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Accueil du site > Tribune Libre > Rentrée 2013, l’endoctrinement va continuer !

Rentrée 2013, l’endoctrinement va continuer !

Implanter les théories marxistes et l’idéologie du capitalisme d'état (social-communisme) dans la tête de nos jeunes, semble être la grande motivation de l'éducation nationale Française. Si notre pays ressemble de plus en plus à un pays communiste, il ne faut pas aller plus loin. L'éducation nationale en la cause responsable et principale. La formation en économie de nos enfant est faite de manière malsaine. L’esprit qui meut à la formation par l'éducation nationale est malsain.

L’économie est foncièrement présentée de façon négative, les cycles ne vont que de crise en crise, les inégalités augmentent, la pauvreté, la famine n’est jamais montrée résolue. À aucun moment n’est mentionné de façon positive les progrès matériels de l’homme durant les deux derniers siècles, le rôle prépondérant de l’esprit d’initiative, les risques et les dangers encourus par les entrepreneurs dans leur métier.

Chaque jeune Français a droit à ses rafales de dissertation en seconde sur Marx. Dans les formations économiques, le jeune se voit imposer l'obligation d’adhérer aux théories Keynésiennes sous peine de mauvaises notes. Il n'y a pas plus de 3% des Français qui connaissent Hayek ou Friedman, l'éducation nationale fera toujours une formation à charge de l'économie de marché.

Les manuels scolaires :

Dans les manuels, les lycéens ne pourront pas trouver une présentation qui ne soit pas à charge de l'économie de marché, à charge de la régulation par le marché, à charge l’entreprise ou à charge l’entrepreneur.

Par exemple, une étude récente réalisée sur 8 manuels, montre une partialité des livres destinés aux lycéens de première et terminale. Le rôle de l’entrepreneur et de l’entreprise dans la création de richesses est totalement occulté. Le marché et la mondialisation sont abordés d’un point de vue critique systémique. L’état est toujours présenté comme l’acteur économique principal car c’est un « régulateur indispensable ». Sur les 400 pages des manuels, l’entreprise fait moins de10 de pages.

Les bibliographies et illustrations des livres d'instruction sont systématiquement des repères de personnages de gauche.

Les revues de gauche et partiales « Alternatives Économiques », le « Monde Diplomatique » détiennent le monopole des citations dans les manuels. Aucun des manuels d'instruction utilisé ne se fera sans les caricatures de la scène des Temps Modernes, où l’on voit Charlie Chaplin broyé par une roue gigantesque, et pourchassé par un patron furieux qui l’exhorte au travail. Il faut implanter dans l'esprit des enfants que le capitalisme est le « broyage de individus » au nom de la cupidité. Les élèves auront des illustrations des films de Michael Moore de Costa-Gavras, sans contre ilustrations en opposition.

Le mammouth informe, déficient, politisé jusqu’à la moelle, gangrené par les syndicats communistes admiratifs de l’échec de l’URSS, centré sur les intérêts des profs, de l’idéologie et du bourrage de crâne destiné à fabriquer des Français moyens, dociles, sous-éduqués, qui éviteront, une fois adultes, de faire des vagues et de poser des problèmes au gouvernement qui les abusera à sa guise en les endormant de belles paroles.

Le bac 2013 révélateur :

Pour ceux qui douteraient ou jugeraient exagération, chacun peut se reporter au cru du bac 2013. C’est l’hebdomadaire britannique "The Economist" qui, dans son numéro du 3 juillet 2013, a dénoncé la supercherie idéologique des sujets dans son titre : "l'hostilité envers le marché libre commence à l'école". La presse Française subventionnée à la perfusion contribuable, elle ne s'insurge même pas. On ne mort pas la main de l'état qui te fait vivre.

L’emprise idéologique de gauche sur les jeunes s’est affichée avec les sujets proposés aux candidats à ce bac 2013 : idolâtrie de l’État, lutte des classes, exploitation des salariés, caricature de l'employeur, haine des patron etc.

Le sujet du bac philo où les candidats devaient répondre à la question « Que devons-nous à l’État ? », avec un sujet d’économie, ils ont ajouté une couche d'obligation à l'étatisme. On imagine la note face à des juges et partie, de celui qui indique que l'"état lui doit tout" car c'est c'est l'état qui vit du contribuable, l'état ne faisant que dépenser son argent de contributeur à son budget.

L'endoctrinement notamment dans les filières économiques et sociales est particulièrement visible. Tous sujets proposés sont orientés idéologiquement : le document soumis aux candidats est un Tableau des Français divisés en déciles et qui montrent les inégalités de patrimoine. Le marxisme se nourrit de la jalousie. C'est même son fond de commerce.

Un sujet a demandé aux candidats de « montrer que les conflits sociaux peuvent être un facteur de cohésion sociale » (sic !) Bizarrement, aucun média français n’a trouvé les sujets un peu… « biaisés ». D’autant plus que les extraits sur le conflit social sont tirés d’ouvrages gauchistes dont les auteurs sont dirigeant de syndicats ouvertement de gauche comme Patrick Fridenson Membre du Syndicat général de l’Éducation nationale (SGEN) depuis les années 1960, il appartient à l'équipe de direction. Il fut secrétaire général du SGEN pour l’enseignement supérieur de 1981 à 1983. Ancien Directeur de la revue trimestrielle Le Mouvement Social) , André Bruguière collaborateur appointé au Nouvel Observateur depuis 1975 journal dont nous savons tous son orientation politique à gauche. et Jacques Revel co auteur d'un livre « pour une histoire de la deuxième gauche » ne sont pas vraiment connus pour leurs sympathies à l’égard de l’économie libre. L’un d’entre eux a été syndicaliste actif et a dirigé la revue Mouvement social.

On peut rajouter aussi les sujets d’économie proposés pour le Baccalauréat technologique. Le sujet de la partie rédactionnelle rappelle au candidat les chiffres du déficit extérieur de la France et la perte de 750 000 emplois dans l’industrie. La question est la suivante : « L’État peut-il améliorer la compétitivité des entreprises industrielles françaises ? ». On a bien compris que les gauchistes, promoteurs du capitalisme d'état agissent.

Dans la partie analytique, la ficelle marxiste est encore plus grosse. On demande aux candidats d’analyser le cas d’une employée licenciée par une entreprise pour ne pas avoir réalisé ses objectifs de vente. Des extraits du Code du travail et un arrêt de la Cour de Cassation sont cités dans le sujet afin de montrer que le fait de ne pas atteindre ses objectifs ne peut pas constituer une cause réelle et sérieuse de licenciement.

Excellent exercice pour habituer les jeunes à la lutte de classes et la relation conflictuelle avec les patrons.

Un état d'esprit malsain.

La machine infernale qu’est l’Éducation nationale est une orgie de gaspillage : gaspillage d’argent, gaspillage des profs de bonne volonté obligés de suivre le mouvement, gaspillage du bon sens. Suffisante, imbue de son privilège, tentaculaire et liberticide, elle fait peser sur la France le poids de sa médiocrité.

La machine de propagande entraîne une éducation Française mauvaise. Ce n'est pas le nombre de profs qu'il faut changer. Avant touts chose il faut la dépolitiser. 90 000 profs n'ont pas d'élèves devant eux, et 40 000 sont en détachement et passent leur temps à faire du prosélytisme de gauchiste dans des syndicats tous de gauche.

Comment ne pas s’inquiéter quand les principaux syndicats de profs sont les pierres angulaires de l'altermondialisme une version nouvelle du communisme composé d'activistes violemment opposés à un monde ouvert, qui par exemple participe au financement de « ATTAC » groupuscule politique aux idées collectivistes ?

En France, l’anglais est enseigné par des gens incapables de parler un bon anglais, incapables d’enseigner et de parler avec un accent acceptable, incapables de préparer les étudiants à tenir une conversation basique en anglais.

L’histoire est enseignée, en faisant perdre toute possibilité de réflexion à partir de cette matière fondamentale. Les manipulations dogmatiques de l’histoire, et la réécriture conforme aux paradigmes des extrémistes. Le communisme n'est jamais présenté en idéologie mortifère, et l’économie de marché n'est présentée qu'a charge.

Les jeunes arrivent à l’âge adulte et font 4 fautes d’orthographe et de syntaxe par phrase : la formation des profs de français, leurs méthodes d’enseignement, sont à jeter aux orties.

L’université française est à la traîne du monde. La recherche Française subventionnée et étatisée est à la traîne du monde. La littérature française est à la traîne du monde. L’art français est à la traîne du monde. Et l’Éducation nationale en porte le poids de la responsabilité.

 

Quelques sources pour allez plus loin :

 La vision de l'entreprise dans les manuels scolaires (Jean Baptiste Noé)

Rentrée scolaire : l’Education nationale est heureuse : 58% des Français la trouvent nulle (Jean Patrick Grumberg)

Le marché, l’entreprise et l’entrepreneur dans les manuels d’économie de 1re et de Terminale (Nicolas Lecaussin)

Rentrée 2013, l'endoctrinement va continuer (lequidampost.fr)


Moyenne des avis sur cet article :  1.97/5   (74 votes)




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62 réactions à cet article    


  • Dwaabala Dwaabala 3 septembre 2013 10:35

    @ spartacus
    Heureux de vous lire à nouveau !
    Ne craignez-vous pas cependant que votre intervention ne provoque chez son lecteur le contraire de ce que vous souhaitez ?


    • Ouallonsnous ? 3 septembre 2013 19:26

      Ne perdons pas de temps à lire les inepties de Spartacus, cela nous confirme que son état ne s’est pas amélioré, bien au contraire !

      De con il évolue vers plus que con !

      D’un autre coté, on peut se demander pourquoi la modération laisse passer de telles provocation pour l’ensemble des agoravoxiens de bon sens ?


    • ZEN ZEN 3 septembre 2013 10:46

      Mein Gott !
      Il n’y a pas plus de 3% des Français qui connaissent Hayek ou Friedman,
      Mais quelle inculture ! smiley
      Il est vrai qu’il faut lire Friedman, livre de chevet de Maggie, pour connaître l’inspirateur de Pinochet et de ses Chicago boys, pour se rendre compte du désastre financiers et économique dans lequel nous sommes plongés, du fait de la dérégulation prônée par le grand maître, inspiré par la main invisible.....


      • Pomdepin 3 septembre 2013 15:01

        Associer Margaret Thatcher et l’Argentine, c’est osé ! Avez-vous déjà entendu parler des Faklands, les Malouines en français ? 


      • facri 3 septembre 2013 15:14

        Pomdepin, Pinochet était le dictateur chilien et non argentin et en plus, c’était un grand ami de Thatcher.


      • Ronald Thatcher Ronald Thatcher 3 septembre 2013 11:17

        t’es un bon troll en sorte, CQFD


      • Ronald Thatcher Ronald Thatcher 3 septembre 2013 11:27

        le remède : scolarisation à la maison pour ceux qui en ont les moyens, les autres rejoignent le troupeau d’incultes socialo-communiste et son formatage idéologique cromagnon.

        Tout est fait cette année pour que les parents des petits aient le moins de prise possible sur l’éducation de leur(s) gosse(s). La semaine des 5 matinées d’affilées empêche la mère de s’occuper du petit le mercredi, il reste dans la matrice, les horaires débiles de sortie privilégient les « études » dans l’école au lieu de la maison avec la maman ou du père.
        Les parents sont mis à l’écart de l’éducation, ils n’y participent plus, et la doctrine socialo terranovesque lave plus blanc. Informatisation des cours (suppression du geste de l’écriture), arrivée pétaradante de la théorie du genre, généralisation des repas communautaire... c’est beau la dictature.


        • Pyrathome Pyrathome 3 septembre 2013 11:48

          les autres rejoignent le troupeau d’incultes socialo-communiste et son formatage idéologique cromagnon...
          .
          T’es le fils caché de Thatcher et de Pinochet ? 


        • Pyrathome Pyrathome 3 septembre 2013 11:46
          l’endoctrinement va continuer !

          .

          Avec spartanouille, c’est sûr......


          • JP94 3 septembre 2013 15:24

            Moi j’ai bien rigolé à la lecture de cet article délirant ... on vivrait sous une dictature socialo-communiste ici-bas ? 

            Il faudrait inculquer les valeurs du respect du patron ... sorte de surhomme à la Mussolini .
            Déjà que les grands numéros de Hollande et Ayrault qui essaient de poser en dirigeants responsables ne passent pas ... et que tout le monde les trouve ridicules (bien que nocifs ) 

            Non je pense que tout ça est une parodie de discours ultra-libéral , pour inciter à se révolter contre les menaces d’une dictature fasciste qu’il prône .

            En même temps , il est tellement comique que c’en est démobilisateur .
            Car les vrais ultralibéraux usent de moyens beaucoup plus coercitifs que l’auteur de l’article .

          • JNeuro 3 septembre 2013 12:01

            Mmmh, bizarre... J’ai eu l’impression de lire un texte agressif (ce qui eu tendance à éloignement but initial du texte je pense). Le texte repose sur un tas d’à-priori, cela manque de recul (ce n’est que mon humble avis).

            Du coup, je ne suis pas convaincu.

            Surtout qu’on peut retourner le sujet dans l’autre sens :
            A quand une étude des textes de Thorsten Veblen dans les cours d’économie moderne ?


            Vous parlez d’endoctrinement, mais l’endoctrinement d’aujourd’hui qu’on essaie (et qu’on arrive tant bien que mal) à faire passer n’est-il pas celui de l’ultra-libéralisme.

            Enfin, les 4 derniers paragraphes viennent gâcher complètement votre texte, car les problèmes que vous citez ne peuvent malheureusement pas être justifié de manière aussi simpliste. Par exemple, demandez vous vraiment pourquoi les jeunes de maintenant ne savent plus écrire sans faire de fautes. L’education nationale a peut être participé à cela, mais est ce vraiment la raison principale ?

            Merci

            • Surya Surya 3 septembre 2013 12:02

              Je n’ai pas accès aux manuels scolaires donc je ne peux voir si vraiment il y a une propagande « gauchiste » comme vous dîtes, à l’éducation nationale. J’essaye de me souvenir de mes années de collège et de lycée, mais je n’arrive pas à me rappeler si oui ou non j’ai « subi » une propagande communiste.

              C’est possible que vous ayez raison, dans le sens où peut-être en effet ne présente-t-on qu’un seul son de cloche aux gamins. J’en sais rien, raison pour laquelle je ne voterai pas votre article : comment être d’accord ou non quand on n’a pas accès aux documents dont vous parlez ? Par contre, s’il y avait la possibilité d’un second vote : « article intéressant oui non », là je mettrai oui car bien que certaines choses m’ont fait franchement bondir, j’ai tout de même trouvée intéressante la lecture de votre article. J’aime bien lire tous les sons de cloche, me mettre au contact de toutes les opinions, et je lis aussi bien les articles de l’Huma que ceux d’un journal comme Contrepoints.
              Un exemple de ce qui m’a fait bondir au plafond (aie, ma tête !), c’est quand vous parlez de la personne licenciée pour ne pas avoir atteint ses objectifs. Heureusement qu’il y a des lois pour protéger les gens de tels licenciements abusifs ! Je ne vois pas en quoi il faut qualifier cela de haine du patron ou de relations conflictuelles. Si l’employé est un fumiste qui arrive tous les matins avec une demi heure de retard, n’en a rien à faire de son travail, va sur internet en cachette au lieu de bosser... là je comprends que le patron ait envie de le mettre à la porte, mais vous n’avez pas l’impression d’aller trop loin avec l’exemple que vous avez pris ?
              De plus, lorsqu’on lit votre article, on a vraiment l’impression que si c’était vous qui rédigiez les manuels scolaires, vous interdiriez toute mention de Marx et n’autoriseriez qu’une propagande libérale. smiley Vous auriez alors tout autant tord que les profs de gauche que vous fustigez, qui préfèrent eux aussi enseigner leurs convictions, oubliant qu’ils ne sont pas là non plus pour politiser les gamins.

              Il faut les deux. Il faut les deux sons de cloche, de façon totalement neutre. Ce que peut-être, en effet, l’éducation nationale ne fait pas. Encore une fois je n’en sais rien, je ne sais pas si vous caricaturez ou si vous êtes dans le vrai (au sens où il n’est présenté qu’un seul son de cloche aux gamins, et non dans votre rejet catégorique et définitif des idées marxistes et des « gauchistes » qui ne sont pas toutes à mettre à la poubelle)

              Si c’est vraiment le cas, si vraiment il n’y a qu’un seul son de cloche, alors je pense aussi que cela ne peut en aucun cas former l’esprit critique des jeunes. L’idée, c’est de leur enseigner toutes les théories économiques, de leur montrer en quoi leurs partisans pensent qu’elles sont bonnes, et en quoi leur détracteurs pensent qu’elles sont mauvaises, sans que le professeur prenne parti de quelque façon que ce soit, puis ensuite provoquer à partir de cela un débat où chacun est libre d’exprimer son opinion sans que le professeur le « reprenne » (autrement dit le remette dans le droit chemin...), et laisser le jeune se forger au bout du compte sa propre opinion. On peut rêver.

              Ne me dites pas qu’aux Etats Unis on présente, et encore moins enseigne, dans les établissements scolaires, l’idéologie communiste. A partir du moment où on décide de prendre parti, de « choisir son camp », on prend le risque de devenir sectaire. Je m’en fiche si certains pensent que je n’ai pas d’opinion politique suffisamment tranchée, si je n’ai pas choisi mon camp (on est en guerre ?) j’essaye seulement de rester aussi neutre que possible pour rester ouverte.

              De toute façon dans les média c’est pareil, tel journal est communiste, tel autre est libéral... je disais plus haut ne pas avoir de problème à lire à la fois des journaux communistes et des journaux libéraux, mais je ne connais pas un seul journal qui fasse une présentation neutre d’articles communistes et libéraux. Vous devez pour cela lire plusieurs journaux différents.

              L’important, c’est que les parents puissent choisir librement l’école dans laquelle ils mettront leurs enfants. Mais là encore, on décide pour le gamin. Des parents ultra libéraux voudront que leurs gamins le deviennent aussi, des parents communistes formeront leurs enfants à l’idéologie communiste.

              De plus, vous ne dites pas dans votre article si les manuels changent ou non lorsque c’est un gouvernement de droite au pouvoir. Après tout, la gauche est revenue au pouvoir seulement depuis peu, l’éducation nationale c’est l’Etat, et je vois mal l’Etat ne pas avoir un droit de regard sur ce qu’on enseigne aux enfants. Il faudrait regarder plus loin et voir si oui ou non il y a eu, au fil de l’histoire, des différences dans les programmes et les manuels scolaires quand c’était la gauche au pouvoir, et quand c’était la droite.


              • L'enfoiré L’enfoiré 3 septembre 2013 19:02

                Bonsoir Surya,

                 Bien d’accord avec votre commentaire.
                 C’est le seul reproche que j’ai à adresser à Sparta, dont les écrits sont intéressant mais aussi toujours très (ou trop) dirigiste.
                 Je suppose que comme il est confronté à une hostilité ambiante, il se doit de prendre le contre pied.
                 Les autres rédacteurs font tellement de contre-poids, il faut dire, qu’il n’est peut-être pas nécessaire d’en rajouter une couche de protection.
                 A mon avis, les programmes scolaires ne changent pas si c’est de gauche ou de droite.
                 Pas assez souple pour cela.
                 Par contre les profs, eux, peuvent très bien avoir des couleurs politiques qui ne sont absolument pas pluralistes, surtout quand il s’agit de cours de philosophie.
                 

              • Gemini Gemini 3 septembre 2013 12:03

                Il semblerait que nos amis libéraux et néo-libéraux aient beaucoup de mal avec les faits. Leurs croyances se sont avérées fausses et ont été démenties par les faits. La seule question que je me pose vraiment est plutôt : les têtes pensantes de ces théories y croyaient-elles vraiment, ou bien, savaient-elles déjà que cela se terminerai par l’exceptionnelle confiscation par une minorité de l’essentiel des richesses produites ?

                Concernant les manuels scolaires, c’est amusant, car de mon côté, j’ai plutôt lu des articles qui expliquaient le biais dans le sens inverse de celui que vous évoquez.

                Dans les livres d’enseignement des sciences économiques et sociales, des années 70, il était encore question du sens de l’économie dans notre vie, l’entreprise n’était alors qu’une des nombreuses formes dans laquelle pouvait se manifester l’activité économique, etc. De nos jours, l’entreprise est présentée comme le seul lieu dans lequel doit s’exercer l’activité économique, le vocable néo-libéral a cours dans tous les livres, etc.

                Pour terminer, je trouve toujours autant amusant d’entendre dire que la France est un pays de socialo-communistes. Avez-vous déjà ouvert un dictionnaire ? Qu’y a-t-il de communiste en France ? De socialiste ? Pas grand chose …


                • foufouille foufouille 3 septembre 2013 12:13

                  ton lien est payant. on ne peut vérifier cette comparaison


                • escoe 3 septembre 2013 17:08

                  ou bien, savaient-elles déjà que cela se terminerai par l’exceptionnelle confiscation par une minorité de l’essentiel des richesses produites ?


                  Bien sûr qu’elle le savaient et c’était même l’objectif qui leur avait été assigné par ceux qui les finançaient.

                • simir simir 3 septembre 2013 19:55

                  @ Gemini

                  «  Qu’y a-t-il de communiste en France ? De socialiste ? Pas grand chose … »
                  Tout à fait en accord avec vous. Même en URSS ils n’ont jamais eu le communisme.
                  URSS= Union des républiques SOCIALISTES soviétiques.
                  Le Spartempafleur qui doit parler anglais parfaitement, lui en veut beaucoup à l’éducation nationale mais il n’a sans doute jamais ouvert un bouquin de philo ou d’économie pour voir du communisme en France.
                  J’ai un ami prof d’économie je vais lui filer le lien ça va faire rire toute sa classe.

                • foufouille foufouille 3 septembre 2013 12:06

                  la ficelle est un peu grosse
                  une bonne rigolade
                  il suffit de retourner en 36 ou aux USA a l’époque des syndicats interdits par les crassus


                  • marco1960 3 septembre 2013 12:41

                    Spartacus n’expose que des vérités, n’en déplaise à certains sujets (la masse cependant) aveuglés par la naïveté, ceux que j’appelle les ’’frustrés de la vie’’, et le titre de son article est un parfait résumé. Le comble de ce fabuleux et machiavélique conte est que les principaux acteurs de cette horreur contemporaine et qui inculquent cet endoctrinement sont les ’’profs’’ qui ne se rendent même pas compte de ce qu’il font, ils planent totalement, dans leur ciel dégagé, ensoleillé de vacances et d’avantages en tout genre. Mais ?!!?!????!?!? Comment peut on faire confiance en l’éducation faite par des individus n’ayant JAMAIS quitté les bancs de l’école ??? C’est d’une absurdité déconcertante autant qu’une honte ! Comment voulez vous que ces gens puissent avoir le moindre recul, ou puisse faire la moindre analyse sur ce que véhicule le contenu des programmes scolaires ? Ils sont incapables de faire le moindre rapprochement des principes enseignés sur la vie ’’dehors’’, là où l’on se bat, là où la réflexion est une nécessité absolue, là où le risque est permanent pour s’en sortir. Le métier d’enseignant tel qu’il perdure est incompatible avec le monde d’aujourd’hui. Pour ma part je me félicité d’avoir apporté à mes enfants des valeurs utiles et une éducation concrète, en parallèle de cette perte de temps monumentale sur les bancs de l’école à écouter des ânes bâtés déballer bêtement le programme, le fameux programme ! porteur d’idéologies quasi marxistes, et support du ’’ comment devenir un bon mouton de Panurge’’ sans oublier la notion de l’état providence vital à la vie. ... ’’Vous aider pour mieux vous contrôler et vous rendre dépendant’’. L’éducation nationale est une institution dangereuse pour nos enfants, sensée vendre de l’intelligence sans même avoir le moindre échantillon à montrer. 

                    Et le peuple s’étonne que la France va mal ??!! ? ! Ho mais faudrait peut être se réveiller là, il est temps de faire qqe chose si l’on veut espérer...
                    En tous cas merci à Spartacus


                    • marco1960 3 septembre 2013 15:56
                      @COGNO5

                      Justement dans ce genre de propos je ne retiens que le fond car on le sais la forme peut parfois être tendancieuse en fonction de l’humeur de l’intervenant.
                      C’est un peu comme les gens, dans chaque mauvais il y a un peu de bon et dans chaque bon il y a un peu de mauvais. Prenons alors des gens ce qu’il y a de bien et laissons le reste de côté.
                      Et j’insiste son papier est plein de vérités et il a l’avantage de soulever un des problèmes les plus importants de notre société ; l’EDUCATION ; 
                      J’ai des enfants de 26, 24 et 16 ans et je vous confirme que l’heure est grave, très grave. c’est la base de l’équilibre et de la viabilité d’une société, et nous négligeons ce domaine depuis des années, ne nous étonnons pas si nous nous vivons aujourd’hui des moments difficiles. Et c’est loin d’^étre fini, ce n’est même qu’un début, celui de la fin voire m^me de la ’’faim’’ prochaine.

                    • L'enfoiré L’enfoiré 3 septembre 2013 19:07

                      Bien dit, Marco,

                      L’inadéquation entre les écoles et la vie active reste très flagrante.

                    • Gemini Gemini 4 septembre 2013 08:50

                      Il y a pourtant des pays où l’on pratique les préconisations de Spartacus, les États-Unis à tout hasard.

                      Le pays va-t-il bien ? Fait-il bon y vivre ? Renseignez-vous sur les faits tangibles et vous verrez. Le résultat risque d’être différent de ce que vous imaginez.

                      Nous sommes cependant d’accord sur un point. Il est temps de faire quelque chose. Mais sûrement pas ce que préconise Spartacus. Ça a déjà été fait, et on sait déjà que ça ne fonctionne pas, mis à part, bien entendu, pour la minorité spoliant le reste.


                    • kalagan75 3 septembre 2013 13:14

                      Tout n’est pas à jeter à la poubelle mais tes remarques sur les sujets, et particulièrement en philo, sont très justes.


                      • Buddha 3 septembre 2013 13:41

                        Le monde des humains est simple si simple.
                        la parabole de l’atome :

                        si , regardant un peu la vie normale des humains terrestres ,cela donnait l’idée aux atomes de carbone de se dire, nous on vaut mieux, donc on ne participe plus à l’unité de l’univers donc de rompre le lien sacré qui existe entre toutes choses, mais on fait bande a part car nous devons avoir plus.....alors là , immédiatement, toute la matière disparait , hommes avec....c’est ce que nous propose ce troll de L’UE comme les autres depuis des mois, ...c’est sans doute pour en finir plus vite avec ce suicide collectif lent ..attention, il n’y a pas que des pseudo élites à pognon qui en sont responsable de ce suicide d’une espèce....on y participe tous, sauf exceptions peut être....

                        quand aux cause profondes, je ne développerais le peu que je découvre pour moi même face à la souffrance de cette non vie qui est la même pour tous, , il va falloir attendre le meilleur du pire d’abord, car je pense et vois qu’on n’a globalement encore rien compris , ou en tous les cas trop peu..pour le moment..mais qui sait, le reveil est quelque fois inattendu et abrupte.... smiley..

                        un monde nouveau aurait supprimé la compétition qui est en fait une élimination, un meurtre ,d’ailleurs toute guerre est compétition pure et le business qui est compétition truquée , donc l’argent qui n’a jamais rien fabriqué..sans aller aussi loin, vous verrez bien ce qui va arriver....attention à ceci en ce moment : 1 pas en arriere, puis 3 pas en avant de la part des u s .et de leur ami ou chef .

                        On ne parle pas ni négocie avec des psychopathes. On les démets et remplace...seul une population uni peut faire cela...c’est donc gagné pour personne smiley


                        • marco1960 3 septembre 2013 14:22
                          @ Gemini,

                          ’’Qu’y a-t-il de communiste en France ? De socialiste ? Pas grand chose …’’

                          Ce qu’il y a de communiste ? ; la haine des gens riches, le seul souhait de vouloir limiter le salaire des dirigeants d’entreprises en est une formidable démonstration. La jalousie permanente de la réussite du voisin.
                          En France le vote n’est plus communiste mais dans l’esprit le communisme est bel et bien là.
                          Ce qu’il y a de social ? et bien justement c’est l’excès de social. Celui qui prône les aides et sur-aides qui atrophient l’envie d’entreprendre. Nous devenons un pays de pantouflards dans lequel le dernier sondage montre que 64% des étudiants aspirent à devenir fonctionnaires !!!
                          Belle ambition nationale !!!
                          Je ne suis pas forcément admiratif des états unis sur certains sujets mais sur celui-ci je comprends que nous soyons la risée de ces peuples, même des anglais aujourd’hui c’est pour dire !

                          Oui à part ça il n’y a rien de communiste et de socialiste en France ?
                          Trop drôle Gemini

                          • Gemini Gemini 4 septembre 2013 08:55

                            Je me permets de réécrire ma première phrase, car visiblement, celle-ci vous a échappé : OUVREZ UN DICTIONNAIRE. Ça vous évitera d’écrire des âneries.

                            Définissez communiste. Définissez socialiste. Et faite un petit effort pour comprendre que les mots socialistes et social sont différents et n’ont pas la même signification. Mon message demandait ce qu’il y avait de socialiste, et vous me répondez ce qu’il y a de social …

                            Il ne sera pas possible d’échanger si vous ne savez pas lire et amalgamez tout.


                          • spartacus spartacus 4 septembre 2013 09:14

                            Le communisme comme le socialisme sont des idéologies de capitalisme d’état. (Planification par l’état de l’économie).


                            Le communisme comme le socialisme aboutissent in finé à la dictature politique et économique de groupe de pression étatisés par une nomenklatura, ou élite, et entraînent la fin des libertés individuelles.
                            Dans un monde socialiste, la demande se dirige vers l’état au lieu du marché libre, et la régulation se fait inégalitaire au profit des groupes de pression ou d’influence sans cesse croissants, au détriment de ceux qui n’ont pas la parole, comme par exemple les générations futures, ou les groupes minoritaires.

                          • Gemini Gemini 5 septembre 2013 09:55

                            @Spartacus

                            Votre analyse n’est pas dénuée de sens, et je ne suis pas assez calé pour la réfuter ou non, mais, les tares que vous évoquez se retrouvent également dans le libéralisme.

                            Supposons que l’initiative ne soit plus qu’individuelle. Il est aisé, je suppose, de convenir que les initiatives requirent de l’argent, parfois beaucoup. L’initiative étant uniquement privé, cela revient à dire que seuls sont qui ont de l’argent peuvent influer sur le cours des choses et agir. Au final, cela revient à dire que seuls ceux qui ont de l’argent ont la parole. C’est une autre forme de suffrage censitaire, avec le déséquilibre supplémentaire que même parmi les « heureux élus » étant autorisé à influer sur la société par leur activité économique, les plus gros seront ceux qui auront le plus d’influence.

                            J’ai du mal à voir où se situe l’intérêt autre que particulier dans ce cas de figure.


                          • foufouille foufouille 3 septembre 2013 14:33

                            les employés des fasts food zuniens de crassus font grève. réponse de crassus : arbeit macht frei, sinon vous serez remplacés par des robots
                             smiley


                            • tf1Goupie 3 septembre 2013 15:43

                              Pour être critique il faut que toutes les visions soient exposées, ce qui n’est pas le cas dans l’enseignement français de l’économie et du social.


                            • tf1Goupie 3 septembre 2013 15:41

                              Comme souvent cet article de Spartacus est excessif même s’il n’est pas dénué de fondement.

                              La vision de l’économie n’est que survolée dans l’école française ; en fait on ne l’étudie sérieusement qu’en ES.Ce n’est pas forcément les manuels ou même les programmes qui orientent le discours, c’est aussi souvent le discours des profs qui présente un biais plus ou moins prononcé.

                              Mais ça vient plus de la mentalité française que de l’école elle-même.

                              Ce qui est assez drôle c’est qu’on nous bassine régulièrement avec la laïcité alors qu’en parallèle le discours enseignant ne respecte pas la neutralité des opinions dans des domaines telles que l’économie.


                              • escoe 3 septembre 2013 22:46

                                Ce qui est assez drôle c’est qu’on nous bassine régulièrement avec la laïcité alors qu’en parallèle le discours enseignant ne respecte pas la neutralité des opinions dans des domaines telles que l’économie.


                                Souhaitez qu’on ne se mette pas à enseigner sérieusement l’histoire du libéralisme parce que votre influence disparaîtrait rapidement en raison du dégoût suscité par la vérité sur vos pratiques..

                              • Gemini Gemini 4 septembre 2013 09:01

                                En même temps, il est difficile de parler de neutralité d’opinion dans un domaine scientifique comme l’économie, qui n’a souvent de scientifique que le nom.

                                En l’état actuel de la « science », l’économie est plus un ensemble de croyances diverses. Tous les modèles économiques savant actuellement modélisé sont invérifiables et invérifiés. Bref, c’est du vent et bien plus proche de l’idéologie que de la science.

                                De là à demander de la neutralité, ça me paraît difficile.

                                Il reste tout de même possible de démontrer empiriquement que certaines idéologies ne fonctionnent pas (à tout hasard l’idéologie néo libérale actuelle)


                              • spartacus spartacus 4 septembre 2013 09:22

                                Le libéralisme n’est pas une idéologie. C’est une éthique économique. 

                                Vous pouvez avoir des idées « communistes ou socialistes dans un pays libéral ». 
                                Néo, ultra sont des caricatures inventées, il n’existe pas de pays se définissant « néo libéral ».

                                Le libéralisme promeut l’autonomie de l’individu et de l’idée de responsabilité sociale, l’indépendance des activités sociales et économiques par rapport à l’État, la nécessité d’institutions juridiques régaliennes ainsi que le pluralisme social et politique.


                                Mais on ne l’apprend pas à l’école !


                              • Ronald Thatcher Ronald Thatcher 3 septembre 2013 15:51

                                l’économie n’est pas prête de bouger en France, lorsqu’on voit la multitude de kystes et de parasites qui vivent sur l’Etat façon UMPSPCEELV,
                                cet Etat, le sauveur - libérateur - protecteur - aspirateur à impôts - dilapidateur - anti-entrepreneur, bref une machine à castrer les entreprises en leur bouffant les fonds et en les dénigrant en sus.
                                Le capitalisme d’accord, mais le capitalisme sauce socialiste. L’entreprise France Socialiste(TM)


                                • 65beve 65beve 3 septembre 2013 15:53

                                  Mon dieu !
                                  Pol Pot nous cultive et on ne le sait pas !


                                  • sleeping-zombie 3 septembre 2013 15:54

                                    Hello,

                                    Spartacus, je sais qu’on est pas du tout du même bord politiquement, et probablement séparé par des intérêts de classe.
                                    Mais quand même, quand tu écris ça
                                    Chaque jeune Français a droit à ses rafales de dissertation en seconde sur Marx.
                                    ou ça
                                    notre pays ressemble de plus en plus à un pays communiste
                                    tu peux pas être sincère. Tu dois être de 1950 et tes souvenirs scolaires datent de 1970.
                                    Parce qu’actuellement, en seconde, on est plus proche d’apprendre à lire que de faire des dissertations sur Marx... Et si les rares « jeunes » qui s’intéressent à la question sont plus de gauche que de droite (à j’oubliais, t’aimes pas ces termes, alors je reformule :), plus communiste-bolchévique que libéraux, c’est pas à l’école qu’ils l’apprennent.


                                    • escoe 3 septembre 2013 17:11

                                      C’est la rentrée, alors les néolibéraux dépriment un peu car ils savent que cette année encore l’influence de leur doctrine va continuer à décliner.


                                      • Richard Schneider Richard Schneider 3 septembre 2013 17:29

                                        Juste une question à l’auteur (et à ses « amis ») :

                                        « Si l’École était réellement une machine à penser »marxiste« , comment se fait-il que les Français depuis des années ne sont-ils pas devenus des électeurs de la gauche pure et dure ? »
                                        Je ne peux pas croire que Spartacus croit objectivement que ceux qui nous gouvernent actuellement fassent une politique socialo-communiste ...
                                        En conclusion, les ultra-libéraux, pour masquer leurs échecs, assènent à longueur de journée la même antienne : c’est parce qu’on n’a pas dérégulé davantage le monde que le système que nous prônons peine à s’imposer définitivement !

                                        • Fab81 3 septembre 2013 18:18

                                          Merci pour cette belle tranche d’humour, j’ai bien ri ! smiley Comment, c’est à prendre au premier degré ! Oups... smiley
                                          Bon, plus sérieusement, cet article est comme d’habitude avec Crassus un monument de mauvaise foi et d’aveuglement idéologique.
                                          Même vos sources (qui pourtant partagent vos orientations politiques) reconnaissent que le ministère a fait évoluer (hélas...) les programmes dans votre sens. Il a même invité l’institut de l’entreprise (pas spécialement connu pour être un repaire de marxistes !) à porter la « bonne parole » patronale auprès des profs...Vous n’avez même pas l’honnêteté de le mentionner ! smiley

                                          Et contrairement à ce que vous prétendez, on ne part certainement pas d’une approche « marxiste » de l’enseignement de l’économie. J’étais élève en ES à la fin des années 90, et je n’y ai pas vu trace de l’endoctrinement que vous évoquez. Toutes les théories, même celle de vos idoles, étaient exposées. Simplement, on aidait les élèves à développer une réflexion autonome et votre esprit critique, et ça, évidemment, ça ne vous plait pas...
                                          Pour info, Marianne a fait un article sur cette question des nouveaux programmes... dont les conclusions sont évidemment à l’exact opposé de celles de Crassus...


                                          • eric 3 septembre 2013 18:47

                                            Tous cela est extrêmement vrai mais avec un bémol. L’éducation nationale forme d’abord les enfants de profs a devenir des dirigeants, que ce soit dans le prive ou le public. 50% des X sont enfants de profs, sans préjudice de ceux qui sont enfants d’autres types de fonctionnaires. Cela dure depuis un moment. En pratique, ceux de leurs gosses qui sont bons en classe vont dans les filières élitistes ou la donne est un peu rectifiée. C’est en fac, la ou des formation souvent très médiocres orientent vers des carrières de fonctionnaires moyens que le désastre se poursuit.
                                            C’est ce qui explique la lutte des classes interne aux gauches. Les différence entre gauches sachant compter et les autres.
                                            Le nombre de fonctionnaires moyens mal formes et la tête bourrée de ces absurdités croit plus vite que le nombre d’enfants de gauche ayant découvert le réel. Le poids dans les partis reste en défaveur des éclairés. En revanche, la fuite des meilleurs, leur désengagement, leur très grande difficultés a adhérer a la vulgate, expliquent sans doute l’affaissement intellectuel accéléré des gauches.


                                            • escoe 3 septembre 2013 23:52

                                              50% des X sont enfants de profs, sans préjudice de ceux qui sont enfants d’autres types de fonctionnaires


                                              Ah, hummmm, et tout ça ça fait quel pourcentage d’une classe d’age ? C’est votre lycée ou la section UMP de votre quartier qui vous ont donné une telle maîtrise du sophisme ?

                                            • F-H-R F-H-R 3 septembre 2013 19:26

                                              Spartacus a malheureusement raison et il est loin d’être le seul à être conscient de la médiocrité des politiques menées par le ministère de l’éducation national depuis des décennies.
                                              Il y a quarante ans, le système d’éducation français faisait encore partie des meilleurs au monde. Aujourd’hui, il est non seulement à la traine mais on fustige les élèves qui veulent apprendre un peu plus que les maigres leçons prévues par le ministère.
                                              Par ailleurs, l’éducation nationale s’emploie à broyer les esprits imaginatifs et cartésiens pour imposer le respect de l’autorité inattaquable, celle de l’état gouverné par une oligarchie d’incapables qui s’accroche à ses privilège scandaleux et veut faire croire qu’elle est le seul rempart des citoyens face à leurs problèmes.
                                              Nous sommes bien dans un état de type soviétique où l’état s’approprie la richesse de la nation pour ne la redistribuer qu’à quelques-uns.
                                              L’éducation national est bien le vecteur de cette idéologie prônée par l’ENA et ce n’est pas la multitude de hauts fonctionnaires qui s’en plaint.


                                              • franck milo franck milo 3 septembre 2013 22:55

                                                Quand je pense que mon pere mineur de fond a fait du charbon pour chauffer les couilles d’un inutile comme Spartaculs.


                                                • fracri fracri 4 septembre 2013 02:29

                                                  C’est du second degré j’espère, car je n’ai pas pu aller au bout, car j’avais trop peur de casser mon écran. Reconnaissez que si l’école était ce que vous écrivez on devrait s’inquiéter, car quand on voit l’avenir se profiler pour nos enfants on se dit qu il n’y en a pas beaucoup qui ont dû écouter. Nos grands entrepreneurs du CAC 40 sont plus fils de Dassault c’est la France qui achète ses rafales mais cela ne l’empêche pas de cracher dans la soupe avec Le Figaro , Peugeot fils de son père est en train gentiment de couler sa boite, Lagardère il passe plus de temps à faire du people que de s’occuper de sa boite qui prend l’eau, Arnaud il est en train de monter des coups pourris pour que ses enfants n’est pas de droits de successions à payer, bref vous avez raison que des grands hommes toutefois en ce qui concerne leur réussite nous sommes quand même plus près du népotisme que du génie industriel.

                                                  En matière d’économie en effet par votre médiocrité je dois admettre que vous leur ressemblez beaucoup ;je vous propose donc avant de donner votre avis comme si vous étiez au café du commerce quelques ouvrages parlant d’économie et facile à lire bien que un peu déprimant Naomie Klein pas communiste « la stratégie du choc » cela vous expliquera qui était Friedman et ses chicagos boys et les ravages qu’ils ont fait en Amérique du Sud et en Europe après la chute du mur, ensuite mon auteur de chevet J.Stiglitz prix Nobel d’économie comme Friedmann d’ailleurs avec une approche beaucoup plus réaliste « Le triomphe de la cupidité » « Quand le capitalisme perd la tête » grace à ces ouvrages vous pourrez revenir nous donner votre avis et vous apprendrez que Pinochet n’est pas un pantin de bois, que Maggie Tatcher n"était pas une institutrice et que Reagan n’a pas fait que du cinéma. Apès cela je suis sûre que je pourrais lire vos articles sans avoir peur pour mon matériel informatique. 


                                                  • Captain Marlo Pilou Camomille 4 septembre 2013 09:16

                                                    Les théories de l’école de Chicago n’ont pas besoin d’explications, c’est ce que vivent les peuples européens en live... tous les jours.

                                                    Avant les Traités européens, nous avions 500 000 chômeurs, un vrai scandale, et pas 5 millions.
                                                    Nous avions une industrie prospère, et pas 8 millions d’habitants en dessous du seuil de pauvreté.
                                                    Nous avions une agriculture prospère et pas un paysan qui se suicide chaque jour...

                                                    Et puis nous sommes passés au « capitalisme du désastre », comme dit Naomi Klein dans son livre « La stratégie du chaos »...

                                                    Pour comprendre comment nous en sommes arrivés là, un petit livre « Les Evangélistes du marché » dont Spartacus doit faire partie, écrit par Keith Dixon.


                                                    • Mycroft 4 septembre 2013 09:57

                                                      L’état nous doit tout...

                                                      Vous êtes décidément un imbécile. L’état nous permet de vivre en êtant civilisé. Sans lui, la civilisation n’en est pas une. Payer ne donne aucun droit. « Le client est roi », c’est des âneries. Seul l’expert mérite d’être roi. Et quand nul expertise n’est possible (ce qui est le cas en économie), seul le peuple a ce droit. Nous devons tout à l’état parce qu’il apporte l’essentiel à nos vie : la justice, la loi, la science fondamental. Kennedy avait tout compris quand il a dit « ne demandez pas ce que l’état peut faire pour vous mais ce que vous pouvez faire pour l’état ».

                                                      Quand au fait que les tracts de the economist ou de IREF ne soient pas vu en cour, c’est la logique même. Des visions simpliste de l’économie, basé sur des modèles foireux, fait pour brosser les puissants dans le sens du poil.

                                                      La famine, c’est nous autres scientifique qui l’avons fait disparaitre. Vous n’y êtes pour rien. Votre outrecuidance à vous arroger nos succès est tout simplement inadmissible. Vous ne faites qu’un peu de logistique, ça ne fait pas de vous des éléments indispensables de la société. Vous payez, mais vous vous payez aussi et surtout sur le travail des autres. Votre argent n’est pas mérité, vous n’avez pas de légitimité à le posséder. Les risques que vous prenez ne sont pas souvent des risques utiles à la société. Prendre des risques pour prendre des risques, ça ne mène nul part.


                                                      • spartacus spartacus 4 septembre 2013 10:44

                                                        L’état n’est au service que de la demande des groupes de pression. Il ne produit absolument rien, il dépense.

                                                        Il favorise les groupes de pression au détriment des autres. Il s’octroie les richesses pour la clientéliser..

                                                        Pour vous, payer ne donne aucun droits, mais par contre pour vous, appartenir à la caste des obligés de l’état vous donne des droits sociaux différenciés !
                                                        Amusante cette pensée élitiste de clientéliste de la supériorité des « experts » de l’état !

                                                        Le donneur de leçon de morale que vous êtes est un privilégié en droits sociaux sur la population civile sans que rien ne puisse le justifier ces droits sauf son appartenance à la caste des obligés. 

                                                        La famine a disparue avec la mondialisation et le capitalisme de spéculation. Exemple concret que vous n’avez jamais appris à l’école Marxiste

                                                        C’est avec l’information des prix plus élevés sur les endroits de pénurie alimentaire, que les spéculateur acheminent les denrées vers les endroits de manque.
                                                        Mais allez faire comprendre cela a un privilégié de l’état. Un type qui se nourrit sur le dos des impôts des autres. 
                                                        A la limite on peut être salarié de l’état, et avoir son propre libre arbitre, mais dans votre cas le mépris affiché envers ceux qui payent et l’absence de conscience de responsabilité que vous devez aux contribuables est assez pourri.

                                                      • Mycroft 4 septembre 2013 14:31

                                                        L’état dépense moins qu’il ne produit. Sa production n’est pas matérielle (mais celle des entrepreneurs non plus) mais elle n’en est pas moins essentielle. La recherche fondamentale est le seul moyen pour l’humanité d’avoir des réponses faces au défit que nous envois régulièrement la nature. L’éducation doit générer une certaine homogénéité culturelle dans la société, sans quoi aucune paie n’est possible.

                                                        La famine n’a pas disparue. Et les progrès fait en la matière sont lié uniquement au progré fait par la science. Donc le fait de la communauté des scientifique, ingénieur et autre chercheur. Vous usurpez nos succès. Ce qui est inadmissible. Comment un mec comme vous, qui n’est probablement même pas capable de comprendre dans quel sens se tiens une publication scientifique peut il s’estimer un tant soit peu responsable des succès de l’occident du 20ème siècle. Vous n’y êtes pour rien.

                                                        Au passage, je me nourris avec l’argent que mes clients me donnent (via mon patron qui prend sa marge pour payer son carnet d’adresse), pas avec l’argent du contribuable. On peut être dans le privé sans pour autant gober vos âneries.

                                                        La spéculation sur les matières première ne résous pas les famines, la production massive de nourriture liée à la technologie de pointe produite grâce à l’éducation massive des occidentaux tous le long du 20ème siècle, plus évidement les guerres, sources de progrès, sont les seuls responsables de la diminution des épidémie et des famines dans le monde. Elles auraient déjà disparu si nous avions le pouvoir de décision sans avoir les possédants dans les pattes. Ce sont eux le groupe de pression qui vérole la société.

                                                        Ce n’est pas parce que vous versez un salaire que vous avez des droits et du mérite. C’est ceux qui travaillent de manière productive qui ont du mérite. Vous ne produisez rien d’utile, juste du « risque ». Je méprise en effet ceux qui ne produisent rien. Les fonctionnaires n’en font pas partie (à l’exception des haut fonctionnaire et des administratifs pure, tout aussi méprisables que vous).


                                                      • spartacus spartacus 4 septembre 2013 17:13

                                                        L’état ne produit pas de richesse, c’est une simple règle économique de base.

                                                        Si vous aviez eu d’autres cours que Marx, vous le sauriez. N’importe quel économiste même de gauche vous le dira. 

                                                        La recherche fondamentale n’a pas besoin de l’état pour exister. IBM, Microsoft, Canon et autres font des découvertes fondamentales et sans l’état. 

                                                        Petites infos sur les moyens qui ont permit la fin de la famine sur terre :

                                                        Quand a moi je ne méprise personne, je dis des vérités. 

                                                        Et les emplois que je crée, fournissent du travail à plusieurs personnes, qui peuvent en vivre de manière autonome sans rien demander aux autres pour vivre. 
                                                        PS : Je n’ai pas de société de logistique en propre !

                                                      • fracri fracri 4 septembre 2013 17:59

                                                        La recherche fondamentale regroupe les travaux de recherche scientifique n’ayant pas de finalité économique déterminée au moment des travaux (source Wikipedia) qu’elles sont les recherches fondamentales dont vous parlez


                                                      • Mycroft 4 septembre 2013 18:13

                                                        Quand on me donne du travail, c’est moi qu’on remercie, Spartacus.

                                                        Vous ne faites vivre personne, ceux qui travaillent pour vous vous font vivre. Posez vous la question : si on vous vire sans vous remplacer, votre boite, elle tourne ou elle coule ? Moi je parie qu’elle tourne encore. Sinon, c’est qu’elle n’a pas de raison d’être, qu’elle n’existe que par un tour de passe passe, à coup de magouille. A moins que vous soyez auto entrepreneur, auquel cas vous seriez bien mieux au sein d’une entreprise plus grande, à faire le travail avec des collègue, en acceptant une organisation, plutôt que de vous la jouer solo avec toute les emmerde que ça implique.

                                                        Vos loi économique ne sont que des croyances, vos principe de base une religion, qui est mortifère. Et vous ne comprenez rien à ce qu’est la recherche, fondamentale ou non. Mycrosoft, IBM, Google, ces boites ne serait pas sans les vrais chercheurs comme Turing. Et les boites que vous citez n’existent pas grâce à des entrepreneurs mais grâces aux chercheurs qui les composent. Supprimez les proprios, les boites tourneront aussi bien, voir mieux. Et c’est ces mecs là que vous accusez de se nourrir à vos dépend. Mais comprenez que ces mecs là font de l’humanité une force. Il gère des choses qui vous dépassent.


                                                      • Mycroft 4 septembre 2013 18:47

                                                        Sinon, Spartacus, un conseil pour que vous puissiez un jour envisager de passer pour autre chose qu’un guignol : dans un débat polémique, évitez de vous auto-sourcer. Des liens exposant votre analyse biaisée ne sont pas des preuves.

                                                        Vous oubliez complètement que ce que les anti appellent « mondialisation », c’est bien entendu la mondialisation économique, ie la capacité des entreprises à voter avec leur pied. La capacité à ceux qui sont mobile de choisir quel loi leur convient.

                                                        Nous venter les avantages de l’international (ie pouvoir fournir des biens d’un bout à l’autre de la planète), ce n’est pas nécessaire. Pour info, l’international, c’est un truc communiste. Mais ça implique l’état monde. Et un système de loi qui est unique.


                                                      • spartacus spartacus 4 septembre 2013 23:23

                                                        @fracri

                                                        La recherche fondamentale n’est pas l’exclusivité de l’état. Bien au contraire.
                                                        En 1981, Gerd Binnig et Heinrich Rohrer, deux chercheurs de IBM recoivent le prix Nobel de physique en 1986.
                                                        Microsoft donne 13% de son CA en RetD. 1200 chercheurs de cette entreprise sont devenus millionnaires avec leurs découvertes. Un budget de 7 milliards de dollars, qui ne demande rien au contribuable. 

                                                        @Mycroft
                                                        Ceux qui travaillent dans mes PME travaillent pour eux avant tout, et pour l’entreprise qui leur donne un revenu correct pour les faire vivre.
                                                        C’est bien l’entreprise qui les fait vivre, et l"actionnaire et dirigeant c’est moi.
                                                        Quand a mes boites, j’en suis le dirigeant créateur, j’ai aussi prévu mon absence en y mettant à chaque direction mes enfants et des méthodes managériales. Donc en mon absence elles fonctionnent, sur les affaires courantes.
                                                        Si je veux prendre un risque entrepreneurial, j’ai la liberté et le savoir faire
                                                        Le chercheur a besoin de moi pour exister, moi pas mais je peux en changer.
                                                        Le dirigeant de Apple, est parti une fois la boite c’est cassée la figure, il vient de décéder, l’avenir sans lui semble bien moins rose.... C’est bien l’entrepreneur qui fait l’entreprise. Jamais le chercheur.

                                                        Si le chercheur est le primordial, créez votre boite. Faites comme moi il y a 27 ans. 

                                                      • fracri fracri 5 septembre 2013 00:47

                                                        tout à fait d’accord, sauf que ils ont obtenu le prix Nobel pour le microscope à effet tunnel c’est une invention grandiose mais pas de la recherche fondamentale il y a longtemps que les entreprises ne dépensent plus d’argent là dedans car trop cher et préfèrent acheter des brevets et cela ce vérifie encore plus dans les entreprises pharmaceutiques ou les laboratoires de recherche ferment de plus en plus. Bref dans le monde actuel la recherche fondamentale est à 80% payé par les états et les entreprises récupèrent les résultat de cette recherche pour la canaliser en profit mais moi contrairement à vous ça ne m’empêche pas de dormir.


                                                      • spartacus spartacus 5 septembre 2013 09:05

                                                        Ne vous fiez pas à wikipédia qui n’est pas toujours une vérité. Le nobel est pour la découverte  de la supraconductivité à haute température.


                                                        Le microscope est une application faite après.

                                                      • Mycroft 5 septembre 2013 10:39

                                                        Crée sa boite, c’est pour ceux qui ont du temps à perdre. Nous avons largement assez d’entreprise. Le but, c’est au contraire de les concentrer et de les démocratiser, pour que les productifs soient aux commandes et virent la nouvelle noblesse qui s’auto-proclame maitre de l’entreprise. L’entreprise n’a pas besoin des actionnaires, mais juste de leur argent. Mes capacité font qu’on a besoin de moi là où je suis. Sans moi, mes collègues sont dans la merde. Pas sans un objet en ma possession, mais sans ma personne.

                                                        Ma boite est une PME, c’est nous, les employés qui la faisons tourner. Vous n’êtes rien sans nous, parce que nous faisons du vrais travail. Vous ne pouvez pas nous remplacer, parce que justement, remplacer un chercheur, c’est complexe, les travaux sont extrêmement pointus, les temps de transferts de connaissance se font sur plusieurs années. C’est parce que nos société moderne subisse les influences de guignoles comme vous, incapable de comprendre le monde technique que tout se casse la gueule en occident.

                                                        Nous avons en effet besoin d’une entreprise, pas de l’actionnaire. Vous avez placé vos fils à papa à la tête de l’entreprise, mais si on n’y mettais personne ? Vos boites s’en sortent sans vous. Elle s’en sortiraient sans vos fils à papa et vos « méthode managérial » (aussi appelé pipologie). Cet argent, on peut le leur prendre, ce n’est pas un savoir ni un savoir faire, ce n’est pas lié à une personne. Quand on est utile par ce que l’on a et non par ce que l’on est, on n’est pas utile.

                                                        Apple existe par effet de mode. Le directeur fait l’entreprise parce qu’elle n’est rien, du vent. C’est une boite qui n’existe que parce que la bourse, qui ne comprend rien à la technique, a été impressionnée par le charisme de Steeve Jobs. Mais Apple vend juste très chères ses produits sans réelle raison. Ce n’est pas une entreprise modèle, mais plutôt un modèle à ne pas suivre.

                                                        Mycrosoft est une plaie pour le monde. Un parasite. Les ingénieur qui y travaillent travaillent avant tout à faire des produits médiocre, intrusif, mais bénéficiant d’un marketing et d’un cercle vicieux. Le coût de Mycrosoft pour la société est démentiel. Sans Mycrosoft, c’est bien les OS unix qui légitimement seraient utilisé. OS gratuits, bien sur. Vous imaginez la réductions des coûts pour tous le monde ? Mais voila, pour utiliser les programmes du commerce, il faut avoir Windows, parce que les programmeur font des programme pour Windows puisque tout le monde à Windows. Et la boucle est bouclée. Là encore, un modèle à ne pas suivre.

                                                        IBM est, dans les boites que vous citez, la seule à avoir fait du bon boulot en informatique. Sauf qu’IBM se serait cassé la gueule sans les commandes d’état. Il n’a commencé à vendre des produits au particulier qu’à partir de 1980. IBM existe grâce à l’état. Comme bon nombre des boites français les plus performantes, comme Areva, Alstom, ou Airbus.

                                                        Vous avez une vision tellement bornée, persuadé que tout transaction commerciale est juste et bonne pour la société, vous avez une telle incapacité à comprendre le monde technique, que vous êtes un poids pour la société. Le fait que vous soyez fortuné


                                                      • fracri fracri 6 septembre 2013 00:35

                                                        http://www.futura-sciences.com/magazines/matiere/infos/dossiers/d/physique-supraconductivite-103/page/2/

                                                        D’accord pour Wikipédia mais le prix nobel dont vous parlez et bien pour le microscope.


                                                      • kalagan75 6 septembre 2013 16:30

                                                        @mycroft : tu n’as pas du faire de recherche fondamentale en grammaire . Plus d’une faute par ligne, c’est tout de même beaucoup .

                                                        Sinon , j’adore tes idées du style : « nous avons assez d’entreprises » ... Les entreprises de demain sont notre avenir et celui de nos enfants .


                                                      • ZEN ZEN 4 septembre 2013 12:14

                                                        Une blague de potache en première année d’économie ?


                                                        • lcm1789 6 septembre 2013 18:00

                                                          Mais alors les profs y sont de gôches, les journalistes y sont de gôches, l’ENA y sont de gôches....et pourtant il est indéniable que mou vivons dans une société capitaliste libérale voire ultra libérale ( ce ne sont pas quelque pouiémes d’aides sociales autofinancé par les revenus du salariats qui changent quelque chose !)...


                                                          Tu m’as ouvert les yeux spar...(non je dis pas tout ton pseudo parce que le vrai spartacus ne mérite pas d’être insulté) nous vivons dans une effroyable dictature !


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