Depuis quelques temps je doute. La figure du nazisme hante mon esprit tel un fantôme renaissant du passé à chaque instant propice, lorsque des faits, des événements, des décisions, des propositions se dessinent dans le champ médiatique. Etrange sensation. Peut-être, je me fais des idées en voyant quelques similitudes avec le nazisme dès lors qu’une injustice se dessine, qu’une domination se précise, que des puissants avancent sans vergogne alors que des recalés sont malmenés, voire même humiliés, et que les masses citoyennes semblent accepter des tendances nauséabondes, ressemblant alors en esprit à ces boches d’allemands prêts à embrasser la cause hitlérienne. Je sais, j’exagère, et vous allez me conseiller de prendre quelques jours de repos. Le temps se prête en effet à un décrassage neuronal et ces mauvaises pensées iront vite se dissoudre, telles une éruption cutanée carbonisée par les puissants rayons d’un soleil d’été. Rasséréné, je reviendrai alors pour évoquer les bonnes nouvelles du front économique. La croissance est là, la gauche monde dans les sondages, le chômage baisse, en 2012 l’Elysée sera socialiste, le catalogue Naxos s’enrichit, un vol de martinets annonce les chaleurs d’été, youpi la vie est belle, il est temps de sortir du cauchemar !
Mais le fantôme ne disparaît pas. Les Français (manipulés ?) approuvent aux deux tiers, paraît-il, l’idée d’imposer 5 heures de travail (forcé ?) au bénéficiaire du RSA. J’hésite entre pitié et colère, pitié pour ces pauvres cons qui s’imaginent qu’un assisté vit bien et qu’il décide d’être aidé par choix rationnel, colère parce que ces petits cons vont dans le sens d’un pourrissement de la société et d’une douce nazification car, et tant pis si je m’égare, imposer aux bénéficiaires du RSA quelques tâches comme le nettoyage, ça fait flasher ces images de juifs dépossédés de leur statut à qui on imposait le nettoyage des rues de Vienne à la fin des années 1930. Autre registre, étrange conception de la société que celle pratiquée par la fondation « de gauche » Terra Nova qui diligente de sordides calculs électoraux sur les classes sociales devant être ciblées par les programmes socialistes. Cette résolution sous-entend qu’il y aurait deux types d’électeurs, ceux à qui l’on s’adresse en proposant des mesures et ceux qu’on met de côté, auxquels on ne parle pas. Cette division de la société n’évoque-t-elle pas, même si c’est de très loin, la division de l’humanité pratiquée par les idéologues racistes, voire nazis ? Toujours est-il que la structure socio-économique s’éloigne lentement mais progressivement, depuis trente ans, du schéma hérité du fordisme, de la social-démocratie et du grand bon en avant effectué pendant les Trente glorieuses dans les pays industrialisés.
Ces phénomènes sont très bien connus et analysés par les économistes avec des méthodes mécanistes. Le concept de financiarisation de l’économie a été employé, non sans un abus de langage parce qu’une économie non financiarisée n’existe plus depuis des lustres. Par contre, des signes marquant montrent la mise en place d’une économie créant des richesses en se déconnectant des productions industrielles ou du moins, en exerçant une prédation sur les entreprises à l’échelle globale. Un phénomène marquant fut la dérégulation et la chute du mur séparant « l’économie populaire » liée aux banques des déposants de la « finance de casino ». Un mur institué après les années 30 à cause justement de la grande dépression et fracassé à l’ère Clinton par une caste de financiers débridés dont la devise aurait pu être, ye we kampf. Le combat de la finance contre l’éthique et l’équité, sorte de nazisme du fric pratiqué à l’initiative d’une oligarchie pour servir les intérêts d’une caste, comme sous Hitler mais en douceur, au pays de la liberté d’expression. L’Histoire nous enseigne que les plus zélés partisans du national-socialisme ne furent pas les ouvriers, ni les chômeurs, ni les petits bourgeois mais la grande aristocratie issue de l’ancienne noblesse. Au pays de l’oncle Sam, les classes laborieuses sont complètement déclassées, déconnectées, délaissées, libres certes, mais… mais bon, encore ces phantasmes sur une douce hitlérisation de l’Amérique avec ses élites politiques obsédées par le fric, la puissance économique et la force militaire pour instituer un ordre mondial et purifier le mal.
En vérité, les choses sont assez contrastées. L’équilibre des forces fait que le système n’a pas basculé dans la domination complète et qu’il semble maintenant se satisfaire de la soumission culturelle des masses alors que la soupape du Net sert d’exutoire aux mouvances contestataires. Dans les formes, le système est démocratique mais selon les ressorts, il est oligarchique et doucement nazifié ? Toujours ce point d’interrogation qui porte non pas sur le réel mais sur les mots que j’emploie pour l’interpréter. Le travail libère ! Cette devise écrite par Hegel à une époque particulière et signifiante dans son contexte, était une des devises prisée par les dignitaires allemands en 1930. Que penser de ces résurgences sous forme du travailler plus ? Hitler narguait la communauté internationale. Que penser des opérations en Libye outrepassant largement le mandat 1973 de l’ONU, pas seulement selon la diplomatie russe mais aussi d’après un Jean-Pierre Chevènement qu’on n’oserait pas présenter comme un agent de Poutine ?
Il est temps de conclure partiellement ces réflexions issues de « mauvaises pensées bien intentionnées ». Peut-être que l’Occident moderne n’est qu’une excroissance technique d’un dispositif sociétal universel, celui de la domination, inhérent à la nature, liée aux différences séparant les corps et esprits forts en une caste dominatrice qui renaît à chaque époque en se métamorphosant. Les droits de l’homme, les principes démocratiques, l’Etat universel, sont entre autres choses des dispositifs servant à préserver les populations de la domination des puissants. Ces « barrières humanistes » sautent parfois et c’est le totalitarisme. Les sociétés éthiques et équitables sont utopiques. La domination est revenue sous la forme de la finance et des Etats policiers dans les années 1990 à 2010. 1930, révolution industrielle et Auguste Comte : « ordre et progrès », cette devise en forme de Janus funeste fut déclinée en ordre et totalité, ordre et domination aryenne. Maintenant, ce serait ordre et croissance, avatar funeste du positivisme décliné en néo-scientisme européen sur fond de technologie. Sarkozy face aux acteurs de l’Internet : ordre et marché, ou bien ordre et profit, et en filigrane, ordre et croissance.
Ces financiers fascinés dans la salle des marchés, rêvant de propulser deux milliards dans la cible du retour sur placement, comme d’autres furent fascinés de placer leurs V2 sur Londres pour atteindre la cible sans retour ?
Ces citoyens ciblés par la publicité pour être infantilisés et mis en situation de minorité affective, fabrique des sous-hommes par les acteurs du marché, du profit, de l’Etat ?
Ces technoprophètes rêvant d’un homme nouveau, racialement purifié par l’adjonction de prothèses technologiques et dirigés par l’infaillible super ordinateur moralement juste et froidement ordonné ?
SarKampf…, un titre de livre à écrire mais je ne sais pas si le funambule se risquera pour un saut à l’élastique ? Pourquoi troubler le cours du monde. L’humanité est divisée depuis qu’elle existe en dominants et dominés alors pourquoi vouloir troubler l’ordre naturel des choses ?
Et puis il n’y a pas mort d’homme dans ce système. Les dominés sont bien traités et ce billet ne sera pris au sérieux que par les indignés, alors que les gens normaux trouveront déplacés et outranciers ces propos prêtant à confusion des époques. J’ai la certitude que nous ne voyons pas le même monde. Mais nous votons dans les mêmes urnes.
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L’automatisation de tout suit son cour. Ça ne stoppera pas,
ca ne stoppera pas à la porte des docteurs et des créatifs et du
tertiaire de l’ingénieur, de la classe supérieur , du trader, NON.
Ce n’est pas du totalitarisme c’est du néo féodalisme. D »ailleurs vous
êtes des machines. Et d’ailleurs le monde tel que vous le voyez ou le
vivez est FAUX : cherchez l’erreur c’est peut être VOUS. ( qui est ce
qui s’accapare les richesses de manière pyramidale et qui est ce qui est
incapable de définir une société en paix soit en théorie le travail que
cette classe aime se donner alors qu’elle n’en pas COMPÉTENCE ni
pouvoir, ce n’est pas de la méritocratie c’est du néo féodalisme, et
vous êtes des cerfs de l’oligarchie : des personnes dites de la classe
supérieur : les docteurs, économistes et politiques : ah ca a fait des études : et bien ca ne vaut plus RIEN fasse à la machine,
et plus rien dans un monde pyramidale petit chien vendu, un monde
qu’ils ont aidé a crée, et ou ils ne sont plus rien : et ca se croit
intelligent ) VOUS ÊTES INUTILES, CONS ET GENOCIDAIRES. ( suivant )
Les nazis, comme les néo nazis dirigeant du nouveau monde pensent
avoir la raison de leur coté, et la science en plus de leur coté : soit
tout pour justifier toute atrocité présente et avenir !
Cela s’appelle plutôt de la folie.
néo libéralisme = néo féodalisme = en novlangue : raison économique
transhumanisme = eugénisme = en novlangue raison sociale saupoudré de raison scientifique
Vous voulez un autre exemple ? Le 1er gouvernement à avoir promulgué l’interdiction de fumer dans les lieux publics était celui d’Adolph au nom de la préservation de la pureté de la race aryenne. C’est pour cette raison que cette interdiction ne marche pas en Allemagne de nos jours. Je sais, c’est beaucoup moins grave que vos exemples, mais c’était juste pour apporter ma modeste et égoiste contribution aux phénomènes que vous décrivez
Mac carthy -> tapis de bombe merdiatique contre les socialistes/ communistes et eradiquation de la gauche aux usa sarko -> tapis de bombe merdiatiatique afin de laminer la gauche , technique bien huilé , peter la gueule au premier qui a des propos réellement de gauche donc eradiquation de la gauche dans les 10 ans si personne ne bouge
vouloir un minimum pour nos vieux et nos concitoyens dans la galere est un acte de terroriste ?
je ne bougerais pas un sourcil pour défendre cette societe ! mais je bougerais bien l’autre toutefois
Bonjour Bernard, ce n’est pas le n....e qui revient mais sa forme la plus perverse qui a immédiatement suivi, le totalitarisme. Conférer Annah Arendt et plus récement Yves Charle Zarca
Comme je l’ai glissé dans le billet, je m’interroge sur l’usage des mots pour qualifier la situation. Certes, il existe des similitudes lointaines avec le nazisme mais nous sommes en démocratie. Il existe aussi des penchants si sans être totalitaires, se veulent policiers et au service d’un contrôle sévère des existences. Le sort des classes économiques du bas ressemble à l’Allemagne de 1940 mais aussi à la France de Zola. Bref, ce billet sert surtout à faire réfléchir et livrer des commentaires sur la métamorphose des dominations et des oligarchies. Après tout, le nazisme était une oligarchie complice d’un régime criminel. Qui sait, le crime est-il devenu une arnaque en col blancs, usant non plus des rampes de lancement de V2 ou des orgues de Staline mais des opérations financières
Vous avez tous mal analysé le nazisme et vous l’avez vu comme des aveugles : vous l’avez vu adoucit voir attrayant et protecteur ca c’est son apparence
dans les faits
Ce n’est pas un totalitarisme : la finalité est une société sans classe soit une société féodale , c’est a dire avec des SUPER SEIGNEURS, dans un monde ultra technique
l’être humain n’est rien : rien qu’une machine a servir ou a mourrir
Qu’entendez vous par l’Allemagne de 1940 ? 1940 en Allemagne à été l’année de tous les succès et tout le monde, surtout le peuple y croyait...mais les premiers nuages s’amoncelaient déjà à l’horizon et les revers s’amorcent dès 1941 avec l’entrée en Guerre US et les premiers bombardements des villes allemandes par la RAF. Tout cela vient d’être confirmé par des historiens allemands de la nouvelle génération qui ont mesuré la décroissance de l’adhésion au nazisme en observant cinq critères : inversion de la tendance des sorties de religion, augmentation des condamnation à mort par les tribunaux nazis, disparition de la mention mort pour le führer des couronnes mortuaires des soldats tombés au front et deux autres que j’ai momentanément oubliés mais dont j’ai déja parlé sur AV.
kalki pourquoi bizarement ? bons et mauvais sont des illusions dans la course pour devenir les maitres du monde les américains sont les vainqueurs point ils sont les bons parce qu’ils écrivent l’histoire c’est tout mais ni leur idéaux ni leurs méthodes ne sont foncièrements différents allez demander aux indiens ce qu’ils pensent de leurs camps quel est le seul pays a avoir utilisée l’arme atomique ( issue des recherches de savants nazis ) ? a oui c’était pour défendre la liberté escusez moi ......
mais je ne tien avec personne, et vous feriez mieux de faire de même
car PERSONNE, aucun état, aucune nation, aucune pyramide, aucun phallus,, aucun grand partie politique NE TIENT AVEC VOUS
... alors ce que propose le PS
« on va augmenter le smic » ( ca ressemble a du fabius qui a trempé dans des affaire et surtout qui a fait du dsk néo libérale également) « on va donner du travail a tout le monde » quitte a forcer le pourrissement de la société
( sans comprendre : que aucune classe ne survivra meme pas la classe « supérieur » d’enculé de politique avec pour métier ena, médecine, justice etc, etc
Le combat générationnel est aussi présent on a des vieux trou du cul qui pense en terme de pouvoir : et qui nous conduisent au grand de concentration
Vous remarquerez le parallèle entre le transhumanisme qui vise a changer l’homme et son comportement par la technologie et le souhait du nabot moustachu de l’époque...
Nous y somme presque avec les jeunes générations facebook pour qui la notion de vie privé n’existe plus. D’ici peu de temps, il sera tout simplement impossible de revenir en arrières autant à causes de la vitesse de la miniaturisation et du lavage de cerveaux télévisuel et ’facebookesque’...
Nazi est un terme se rapportant à des factions bien définies
de part les idées anti- humanismes et racistes qu’il véhicule. Ce n’était et n’est
qu’un moyen comme un autre de faire main basse sur le pouvoir et les richesses
par l’asservissement des populations avec leurs consentements implicites (Elections),
il en est de même pour les idéologies communistes ou libérales qui ne sont que
des formes d’impérialisme. La montée du communautarisme dans le monde et
surtout en Europe est la résultante des croyances et des adhésions à des
paroles démagogiques utilisé par des élites dont le seul but de rejeter la faute
sur l’autre, le différent, l’étranger (Diviser pour mieux régner, c’est vieux
comme le monde). Ainsi par cette forme de populisme, l’élite se dégage de
toutes responsabilités et s’exonère des situations qui soit échappent à sa
compétence ou soit sont voulu afin d’arriver à un but bien défini (Monopolisation
de la richesse & du pouvoir à des fins personnels). Ces adhésions populaires
s’acquièrent facilement dés l’instant ou le contrôle des médias est aux mains
de cet élite qui peut alors, faire circuler l’information non tel qu’elle est
réellement mais tel qu’il veut qu’elle soit perçu par les populations afin d’asservir
celles-ci avec leurs consentements.
N’oublions pas qu’on vote pour toute personne qui a envie de se présenter aux élections et qu’on peut contester tout ce que font les politiciens, entreprises, lobbies et autres.
Ceci est bien la preuve que nous vivons dans des démocraties robustes mais pas dans un monde qui fonctionnerait selon les désirs - voire les délires - de l’auteur.
Pour qu’un pays fonctionne selon les désirs d’un individu il faut instaurer une dictature comme en Corée du Nord, à Cuba, en Syrie ou en Iran.
Alors vous vous êtes particulièrement pathétique...
« toute personne qui a envie de se présenter aux élections »
C’est bien théorique tout çà, en pratique il y a plein d’astuce pour que vous ne puissiez y arriver...
Il suffit de voir le cas Cheminade qui a tout fait dans la légalité mais s’est fait éjecter par le conseil d’état à tord...ou encore Coluche, là quand un mec y arrive quand même, on fini par la manière forte...
« on peut contester tout ce que font les politiciens »
C’est vrai que sarko est toujours président malgré ces magouilles de campagne, Pasqua est ange puisqu’il n’est jamais allé en prison, lagarde n’a pas fait d’abus de pouvoir et woerth est aussi un ange...
« entreprises, lobbies et autres »
Et les 2 milliards de la conspiration des vendeurs de vaccin avec la mascarade de la grippe A, c’est quoi hein ?
Monsanto et cie qui se font voter des lois sur mesure en vendant de la merde qui ne respecte même pas le cahier des charges...
Alois Frankenberger, la meilleur chose que vous ayez a faire c’est de continuer votre spécialisation en coprophagie...
Il me semble au contraire, qu’il existe plus de partis politiques chez nous maintenant qu’il y a 20 ans.
Je ne prétend pas que ce soit facile, mais je constate que c’est possible.
On a vu notamment François Bayrou créer le Modem, Olivier Besancenot créer le NPA , d’autres gugusses créer le Parti Anti Sioniste ( Soral et Dieudonné ) ect ...
Ceci DEMONTRE qu’il est possible de créer un parti et de se présenter aux élections.
A contrario, malgré que cela vous déplaise, la majorité de nos concitoyens préfèrent voter pour l’UMP et le PS. C’est cela aussi la démocratie, le fait que vos concitoyens ne votent pas selon VOS désirs, soit qu’ils ne les partagent pas soit que vous les présentez mal.
Manifestement, vous avez une mentalité de ... TYRAN infoutu de réfréner ses envies d’INSULTER ses contradicteurs à défaut de pouvoir les exterminer dans des camps de concentration !
« Il me semble au contraire, qu’il existe plus de partis politiques chez nous maintenant qu’il y a 20 ans. »
Et ça apporte quoi ???
Il y a aussi beaucoup plus de chaine de télé, mais toujours autant de source d’information (AP,AFP, reuters). Et il en est de même en politique : tout le monde est mondialiste sauf le FN (depuis peu) et quelques partis sans la moindre représentation.
Le choix entre plein de gens qui sont d’accord sur quasiment tout n’est pas un choix... C’est juste un spectacle...
« C’est cela aussi la démocratie, le fait que vos concitoyens ne votent pas selon VOS désirs, soit qu’ils ne les partagent pas soit que vous les présentez mal. »
La démocratie n’existe pas quand on vous rentre a coup de burin à l’école, à la télé, dans les jeux videos l’idéologie mondialiste. La démocratie demande de l’éducation, ça tombe bien 1/3 des gamins en 6iemes sont illettrés et 1/2 ont des difficultés de lecture et compréhension...
« Manifestement, vous avez une mentalité de ... TYRAN infoutu de réfréner ses envies d’INSULTER ses contradicteurs à défaut de pouvoir les exterminer dans des camps de concentration ! »
« Faites ce que je dis pas ce que je fait » dit-il en m’accusant de nazi LOL
1° : c’est VOUS qui m’avez INSULTEE au lieu d’argumenter : une authentique attitude de FASCISTE !
Les faits sont là : vous ne pouvez pas le nier !
C’est d’ailleurs pour cette raison que je ne demande jamais le retrait des posts insultants : pour CONFONDRE les TYRANS !
2° : Vous ne pouvez pas nier qu’il y a eu création de partis politiques et que donc vos objections sont sans fondements.
Vos sophismes sont tout simplement RIDICULES.
3° : Ce n’est pas parce que les programme des dits partis ne vous convient pas que la démocratie n’existe pas. Il existe d’ailleurs plusieurs partis qui sont contre ce que vous appelez la mondialisation. Le moins qu’on en puisse dire c’est qu’ils ne font pas de bons scores électoraux.
4° Quand à vos délires concernant les lavages de cerveaux, je ne puis que vous faire constater qu’il y a pas mal de personnes qui n’y succombent pas, dont VOUS , ce qui implique qu’il ne faut même pas être intelligent pour y échapper.
Il s’agit dés lors d’une croyance MAGIQUE destinée à expliquer VOS échecs de communication de votre programme politique ( pour autant que vous en ayez un ) qui est tellement bien que personne ou presque ne vous suit.
« 1° : c’est VOUS qui m’avez INSULTEE au lieu d’argumenter : une authentique attitude de FASCISTE !
blablabla TYRANS ! »
Bis répétita, vous me rejetez la faute en me traitant de fasciste et de tyran lol
L’adage ’faites ce que je dis pas ce que je fais’ vous vas si bien...
« 2° : Vous ne pouvez pas nier qu’il y a eu création de partis politiques et que donc vos objections sont sans fondements. »
Je n’ai pas nié qu’on puisse créer des partis politique, par contre on voit ce qui se passe en pratique, et comme vous avez une lecture (et un cerveau) sélectif, je recommence : cheminade évincé par magouille, Coluche camioné et les tentatives plus ou moins appuyé d’empêcher le FN d’avoir les 500 des signatures ou d’interdire la liste antisioniste...
« 4° Quand à vos délires concernant les lavages de cerveaux, je ne puis que vous faire constater qu’il y a pas mal de personnes qui n’y succombent pas, dont VOUS , ce qui implique qu’il ne faut même pas être intelligent pour y échapper. »
3 lignes pour ne rien faire d’autre que me traité de con (enfin venant d’un imbécile LOL). Retour du ’faites ce que je dis pas ce que je fais’
pas moi ! il y bien des dérives dans notre société qui laissent a penser que ...... en fait on glisse progressivement sur la pente savonneuse de la dérive sécuritaire et de la " bouc émissairisation de certaines parties de la population un autre signe est le glissement sémantique en politique : il n’y a rien de plus proche du nationnal socialisme que la droite sociale un autre signe est le vide de contenu du discours politique au profit de la manipulation des émotions par les mots ( repassez vous la campagne de Sarkozy )
T’as raison mon ptit gars, continue à t’amuser tant qu’tu peux encore... J’dis pas ça forcément pour toi mais qu’est-ce que va foutre de tous ces gamins paumés sans leurs ipad, iphone, playstation et fessebouc s’il advient un vrai gros bordel... Y sont pas armés pour survivre !
En revanche, je crois effectivement qu’une bonne partie des élites, mais aussi du peuple est mure pour le totalitarisme. Pas celui de grand papa, non un totatlitarisme « doux », avec justement du pain (cher juste à la limite) et des jeux (là pas cher du tout) mais très peu de police. Pas besoin de police pour contrôler un peuple que l’on a détruit, qui n’existe plus. On lui dit même, qu’il n’existe plus, sans rien craindre de sa part.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que
sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une
seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout
en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de
« dieu tout puissant ».
D’un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité.
En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l’avenir de
l’émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un
rôle très important dans sa vie. Ses proches s’adressent régulièrement à
lui en utilisant des slogans publicitaires.
L’omniprésence des caméras et la présence d’acteurs rendent une
atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les
pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville
par bateau, il se rend compte qu’il est « enfermé », et que le ciel de
l’horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir
du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un
dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis
lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde
extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge à
la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley,
avec le même combat entre d’un côté une vie contrôlée, surveillée, mais
sans risques, et de l’autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l’impossible contrôle
total des individus. Sa fuite n’est pas due à une volonté éclairée de
découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d’une femme à peine
rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c’est aussi l’amour qui guidera la rebellion de Winston Smith.
Le probleme dans le futur, dont personne ne semble prendre conscience, c’est le conflit qu’il y aura entre l’homme et la machine.
Sa ne sera evidemment par comme les films Terminator ou Matrix.
La resosphere (internet, intranet), est développé au point, que les machines peuvent communiqué ensemble, avec leurs propres langages sans interventions humaines.
Les machines nous sommes deja asservi à elles, quelque soit le domaine, voiture, loisirs, etc etc etc.
Je peut prendre l’exemple de Ameli, pour la sécurité social.
La crise écologique, économique, nous ramene à la question quel est notre place ici meme, et l’emergence de la mécanisation devenu automatisé tel que La Bourse, ou le traders n’a pas de role, ou la machine domine littéralement le secteur financier à presque 100%.
Tout devient automatisé et l’homme c’est exclu de lui meme du systeme qu’il à crée, donc chomage de masse des jeunes, des ingénieurs, la machine est capable de tout faire, meme chirurgien, médecin.
Totalitarisme oui, mais de quel sorte, certainement pas les idéologies du passé.
Le monde ne devient pas nazis, c’est la résurgence d’individus qui sont desesperés qui viennent de comprendre qu’ils ont vendu leurs ames au diable (imagé), et qui n’ont plus rien.
Les idéologies sont une forme de se sentir exister, tel que la religion, nation, etc etc.
Mais derriere tout ça, la machine controle notre monde et nous sommes devenu les servants de nos créations et chaque jour un peut plus, nous perdons toute utilité pour Le Systeme que nous avons crée et rendu presque totalement autonome.
Je ne sais pas si vous avez suivi mon déjà ancien conseil de lire ces deux ouvrages qui fournissent à mon avis l’une des grilles de lecture les plus intéressantes pour comprendre l’esprit du temps :
On peut y trouver des pistes de réflexion sur toutes les questions évoquées dans votre article et même encore plus...(ne vous arrêtez pas au titre, il ne s’agit pas de religion, et vous ne regretterez pas votre lecture je pense, ça se lit facilement d’une traite malgré l’apparente « épaisseur », peut-être même de mon point de vue trop facile et séduisant mais utile assurément...)
Ce que vous décrivez sont surtout les symptômes et les soubresauts d’un système à bout de course qui ne sait plus où aller ni que faire...
Manque encore un ingrédient majeur aux multiples crise en cours : l’effondrement définitif du capitalisme financier se situant actuellement dans sa dernière phase d’agonie conjoncturelle !
Ceci ne devrait plus tarder, l’année 2011 nous réserve encore, à n’en pas douter, de nombreuses chocs systémiques et surprises (r)évolutionnaires.
Tout s’accélère enfin sur Terre, dans les faits, mais surtout dans l’esprit collectif d’une humanité en (trans)mutation se dirigeant inexorablement, et démocratiquement, vers l’avènement à terme d’une nouvelle Ère salutaire de conscience unitaire privilégiant le bien commun comme la valeur universelle de la démocratie réelle enfin instaurée.
Peut être le capitalisme néo-libéral suit-il la loi de la trajectoire d’astro-physique des Trous Noirs :(wikipedia) : « Un trou noir peut être considéré comme le stade ultime d’un effondrement gravitationnel. »
En finale le « moment cinétique (rotation) et la charge électrique, peuvent en principe prendre des valeurs nulles (c’est-à-dire égales à zéro) »
J’execre ce president boufon, mais il ne faut pas exagerer. Sarkozy n est pas un nazi, il est pire, il manque de dignite et de culture Quant a ceux qui se mefient des profiteurs de l aide sociale, ce ne sont ni des nazis ni des nervis du patronat, mais des prolos qui bossent dur et qui en voient certains qui touchent, ne rament rien et se constrisent des villas au pays ou qui jouent le RSA au PMU ou au grattage et vont ensuite a l’aide alimentaire Trop d angelisme nuit a la gauche et a la Republique
Bonjour, Bernard Dugué « L’humanité est divisée depuis qu’elle existe en dominants et dominés alors pourquoi vouloir troubler l’ordre naturel des choses ? Très bonne interrogation, sur le ton de l’ironie désabusée.. .Il le faut, pourtant : ne sommes-nous pas par essence des êtres »dénaturés" ?
Comme la conscience est lente ! Ça fait bien longtemps que je hurle sur tous les modes qu’on n’a pas tiré les leçons du scientisme qui a conduit au nazisme et au stalinisme. Maintenant, je crois que c’est trop tard.... il faut préparer le nouveau monde pour ceux qui resteront après l’inéluctable catastrophe !
a bas la démocratie représentative... cela fait trop longtemps qu’il y a des abus.
le systeme marche sur la tete.
Quelque soit le sujet, on va droit dans le mur. Mais on nous affirme et démontre que tout va bien.
Ce n’est pas les modele de societes nouvelles qui manquent pourtant. malheureusement nos décideurs (qui ne sont pas les élus) ne sont motivé que par la recherche de profits ce qui n’est pas compatible avec l’idée d’une communauté responsable.
« On ne peut pas perde sa vie a la gagner » comme dit l’autre ... prisonnier de ce systeme, et sacrifié une enieme fois sur l’autel du profit ...
Le nazisme n’a qu’une seule particularité Historique : il a énormément exterminé et d’une manière industrielle correspondant exactement à son époque. Quant à ses ressorts, ils sont ceux de notre reptile, depuis toujours. L’esprit nazi a toujours existé. Le voir aujourd’hui ici ou là, devrait nous interroger sur notre reptile fondamental non sur notre nostalgie ou notre goût pour la répétition.
Non seulement ça ne conduit à rien de ramener tout ce que nous voyons de normaliste au nazisme mais c’est même totalement contre productif. « Tiens là c’est pareil / Ah oui mais là c’est différent »
On voudrait s’épuiser à parler pour rien, on ne pourrait mieux faire
Travaillons sur notre reptile hors toute question d’époque. Considérons-nous identiques aux Spartiates, New-yorkais ou Gaulois et réfléchissons par exemple au point suivant : Lorsqu’on dit qu’on veut bâtir une église pure est-on vraiment dans la vision d’une église pure telle que réalisée ou dans celle du virage-combat à mener pour la réaliser, donc dans la vision de l’opération à conduire pour purifier, karchériser.
Où se situe exactement notre plaisir : passer le karcher ou contempler notre terrasse purifiée ; sculpter un bloc de marbre ou contempler notre oeuvre terminée, chasser le tigre ou regarder son cadavre ?
Analysons bien ce que les créateurs d’église pure ont fait et dit, essayons de voir ce qu’ils ont vraiment pensé.
Si nous déduisons de cette étude que c’est la vision de l’église achevée qui les a animés, alors nous ne saurons jamais désavouer les entreprises. Si au contraire nous en déduisons que c’est le virage, le changement, la bousculade, le renversement, les paniques, les hystéries, les larmes et les cris les souffrances, les sacrifices qui les ont intéressés, alors nous saurons stopper toute les nouvelles imprécations normalistes « Ce n’est pas le résultat que vous visez mais le choc, le combat » « Ce n’est ni l’état ni l’Etat nazi qui vous intéresse mais la nazification de l’état et de l’Etat »
Force est de constater que personne ne se lance dans l’analyse du véritable objectif des meneurs. J’en viens donc à croire que pour le compte de son reptile, chacun se préserve la possibilité de réaliser de frapper.
Noter ami Bernard Dugué inclus qui n’a pas de mots assez durs pour désigner des gens à rejeter.
Foin d’analyse des pensées des normalistes, il suffit de plonger aux tréfonds de notre propre pensée pour découvrir qu’en effet, nos visions vont bien plus nettement aux virages, aux changements, aux modifications à faire qu’à la chose faite. On projette de chasser, on projette de capturer, on projette de dépecer, on projette de faire du feu, on projette de cuire, on projette d’ajouter des petits oignons. On projette, on avance dans la réalisation, on projette la suite, on avance encore, on projette la suite puis, enfin on passe à table et là le cerveau ne projette plus rien sur ce sujet de la bouffe, les pensées tournent à vide et dix minutes après, repus, on rote et on sieste.
Au réveil, on échafaude un nouveau projet.
Nous avons un mal fou à jouir de la chose accomplie qui n’est en rien excitante ou dont l’excitation ne dure guère. C’est le projet, le changement ; le virage, les accélérations, les frottements, les frictions, les va-et-vient qui nous excitent.
Je suis depuis un certain nombre d’années, comme vous, dans le constat de la machination esclavagiste qui se développe discrètement (pour les naÏfs) mais irrémédiablement. La lecture de « Propaganda » (1928) d’Edward Bernays est un excellent moyen de décodage des stratégies de manipulation des peuples.