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Accueil du site > Tribune Libre > Rigueur et compétitivité : un cocktail toxique

Rigueur et compétitivité : un cocktail toxique

Depuis l’éclatement de la crise, les gouvernements européens et la Troïka (la commission européenne, la BCE et le FMI) mettent en œuvre, de manière plus ou moins violente selon les pays, un « cocktail » de mesures bien établi : avec d’une part des coupes budgétaires dans les dépenses sociales (austérité), de l’autre des politiques au service des multinationales et investisseurs privés (compétitivité). Mais ces mesures suscitent de fortes résistances sociales dans de nombreux pays européens.

En Europe, le rouleau compresseur des « réformes » néolibérales est placé sous le signe de TINA, le petit surnom de Margaret Thatcher : There Is No Alternative (« il n’y a pas d’alternative »). Le programme des gouvernements, qu’ils soient conservateurs ou sociaux-démocrates, y est partout le même : austérité, compétitivité. Un dogme scandé à longueur de journée dans les médias, et ce malgré ses résultats catastrophiques : aggravation du chômage, de la crise économique, tensions sociales… à quoi s’ajoute le retour en force de l’extrême-droite.

Et pourtant, les alternatives existent. D’importants mouvements sociaux se lèvent en Europe depuis les pays les plus touchés par la crise, qui contestent les privatisations, les reculs sociaux, la mise en pièce de la société et de la nature par le rouleau compresseur néolibéral. Ces luttes se multiplient, et tentent de se coordonner au plan européen pour faire émerger un autre projet de société, mettant les besoins écologiques et sociaux de tous avant les profits d’une minorité. Voici une petite revue des enjeux des politiques menées actuellement en Europe ainsi que des nécessaires résistances sociales.

Quand la compétitivité intoxique la société

« Compétitivité », le mot est sur toutes les lèvres. C’est le seul horizon proposé par les partis politiques sociaux-démocrates, de droite ou d’extrême-droite pour des « lendemains meilleurs ». Le principe ? Les pays européens étant en concurrence, plongés qu’ils sont dans la compétition mondiale, ils doivent attirer les capitaux et doper leurs entreprises pour garantir un niveau d’emploi élevé.

Ainsi d’une part, puisque les capitaux circulent librement, les gouvernements doivent se plier aux diktats des investisseurs : fiscalité aux petits soins, normes environnementales au rabais, droits sociaux à la baisse, privatisations. De l’autre, ils doivent « doper leurs entreprises » en supprimant les « entraves » au business et à l’export : cela suppose notamment de baisser les salaires, de supprimer certains droits des travailleurs. Les employeurs, eux, bénéficient de faveurs : abattements fiscaux, réductions de cotisations sociales, etc. Des faveurs dont le coût sera financé par l’augmentation des taxes sur la consommation comme la TVA qui touchent plus directement les couches moyennes ou populaires.

De telles mesures se sont multipliées en Europe du Nord comme dans les pays du Sud dont certains sont sous la tutelle économique de la Troïka. En Allemagne, le « modèle » exportateur basé sur la compression des salaires a fait exploser la pauvreté. En Grèce, depuis 4 ans, les revenus se sont effondrés sous les coups des réformes successives (de 35 à 50%). Les conventions collectives qui garantissent les droits des travailleurs ont été tout simplement suspendues en 2011, « compétitivité oblige ». En France l’ANI (accord national interprofessionnel) mis en place en 2013 autorise le chantage à l’emploi (sous la forme d’« accords compétitivité-emploi »).

Les taxes sur la consommation ont significativement augmenté dans tous les pays européens, mais pas les impôts progressifs comme les impôts sur la fortune. En Grèce, la taxe sur les bénéfices est même passée de 25% à 10%. Résultat, la charge fiscale repose à 55,5% par les employés et retraités, seulement à 28% par les entreprises. Compétition oblige, on ne taxe plus le capital, ni les revenus les plus élevés, pour ne pas grever un hypothétique investissement privé ; mais on assiste à un pillage fiscal des classes populaires et moyennes.

Mais la compétitivité n’est pas qu’une affaire fiscale ou sociale. En Grèce et en Roumanie, des mines d’or ont rouvert malgré les conséquences dramatiques pour l’environnement (avec déversement de cyanure en quantité). Partout en Europe, les lobbies de l’industrie extractive se mobilisent pour faire autoriser l’extraction de gaz de schistes malgré les dangers notoires associés à cette pratique (et dont la Pologne, fer de lance de l’exploitation du gaz de schistes en Europe, subit aujourd’hui les conséquences).

Le désir inconséquent d’attirer les grands investisseurs à tout prix conduit les décideurs européens, nationaux et locaux à multiplier les privatisations. Les services publics locaux, comme les régies de l’eau, sont confiés au privé avec pour conséquence des tarifs explosent pour les consommateurs, comme en Grèce. La « séduction » des investisseurs passent aussi par des grands projets inutiles, comme l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes ou la ligne de chemin de fer Lyon-Turin. Des projets au plus grand bénéfice du privé, dont l’utilité sociale est négligeable par rapport aux coûts économiques et environnementaux.

L’université et la recherche n’y échappent pas : elles doivent, elles aussi, se soumettre au dogme de la compétitivité. La stratégie « Europe 2020 » adoptée par l’Union européenne stipule que l’université doit permettre de former une main d’œuvre adaptée aux demandes du marché du travail, c’est-à-dire des entreprises. La commission en appelle même à enseigner « l’esprit d’entreprise » dès le plus jeune âge. La recherche doit, elle, se focaliser sur l’« innovation », et donner aux entreprises européennes des avantages compétitifs.

L’accord commercial anti-contrefaçon (mieux connu sous le terme ACTA) s’inscrit dans la même logique : les gouvernements européens s’apprêtaient à ratifier des reculs considérables en termes de respect de la vie privé, des droits des citoyens sur internet, d’accès aux médicaments génériques ou d’utilisation de semences paysannes pour mieux complaire aux désidératas de l’industrie. Le traité a finalement été rejeté suite à une mobilisation citoyenne sans précédent en Europe.

La négociation d’un accord transatlantique entre l’Union européenne et les Etats-Unis, qui a débuté en aout 2013, se situe lui aussi pleinement dans la rhétorique de la compétitivité. Pour l’emploi, donc pour la croissance et la compétitivité de l’industrie européenne, il s’agit de supprimer les « barrières » au commerce et à l’investissement que constituent les normes sanitaires, écologiques, sociales.

L’austérité : une catastrophe économique et sociale

Les politiques d’austérité sont en quelques sortes le revers de la « compétitivité ». L’austérité consiste à multiplier les coupes dans les dépenses publiques afin de permettre que les budgets publics soient équilibrés.

Le principe est le suivant : avec la crise financière (le renflouement des banques) et la crise économique (la récession), les gouvernements ont accumulés des dettes publiques importantes qui contraignent les budgets. Or d’une part, ils ne peuvent pas « faire marcher la planche à billet » pour soulager cette dette, puisque c’est la Banque centrale européenne (BCE) qui est en charge de la politique monétaire. De l’autre ils se refusent à augmenter les impôts sur les plus riches ou sur les entreprises, « compétitivité oblige », et il est délicat de se contenter d’accroître la pression fiscale sur les classes moyennes et populaires.

La solution pour équilibrer les dépenses et recettes consiste donc à sabrer dans les dépenses publiques. Cela passe par des coupes dans les effectifs et salaires de la fonction publique (et donc dans les services publics) ainsi que dans la protection sociale (chômage, santé, logement, retraites…). Ainsi en 2010 le gouvernement britannique a mis en place un plan d’austérité sur 5 ans à hauteur de 90 milliards d’euros de coupes, soit 14% des dépenses. Avec au programme, suppression d’allocations sociales, relèvement à 66 ans de l’âge de départ à la retraite, privatisations partielles ou totale (santé, police, services sociaux, services publics locaux)…

En Grèce depuis 2010 le financement des hôpitaux publics a diminué de 40% alors que, dans le même temps, la demande de soins hospitaliers augmentait de 24%. Les coupes ont des conséquences dramatiques sur l’accès aux soins et leur qualité (réduction radicale du personnel et à la détérioration des infrastructures des services de santé), mais elle contribue surtout de manière générale à une explosion de la pauvreté.

Celle-ci atteint des records en Grèce, avec plus d’une personne sur 5 en dessous du seuil de pauvreté. Pour la première fois depuis 1950, la mortalité infantile a augmenté en Grèce (depuis 2008, de 2,7 à 3,8). Avec l’augmentation du prix du pétrole, en 2010 il y avait déjà 18,7% de la population incapable de se procurer un chauffage décent. 3500 établissements scolaires qui sont confrontés à la menace de fermeture, faute de possibilité de couvrir le coût du chauffage.

Cette catastrophe sociale ne s’explique pas uniquement par les coupes budgétaires, mais par leurs conséquences sur l’économie grecque. De 2010 à 2012, le pouvoir d’achat a chuté de 50%. Les mesures d’austérité ont brisé la consommation intérieure, qui a diminué de 25% sur la même période. Les entreprises n’ont plus de débouchés, les faillites se multiplient. Le PIB s’est en tout rétracté de 25% de 2009 à 2012.

Le chômage a été multiplié par 3 entre 2009 et 2012. De 9,5% à 26,8% en octobre 2012. Aujourd’hui, sur les 1,3 million de chômeurs et seulement 200 000 bénéficient d’allocations allant de 180 à 468€. Parmi l’ensemble des chômeurs, plus de 3 sur 4 sont au chômage depuis plus de 12 mois. Les jeunes paient un très lourd tribut, avec 56,4% de chômage début 2013. De nombreux n’ont qu’un souhait : émigrer.

Les politiques imposées par la force par la Troïka n’ont pas sauvé la Grèce : elles l’ont enfoncé dans le chaos. La dette et les déficits ont explosé et la divergence de compétitivité s’est accrue entre la Grèce et les autres pays de l’Union européenne. La Grèce n’est pas un cas isolé, loin de là, même si elle a connu le « traitement » le plus brutal. Partout en Europe, à des degrés divers, les mêmes « cures » produisent les mêmes effets : récession, chômage et précarité.

Comment les gouvernements en arrivent-ils à prendre des mesures aussi impopulaires ? Il semble que les dirigeants européens, de « gauche » comme de droite, se sont jusqu’à présent été persuadés qu’il s’agissait là de l’unique alternative. Mais cela va-t-il toujours durer ? Comment s’assurer qu’aucun gouvernement ne soit tenté par la rupture avec l’« austérité compétitive » sous la pression populaire ? Dans le cas d’un pays surendetté, ces questions se posent dans une moindre mesure : en acceptant un « sauvetage financier » l’Etat renonce à un pan de sa souveraineté, et la Troïka peut, à son aise, dicter les mesures à prendre.

Dans le cas des autres pays européens, une série de mécanisme a été adopté pour mettre sous contrôle des budgets nationaux :

- Le six-pack (2011) et le two-pack (2013) sont un ensemble de directives et de règlements européens qui mettent en place un mécanisme de surveillance des budgets nationaux. Les gouvernements doivent soumettre aux experts de la commission européenne leurs propositions de budgets annuels qui seront examinés à l’aune de critères de rigueur budgétaire et de compétitivité (semestre européen).

- Le Pacte budgétaire (2012) prévoit que les Etats membres du traité inscrivent dans leur législation un strict contrôle du déficit public « structurel » : celui-ci ne peut et ne doit pas dépasser 0,5%, interdisant ainsi par exemple une politique de relance de l’économie par l’investissement public.

Ainsi les impératifs d’austérité et de compétitivité apparaissent de plus en plus non seulement comme des dangers pour nos sociétés, mais comme la négation même du principe de démocratie.

Un édifice antidémocratique dont la finance est la clé de voute

Les politiques d’austérité et de compétitivité, censées répondre à la crise, n’ont fait que l’empirer. Si les politiques d’austérité sont récessives et contribuent à la destruction des économies européennes comme en Grèce, les politiques de compétitivité n’ont jamais tenues leurs promesses en matière d’emploi.

Les études d’impact menées par des organismes indépendants montrent que les accords de libre-échange détruisent souvent plus d’emplois qu’ils n’en créent (c’est notamment le cas de l’accord de libre-échange nord-américain, ALENA, qui présente de nombreuses similitudes avec le projet d’accord transatlantique). De manière plus générale, dans l’Union européenne, la centralisation de la production et de la distribution catalysées par le Marché unique ont permis aux multinationales de diminuer les coûts… en réduisant considérablement leur main-d’œuvre.

Cette tendance s’observe partout : le diptyque austérité-compétitivité dope les profits, mais sûrement pas l’emploi. Il se résume à une course à la précarité, à l’explosion des inégalités… où il faut aller toujours plus vite ! Et représente aussi une menace grave contre la démocratie. Appliquée « de force » dans les pays sous le joug de la Troïka, les politiques d’austérité et de compétitivité sont distillées de manière plus ou moins subtile dans les autres pays européens. Mais si les élus deviennent des « managers » du territoire – qui doivent désormais tout faire pour attirer entreprises et investissements privés tout en comprimant les dépenses – sont-ils au service de leurs électeurs… ou du privé ?

Cette logique atteint son extrémité avec les mécanismes de contrôle des budgets nationaux ou encore de ceux négociés dans le cadre de l’accord de libre-échange transatlantique, qui visent à instaurer un véritable droit de regard des investisseurs sur les normes et régulations nationales (arbitrage investisseur-Etat). Avec la possibilité d’attaquer un gouvernement en justice si jamais ces normes entravent de possibles investissements et profits…

Une de causes profondes de cette fuite en avant à laquelle nous assistons en Europe faite de reculs sociaux et démocratiques, de destruction de la nature, est à bien des égards l’incapacité (voire l’absence de volonté) des dirigeants européens à s’opposer de manière frontale à la domination de la finance. Ainsi comme on l’a évoqué, la crise de la dette publique en Europe s’explique en grande partie par la crise économique qui a succédé à la crise financière, mais aussi au sauvetage des banques sans contreparties. Elle a été aggravée par la politique irresponsable de la Banque centrale européenne « indépendante » qui a poursuivi une politique monétaire en faveur des intérêts des banques privées. Et par la spéculation sur les dettes des mêmes banques, qui leur ont permis de dégager des profits considérables !

L’injonction permanente de « compétitivité » est quant à elle en grande partie la résultante de la dérégulation des marchés et des contrôles de capitaux : la liberté avec laquelle ceux-ci peuvent investir ou désinvestir une entreprise ou un territoire place l’économie et la société toute entière sous tension ; et les obligent à servir les intérêts des grands détenteurs de capitaux.

L’occasion était pourtant historique, après la crise de 2008, de revenir sur des décennies de dérégulation financière. Au lieu de cela, les dirigeants européens ont mis en place de timides réformes qui, tout au plus, appellent les acteurs financiers à faire preuve de plus de « transparence ». La réforme bancaire française est à tous égards symbolique de ces réformes a minima : alors que le candidat Hollande avait fait campagne en se déclarant « l’adversaire de la finance », il a finalement mis en œuvre une non-réforme bancaire, d’une portée ridiculement faible… y compris de l’avis des banquiers !

Il en va de même pour la taxe sur les transactions financières : une proposition a été formulée en 2012 par la commission européenne. Celle-ci, certes limitée, représenterait une première mesure pour s’attaquer au pouvoir de la finance, en la contraignant à contribuer à payer les dégâts de la crise et en réduisant la spéculation. Et pourtant le gouvernement français, sous la pression de Bercy, a tenté et tente encore d’en diminuer drastiquement la portée afin que les banques françaises ne soient pas importunées par une telle mesure.

La démocratie est-elle devenue un vain mot ? Aux mécanismes institutionnels pour réduire les choix des gouvernements (depuis l’indépendance de la BCE au « semestre européen »), à l’impératif permanent de compétitivité s’ajoute le cynisme de dirigeants élus sur un programme de « changement »… mais qui une fois au pouvoir, ne font que prolonger le programme TINA.

La domination de la finance sur nos sociétés, et la radicalisation de l’agenda « austérité-compétitivité » ne sont pourtant pas inéluctables, loin de là ! Des propositions existent, pour mettre au pas la finance, et dégager des marges de manœuvres budgétaires pour promouvoir des politiques écologiques et sociales qui rompent avec la logique anti-démocratique de l’austérité-compétitivité.

De nombreux mouvements se sont développés partout en Europe qui portent ces alternatives. Ils ont montré que des victoires sont possibles : en Italie, en 2011, où un vaste mouvement citoyen a permis la tenue d’un référendum victorieux contre la privatisation de l’eau. Avec un slogan qui a visé juste : « Ça s’écrit EAU, mais ça se lit démocratie ! »

En Espagne, où le mouvement 15M et les « marées blanches » ont, il y a quelques mois, empêché la privatisation des hôpitaux à Madrid ; mais aussi en France et en Pologne, ou de vastes mobilisations ont empêché l’exploitation des gaz de schiste au mépris de la population et de l’environnement.

Sans oublier le mouvement contre l’ACTA, avec d’importantes mobilisations en République tchèque et en Pologne, les manifestations historiques en Grèce, au Royaume-Uni comme en Roumanie de ces trois dernières années. Et les insurrections civiques en Bulgarie ou en Bosnie, la récente manifestation à Berlin contre l’accord de libre-échange UE-US et l’agro-industrie ; les exemples ne manquent pas... Et l’espoir est encore permis !

Publié sur les Dessous de Bruxelles


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33 réactions à cet article    


  • julius 1ER 8 mars 2014 13:43

    L’occasion était pourtant historique, après la crise de 2008, de revenir sur des décennies de dérégulation financière. Au lieu de cela, les dirigeants européens ont mis en place de timides réformes qui, tout au plus, appellent les acteurs financiers à faire preuve de plus de « transparence 

    @l’auteur
    excellent article qui résume bien l’histoire de ces dix dernières années....
    je pense et je l’ai écrit que cette crise va durer 30 ans, parceque les solutions qui permettraient de sortir de cette crise, ne seront jamais mises en oeuvre...
    selon le vieil adage, on ne peut pas demander à celui qui t’a mis dans la merde de t’en sortir !
    cette crise est le fait des banques essentiellement car elles ne sont plus des instruments qui servent au développement économique(dans l’ensemble elles ne servent qu’elles-même, un simple exemple les 30 salariés de l’ex-Lejaby qui ont monté leur entreprise et qui est en train de sombrer alors que les carnets de commandes sont pleins mais qui ont des insuffisance de trésorerie( qui bien sûr ne sont pas aidés par les banques, j’aime bien car à longueurs de forum, certains sur avox se sont faits les spécialistes du tabassage des fonctionnaires, mais ce que je constate, il n’y a pas l’équivalent à propos des banques, et Dieu sait s’il y a matière, les cadres surpayés dans les banques avec des avantages qui auraient de quoi rendre jaloux n’importe quel fonctionnaire).
    en tous cas bon résumé de la situation, et intéressant rappel que l’austérité généralisée est la pire solution, d’ailleurs n’importe quel nul en économie sait que pour maintenir un flux économique il faut des acheteurs et des vendeurs (et là on rejoint l’imbécilité de la politique de l’offre) mais depuis 2007 çà nous vaut d’être en pleine déflation, et comme en 2014 il ne va rien se passer pas plus qu’en 2015 et les années suivantes nous atteindrons vite les 10 années de crise, autant dire que si les peuples ne sortent pas de leur léthargie, nous aurons droit à des enterrements de 1iere classe en place et lieu de progrès social et économique !!!!!!!!! 

    • Jacques Jacques 9 mars 2014 12:35

      Merci, je partage votre constat, à moins de parvenir à faire prendre conscience au plus grand nombre de ce qu’exprime ce slogan des mouvements espagnols : « ce n’est pas une crise, c’est une escroquerie ! »


    • vesjem vesjem 10 mars 2014 11:30

      @julius
      pour ce qui concerne les banques :
      1) il y a les employés (de tous niveaux ) des banques , c-à-d des employés comme dans l’industrie (nombre # 500 000 chez nous)
      2) il y a les dirigeants des « entreprises banques », c-à-d des patrons comme dans l’industrie (avec quand même un pactole capitalistique placé peut-être dans la banque qu’ils occupent ou dirigent)
      3) il y a des capitalistes petits (nous éventuellement) , gros ( bergé par ex) , ou énormes (bill gates par ex) , qui placent leur pognon dans ces banques pour le faire travailler par les « employés traders » ;
      les très très gros (association mafieuse) sont LE problème , aidés par les toutous corrompus qui tondent la populace ;
      les paradis fiscaux doivent recéler une liste surprenante de politiciens « bénéficiaires » de largesses .


    • baldis30 8 mars 2014 13:55

      un vieux proverbe me servira de principal commentaire

      « tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle casse »

      Dans quelles conditions cassera-t-elle ? bien malin qui peut le dire ! lorsqu’il n’y a plus d’espoir d’avenir les situations deviennent explosives, et l’allumette, le détonateur , la moindre étincelle déclenche des troubles graves. Ils n’ont pas compris, ils ne comprendront pas et surtout se poseront bien plus tard la question de leur stupidité tout en recommençant !


      • soi même 8 mars 2014 17:47

        Pourquoi ce gêner, quand la masse se trouve dans la peur du chômage de masse !
        Cela marche d’autans mieux, qu’il y a toujours cette illusion ne pas se sentir concerner et que ce sont les autres qui vont en pâtir !


        • christophe nicolas christophe nicolas 8 mars 2014 22:18

          psychologie... psychologie...

          Colbert à Louis XIV : Pour qu’une activité se développe, il faut lui donner le monopole...

          Louis XIV à Colbert : Faites mon bon Colbert... faites...

          Il est certain que c’est un peu simpliste mais à un certain niveau cela marche comme ça, ca s’appelle des ententes et c’est organisé par l’état lui même mais chut.... il ne faut pas le dire, les gens se révolteraient.

          Economie, théorie de l’intrication


          • Jacques Jacques 9 mars 2014 12:34

            Merci, je partage votre constat, à moins de parvenir à faire prendre conscience au plus grand nombre de ce qu’exprime ce slogan des mouvements espagnols : « ce n’est pas une crise, c’est une escroquerie ! »


            • julie morange julie morange 9 mars 2014 12:40

              Ce qui est étonnant c’est de voir que des « critiques » du système ne sont pas forcément critique du principe de « compétitivité » mais s’en réclament ! Je crois que Sapir par exemple souhaite faire de la sortie de l’euro l’occasion de doper la compétitivité française... Toujours la compétition commerciale... Est-ce bien la voie ?


              • zygzornifle zygzornifle 9 mars 2014 15:45

                Tout ce qu’il faut pour détruire des emplois.....


                • bonnes idées 9 mars 2014 17:24

                  la France porte la croix alors il faut la détruire ! La planche à billets ne crée que du chômage. 65 milliards de dollars par mois c’est simplement ahurissant. Ils doivent avoir des imprimantes nucléaires. La fed a imprimé en 4 ans plus de billets que durant toute sa carrière et comme cela c’est clair. En 2014 ce sera la razzia sur les comptes des français. Bonne année à tous.


                  • spartacus spartacus 9 mars 2014 19:54

                    Franchement les fumeux bolchévo ecolo gauchistes sont prêt a raconter n’importe quelle baliverne pour continuer a vivre sur le compte des générations suivantes.


                    Remettons les inepties à l’heure.
                    Austérité en Grèce un texte océan du cliché et du n’importe quoi ! 

                    L’État grec a réduit de 13,2 milliards € ses dépenses hors charge de la dette. Mais, si l’on regarde en détail, ce n’est qu’une baisse de façade : la baisse des investissements représente près de la moitié de cette baisse des dépenses, tandis qu’une bonne partie du reliquat s’explique par la baisse des dépenses militaires. Autrement dit, l’État construit moins d’infrastructures et achète moins d’armes. Par contre, les aides sociales ont augmenté, et les dépenses de personnel de l’administration n’ont baissé que de 7%, surtout grâce aux départs en retraite et non grâce à une quelconque rationalisation de l’emploi public. sources : http://www.greekdefaultwatch.com/2012/09/what-austerity.html

                    Passons sur les « bêtises » sur les « privatisations », de la part de gauchistes n’ont de but que protéger les nantis favorisés des services public. L’auteur es surement fier d’avoir le gaz le plus cher de France, les trains moins sur qu’en Angleterre, l’éducation nationale au résultats PIZA les pires, loins derrières ceux des Finlandais....

                    • julie morange julie morange 9 mars 2014 22:10

                      Désolé de contredire votre vision fantasmée de la réalité, où l’Etat serait nécessairement « obèse », mais les chiffres cités dans l’article sont avérés.

                      Vous suggérez que les aides sociales augmentent ? C’est faux. Les dépenses sociales augmentent, certes, mais c’est mécanique quand le chômage triple. Même si, par exemple, on divisait les allocations par deux, les dépenses liées à l’assurance chômage augmenteraient. Simple arithmétique...

                      En fait c’est surtout la pauvreté qui augmente. Conséquence de l’austérité absurde que vous semblez chérir, qui creuse encore davantage la dette publique en provoquant récession et déficits.


                    • spartacus spartacus 10 mars 2014 08:42

                      L’austérité augmente ?????

                      Voici un article qui démontre chiffres à l’appuis et non les divagations gauchistes, que l’austérité n’a aucune réalité.
                      http://minarchiste.wordpress.com/2014/01/23/les-mythes-relies-a-lausterite-europeenne/
                      Quand a la « pauvreté », et les « dettes » c’est surtout a cause des privilèges des corporations étatisées qui accaparent la richesse produite par le secteur marchand au détriment de l’emploi des plus pauvres.

                    • Jacques Jacques 10 mars 2014 12:23

                      Les stats et régressions à toutes les sauces pour donner un vernis scientifique à des élucubrations... C’est vieux comme le monde !

                      Par ailleurs vous apprendrez qu’en période de crise les dépenses augmentent mécaniquement (en lien avec la protection sociale notamment), c’est ce qu’apprend tout étudiant de 1ère année d’économie.

                      Cela ne permet pas pour autant de nier ni les coupes budgétaires, ni les licenciements en masse dans la fonction publique, par exemple dès 2011 : http://fr.ria.ru/world/20111130/192192934.html

                      Revenez à la réalité !


                    • Armelle ARMELLE 10 mars 2014 15:53

                      ’’Quand a la « pauvreté », et les « dettes » c’est surtout a cause des privilèges des corporations étatisées qui accaparent la richesse produite par le secteur marchand au détriment de l’emploi des plus pauvres’’


                      EVIDEMMENT Spartacus, vous avez totalement raison !!!
                      Ceci dit si notre JL national est dans le coin, je vous promets les pires insultes, il est imbattable en la matière !!!
                      N’oubliez pas que vous intervenez sur un site qui n’est ni plus ni moins une officine du PS à forte tendance FdeG.




                    • Jacques Jacques 9 mars 2014 22:26

                      Je vais vous donner un conseil utile sur internet : apprenez à vérifier vos sources.

                      Ce M.Tsafos que vous citez fait des erreurs grossières, comme considérer les dépenses en pourcentage du PIB alors que celui-ci a chuté. Cela s’explique peut-être par le fait qu’il n’est pas économiste, bien qu’il s’en donne les airs.

                      Vous pouvez lire les échanges de Yanis Varoufakis à son sujet : http://yanisvaroufakis.eu/2012/09/24/austerity-stricken-europe-within-a-slowing-global-economy/

                      Vous avez le droit d’avoir des fantasmes... mais tordre la réalité pour qu’elle leur corresponde ne vous amènera nulle part.


                      • spartacus spartacus 10 mars 2014 08:50

                        Mince un type qui affirme tout un laïus sans sources vient donner des leçons aux autres. En plus ne sait pas comprendre les chiffres.

                        Après une pointe en 2009, le PIB recule effectivement, mais il est au même niveau en 2006 qu’en 2010, et il y a bien une part de celui ci supérieure en dépenses d’état. 

                        Ce qui démontre sans équivoque possible que les élucubrations de gauche en sont que des foutaises médiatisées ne reposant que sur de la subjectivité stupide.

                      • Jacques Jacques 10 mars 2014 12:07

                        1) Vous évoquez la période 2006-2010 alors qu’en 2010 la Troïka n’est pas encore intervenue or c’est ce dont on parle précisément ; et que votre ami Tsafos évoque la période 2008-2011. J’en déduis que vous êtes prêt à dire tout et n’importe quoi pour vous justifier.

                        2) Tous les chiffres cités sur la Grèce sont sourcés ici : http://www.altersummit.eu/IMG/pdf/campagne-solidarite-grece.pdf


                      • spartacus spartacus 10 mars 2014 18:52

                        Mince alors, on chipote les détails ! 

                        Les grecs sont tous mort de faim à cette heure. Il n’y a plus un seul bateau a Athènes, et le typhus, la malaria guette.
                        Comique les bolcheviques.

                      • Armelle ARMELLE 10 mars 2014 13:30
                        @ l’auteur,
                        Je commence à lire votre article et tombe dès les premières lignes sur ceci ;
                        ’’ Les employeurs, eux, bénéficient de faveurs : abattements fiscaux, réductions de cotisations sociales’’, et donc n’irai pas plus loin.
                        Ce propos écrit en ces terme est TOTALEMENT FAUX !!! par conséquent ça commence mal, car si ce genre d’inepties est censé constituer un postulat permettant de faire de la propagande d’idées gauchistes, c’est alors grave et inadmissible
                        ’’LES EMPLOYEURS’’ ??? Lesquels ?, TOUS ??? les artisants ? les patrons de PME ??? les patrons du CAC, QUI au juste ?
                        A ma connaissance, SEULS les patrons CAC bénéficient de ce genre de cadeaux, et l’artisanat étant la plus grande entreprise française, votre propos devient alors complètement idiot
                        Vous vivez sur quelle planette monsieur ?
                        Vous faites de la DESINFORMATION, 
                        Il est inacceptable que la censure Agoravox laisse passer de telles idioties



                        • Jacques Jacques 10 mars 2014 14:42

                          Chère madame,

                          Vous vous trompez quand vous écrivez que les exonérations de charges bénéficient aux seuls patrons du CAC40.

                          Le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) prévu dans le « pacte de compétitivité » à hauteur de 20 milliards d’euros bénéficie par exemple à toutes les entreprises employant des salariés, relevant d’un régime réel d’imposition sur les bénéfices (impôt sur le revenu ou sur les sociétés), quelles que soient :

                          • la forme de l’entreprise : entreprises individuelles et indépendants, sociétés de capitaux, sociétés de personnes… ;
                          • l’activité lucrative exercée : agriculture, artisanat, commerce, industrie, services…

                          http://www.economie.gouv.fr/ma-competitivite/faq-cice/qui-a-droit-au-cice

                          Cela dit si vous vouliez dire qu’il va bénéficier principalement aux entreprises du CAC40 vous n’avez pas tort, mais une telle remarque serait tout de même un peu « gauchiste » à mon goût.


                        • Armelle ARMELLE 10 mars 2014 14:55

                          Certes j’entends bien Jacques, mais vous faites référence aux dispositions du pacte de responsabilité qui est tout juste naissant, par conséquent qui ne peut être à l’origine des problématiques économiques actuelles ?!?!??!!!! Nous en aurons une lecture des retombées que dans l’avenir alors il me semble un peu ’’facile’’ de les inclure dans le ’’^packaging’’ des maux responsables de la crise ACTUELLE

                          Ne trouvez vous pas ?


                          • Jacques Jacques 10 mars 2014 15:12

                            C’est très juste, mais les mesures d’exonérations prises depuis 5 ans (et même encore avant la crise) sont comparables sur le principe à celles prises dans le cadre du Pacte de compétitivité.

                            Autre exemple dans la même veine : comme cité dans l’article, depuis 2009, en Grèce, la taxe sur les bénéfices est même passée de 25% à 10%. Résultat, la charge fiscale repose à 55,5% par les employés et retraités, seulement à 28% sur les entreprises.

                            Mais vous avez raison de noter que ce sont les entreprises du CAC40 qui bénéficient le plus de ce genre de dispositifs.


                          • Armelle ARMELLE 10 mars 2014 15:10

                            Et quand bien même une obligation d’embauche seraitt instituée en contre partie de ces ’’cadeaux fiscaux’’ pour que les entreprises embauchent, et bien il n’empêche que la capacité à payer un nouveau salarié ne suffit pas, il faudrait pour cela que l’entreprise ait du travail à lui donner, donc de la croissance dans son activité donc plus de clients donc une augmentation du pouvoir d’achat !!! Et on en revient à la génese du mal français ; le pouvoir d’achat

                            Il me semble un peu simple de vouloir traiter les problèmes séparément comme le chômage par exemple en disant simplement ’’donnons les capacités financières aux entreprises pour qu’elle embauchent. 
                            Les entreprises ne fonctionnent pas à l’image de l’état qui lui peut se permettre d’embaucher même s’il n’y a pas le travail en face !!! 

                            • Jacques Jacques 10 mars 2014 15:14

                              Nous sommes d’accord qu’une des clés du problème est l’effondrement du niveau de la consommation, qui est la conséquence directe des mesures d’austérité prises partout en Europe. L’austérité est une absurdité économique et un désastre social.


                            • Armelle ARMELLE 10 mars 2014 15:32

                              Oui effectivement c’est un véritable désastre social et nous n’avons certainement pas touché le fond !!!

                              Et comme disait notre ’’philosophe Coluche’’ -’’Dites moi de quoi vous avez besoin et je vous expliquerai comment vous en passer’’...
                              Je crains le pire si d’ailleurs le traité transatlantique nous est imposé, doutant fort qu’il soit issu d’un référendum, car nous deviendrons pour les états unis ce que le bengladesh est pour l’Europe...
                              On entend ça et là l’idée absurde d’une baisse des salaires en matière de thérapie alors que le problème est le pouvoir d’achat !!!
                              On marche sur la tête !!!


                              • Le421... Refuznik !! Le421 10 mars 2014 18:19

                                Si j’ai bien compris, nous avançons à petits pas vers le gouffre et certains prescrivent de faire un grand pas en avant !!!

                                Ca alors !! Etre aveugle à ce point, c’est à marquer dans le guinness des records...

                                Spartacus, Armelle, je vous pose la question :
                                Vous trouvez que tout va bien ?? Vous êtes sur la même planète (je l’écris correctement au moins ?) que nous ??
                                Sont-ce des affreux gauchistes aux commandes ??

                                Trouvez toutes les théories que vous voudrez, de toute façon, on va dans le précipice...

                                Et ce ne sont pas d’affreux gauchos qui nous y conduisent, vu que personne ne nous écoute.
                                Allez-y, déblatérez, déblatérez !! Et priez votre Dieu qu’il rétablisse l’esclavage...
                                Nous prierons le nôtre pour qu’il y ait une bonne révolution, une vraie, avec des types pendus partout par les « gesticules », comme aurait dit Coluche...

                                Quand au GMT, si il n’y a que des « zozos » comme nos politiques pour nous en garder...


                                • spartacus spartacus 10 mars 2014 19:17

                                  @421

                                  Nous allons mal car le socialisme est aux commandes. L’austérité est une fumisterie sémantique de gauchistes. Elle n’a jamais eu lieu. Le budget de l’état Français a encore augmenté en valeur absolue cette année. Les dépenses publiques ne sont jamais allées aussi haut que l’année dernière en europe.
                                  Ce qui est nuisible, ce n’est pas l’austérité, mais la baisse de l’activité économique.

                                  Le marché libre est une acceptation du vendeur et une adaptation du vendeur par la concurrence. 
                                  Le socialisme c’est de l’interventionnisme sur le marché pour favoriser des groupes sociaux par rapport aux autres pour des gains « politiques ».
                                  La France se caractérise par 45% de la population dans le secteur marchand qui seul crée la richesse, et doit supporter la redistribution de cette richesse crée par les 55% de non-actifs, et fonctionnaires à charge. 
                                  Les corporations fonctionnarisées Françaises sont particulièrement coupables d’acaparation des richesses et de privilèges qui causent le chômage de masse.

                                  On a aboli les privilèges pour ne faire aujourd’hui que la distribution clientéliste de ces dernier par l’état. 

                                • Armelle ARMELLE 10 mars 2014 19:32

                                  ’’ si j’ai bien compris’’ Et bien oui mais le propos me semble justement opportun !!!

                                  Votre métaphore est nulle et inappropriée !!!
                                  Il faut effectivement comprendre pour pouvoir intervenir intelligemment mon gros !
                                  Et.... de quel ’’grand pas’’ vous nous parlez ? Moi en l’occurrence je dis juste qu’il ne suffit pas de faire des cadeaux aux entreprises pour que celles-ci embauchent, c’est LE TRAVAIL qui créé les embauches, pas l’argent !!! ... Enfin les gauchistes pensent que SI, alors laissons les dans leurs rêves niais
                                  Faudrait peut être penser à vous réveiller !!! 
                                  Quant à...
                                  ’’Trouvez toutes les théories que vous voudrez, de toute façon, on va dans le précipice’’
                                  Vous avez trouvé cela tout seul ? Lapalisse a des descendants visiblement !!!
                                  Vous êtes rigolo vous finalement

                                  • Armelle ARMELLE 10 mars 2014 19:36

                                    Cette réaction s’adresse évidemment à @421, lequel devrait acquérir un minimum de culture sur les entreprises et prendre des cours d’économie ; ça lui ferait le plus grand bien 


                                    • Armelle ARMELLE 10 mars 2014 19:44

                                      ’’Les corporations fonctionnarisées Françaises sont particulièrement coupables d’acaparation des richesses et de privilèges qui causent le chômage de masse’

                                      Même la cour des compte le revendique mais seules ces corporations n’entendent pas
                                      La privatisation d’une grande partie des services publics est LA solution
                                      Tous les pays d’Europe ont commencé ces réformes ( ex ;sup du statut à vie) la France, ELLE, NON !!! Pensez vous ! mais il est vrai que quand tout va bien pourquoi donc faire des réformes ?

                                      • julius 1ER 11 mars 2014 11:41

                                        Ce qui est nuisible, ce n’est pas l’austérité, mais la baisse de l’activité économique

                                        @Spartacus

                                        décidément spartacus , tu es le roi des « perles » , comme si l’une n’était pas la conséquence de l’autre, je te vois à longueur de forums justifier l’injustifiable. heureusement que tu es là pour faire rigoler la terre entière.....je crois que je vais commencer à faire une anthologie de toutes tes citations.....

                                        • drlapiano 11 mars 2014 16:57

                                          P.. ! Une logorrhée pareil ... sans jeu de mot .. ; c’est du lourd !
                                          Ca fait longtemps que j’étais pas venu sur AGVX ... là c’est l’article typique ! Grandiose : long, long, d’autant plus long qu’il est creux, sans intérèt et plus ou moins délirant !
                                          Du Agoravox quoi !
                                          Bravo !
                                          Ecoutez Jacques, pour donner du pouvoir d’achat que diriez vous de distribuer des beaux billets tous neuf à tout le monde, et pour résorber le chomage ... d’obliger que le terassement se fasse à la pelle et à la pioche (je ne vais pas jusqu’a la petite cuillère !) ou que les transports se fassent dans des camions limités a 10 tonnes ... de recréer des poinçonneurs au lilas ... enfin de créer des beaux emplois quoi ! C’est pas compliqué !

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