Rendez à Solférino, celle qui mérite le PS : Ségolène Royal
En
ce moment, le flingueur en chef, Mister Georges, Georges Frêche, dernier
dinosaure charismatique que personne ne peut coincer par un marivaudage, astucieux
soit-il, vieux bonobo (pan paniscus/singe) devant l’Eternel à qui on n’apprend pas à faire
la grimace, a sorti son bazooka. L’artillerie lourde est entrain de faire des
dégâts, de Montpellier à Paris. La bourrasque indescriptible est entrain de
mettre KO tous les apprentis sorciers, falsificateurs et voltigeurs du mensonge
exacerbé, tous ces fraudeurs prêts à tout pour accuser à tort, même en
torturant et triturant hypocritement la langue française.
Ce triste épisode ressemble à celui, botulicien et/ou béhachélien qui a fait rire dans les chaumières de France et de Navarre ces dernières heures. Au-delà du pauvre Vaugelas qui se retourne dans son sépulcre, ces médias-là, lyncheurs à souhait qui tiraient à boulets rouges pour faire la peau à George Frêche et par ricochet à Ségolène Royal, lui déroulent aujourd’hui le tapis rouge. Fichtre. Il a d’ailleurs, à juste titre, déclaré que La n°1 du Politburo ex parti socialiste, habituée des hold-up, qui n’était donc pas à son coup d’essai -réussite fulgurante avec la dame de Poitou-Charentes-, vient de réaliser un échec cuisant et retentissant en voulant dézinguer Mister Georges Frêche.
A cet effet, quelqu’un, un grand journaliste qui se reconnaîtra, s’adressa à un ami qui voulait en finir avec un autre en lui disant : « fait lui le coup de l’antisémitisme, ça marche toujours ». Or, l’antisémitisme galvaudé, tiré par les cheveux, de derrière les fagots, les caniveaux, ultime syncrétisme d’un plan diabolique d’une clique de bras cassés, un ramassis de flingueurs à fusil à eau, de flèches en papier et de gourdins en éponge, fait passer aujourd’hui une lutte digne, celle de l’antisémitisme, en eau de boudin. Ce sont des amateurs qui souillent ce combat à des fins personnelles et des manœuvres politiciennes dont le PS n’a plus besoin.
Qui a dit que Ségolène Royal divisait ?
Victime de la fraude, d’un vol caractéristique prouvé, d’une mascarade sans nom, Ségolène Royal est restée digne mais surtout intelligente, s’évertuant à ne pas créer de dissension au Parti socialiste. A sa place pourtant, vu la mystification dont elle a été le souffre-douleur, certains assoiffés du pouvoir n’allaient pas avoir la sagesse de déposer les armes. D’ailleurs, pour petit rappel, un de ses lieutenants de l’époque, Manuel Valls pour ne pas le nommer, avait déclaré : « Nous n’allons pas laisser qu’on nous voler notre victoire ». Beaucoup d’eau à couler sous les ponts.
La logiquement hypocrite s’est organisée. Le silence coupable des médias
Contrairement aux affirmations de ses opposants, Ségolène Royal n’est pas autoritaire mais exigeante. Envers elle-même en premier. C’est aussi ça être un homme d’Etat. Sans oukase donc, elle mène sa barque avec bonheur aujourd’hui en Poitou-Charentes. Mais, la force de la propagandastafell médiatique a corrompu certains esprits faibles. Mais, vous pourrez nous jouer "je mens tout le temps" mais un jour, chacun jugera sur pièce, les "qui" sont dans le vrai.
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