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Accueil du site > Tribune Libre > Retraites : l’odieux chantage du gouvernement

Retraites : l’odieux chantage du gouvernement

Notre bon ministre du travail donne le ton. Si le mouvement social se durcit et en vient à paralyser le pays, ce sera le coup de grâce donné à l’économie déjà éreintée par la crise. Ha elle a bon dos cette crise. Accusée d’être à la source de l’obligation de réformer les retraites, nous ayant d’un coup d’un seul projeté de 20 ans dans le futur.
 
Pourtant c’est bien ce gouvernement qui reste sourd au refus manifeste de cette réforme dont lui fait part le peuple. Seule son intransigeance sera responsable si d’aventure l’exaspération et la peur de l’avenir bloquent le pays. Il nous est répété à l’envi que si rien n’est fait, le déficit sera de 75 milliards en 2050. Objectivement, cet argument ne peut pas rencontrer l’adhésion de ceux qui ne savent même pas si demain ils auront encore du travail.
 
Dans ce monde fait d’incertitudes, le gouvernement avance des projections à 40 ans. Cela voudrait donc dire que la crise n’aura servi à rien, qu’aucune leçon n’en aura été tirée et que le système socio économique va donc rester immuable pendant les 40 prochaines années ? On voit bien que l’enjeu de cette réforme est ailleurs.
 
La vieille lune qui consiste à diviser pour régner a du plomb dans l’aile. Bien sur que si les transports se mettent en grève reconductible, les usagers en pâtiront et des pans entiers de notre économie seront fragilisés. Les grévistes seront d’ailleurs les premières victimes, sacrifiant plusieurs jours de salaires. Mais le gouvernement préfère courir le risque du conflit radicalisé que d’accepter une renégociation. C’est donc lui le responsable. Pas ceux qui ne cherchent qu’à protéger leur avenir et celui de leurs enfants.
 
Si nous ne voulons pas êtres sacrifiés sur l’autel de ce capitalisme carnassier il est temps d’amorcer une autre ligne de conduite que celle de la résignation à laquelle on ne nous a que trop contraints. Sauver le système par répartition ne peut s’envisager que si la croissance et l’emploi sont au rendez vous du futur. Or ce n’est pas en pactisant avec les actionnaires que l’Etat créera de l’emploi durable.
 
A défaut de croissance, seuls ceux qui en auront les moyens pourront capitaliser pour leurs retraites. C’est donc pour un changement de société tendant vers plus de justice sociale que nous devons dès maintenant nous battre. Et ce combat commence par le rejet de cette réforme qui n’est faite sur notre dos que pour rassurer les marchés financiers, au prix de notre labeur.
 
Le travail doit être un moyen d’émancipation dont une retraite heureuse est l’aboutissement. Ce n’est pas ce que veut nous imposer cette droite capitaliste.
Ségolène ROYAL l’a dit chez Arlette CHABOT « Nous nous battrons le dos au mur »
Soyons solidaires de ceux qui oseront défier ce gouvernement, quelque soit le prix que nous aurons à en payer, l’avenir en sortira meilleur.
 
Christian

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22 réactions à cet article    


  • jaja jaja 8 octobre 2010 10:10

    D’accord avec l’article, sauf en ce qui concerne sa conclusion !

    Comme je l’ai écrit dans un commentaire :

    Ségolène Royal est pour le maintien de la retraite à 60 ans mais, dit-elle : "les efforts doivent être partagés et nous acceptons donc le principe d’un allongement de la durée de cotisations jusqu’à 41,5 années."

    Autrement dit il faudra avoir commencé à travailler à 18 ans et demi pour en bénéficier... De qui se moque t-elle et en plus en jouant les dures ?...

    Revenir aux 37,5 années de cotisations comme c’était le cas avant toutes les « réformes » successives est un impératif de justice sociale minimum !

    Exigence qui doit être portée par toutes les forces de la vraie gauche !


    • K K 8 octobre 2010 10:19

      Nous attendons le programme économique du PS qui garantira déjà l’emploi jusqu’à 60 ans. Sans chômeurs et avec des salaires corrects, le système de répartition a un avenir. Sans plein emploi et avec des salaires trop faibles, il n’y aura que des retraites sous le seuil de pauvreté.

      Présentez nous donc un programme économique viable pour que les propositions sur les retraites ne soient pas uniquements des « promesses électorales » ou des « petites phrases »

      • Ouallonsnous ? 8 octobre 2010 20:20

        Non, K, nous n’attendons rien du PS sinon qu’ils s’en aillent avec leurs complices UMP, c’est du socialisme et de la solidarité républicaine dont nous avons besoin !


      • Bulgroz 8 octobre 2010 11:43

        La SNCF et la RATP ont encore annoncé une nouvelle grève.

        Quand on sait qu’ils ne sont pas concernés par a réforme des retraites qu’à l’horizon 2018 (départ à 52 ans contre 50 aujourd’hui).

        et que les caisses de retraites SNCF et RATP sont subventionnées par le budget de l’état pour 3 milliards et 500 millions respectivement.

        Les cotisations Employés/Employeurs ne couvrent les dépenses de retraites qu’à hauteur de 30%.
        Chaque retraité SNCF ou RATP est subventionné par le budget de l’état donc par les impôts à 70%.

        C’est un scandale sans nom, une totale iniquité pour la France.

        Allez y Messieurs les salariés battez vous pour que les cheminots puissent garder leurs avantages à vos dépens.

        Réfléchissez !! Ici la situation actuelle :

        http://www.info-retraite.fr/?id=483#c

        Age normal de départ en retraite :

        55 ans pour les agents en service sédentaire,
        50 ans pour les agents de conduite des locomotives.

        Durée minimale de cotisation pour une retraite normale : 25 ans.

        Mode de calcul de la retraite (hors décote et surcote) : Rémunération liquidable des 6 derniers mois d’activité x Durée validée à la SNCF exprimée en trimestres / nombre de trimestres requis pour le taux plein x 75 %. 


        • jluc 8 octobre 2010 12:31

          Réforme : l’écart public-privé se creuse !

          Réforme : un double jeu incompréhensible sur la retraite des fonctionnaires.

          Il y a un double jeu évident du gouvernement et des syndicat  : des négociation secrètes entre eux ?


        • libre dissidence libre dissidence 8 octobre 2010 13:33

          Mr Bulgroz,
          Je vous prie de descendre un peu de votre jaguar et d’aller discuter (sans votre havane) avec des cheminots sur le terrain.
          D’où sortez vous ces chiffres -conneries ?
          Du manuel UMP/ Médef, ou du parfait guide du foutage de gueule ; rien qu’à l’âge des agents de la Sncf que nous voyons tout les jours dans les gares, on comprend que cela est impossible !
          A moins que vous parliez de certains chefs de services ou cadres de vos amis qui se font promouvoir, peu de temps avant de partir pour mieux remplir leur % de siphonnagesdes caisses.
          Vous trouvez encore des démonstrations trés ciblées (-de 4%) des cas pour stigmatiser une catégorie de travailleurs.
          Comme si tous étaient sédentaires ou agents de conduite.
          Sortez de vos schémas réducteurs, pour peu vous donneriez envie de faire carriére à la Sncf et cette société n’aurait plus de problémes de recrutement.
          Quant à votre démonstration sur le mode de calcul de la retraite, si vous n’aviez pas précisé entre parenthése : hors décôte et surcôte, votre carriére de comique troupier était assurée.
          Malgré ces () beaucoup de carriéres s’ouvrent devant vous : mais pas mathématicien !


        • FRK44 FRK44 8 octobre 2010 13:39

          Super, divisons pour mieux régner !
          Voilà un bouffon du roi en pleine propagande...

          D’abord je croyais que c’était fini, grâce à nicolas, les régimes spéciaux ? on nous aurait menti ?
          Ensuite, je ne vois pas en quoi c’est gênant de faire grève quand on est pas directement concerné. Moi, par exemple, je n’aurais aucun problème pour bosser 2 ans de plus, je n’ai pas un métier pénible. Pourtant, je vais encore descendre dans la rue, ne pas être payé ce jour là, pour défendre les droits de ceux qui ne peuvent pas se défendre.
          Enfin, pas étonnant que les entreprises publiques ne couvrent plus les retraites de leurs ex-salariés fonctionnaires, les effectifs de fonctionnaires ont été élagués.

          On comprend en plus à te lire, que tu n’es pas un salarié ( ’ allez y messieurs les salariés’ ), tu saurais alors qu’il y a aussi des femmes salariées...


        • Bulgroz 8 octobre 2010 13:51

          Libre dissidence,

          Tout ce que je dis se trouve sur le site de la caisse de retraite SNCF dont j’ai donné le lien.

          http://www.info-retraite.fr/?id=483#c

          Je vais commencer à croire que vous ne voulez rien savoir comme un âne qui n’a pas soif..

          Quant aux subventions de l’état aux régimes de retraite, regardez le budget 2010.ou le rapport des comptes de la Sécurité Sociale  :
          http://www.securite-sociale.fr/chiffres/ccss/biblio/CCSS_RAPPORT_OCT2009.PDF

          Page 68 : "Subventions d’équilibre versées par l’Etat aux régimes de base"

          SNCF : 3003 Millions
          RATP : 516 Millions


        • libre dissidence libre dissidence 8 octobre 2010 14:17

          Mr Bulgroz ;
          1°/ Autant donner des liens qui aboutirait directement à Sarko/Woërth.fr !
          2° : Rappel restez courtois dans vos propos :
          a) je ne suis pas un ane
          b) j’ai soif , mais de vérité
          2/ Méditez cela : il n’y pire aveugle que celui qui ne veut pas voir .

          Tout vos arguments m’ont aidé à mieux vous connaître : c’est vous qui avez profité de la promo : 1 carte Ump cotisé = 1 carte Médef offerte !

          Revenons au chiffre de la Sécurité Sociale : encore une expression en guise de commentaire ; jouer(ou faire) l’ane pour avoir du foin.
          Il faudrait accorder du crédit à un organisme qui est incapable d’engager des procédures juridiques pour le recouvrement des sommes dues, sauf contre les Pme et Tpe ;
          voyons un peu de sérieux, ...
          Autant attendre que la Sécurité Sociale aille réclamer cet argent manquant aux grands groupes qui non seulement ne payent pas l’intégralité de leurs cotisations mais prennent aussi des subventions, des aides, des exonérations, pour finir soit par faire du chantage à l’emploi,soit par délocaliser.
          J’aimerai vraiment avoir un débat ouvert et sincére avec vous, mais la faiblesse de vos écrits pour l’instant, ne saurait m’en convaincre.
          Exiger d’une femme, mére célibataire, de 2 enfants, à mi temps (imposé), de travailler jusqu’à 62 ou plus, est ce donc cela une société juste et égale ?
          C’était donc cela le sens du slogan : ensemble tout devient possible !
          On nous aurait menti : à l’insu de notre plein gré.
          Quand j’ai écrit ’’ la faiblesse’’ sachez que ce n’est pas pour diminuer, péjorativement vos propos, mais parce que se contenter de communiquer par chiffre, surtout quand on en connaît la source ; devrait vous inciter à plutôt chercher une autre voie : celle d’une réforme des retraites que moi aussi je pense indispensable, mais partagée par tous et pour tous !
          Les vrais problèmes ne sont pas là ;


        • foufouille foufouille 8 octobre 2010 15:43

          il faudrait accorder du crédit à un organisme qui est incapable d’engager des procédures juridiques pour le recouvrement des sommes dues, sauf contre les Pme et Tpe ;

          exact
          pour les accidentents de la circulation, ils sont convoques au tribunal mais se deplacent pas


        • spartacus spartacus 8 octobre 2010 18:07

          Pendant qu’on y est si les agents EDF payaient des cotisations chomage dont elle s’exonère au dépends des ASSEDIC ?
          Pendant qu’on y est si les salariés des régimes spéciaux cotisaient au meme pourcentage que ceux du privé ?
          Pendant qu’on y est si on interdisant les "bonifications’ à la SNCF

          Les régimes spéciaux ce sont des régimes d’égoïstes et de profiteurs de situations de monopole.

          Des gens qui ne connaissent pas l’insécurité de l’emploi et exploiteurs de contribuables pour leurs intérets. Rien a envier aux pire des capitalistes.


        • pens4sy pensesy 9 octobre 2010 00:59

          bulgros est un troll rémunéré pour dire des imbécillités. Il n’est jamais en grève de conneries.


        • LE CHAT LE CHAT 8 octobre 2010 12:38

          les gouvernement de gôôche dont a fait partie Ségolène Royal ont largement contribué aux allégements de charge accordés au patronat avec DSK, qui a de plus augmenté la productivité grâce aux 35h de Martine Aubry ! 
          une gauche comme ça , le medef en redemande !


          • slimo 8 octobre 2010 14:29

            @ mr Bulgroz
            Pourquoi toujours vouloir niveler par le bas ?
            La sncf et la ratp on su garder des avantages ? prenons les comme modèle !
            [quote]La SNCF et la RATP ont encore annoncé une nouvelle grève. [quote/]
            On sens un agacement dans vos propos.
            C’est sure que les gens qui prennent les transports en commun vont passer un moment inconfortable,les plus pauvres risquent d’être pénalisé en fin de moi...
            D’un autre cote,heureusement qu’ils existent pour faire bouger les choses.
            Je travail dans le bâtiment, en tant qu’intérimaire,je peut vous dire que si on comptait sur le privé pour amorcer un mouvement de contestation le smic serait actuellement à 500€ par mois et les retraites commencerait le lendemain du décès !
            Les journées d’action comme elles ont étés faites par les syndicats dans un premier temps c’est bien ;ça veut dire on est pas daccord, si elles sont minimisées, pas prise en compte,que reste t-il comme armes au peuple ?
            Un brassard disant « on est en grêve » ? je doute que ça soit très utile.

            Autre chose,les pourcentages, je n’ais pas vérifiés ceux que vous avancez ;
            Le pourcentage de mon point de vu est une arme très utilisé par les hommes d’affaires ,banquiers ,politiques...
            Ce n’ai pas sans raisons,ça reflète très peu la réalité,ça va toujours dans le sens de celui qui les citent,et généralement c’est toujours au désavantage du bien commun est du plus grand nombre.


            • Titus 26 octobre 2010 02:59

              Et pourquoi ceux sont toujours ceux qui ont le plus d’avantage qui ralent le plus ?
              Quand on a autant d’avantage on doit avoir la descence de se taire mais non ici en France ceux sont les nantis des salariés qui se donnent le droit d’empécher les moins lotis de travailler.

              Je suis pour la retraite à 60 ans et pour cesser enfin tous les avantages indécents donnés.

              La retraite des cheminots est un scandale.
              Les avantages donnés datent de 1912 quand le travail des cheminots étaient vraiment dur et physique (ils étaient obligés de déblayer les chemins de fer).
              Aujourd’hui ils ne déblayent plus rien, ils sont assis et ils ont le pilotage automatique.
              Et c’est les autres qui payent.


            • non667 8 octobre 2010 14:34

              grève / révolution = logique absurde 
              pourquoi demander par la grève a sarkosy ce que la gauche et aucun parti ne pourrait nous accorder par les urnes ??????????
              on attend toujours un programme économique plausible conséquent et cohérent du ps  !!!!
              génereux dans les dépenses (35 h , retraite a 60 ans ) mais qui par au chiote au moment de payer smiley
              nota 35 h payé 40 = 13% augmentation des charges salariales donc 10 % des couts de production et des prix ,nos concurrents (allemands surtout ) en redemande de la martine !


              • foufouille foufouille 8 octobre 2010 15:45

                ya pas de smic en allemagne
                chauffeur de bus 2.45/h


              • UltraLord 8 octobre 2010 16:13

                J’ai trouvé l’article intéressant, jusqu’à l’avant dernière phrase ...

                Dommage, sans propagande, le message serait encore mieux passé ...


                • elec 42 elec 42 8 octobre 2010 18:32

                  a quand une réforme des retraites juste et équitable pour tous les salariés ?public et privé.rien à attendre de celle là,ceux qui vont faire grève,le font juste pour défendre leur petits avantages et les syndicats en première ligne pour les défendrent,(ils représentes 7% des salariés) mais qu’en pense les93% restant ?


                  • Blé 9 octobre 2010 07:14

                    50% de l’électorat sont des femmes.

                    Madame Royal bien que travaillant a pu élever 4 enfants grâce à des nounous et femmes de ménage. Elle ne pouvait pas emmener avec elle landau et biberons.

                    Les femmes élevant ne serait-ce qu’un enfant voit sa journée prolongée de plusieurs heures sans que ce travail « fantôme » soit pris en compte.

                    Si aucun candidat à la présidentielle n’apporte une amélioration à cette situation, (au bout de 18 ans, cela représente combien de trimestres ?), je ne vois pas pourquoi je me déplacerais pour voter.

                    Public/privé s’entendent pour ne pas aborder cet aspect de la condition féminine. Les quelques exceptions qui existent (il y a des hommes qui donnent un coup de main pour le travail domestique ), ne sauraient justifier cette absence totale de prise en compte des doubles journées des femmes.


                    • libre dissidence libre dissidence 9 octobre 2010 08:27

                      Blé,
                      Bon commentaire, qui pourrait être étendu à l’ensemble des facteurs régissant le travail et sa prise en compte dans notre société. 
                      La réforme des retraites et une grande partie des réactions qu’elle provoque vient surtout du fait que cela touche des fondamentaux plus importants.
                      Tous nous savons intuitivement, que le vrai débat est celui de l’évolution de notre société, de l’attention et de la protection des plus faibles, d’une juste répartition des efforts et des profits...
                      Ponctionner abusivement l’une ou l’autre des parties est injuste, le travail produit des richesses et des revenus financiers, si tout le monde en profite pourquoi tout n’est pas partagé ?
                      Si une entreprise génére des bénéfices, des dividendes, des biens de consommation, comment se fait il que lors de l’imposition ou des cotisations ; seul soit pris en compte la part patronale ou salariale, et pas aussi la part des dividendes versés, la part des bonus, et des primes.
                      Serait il injuste de prendre en compte tout ces facteurs, si le travail produit tout ou partie de ces biens, pourquoi n’en comptabiliser qu’une partie et ignorer délibérement l’autre ?
                      Regardez tous attentivement vos fiches de paye, quand la production augmente, quand la valeur du titre boursier augmente ; quel est le bénéfice qu’en retire les salariés ; les employeurs, les consommateurs ?
                      Cette réforme voulue comme indispensable, inéductable, juste... Ne l’est pas et cela se voit de plus en plus.
                      Notre systéme actuel dit par répartition, ne l’est pas en vérité, puisque tout les éléments du calcul ne sont pas posés dans la même opération mathématique, et sur la même feuille.
                      Il n’y a pas de répartition des efforts, des bénéfices et des impositions, donc dette réforme n’est pas juste !
                      Quant à dire pour certains détracteurs et pseudo-réformateurs : la Droite ou la Gauche,c’est limiter volontairement le débat et éviter encore une fois de poser la bonne question :
                      - est ce que tous et toutes salariés, employeurs, actionnaires (etc..etc) ; sommes nous égalitairement et proportionnellement rétribués et imposés en fonction de la valeur de nos efforts et de notre production ?



                       


                      • Titus 26 octobre 2010 03:05

                        pfffuifff

                        Tu devrais aérer tes réponses en faisants des paragraphes facilitant la lecture de ton message.

                        J’ai une autre question pour toi : Et pourquoi lorsque l’entreprise ne fait pas de bénéfice voir des pertes les salariés touchent encore leurs payes à la fin du mois ?

                        En effet en suivant ton raisonnement : pas de bénéfice = pas de salaire.

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