Renaud Bouchard : élection présidentielle 2022. Appel et adresse à au moins 10 000 000 d’électeurs et 42000 élus de France
« La communication a toujours été de guerre. Elle est née dans ce cadre-là, elle n’a jamais servi qu’à cela, particulièrement en « temps de paix ». Sa vérité ne réside jamais dans ce qu’elle dit, mais dans les opérations qu’elle mène et qui sont aussi lisibles qu’un secret au milieu du visage. Tant pis pour ceux qui n’y voient rien. »
Il existe une aporie entre une conception anthropologique qui part d’un homme essentiellement mauvais pour arriver à une notion du politique comme désignation de l’ennemi, et une conception humaniste, pacifique, qui tend à rendre l’espace public ouvert et libre à n’importe qui.
Finalement, le pouvoir politique doit se rappeler qu’il est (et devrait être) d’abord un pouvoir asymétrique, médiateur, et qu’il agit et exerce une contrainte. L’essentiel est d’assurer que ce pouvoir asymétrique, désirable, soit à la fois puissant mais aussi pouvant être exercé par quiconque, quelles que soient ses origines et ses convictions[i].
Voilà pourquoi exclure une communauté ou une religion est une impasse, et encore plus lorsqu'il s'agit d'une partie de la population, comme on le voit partout depuis deux ans avec la folie covidiste et notamment avec la France qui instaure désormais un système de ségrégation nationale pour punir les « non-vaccinés ».
Voilà pourquoi lorsque M. Emmanuel Macron, ce qu’il est, ce qu’il représente, ce qu’il aura été et ce qu’il aura représenté avec tous ceux qui l’entourent, l’auront entouré, lui auront obéi, aura enfin disparu après avoir été défectivement désavoué et chassé du pouvoir, personne ne le regrettera.
Voilà pourquoi il devra néanmoins rendre des comptes et être jugé pour ses actes comme tous ceux qui l’auront inspiré, lui auront donné des ordres, à l’instar de tous ses zélateurs, complices, exécutants, bénéficiaires de ses actions et politiques accomplies tout au long d’un mandat dévoyé de son obligation cardinale : assurer la cohésion, la prospérité, la protection, la sécurité, la souveraineté et l’unité de la nation Française toute entière et de ses citoyens qu'il ne saurait mépriser, violenter et désormais insulter.
J’invite donc ici les Français à reprendre en main leur vie et leur destin et faire en sorte d’éviter tant qu’il en est encore temps une fin tragique à toute cette histoire comme à ce comportement démentiel.l[ii].
Je les invite à cesser d’être soumis et apeurés et à décider enfin de conjurer et abattre les menaces comme les projets criminels et mortifères auxquels ils ne sauraient sérieusement consentir et qui sont en passe de les engloutir en un désastre désormais indiscutable.
M. Macron et ceux qui l’entourent nous ont littéralement volé deux années de vie.
Ils ont naufragé des millions d'existences.
Ils ont abîmé, violé et volé nos droits comme notre Liberté.
Ils n’ont aucunement l’intention de nous les rendre.
Il est temps pour nous de reconquérir ce qui nous a été confisqué.
Un chef d’Etat qui a en effet déclaré la guerre à son peuple et à ses concitoyens qu’il a brutalisés et qu’il entend aujourd’hui encore séparer en semant opprobre, zizanie et ségrégation n’est plus leur chef mais est devenu leur ennemi.
Or, en France, le peuple Français est avant tout une Nation. Se déclarer ennemi de la Nation française, la mépriser, la diviser, c’est donc fatalement perdre et inévitablement être condamné à subir en retour son châtiment exemplaire pour avoir commis cet acte impardonnable qu’est la trahison de son pays.
Or, sachez que nous gagnerons cette guerre.
J’annonce pour ce faire le retour de la Grande Nation Française.
- Voici les deux premières mesures d’urgence que je prendrais dans les premières heures qui suivraient mon élection
Elu, j’abrogerai immédiatement et proscrirai à jamais le « passeport vaccinal » ainsi que tout l’appareil de contrôle digital déjà en vigueur en France et en passe d’être installé en Europe dans tous les domaines de la vie quotidienne[iii].
Elu, je procèderai immédiatement à la mise en place d’un immense plan d’indemnisation, à la réparation financière et morale des atteintes physiques et psychologiques subies aussi bien par les soignants maltraités dans leurs activités professionnelles que par les familles de personnes décédées des suites vaccinales comme des infirmités subies par les survivants qui se seront prêtés volontairement ou non aux vaccinations, à l’image du processus de réparation mis en place par la Thaïlande.
Que l’on me comprenne bien.
Je lance ici un appel, une adresse à au moins Dix Millions d’électeurs ainsi qu’aux 42000 élus qui, en France, ont le pouvoir sinon l’obligation de permettre à l’un de leurs concitoyens, moi-même, de recevoir lui aussi préalablement le parrainage qui lui permettra d’exercer comme tout un chacun, hors barrage financier, coteries et mesures partisanes, le droit constitutionnel de concourir à l’élection présidentielle et de solliciter le suffrage de chacun en considération de ses seuls mérites.
10 000 000 d’électeurs et 42000 élus parmi lesquels devraient pouvoir se trouver au moins 500 d’entre-eux suffisamment courageux et conscients du pouvoir que leur confère le mandat temporaire qu’ils ont reçu et qui les invite légalement à parrainer à leur tour l’un de leurs concitoyens, sauf à comprendre que l’élection présidentielle au suffrage universel ne serait plus qu’un concept vide de toute substance.
J’annonce ainsi ma candidature à l’élection présidentielle de l’année 2022, disposant pour ce faire de toutes les qualités humaines, intellectuelles, professionnelles, citoyennes qui me donnent aussi bien le droit que l’obligation de m’inscrire dans ce mouvement politique, historique, économique, social et civique auquel je sais pouvoir et devoir contribuer en y prodiguant, aidé de tous, le meilleur de moi-même pour le bien commun de la France, autant que ces notions puissent encore réveiller comme je le crois les âmes, les consciences et l’énergie de chacun.
- Raisons
Les temps que nous vivons exigent lucidité, action, engagement et courage absolus.
Voici plus de dix ans que j’écris et que tout ce que j’ai prévu, analysé, perçu, senti, compris et annoncé s’est réalisé, sans erreur, sans faille. Nous sommes nous trompés ? Non, en aucun cas.
Un ouvrage vient de paraître, intitulé Le Manifeste conspirationniste[iv], que chacun interprètera comme il le souhaite mais dont on retiendra un propos difficilement contestable : « Nous sommes conspirationnistes, comme tous les gens sensés désormais. Depuis deux ans que l’on nous balade et que nous nous renseignons, nous avons tout le recul nécessaire pour départager ‘le vrai du faux’. Les ridicules auto-attestations que l’on a prétendu nous faire remplir avaient bel et bien pour but de nous faire consentir à notre propre enfermement et de faire de nous nos propres geôliers. Leurs concepteurs s’en félicitent à présent. La mise en scène d’une meurtrière pandémie mondiale, ‘pire que la grippe espagnole de 1918’, était bien une mise en scène (…) L’acharnement furieux à balayer tout traitement qui n’impliquerait pas d’expérimenter des biotechnologies sur des populations entières, réduites à l’état de cobaye, avait quelque chose de suspect. Une campagne de vaccination organisée par le cabinet McKinsey et un ‘pass sanitaire’ plus loin, la brutalisation du débat public prend tout son sens. C’est sans doute la première épidémie mortelle dont il faut convaincre les gens qu’elle existe. »
Chacun sera libre d’interpréter comme il le voudra la mise en exergue que j’effectue de cette extraordinaire image animée du talentueux créateur en art numérique qu’est Nicolas Monterrat[v].
Voici en réalité ce qu’évoquent pour moi à l’heure actuelle, et sans doute pour plus de 10 millions de nos concitoyens, l’agression physique et la violence d’Etat[vi] d’une pseudo-politique sanitaire qui se manifeste aujourd’hui en France comme à l’échelle mondiale par la mise en place d’un passeport vaccinal et, à très court terme, si le processus n’est pas immédiatement enrayé, l’instauration d’un passeport digital européen.
Comprenons bien qu’il s’agit bien là d’une horreur absolue qui a dépassé le stade de la menace hypothétique.
Et puisque chacun sait qu’une image vaut mille mots, voici encore une représentation particulièrement inquiétante de l’Europe telle que rêvée par le sculpteur Arno Breker[vii], en un choix de terreur potentielle et de violence contre tout ce qui pouvait alors lui résister, une représentation européenne plus que jamais actuelle dans la violence qu’elle inspire et qui ne saurait aujourd’hui convenir à tous ceux qui sont réellement attachés à ce principe de liberté, d’égalité et de fraternité porté par la France, principe et devise qui, bien que galvaudés, conspués et méprisés, représentent encore quelque chose d’intangible à mes yeux.
Sachez que nous sommes probablement plus de 10 millions de personnes en France (sans doute au moins autant en Europe) à partager les propos professeur Luc Montagnier, virologue français et lauréat du prix Nobel, qui a déclaré en un discours prononcé à Milan le 19 janvier 2022, que les non-vaccinés sauveront l'humanité[viii].
Puissent-ils déjà rallier tous ceux qui sont désireux de sauver la France et de la donner comme exemple.
Mes propos sont incisifs, directs et engagés. Ils ne peuvent être autres.
La communication a toujours été de guerre. Elle est née dans ce cadre-là, elle n’a jamais servi qu’à cela, particulièrement en « temps de paix ».
Sa vérité ne réside jamais dans ce qu’elle dit, mais dans les opérations qu’elle mène, et qui sont aussi lisibles qu’un secret au milieu du visage.
Je ne dirais pas pour autant « tant pis pour ceux qui n’y voient rien », car chacun, quand bien-même se serait-il volontairement fourvoyé, mérite d’être aidé après avoir reconnu son erreur.
Un monde qui proclame, à longueur de séries, de romans, de jeux télévisés, de manuels de savoir-être l’éminence, de la duplicité et les charmes de la tromperie veut qu’on le croie sur parole.
Mais cela est d’autant plus que grotesque que le grotesque ne se maintient que par la terreur et qu’une politique construite sur l’intimidation est par essence inacceptable et doit cesser, immédiatement, effectivement, définitivement.
Grâce au virus, comme l’explique l’essayiste Gianfraco Sanguinetti[ix], « la fragilité de notre monde apparaît au grand jour. Le jeu qui se joue actuellement est infiniment plus dangereux que le virus, et fera bien plus de morts. Pourtant les contemporains ne paraissent avoir peur que du virus…
Il semblerait que l’époque actuelle se soit donnée pour tâche de contredire ce que disait Hegel à propos de la philosophie de l’histoire : « L’histoire du monde est le progrès de la conscience de la liberté ». Mais la liberté elle-même n’existe que pour autant qu’elle est en lutte avec son contraire — ajoutait-il. Où est-elle aujourd’hui ? Lorsqu’en Italie et en France (partout ailleurs) les gens dénoncent ceux qui n’obéissent pas ? »
Voire même lorsque nous voyons qu’un pseudo chef de l’Etat qui a perdu toute légitimité déclare sans être immédiatement censuré et mouché qu’une partie de ses concitoyens doit désormais être proscrite, privée de sa qualité de citoyen, limitée dans toutes ses libertés, sauf à revenir dans « le droit chemin » en adoptant la qualité de « repenti », et cela pour tout simplement avoir exercé son droit imprescriptible de préserver sa liberté et sa santé, comme celle de ses enfants ?
S’il a suffi d’un simple virus pour précipiter notre monde dans l’obéissance au plus répugnant des despotismes, cela signifie que notre monde était déjà si prêt à ce despotisme qu’un simple virus lui a suffi.
« Le mal doit se faire tout à la fois, afin que ceux à qui on le fait n’aient pas le temps de le savourer », conseillait Machiavel. »
Comme les pervers ne conservent leur empire qu’en poussant plus loin leurs abus, cette offensive ne peut se croire victorieuse qu’à condition d’avancer toujours.
Mais il se pourrait bien qu’une toute autre réalité faite de réaction et de volonté de protéger et recouvrer ce qui nous a été subrepticement volé soit en train de surgir.
Voilà pourquoi je vous propose et demande à au moins 10 000 000 d’électeurs et au moins 500 des 42000 élus qui existent en France de me rejoindre immédiatement et de m’aider à enrayer cette offensive, à la réduire, à l’écraser en une contre-offensive victorieuse au nom du droit et de la volonté de vivre ensemble librement, souverainement, en bonne santé, en sécurité, en prospérité.
Car il s’agit de choisir et élire celui qui aura la charge de la France et des Français pour les cinq ans à venir.
Je suis prêt.Moi aussi.
III- Programme
Je propose ainsi aux Français, concitoyens, compatriotes, un programme construit et articulé sur quatre objectifs dont la réalisation conditionne le succès, sachant que l’un ne peut aller sans l’autre :
Le Tribunal de l’Histoire ne fait pas de cadeau à ceux qui démissionnent et qui laissent une oligarchie suivre une politique radicalement contraire à leur bien-être. Le principe de responsabilité vaut pour les nations autant que pour les individus.
Liberté, égalité, dignité, respect, confiance, responsabilité, équité, ouverture, transparence, confiance, tous ces éléments dont on n’entend jamais parler président aux thèmes programmatiques ci-après déclinés.
-Liberté.
-Prospérité.
-Sécurité.
-Souveraineté.
I- Liberté
Car il nous appartient, il vous appartient en ce contexte d’élection présidentielle d’obliger tous les candidats comme je le fais ici à se positionner sur l’arrêt de ce délire pervers qui nous est imposé. Les populations ont en effet un besoin imprescriptible de reconnaissance, de confiance, de respect et de dignité pour s’épanouir et vivre heureuses et libres dans un modèle de civilisation pérenne et magnifique plutôt que d’accepter de voir toutes générations confondues (jeunes et vieux, enfants, hommes, femmes) souffrir indéfiniment de violences successives qu’une camarilla de criminels en complète dérive a décidé de leur infliger de manière impitoyable, sans recours ni terme possibles, dans leurs modes de vie et leur être présent et futur.
Nous devons enrayer la course au désastre économique, politique, social, spirituel, humain, tout simplement.
Nous devons restaurer et imposer un programme digne et respectueux de la personne humaine : arrêt du passe sanitaire et désormais vaccinal, liberté de prescription des médecins, liberté thérapeutique, liberté de travail, liberté absolue de circulation, liberté d’expression mais aussi absolue transparence des gouvernants : audit des morts affectés Covid (comme en Angleterre), audits des dépenses publiques résultant de toutes les mesures sanitaires (confinements, tests, vaccinations), audits publics des contrats avec les laboratoires, audits des dispositifs de contrôle régulier des vaccins (conformité, composition). Nous devons tous ensemble remédier à ces blessures morales et physiques par notre engagement de peuple souverain et libre, dont les élus doivent garder à l’esprit qu’il sont les serviteurs et non des autocrates. Il est temps d’être libre et d’honorer notre hymne national dans nos actes.
II-Prospérité.
En ce sens qu’un ensemble de dispositions seront mises en œuvre pour permettre et assurer le retour de la richesse et de la prospérité matérielle, morale, individuelle, à l’échelle de la France en général et des Français en particulier, le mot d’ordre étant le suivant : « Enrichissez-vous et vous enrichirez la France. Enrichissez la France et vous vous enrichirez aussi. »
Chacun pouvant ainsi comprendre que la question n’est pas tant de travailler plus pour gagner plus mais déjà de disposer d’un vrai travail et d’avoir la possibilité de travailler mieux pour vivre mieux, en bonne santé, en exerçant une activité intéressante, rémunératrice, épanouissante, à même de permettre d’acquérir une réelle aisance ainsi que la capacité de réaliser les projets fondamentaux d’une vie agréable et réussie : famille, travail, logement, santé, éducation, selon les préférences, priorités et goûts de chacun, gardant à l’idée que dès lors que l’éthique et la morale sont les clés de la vraie prospérité, il n’y a aucune incompatibilité entre morale et profit.
La proposition sera déclinée selon divers moyens qui permettront non seulement de recueillir les fruits de son travail (intellectuel, manuel, libéral, artistique, entrepreneurial, artisanal, commercial), mais encore et surtout de recevoir la garantie comme les moyens de les protéger, d’en profiter, de les développer, de les accroitre et d’en assurer la transmission harmonieuse aux générations futures avec, au premier chef, la suppression entière et définitive des droits de succession et de mutation des biens meubles et immeubles comme de l’impôt sur le revenu et sur la fortune immobilière, sachant qu'il existe en effet -aussi surprenant que cela puisse paraître-, d'autres moyens d'assurer à la collectivité publique comme à l'Etat d'autres sources et ressources financières.
Il s’agira, de manière particulièrement énergique et efficace, de remédier à cette situation de déclassement de la France amplement décrite, entre autres contributions récentes, par Pierre Vermeuren dans son ouvrage intitulé La France qui déclasse. De la désindustrialisation à la crise sanitaire .[x]
III-Sécurité.
Sécurité des biens et des personnes mais aussi sécurité du territoire et de la nation toute entière, en ce sens qu’une activité quelle qu’elle soit (personnelle, industrielle, commerciale, professionnelle), ne peut être exercée et prospérer sans garanties ni protections solides, tant sur le plan fiscal qu’économique, dans un cadre juridique simple, efficace, compris de tous, fiable, reposant sur une confiance éprouvée dans des institutions et des administrateurs compétents et honnêtes, à la droiture irréprochable.
Sécurité personnelle, celle de la société toute entière, sûre de pouvoir compter sur des agents, des forces de l’ordre, une justice, une police, une armée réellement au service de la nation et de ses citoyens, non pas une justice faible avec les riches et les puissants et forte avec les faibles et les pauvres. Non pas une police crainte et méprisée mais au contraire une police solide, de valeur, républicaine, nationale, impitoyable avec la criminalité, digne d’une confiance citoyenne retrouvée et réelle, comme gardienne de la paix civique et sociale au bon sens du terme.
IV-Souveraineté.
Individuelle, nationale et internationale, en ce sens que la France devra impérativement se mettre en congé des règles et structures supranationales et internationales dont les contraintes, les coûts, les sujétions, les engagements réciproques non respectés ou devenus impossibles ou trop contraignants, se seront amplement révélés comme des menaces, des dangers, des entraves à son indépendance et à sa souveraineté.
Souveraineté industrielle, commerciale, financière, culturelle mais aussi souveraineté territoriale, citoyenne, civilisationnelle, diplomatique, géopolitique, géostratégique, militaire.
Souveraineté dans son identité nationale, dans la protection de ses structures sociales, dans ses choix relatifs à tout ce qui constitue les fondements comme les orientations de la France en matière de politique de santé, de natalité, d’éducation, de retraite, d’immigration.
Chacun aura compris que ces quatre points programmatiques ne vont pas l’un sans l’autre et sont étroitement liés et articulés :
-Pas de Liberté sans Prospérité, Sécurité et Souveraineté
-Pas de Prospérité sans Liberté, Sécurité et Souveraineté.
-Pas de Sécurité sans Liberté, Prospérité et Souveraineté.
-Pas de Souveraineté sans Liberté, Prospérité et Sécurité.
Voilà pourquoi il me semble qu’il appartient désormais à chaque Français, chaque citoyen, chaque compatriote, chaque Maire de France, chaque élu qui ont la lourde charge de donner en quelque sorte une investiture citoyenne préalable au candidat à la fonction présidentielle que je suis désormais - sous forme de parrainage et d’engagement signé -, de juger et accueillir favorablement et sans exclusive, non pas en fonction de sensibilités ou d’allégeances partisanes, mais bien et uniquement au regard de l’intérêt et du bien-être commun de la Nation toute entière, tout projet comme le mien construit au bénéfice du Bien Commun, de la Nation et donc de tous ceux qui sont, seront et feront la France et ses habitants dans les cinq ans à venir.
Voilà pourquoi je lance cet appel que je vous invite à diffuser comme à y répondre au plus tard le 4 mars 2022 en tenant compte du calendrier qui suit des dates qui jalonneront le scrutin d'ici au premier tour, prévu le 10 avril 2022.
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30 janvier 2022 : début du recueil des parrainages
Si les candidats s'attachent depuis plusieurs mois à récolter des promesses de parrainages, ces derniers ne sont pas encore officiels. En effet, les élus ne peuvent pas parrainer un candidat à n'importe quel moment. La période de recueil des parrainages des candidats débute avec la publication du décret de convocation des électeurs. Depuis la loi du 29 mars 2021, ce décret doit être publié "au moins dix semaines avant la date du premier tour", qui est fixé pour la prochaine élection présidentielle au dimanche 10 avril 2022, soit le 30 janvier. Les candidats doivent recueillir 500 parrainages d'élus d'au moins 30 départements ou collectivités d'outre-mer différents.
4 mars 2022 : date limite de dépôt des parrainages et d'inscription sur les listes électorales
La période de recueil des parrainages doit s'achever au plus tard le sixième vendredi avant le premier tour de l'élection, soit le 4 mars, à 18 heures. Le Conseil constitutionnel les publie au moins deux fois par semaine durant la période de réception des parrainages, puis l'intégralité au moins huit jours avant le premier tour.
Les électeurs ont quant à eux jusqu'au 4 mars 2022 pour s'inscrire sur les listes électorales afin de pouvoir voter au premier tour (18 mars pour le second). Lors des précédentes élections présidentielles, il fallait s'inscrire au plus tard le 31 décembre de l'année précédant le scrutin. Un nouveau décret, en date du 22 décembre 2021, étend la démarche jusqu'au sixième vendredi précédant le vote.
11 mars 2022 : publication de la liste des candidats
Après validation des signatures et des candidatures par le Conseil constitutionnel, le gouvernement doit publier la liste officielle des candidats au plus tard le quatrième vendredi avant le scrutin, soit le 11 mars 2022.
28 mars 2022 : début de la campagne officielle
La campagne officielle commence le deuxième lundi précédant le premier tour, soit le 28 mars. Elle s'interrompra le vendredi 8 avril à minuit. Les règles de temps de parole et d'antenne, changent : les candidats devront bénéficier d'une représentation égale - et non plus équitable comme depuis le 1er janvier - dans les médias.
10 et 24 avril 2022 : premier et second tours
Le 13 juillet 2021, le Conseil des ministres a en effet fixé les dates de la présidentielle, après concertation avec les partis politiques. Le premier tour aura lieu le 10 avril, le second le 24 avril 2022. En Guadeloupe, en Martinique, en Guyane, à Saint-Pierre-et-Miquelon, à Saint-Barthélemy, à Saint-Martin et en Polynésie française, les électeurs voteront les samedis 9 avril et 23 avril 2022 pour tenir compte du décalage horaire.
Le choix de la date de l'élection est restreint par l'article 7 de la Constitution qui dispose que l'élection du nouveau Président a lieu 20 jours au moins et 35 jours au plus avant l'expiration des pouvoirs du Président en exercice. La passation des pouvoirs entre François Hollande et Emmanuel Macron ayant eu lieu le 14 mai 2017, la fin du mandat est donc fixée au 13 mai 2022.
[i]Frédéric Spinhirny, L’inquiétant retour de Carl Schmitt pour penser la politique, Non Fiction, 24 décembre 2015, https://www.nonfiction.fr/article-7976-analyse-linquietant-retour-de-carl-schmitt-pour-penser-la-politique.htm
[ii] Anna Summer, Les derniers jours du culte du Covid, @ Adapart.TV, 19 janvier 2022, https://www.apar.tv/societe/les-derniers-jours-du-culte-du-covid/ et The Consent Factory traduction par Aube Digitale
[iii] Eric Verhaeghe, Ursula accélère l’identité numérique européenne pour détruire les Etats-nation, Le Courrier des stratèges, 25 janvier 2022, https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/01/25/ursula-accelere-lidentite-numerique-europeenne-pour-detruire-les-etats-nations/
Voir aussi : Une identité numérique pour tous les Européens, https://ec.europa.eu/info/strategy/priorities-2019-2024/europe-fit-digital-age/european-digital-identity_fr
[iv] Manifeste conspirationniste , anonyme, éditions Seuil, janvier 2021, 384 p., 17 €.
[v] Nicolas Monterrat (UGDTG), The Tat(t)oo (2017). Art numérique. DIYer - Gif Maker
https://artpoint.fr/2021/05/27/rencontre-avec-nicolas-monterrat-2/ et https://www.behance.net/UGDTG
[vi]Alexandre Lazarègue, Covid-19.Le passeport vaccinal : vers un régime pérenne de restrictions de nos libertés ? Libération, 11 juin 2021, https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/le-passeport-vaccinal-vers-un-regime-perenne-de-restrictions-de-nos-libertes-20210611_WU3CUKH5KFHQVHIT727OLK6E7I/ et https://www.vie-publique.fr/loi/283068-loi-22-janvier-2022-pass-vaccinal-gestion-de-la-crise-sanitaire
[vii] Arno Breker (1900-1991), Junges Europa (Jeune Europe), bronze, Herbert Schmäke, Fondeur, Düsseldorf, 1978. https://germanartgallery.eu/arno-breker-junges-europa
[viii] Luc Montagnier, https://www.apar.tv/societe/le-prix-nobel-luc-montagnier-les-non-vaccines-sauveront-lhumanite/
[ix] Gianfranco Sanguinetti, Le Despotisme Occidental, https://lundi.am/100-Le-despotisme-occidental-Gianfranco-Sanguinetti
[x] Pierre Vermeuren, La France qui déclasse. De la désindustrialisation à la crise sanitaire, Tallandier, 6 janvier 2022, https://www.apar.tv/societe/books/extrait-exclusif-la-france-qui-declasse-de-la-desindustrialisation-a-la-crise-sanitaire-de-pierre-vermeren/
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