels, déduction fiscale des journalistes : c’est pas cher, c’est l’état qui paie ! Faut-il voir dans cette dépendance financière des médias une explication à leur docilité à un discours public qui ressemble souvent à de la propagande ? Que nenni, quel affreux soupçon ! L’argent public français ne saurait en rien être corrupteur ! Pourtant suivre l’argent permet d’identifier bien des allégeances.
Soyons clairs : il y a des médias qui parviennent tant bien que mal à faire financer leur fonctionnement par la diffusion payante, le don et la publicité commerciale, sans user de toute la palette de ces expédients onéreux pour le contribuable. Il est même possible de lancer de nouveaux médias : TVL, Boulevard Voltaire et Médiapart en sont des exemples. C’est aux médias eux-même d’inventer un modèle d’affaire robuste.
Il se publie périodiquement des visuels qui cartographient qui détient quels médias en France. Et le constat est clair, quelques richissimes concentrent des intérêts dans des titres privés parmi les plus importants. Dans un monde libéral, il est choquant que ces oligarques ne jouent pas leur rôle d’actionnaire en renflouant leurs titres via leur patrimoine. Mais ce serait en toute logique à l’état de ne pas les laisser profiter du beurre, de l’argent du beurre, des fesses de la crémière et de l’exploitation de son fond de commerce !
Le « Je te tiens tu me tiens par la barbichette » entre média et politique a assez duré. Quand un homme politique au pouvoir se décidera-t-il à couper clair ces financements publics ? Quand des autorités de régulation lutteront-elles contre cette concurrence déloyale qui érige des barrières à l’entrée inéquitables ?
Illustration par RichardDrawings via Pixabay, libre de droits.
1https://www.telerama.fr/debats-reportages/greve-au-jdd-la-redaction-demande-a-emmanuel-macron-de-prendre-position-7016383.php
24 réactions à cet article
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« N’oublions pas en outre que dans ce monde orwellien, les censeurs se proclament généreusement les défenseurs de la démocratie. »
Et ces censeurs n’hésitent pas à critiquer et à calomnier violemment les concurrents, comme les journalistes de Libération qui attaquent ouvertement l’empire du « catholique Bolloré », aidés par des ministres progressistes comme Pap Ndiaye, qui qualifie Bolloré de militant proche de l’extrême-droite.
Je n’ose même pas imaginer une seule seconde ce qui serait arrivé si un média dit de droite avait critiqué le monopole des média (Libération, l’Express, BFM TV, I24 News, RMC, ...) détenus par la gauche progressiste et internationaliste du juif Patrick Drahi.
On aurait immédiatement crié à la haine antisémite des fachos d’extrême-droite catholique néo-nazie !
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C’est aux médias eux-même d’inventer un modèle d’affaire robuste.
On est d’accord, mais ce n’est pas le sujet dans l’affaire du JDD. Comme vous l’évoquez justement, depuis quand ce sont les salariés qui décident de l’orientation commerciale d’une entreprise ? Peut-on imaginer une grève car les salariés ne sont pas d’accord avec la mise en production de tel ou tel article, ou pas d’accord avec l’ouverture d’une succursale dans telle ou telle ville ? C’est hallucinant !
Si on marchait sur la tête, tous les grévistes devraient être virés pour insubordination. Libres à eux ensuite de monter une coop, ou pas...
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Si on ne marchait pas sur la tête je voulais dire...
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Mais nous sommes en France, l’argent public n’y est pas rare. Il se déverse très généreusement : subventions au numéro, TVA réduite, tarifs postaux préférentiels, déduction fiscale des journalistes : c’est pas cher, c’est l’état qui paie !
C’est pas faux mais il en manque un gros bout. Certes l’etat subventionne la presse, mais elle perd tout de meme du pognon. Et si ca implique bien sur une forme de controle, au moins ce controle est dilue par des regles de fonctionnement qui ont une forme d’universalite republicaine.
Ce sont nos oligarques qui financent et controlent en premier lieu les medias, pas les politiques. Les grevistes du JDD l’ont d’ailleurs bien compris
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Demain les élections en Espagne. Le socialiste Sanchez qui avait voulu rabaisser l’âge pour les opérations de trans a fait exploser la colère du peuple espagnol. L’extrême droite va gagner et rendra le LGTBétisme illégal !
A la niche les gauchiottes LGTBQ ! Une belle claque en perspective pour la macronie qui va comprendre le mot « Revuelta ».
Bravo à toi peuple espagnol !
Sólo VOX se atreve a un cambio de rumbo !-
Le parti VOX va jeter aux ordures le féminisme, le LGTBétisme, les bienpensants et l’immigrationnisme ! Une belle lueur d’espoir et une belle récompense pour tous leurs militants en Espagne et en Europe !
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@Joséphine
Caramba ! encore raté !!!Les résultats vous contredisent, les nostalgiques de Franco n’auront pas la majorité, vous pouvez manger votre croix gammée !
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L’affaire du JDD montre encore une fois d’où vient l’intolérance crasse. Ils me font rire ces gauchos qui parlent d’amour et de tolérance....
Ca sent le roussi pour le camp du Bien.
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Bonjour, Rémy
Vous opposez le modèle patronal au modèle « soviet ».
Désolé, mais il y existe des sociétés coopératives ouvrières (Scob) qui fonctionnent très bien.
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Bonjour @Fergus
Oui, ça existe. C’est rare, et je ne crois pas que ce modèle existe dans la presse ou les médias en France. De même, il existe par exemple en Allemagne un partage de la gouvernance beaucoup plus sain qu’en France et qui permet d’aligner l’entreprise sur du « bien commun ». C’est bien sûr moins perceptible dans les très grandes entreprises allemandes, mais chez eux ils ont un tissu d’entreprises moyennes et familiales bcp plus denses. In fine, l’arbitrage c’est toujours le capital qui le prend, mais l’avantage découle de la culture du consensus et du débat pour y parvenir. -
@ Rémy Mahoudeaux
Je partage très largement votre commentaire.
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@Rémy Mahoudeaux
Les séquelles d’une gauche qui prétend que le compromis est de la compromission la discussion est de la connivence, signer des accords et de la complicité.
Et cela depuis la scission du Congrès de Tours qui entérine la création du futur PCF (SFIC) et du futur PS (SFIO). Ce n’est donc pas nouveau, Mélenchon ne fait que rejouer la fable des vrais de la gauche et des sociaux traitres. Sociaux traitres qui doivent se rallier ou mourir ... Et là, c’est réussi, pour une fois ...
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Ajout :
De Gaulle avait bien vu le problème, il a bien essayé avec la participation de casser le modèle français d’opposition syndicat/patronat. Mais ce fut un échec relatif, même s’il reste quelques séquelles. L’objectif de créer un « actionnariat ouvrier » qui puisse contrebalancer la puissance du patronat est resté dans les cartons ....
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@Aristide
parmi les erreurs de de Gaulle il y a le paritarisme mis en place en 45 pour gérer la protection sociale dont j’ai du mal à imaginer qu’il ne soit inéluctablement corrupteur, et l’abandon de l’instruction au communistes. La loi sur la participation est une usine à gaz de fonctionnaires français qui s’imaginent plus intelligents que les autres et veulent réinventer le fil à couper l’eau tiède. Manque de pragmatisme ! -
@Fergus
SCOP (Société COopérative et Participative)
Mais je vous confirme que ça fonctionne très bien, j’en ai une qui bosse chez moi en ce moment et c’était un choix délibéré.
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Le SDJ du JDD est composé exclusivement d’anciens diplomés en socialisme (Journalisme) de l’école de journalisme de Lille, ou l’endoctrinement Marxiste est donné matin, midi et soir.
Imaginez des gens ou dans cette école on a refusé aux gens de droite de s’exprimer sur le campus, ou l’étique est le militantisme et le journalisme n’est qu’une facade a la fabrique de militants propagandistes.
Bref un petit monde sectaire de miltants d’extreme gauche qui refusent qu’il existe autre chose que les utopies marxistes sur terre.
Ce pseudos-journalistes ne se sont que des ordures de militants qui sont dérangés d’avoir a bosser autrement que dans leur petit monde et ont peur de proposer autre chose que des sujets de racisme anti-riches, des sujets ecolos-anxiogène débiles, des sujets de migants multirécidivistes outrageusement agressé par des forces de police qui leur empechent de faire leurs traffics et moults sujets d’extreme gauche exclusifs ?
Pour eux sortir de la secte ou ils ont baigné depuis leurs études en marxiste de l’école de journalisme de Lille c’est trop compliqué..
Pour eux, c’est tuer Stalinette, Che Guevarette, et Mélenchinette leurs 3 la vaches sacrées.
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@Spartacus Lequidam
On se calme. JDD est une serpillière de droite dont la seule utilité est de passer la bonne parole du pouvoir de droite. Ce qui revient à dire qu’il n’a aucune utilité journalistique réelle.
Alors voir la droite faire grève parce qu’on lui colle un chef un peu plus à droite qu’elle, ça fait doucettement rigoler certains dont je suis.
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@Spartacus Lequidam
Bien vu, mais insuffisant.
Comment vous expliquez que ces journalistes marxistes sont sélectionnés et employés par toute la crème du capitalisme mondialiste et que ces journaux sont gavés de publicité et de subventions ?
Parce qu’il n’y a pas de journalistes de droite ? Allons donc, ceux qui existent sont ostracisés et empêchés de travailler (sauf dans le groupe Bolloré). En plus, il y a des millions de personnes qui ont suivi des études supérieures et qui pourraient très bien les remplacer rapidement. Ils n’auraient pas forcément une formation de journaliste à la base, mais avec de solides connaissances littéraires ou historiques, ils feraient parfaitement l’affaire.
Pourquoi la plupart des multinationales adoptent-elles le wokisme et font-elles des publicités pour le métissage, les LGBT et les trans, sujets d’extrême-gauche s’il en est ?
Vos chers leaders capitalistes sont avant tout des cinglés et des pourritures de mafieux. Ils nous préparent un avenir d’esclaves digne de l’Egypte antique. Ils s’en vantent même :
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-plan-kalergi-genocide-des-172751Marx était un cousin des Rothschild, il était leur créature dès l’origine. Ils se sont servi des communistes comme d’idiots utiles pour renverser les régimes hostiles à leur domination, comme les islamistes ont été utilisés par la CIA pour renverser les régimes laïcs arabes trop indépendants ces dernières années.
Si vous ne le voyez pas, c’est que vous le faites exprès. -
@berry
Vos propos sont non objectifs et ne connaissez pas la réalité économique.
Nous somMes une société socialiste qui s’ignore sous Macron.
La déficition serait une « économie de favoritisme de l’état ».Les gens de droite sont souvent dans le secteur privé, des petits patrons, des ouvriers, des indépendants et des entrepreneurs et parfois aisés mais les riches sont souvent à gauche.
Ce sont des gens qui acceptent la concurence et la liberté de penser.Aux USA, les boss des sociétés des reseaux sociaux ont étés ouvertement à gauche, comme patron de média puissant Bloomberg c’est présenté à gauche.
Vous ignorez que les très riches sont souvent à gauche, car seul le socialisme ou l’interventionnisle d’état préserve leurs intérets et crée des lois qui favorisent leurs monopoles. C’est particulièrement vrai dans la presse.
En effet dans une société capitaliste, la concurence régule l’offre et la demande, mais le socialisme est de l’interventionnisme étatiste et fausse la concurence, c’est l’état qui fait la richesse, pas le marché.
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Pigache, Banquier est de gauche, sa banque dépens des déttes d’état et est spécialisé dans le reconstruction de dettes d’états.
En achetant Le Monde, son interet est la politique de gauche pour endetter le pays, puisque lui finance les états. Son interet c’est la gauche.Le Boss de Free, ou Bouygues, ou SFR patrons de presse ont des intérets de pOlitiques de gauche, ils sont tributaires des droits de diffusion de leurs sociétés télévisées et sociétés telephoniques.
Avec un état remplis d’interventionnistes et de socialistes qui s’ignorent, le déluge de lois oblige des nouveaux concurent a avoir un niveau d’entrée si elevé qu’ils ont avec des politiues socialiste une rente.
L’interventionnismle de l’état leur assure un monople d’entre soi, le socialisme inteventionniste ou comme actuellement l’économie de favoritisme de Macron est bon pour le Business de leurs sociétés.Les joiurnalistes sont a la recherche de notoriété et de diffusion, ils doivent attaquer ceux qui ne se défendent pas, comme les flics ou les riches, mais peuvent difficilement dire qu’il faut renvoyer les Afghans mêmes si ils constatent qu’ils sont les premiers violeurs et agresseurs de femme proportionellement à leur nombre.
Les journalistes font des études « litéraires » et sont diplomés en socialisme. Ils ont appris Zola, les misérables, Marx a haute dose, ils sortent endoctrinés de socialisme de l’école. Ils sont totalements ignorants de Julian Simon, de Leonard Reed de Bastia ou d’économistes libéraux et ont un niveau come la population proche de zero en éconmie.
Les journalsites de droite en général ne sortent pas des écoles de journalisme et ils y en a fois moins que ceux de gauche
Dans les rédactions, c’est la tyrannie du bien, puisqu’a gauche on est très condescendant on vit dans l’utopie et on se prend pour meilleurs que les autres parce qu’on a plein d’idée avec l’argent des autres alors que se sont les pires egoïstes
Y’a pas plus radin qu’un prof de gauche. -
@Spartacus Lequidam
Mékilékon !
Ou cinglé !
Enfin , un fidèle de ce site aux idées arrêtées !Et les dirigeants US sont aussi de gauche : démocrates , républicains ?
Pour certains , ce qui vient après 1789 c’est la gauche .
Et oui les francs macs sont de gauche , même Louis XVIPinochet , propulsé par Reagan et Thatcher , sont ils de gauche eux aussi selon vous ?
Et Ph. Pétain de gauche ?Bon, je vous laisse dans votre lisier .
Rien à foutre des délires envahissants de certains !
Les fous deviennent majoritaires dans nos sociétés développées.Les séniles itou si j’observe ceux qui ont le pouvoir outre Atlantique !
Cela dit la démence ça concerne tous les âges .
Le vrai dément c’est celui qui tenant les rênes d’un pays , ne peut s’en passer .
ou qui ne peut s’empêcher de répéter toujours les mêmes conneries .
Ou tant qu’on ne lui ferme pas sa boite à camembert .Mais pour en faire quoi ?
Ca prouve donc qu’il y aurait comme un « malaise dans la civilisation » ....
Ou que les asiles , ne protègent plus de rien .
Ou qu’on a retourné les murs ... !Après tout étymologiquement , un asile c’est un endroit où l’on peut se réfugier .
C’est donc logique qu’on ait inversé leurs fonctions ....
.....Mais bon , avec un clavier et une souris on ne tue pas .
X 100 000, je ne sais pas .... !Tant que les gens croient !
A certaines idéologies , politiques , économiques ou religieuses ....Les idéologies avec leurs fanatiques ça tue : c’est prouvé dans l’histoire ....
La branlette individuelle ça ne salit que les draps et tant qu’on dispose d’une machine à laver avec des compteurs eau/électricité qui fournissent, ça baigne !
Faut simplement payer les factures !Et puis demain ce sera un autre jour avec des flopées d’articles passionnants , de commentaires tout autant , et de gens originaux et inspirés ....
Une journée , c’est 24 heures à passer ?
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@Spartacus Lequidam
Je ne crois pas aux explications purement économiques et politiques pour expliquer le fonctionnement de la société et le chaos actuel dans tous les domaines.Quand la jet-set, des patrons de grandes sociétés ou des présidents en exercice, comme Clinton, prennent leurs vacances sur l’ile aux pédophiles de Jeffrey Epstein et son temple sataniste, ou se pressent aux diners de Marina Abramovic pour participer à des simulacres (ou des répétitions ?) de cannibalisme et d’assassinats, il y a forcément des motivations autres que le simple jeu de la concurrence économique et des sensibilités politiques. C’est tout un réseau de corruption, de compromission et de chantage qui est à l’oeuvre. Une vraie secte sataniste, avec une volonté d’enrichissement et de domination sans limites.
Ils ne s’en cachent pas vraiment, en fait. Ils nous prennent tellement pour des imbéciles qu’ils se permettent de s’en amuser et de le montrer.
https://www.medias-presse.info/les-rothschild-et-le-satanisme/156413/ -
Petit rappel pour les plus jeunes ! ( komdab’ )
En 1981 lorsque la « gauche » caviar a gagné LE Pouvoir, un cri de frayeur dans le monde des media :
pas de chasse aux sorcières — pas de chasse aux sorcières...
c’était Libé, LO et les opposants à Radio-France, TF1, Antenne 2 et FR3
comme le monde a changé !
Avant je ne lisais que Libé, Le Monde, Le Canard
j’exécrais Le Figaro
Un tour de table, long de 40 ans, plus tard... je suis passé à... « l’opposition ».
J’ai même failli m’abonner à VA mais après l’affaire Lejeune, D’Ornellas...
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Quand un homme politique au pouvoir se décidera-t-il à couper clair ces financements publics ?
Le financement public permet de recycler ceux qui « ont servi »... tous n’ont pas accès au Conseil Constitutionnel, aux Conseil d’Admin. des grandes sociétés du CAC40 etc...
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Remontons un peu les pendules :
Partis politiques et syndicats :ressources uniquement fournies par les adhérents, seule facilité de l’état, exonération de la TVA.
Presse écrite : financements par les lecteurs et la pub. Aucune aide de l’état sauf exonération partielle frais postaux , statut privé entier aux journalistes, possibilité auto-entrepreneur.
Chaines TV : aucune aide de l’état, financement pub et abonnement éventuel Chaines infos TV et radio, sauf une, sous contrôle du parlement et de la cour des comptes, avec pouvoir d’application, toutes les autres, privées
Culture, cinéma, production audiovisuelle, spectacle, exonération TVA. Aucune aide de l’état, financement privé, statut auto-entrepreneur en lieu et place de celui d’intermittent
Allez, un peu (beaucoup) d’économies et de justification des résultats
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