Qui dit vrai ? Pandémie, Raoult, Santé
Qui dit vrai ? Pandémie, Raoult, santé
Sommes-nous lucides, clairvoyants, conscients ou plutôt aveuglés, enfumés, dans l’obscurité de la conscience. N’avons-nous pas perdu contact avec la réalité ?
Pour tenter de répondre à cette question, je vous propose d’approfondir le comportement humain de trois catégories de personnes :
- 1 L’opportuniste arriviste
- 2 Le réaliste bienveillant
- 3 et les autres
L’opportuniste arriviste
Le mot arriviste a une connotation négative. Cela fait penser à une personne qui aurait une revanche à prendre sur la vie et qui va consacrer toute son énergie à réussir socialement, à avoir de l’importance, du pouvoir, des honneurs. Il est donc essentiellement axé sur sa réussite personnelle. Animé par un esprit de compétition marqué, il n’hésitera pas à écarter sans scrupules tous ceux qui se mettent sur son passage
Le mot opportuniste indique la capacité à utiliser tous les moyens et toutes les circonstances pour arriver à ses fins : la malléabilité psychique, le sens de l’adaptation, l’intelligence, la ruse, l’ingéniosité, l’instinct sont mis à profit pour la concrétisation des ambitions.
L’arriviste est complètement habité par son désir d’ascension personnelle. Comment perçoit-il la réalité du monde extérieur ? Il pense qu’il y a d’un côté les personnes qui réussissent, de l’autre ceux qui échouent et ceux qui s’en sortent comme ils peuvent. Il admire les puissants et cherchent à devenir comme eux. Pour cela, de façon instinctive, il va adopter leur comportement et faire du zèle pour se faire remarquer en adoptant leurs idées et en défendant leurs intérêts. Le summum est de parvenir à intégrer le cercle fermé de l’élite mondiale s’il se montre suffisamment talentueux.
La vision des choses que va adopter l’arriviste est celle qui va servir le mieux ses ambitions. La seule vérité qui a de l’importance à ses yeux c’est celle qui est établie par les puissants. Ils ont forcément raison parce qu’ils sont les plus intelligents et les plus compétents. La question de savoir si cette vérité est conforme à la réalité ne se pose pas. Elle est escamotée. Le doute n’est pas permis. Tenter d’objectiver en faisant preuve d’esprit critique est complètement contreproductif. Seul compte le point de vue qui fait avancer les intérêts de l’élite. Pour désamorcer toute contestation, un discours est savamment construit pour la discréditer et pour apparaître les champions des valeurs morales attendues par tous. Exemple : « L’utilisation des OGM en agriculture représente une avancée formidable. Elle permet de produire une plus grande quantité de nourriture tout en garantissant la qualité. Ainsi la fin dans le monde pourra être éradiquée et de nombreuses populations pourront être sauvées ».
L’arriviste est aveuglé. Il ne voit la réalité qu’à travers le prisme déformant de ses passions. La réalité qu’il fabrique est destinée à mieux les assouvir.
Le réaliste bienveillant
A L’opposé de notre arriviste, le réaliste fait preuve de jugement, de modération. Il ne laisse pas ses passions prendre le dessus. Il écoute sa raison. Qu’il soit ambitieux ou pas, il cherche avant tout à comprendre avec honnêteté ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Il se donne le temps de la réflexion et avec l’expérience, il parvient peu à peu à mieux comprendre les êtres et les événements.
La bienveillance est une disposition d’esprit qui indique une attitude constructive et bien intentionnée vis-à-vis d’autrui. Le bienveillant saura trouver les mots qui font du bien à l’autre, qui vont le soulager, l’aider à grandir, à surmonter les épreuves.
Il est dit que « Il n’y a que la vérité qui blesse ». Peut-être mais on dit aussi « La vérité n’est pas toujours bonne à dire ». En effet, les vexations améliorent rarement les relations humaines, tout comme celui qui clame trop fortement la vérité risque de se faire exécuter comme l’a si bien chanté Guy Béart. Si le premier a tendance à toujours manipuler la vérité à son avantage, le second, lui, sait faire preuve de diplomatie pour trouver les mots que l’autre a besoin d’entendre pour son bien.
Il est bien évident que le bon gouvernant est le réaliste bienveillant qui n’a, à l’esprit, que le souci du bien commun.
Dans quelle catégorie se situent nos gouvernants ?
Dans les sociétés traditionnelles qui ont connues une certaine stabilité et la paix sociale, les gouvernants étaient principalement bienveillants. Ce n’est qu’à la fin, quand la cohésion sociale s’effrite, que la corruption et les guerres intestines se développent et que les valeurs fondatrices sont bafouées que des opportunistes de tout poil sortent de tout côté pour s’emparer du pouvoir par la force ou la ruse pour donner libre cours à leurs passions, combler leurs frustrations ou déverser leur haine en accaparant tous les pouvoirs et toutes les richesses restantes tant qu’il en est encore temps.
Aujourd’hui, avec l’effondrement des structures traditionnelles et l’avènement de la modernité, ce sont graduellement tous les arrivistes qui peu à peu prennent le dessus à l’échelle mondiale. Ceux qui ont aujourd’hui le vrai pouvoir (la haute finance) sont des personnages à l’hubris démesurée, une bande de criminels aux prétentions sans limite qui tissent dans l’ombre leurs réseaux mafieux tout en se cachant derrière une façade d’honorabilité.
Nos gouvernants, animés par le seul désir de briller, ne sont devenus que de simples pions choisis par nos élites mondialistes corrompues pour exécuter leurs plans. Ils se trouvent dépossédés de tout pouvoir réel. Tous leurs adversaires politiques de droite comme de gauche n’auront pas plus qu’eux la capacité de changer les choses car, pour parvenir aux plus hautes fonctions, il faut faire allégeance, se soumettre aux règles sous peine de se voir laminé par la meute médiatique. Toutes les institutions sont noyautées et verrouillées réduisant les marges de manoeuvre à leur plus simple expression. Etre gouvernant aujourd’hui consiste en un savant jeu d’équilibriste destiné à satisfaire au mieux les maîtres de la finance sous peine de rappel à l’ordre cinglant (rétorsions financières, provocation de troubles sociaux, révélations d’affaires), tout en tentant de résoudre au mieux les questions économiques et sociales pour garder la confiance de la population et les amener à mieux la soumettre aux règles sensées les protéger.
Il est interdit à l’Europe de rêver à une quelconque indépendance qui lui permettrait par exemple de renforcer son potentiel économique en se tournant vers les puissances de l’Est. Elle se voit condamnée à subir la loi de son grand frère de l’Ouest ce qui réduit ses potentialités. Cela ne l’empêche pas de clamer le contraire avec force pour mieux masquer cette réalité.
Et le peuple (les autres)
Nous avons les gouvernants que nous méritons. Si nous en sommes arrivés là c’est que nous cherchons avant tout à profiter au mieux de la société de consommation et de tous les avantages qu’elle procure. Nous nous battons pour être du bon côté, celui de ceux qui réussissent. Nous nous déresponsabilisons en délégant de plus en plus toutes les questions importantes à des professionnels, experts scientifiques et autres spécialistes.
C’est parce que nous ne faisons plus l’effort de comprendre la vérité que l’on finit par nous en servir une toute préfabriquée sur un plateau. C’est celle, justement, qu’on a envie d’entendre et qui va nous permettre d’améliorer notre situation grâce à l’état providence. On veut bien, à la limite, consentir encore à faire quelques efforts si c’est pour nous protéger de dangers vraiment très angoissants.
Les médias exercent sur nous un vrai pouvoir hypnotique. Tout en nous distrayant, ils agitent sans cesse toutes sortes d’épouvantails alarmistes et nous inondent de données contradictoires et superficielles ou savantes semant la confusion et la peur dans nos esprits. Et au final, ils nous distillent en douceur une pensée unique bien formatée destinée à nous rassurer et à laquelle nous adhérons avec plus ou moins de bonne volonté.
Et la pandémie dans tout cela !
Tout ce cirque sanitaire n’a qu’un seul objectif qui se précise chaque jours un peu plus. Il n’est pas de nous protéger contre un virus qui n’est pas plus dangereux que les autres virus de la grippe, mais de mettre en place une opération préparée de longue date. Des simulations à grande échelle de pandémie au covid19 ont été réalisées en 2019 en partenariat avec les autorités sanitaires et les grands laboratoires pharmaceutiques.
En créant une psychose avec ce virus, l’objectif est de faire d’une pierre deux coups :
- Rendre la vaccination obligatoire au niveau mondial dont l’objectif réel est de nous obliger à accepter le traçage numérique de tous, soi-disant pour s’assurer que nous serons bien tous vaccinés pour une protection maximum. Mais, en fait, il servira surtout à mieux nous contrôler.
- Créer une crise économique mondiale par des mesures de confinement généralisées. Nos élites ont bien anticipés cette crise qu’ils ont euxmêmes provoqués. Cela leur permet, tout en protégeant leurs avoirs, d’accroître leurs monopoles en cassant la concurrence, de provoquer la ruine de nombreuses PME renforçant les grands groupes qu’ils contrôlent, d’accentuer la numérisation de l’économie et enfin d’affaiblir le pouvoir des nations par le mécanisme de la dette.
Comme par hasard, tous ces nouveaux mécanismes se sont mis en place instantanément dès l’apparition de la pandémie. Et, tout d’un coup, nous avons été avertis que le monde ne serait plus comme avant. Brusquement ce coronavirus covid19 a acquis un statut bien particulier. « Il est différent ». Chaque année de nouveaux virus inconnus apparaissent mais ils n’émeuvent pas plus que ça nos sommités médicales. Non, c’est de celui-là dont il faut s’en méfier comme de la peste parce que, soit disant « on ne le connait pas » on ne peut pas savoir comment il va réagir. C’est une vérité qui a été décidée en haut lieu et à laquelle nous devons tous nous conformer sous peine d’être accusés de faire partie de la sphère complotiste qualifiée de particulièrement nocive. Nos élites sont passées maîtres dans l’art de l’inversion accusatoire que traduit bien le fameux diton « c’est celui qui dit qui l’est ».
Le Pr Raoult nous indique que cette année la grippe, coronavirus inclus, n’a pas fait plus de victimes que les grippes saisonnières habituelles. Il remet en cause également l’utilité d’un vaccin. . Cela va bien dans le sens de mon propos C’est une attitude que les autorités ne sauraient tolérer. S’il ne revient pas sur sa position, il risque la radiation de l’ordre des médecins. Certes, c’est un homme de terrain expérimenté. Mais, ne risque-t-il pas, au final, de contribuer à renforcer la version officielle s’il finissait par rentrer dans le rang en nuançant fortement son propos. En effet, ira-t-il jusqu’au bout de ses convictions au risque de scier la branche sur laquelle il est assis.
Et si nous arrêtions de nous mentir et de nous faire manipuler. Jamais un traitement chimique ni un vaccin ne nous protègerons d’une quelconque maladie infectieuse. Ce n’est qu’en nous prenant réellement en charge au niveau de notre santé, en augmentant nos ressources vitales, en renforçant notre système immunitaire que nous y parviendrons.
Nous savons tous qu’il y a des domaines dans lesquels de grands progrès doivent être faits :
- La pollution atmosphérique dans les grandes agglomérations provoque des inflammations chroniques des voies respiratoires surtout lors des refroidissements hivernaux.
- Les mauvaises conditions de vie de nos ainés dans les EHPAD.
- La mauvaise qualité de l’alimentation dans les établissements de soins alors que des sommes folles sont dépensées en matériels hyper performants et maintenant pour tout aseptiser.
- Les élevages industriels, premiers responsables de la propagation de virus pathogènes. Nous ne devons pas oublier que les industriels français ont fait de bonnes affaires en vendant leur savoirfaire en matière d’élevage industriel à la Chine. Ils ont fait de même en matière d’épidémiologie (laboratoire P4 de Wuhan). D’ailleurs, il n’est pas question qu’aujourd’hui les chinois nous devancent dans tous ces domaines dans lesquels nous leur avons tout appris. La coopération n’est pas à l’ordre du jour. Il nous faut garder le dessus. C’est pour cela que la diabolisation va bon train pour discréditer ce pays avec de fausses accusations.
- Nos habitudes alimentaires : il nous faut méditer sur le point suivant « Nous devenons ce que nous mangeons ». C’est une erreur de ne voir dans un aliment que sa composition chimique. Sa valeur énergétique a également beaucoup d’importance. Que va-t-il nous arriver sur le plan santé si nous mangeons des animaux élevés en batterie, traités avec des antibiotiques ? Nous allons développer à partir d’un certain âge des maladies qu’ils auraient eux-mêmes développées s’ils n’avaient pas été tués prématurément. Ce ne sont pas que des protéines que nous mangeons. C’est aussi une part de leur être. Il en est de même pour tout ce que nous mangeons.
Conclusion
Il est vain d’essayer de se protéger des virus. Si nos ressources sont diminuées et si nous parvenons à échapper à un virus c’est un autre que nous allons attraper si notre terrain est propice au développement d’une infection. Nous ne pouvons vivre dans une bulle aseptisée, ce qui d’ailleurs nous fragiliserait encore plus. Nous devons nous immuniser naturellement contre toutes les agressions du monde extérieur. Créer des artifices (médicaments chimique, vaccins) en prétendant qu’ils nous protègeront mieux que notre organisme pourrait le faire de lui-même n’est qu’une escroquerie qui rapporte gros à ceux qui savent l’exploiter. Seules des substances naturelles connues de longue date peuvent nous donner un coup de pouce lorsqu’elles sont utilisées à bon escient.
Le seul médecin en qui nous pouvons avoir confiance, c’est notre médecin intérieur. C’est notre instinct, nos ressources vitales. Nous devons prendre confiance en notre jugement et en notre capacité à gérer notre santé par nous-même par des méthodes naturelles. Selon les grands spécialistes de la santé qui n’arrêtent pas de nous infantiliser, nous serions tout-à-fait incapables de savoir par nous-même ce qui est bon pour nous. Notre bon sens n’aurait aucune valeur et ne pourrait nous conduire qu’à faire des erreurs. C’est le contraire qui est vrai. Tous ces grands pontes, imbus d’eux-mêmes, enfermés dans leur savoirs parcellaires sont en fait de grands ignorants des facteurs naturels de santé. Personne ne peut savoir mieux que nous-même ce qui nous convient. Nous devons apprendre à nous écouter, à nous connaître et à comprendre ce qui est bon pour notre santé. Mais nous le savons déjà en grande partie. Nous devons aller jusqu’au bout de cette démarche en prenant confiance en notre capacité de nous gérer par nous-mêmes et en nous libérant de toutes les peurs dans lesquelles on nous enferme pour nous empêcher de gagner en autonomie.
Il nous faut maintenant apprendre à vivre en bonne intelligence avec les virus et nous n’aurons plus aucune raison de les craindre.
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