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Accueil du site > Tribune Libre > Sarkozy (Jean) : quand une idée naïve du PS est reprise déformée par (...)

Sarkozy (Jean) : quand une idée naïve du PS est reprise déformée par Chatel

On se demande parfois ce qui passe par la tête de nos chers élus. En l’occurrence, un certain Gaetan Gorce propose une idée déjà naïve et maladroite mais transformée par Chatel de façon si surprenante qu’elle mérite un prix Nobel - pardon un prix Jeansarkozy - de la bêtise associée à la turpitude à moins que ce ne soit pour se faire remarquer ou pour plaire au château.

 Quelle est cette idée extravagante, avancée sans aucune réflexion de fond, sans aucun regard avec la déontologie ni la morale paysanne, par ce Gorce et reprise et déformée copieusement par Chatel ?
 
"Il faudrait que vous puissiez vous engager à ce que les neuf représentants de l’Etat – la moitié du Conseil d’administration de l’Epad chargé d’en élire le président – ne recevront aucune instruction de vote" (Europe 1)
 
 
Ce qui est une proposition de ne pas donner une consigne de vote devient tout autre par Chatel : Luc Chatel a immédiatement saisi cette perche. "Dans le passé, il est déjà arrivé que les représentants de l’Etat ne prennent pas part au vote de cette élection", a répliqué le ministre de l’Education. "Donc, par souci de clarté et de transparence, on peut très bien imaginer que les représentants de l’Etat à cette élection ne participent pas au vote." Pas de consigne devient pas de participation. Beau tour de passe-passe.
 
Tout simplement pour soi-disant rendre plus légitime l’élection du fils de son père, désormais nommé le père du fils, que les 9 membres du conseil d’administration de l’EPAD issus des ministères ne prennent pas par au vote du futur président du plus grand centre d’affaires de Toute l’Europe.
 
Nous allons donc faire quelques remarques à Gaetan Gorce pour sa naïveté et à Chatel qui ne semble pas comprendre ce qu’est la déontologie.
 
1- d’abord à notre ami Gaétan : et pourquoi donc donnerait-il une porte de sortie - l’heureux béat - qu’il croyait honorable au clan Sarkozy dans cette histoire scandaleuse de la nomination-élection du fiston sans diplôme avec le lait qui lui coule encore du nez ? Qu’ils se débrouillent avec leur petites manigances et qu’ils en payent le prix, quoique les électeurs râlent avec virulence mais ne votent pas, enfin de changent pas beaucoup leur vote (cf Douillet, douillettement élu, enfin pas tant que cela avec 70 % d’abstention et 4 points de moins que son prédécesseur) ! Et comment pourra-t-il vérifier qu’il n’y a pas de consigne ? Demander la parole d’un pouvoir qui ment deux fois quand il respire une fois n’a pas de sens. Et même qui ose imaginer une seconde que ces représentants (dont huit sur neuf ont été changés sur ordre du clan de Neuilly à la tête de la France) vont voter en leur âme et conscience ? La bonne blague. Le Gorce aurait mieux fait de se coucher ce jour-là, car maintenant - et la presse a déjà commencé - on va faire l’amalgame entre sa proposition et celle de Chatel lui en donnant la paternité bien qu’il ne fût pas le fils génial d’un génie de la politique. Il tresse lui-même la corde avec laquelle on va pendre l’opposition en la souillant par une association d’idées malhonnête. Gorce va aider à diluer le scandale.
 
2- ils nous prennent pour des buses : 4 élus de gauche 4 élus de droite et 1 représentant de la CCi dont on dit qu’il est à l’UMP, mais dont nous pouvons être certains de son vote pour JeanJean. Du reste il vient de le déclarer, du moins entre les lignes (Le NouvelObs) : Questionné sur Jean Sarkozy, il a répondu : "c’est un garçon de qualité, sympathique que je connais bien".
Claude Leroi a été conseiller municipal de Neuilly, notamment durant les mandats de Nicolas Sarkozy à la tête de cette ville. Cette élection-nomination ne changerait pas d’un poil que les représentants des ministères votent ou non. Nous passerions d’un score de 14 sur 18 à un score de 5 sur 9, moins glorieux en chiffre mais tout aussi efficace. De toutes façons ce n’est pas de gloire de l’élection dans cette histoire qu’il s’agit car il n’y en a pas.
 
3- et c’est là l’extravagance de cette proposition car elle veut dire deux choses qu’aucun esprit républicain et fiscalisé ne peut accepter :
  • l’Etat au travers de ses ministres se désintéresserait d’un vote important alors que les statuts lui donnent une place prépondérante
  • et le plus gros, le plus stupéfiant, l’inimaginable en démocratie : cela signifie qu’il y aurait conflit d’intérêt entre l’Etat (et ses représentants via les ministères) avec un candidat. Regardez cela de plus près : cela en somme veut dire que l’Etat c’est le clan Sarkozy ! Cette proposition ne veut rien dire d’autre qu’en fait l’Etat ne peut que voter pour JeanJean.
Cette proposition, qui paraît si benette, si simplette, si arrangeante, est en réalité d’un extrême gravité. Elle implique que ce pouvoir est tellement perdu dans cette affaire ou bien tellement imbu de sa toute puissance et de son arrogance inique, qu’il se permet tout, même d’affirmer haut et fort qu’effectivement au sein de l’EPAD les 9 membres représentants des ministères et garants de l’impartialité sont en fait les représentants du clan Sarkozy ! Où est la bastille ?
 

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19 réactions à cet article    


  • Fergus Fergus 19 octobre 2009 17:58

    Excellent, Imhotep, une fois de plus.
    Je cherche moi aussi où est la Bastille !
    Et mes pompes de randonnée, bien dures de la pointe, pour botter le cul de cet imbécile de Gaëtan Gorce.


    • Gaëtan Gorce Gaëtan Gorce 19 octobre 2009 18:47

      Réponse aux commentaires

      Ah, diable ! Il en faut peu dans ce pays pour qu’on s’emballe sans - comme toujours - jamais lire la totalité des déclarations et en se servant, comme à chaque fois de quelques éléments épars pour justifier sa propre argumentation. Me voilà accusé pèle-mèle de « naïveté », de «  maladresse » et, l’injure n’est jamais loin, certains me promettent même d’être le prochain ministre d’ouverture...

      Vive le débat public ! De quoi s’agit-il ? De mon point de vue, Jean Sarkozy n’est pas condamnable parce qu’il s’appelle Sarkozy, ce serait un procès odieux. Ni parce qu’il a 23 ans, ce serait insupportable. Sa nomination est condamnable, parce que le Président de la République a fait usage des prérogatives qu’il tient de sa fonction, pour la faire aboutir (dans des conditions, cela va de soi, dont n’aurait pu bénéficier aucun autre candidat).

      C’est au regard de ce critère et au regard de ce critère seulement qu’il y a problème. Ce que j’ai demandé dimanche à M. Chatel, c’est s’il trouvait normal que M. Jean Sarkozy puisse bénéficier du vote de 9 fonctionnaires agissant sur instruction du gouvernement. Dois-je faire remarquer que ce point n’avait jamais été soulevé auparavant ? C’est cette omission qui aurait dû être soulignée et dénoncée !

      Ce que j’ai proposé ensuite, c’est que le gouvernement et le Président de la République aillent au bout de leur démarche et remontent le fil de l’ensemble de leur manipulation politique : par une dépêche, que personne n’a voulu voir ni reprendre, j’ai dit hier après-midi que M.  Marseille devait désormais se retirer du conseil économique et social ou que sa nomination soit reportée parce que c’est celle-ci, obtenue directement du chef de l’État, qui a ouvert la voie à Jean Sarkozy en libérant une place au conseil d’administration de l’EPAD.

      C’est cette décision que d’autres après moi devraient réclamer, plutôt que de se complaire dans des fausses démonstrations, pointant une prétendue connivence volontaire ou involontaire... ! Je demande à ceux qui s’intéressent à cette affaire de bien vouloir la regarder sous le seul angle qu’il soit possible de faire pour un républicain. À savoir le conflit d’intérêt.

      Si Jean Sarkozy doit dire merci à quelqu’un, c’est à tous ceux qui se sont engouffrés dans la brèche sans vérifier mes propos, et en laissant la droite les instrumentaliser. Pour ma part, peu m’importe les jugements et les leçons qui me seront adressés par les uns ou les autres. Je persiste et signe : plus tôt cette polémique prendra fin, mieux cela vaudra pour cette République. Nos concitoyens sont épouvantés par ces pratiques. Et l’on ne pourra en sortir, dans l’intérêt de tous, que si l’on veut bien se placer sur le terrain des principes plutôt que sur celui des personnes.


      Gaëtan Gorce


      • Voldomir Olmoranz Voldomir Olmoranz 19 octobre 2009 19:43

        Gaëtan Gorce, 
        Il faudrait effectivement se placer sur le terrain des principes. 
        Principes qui servent de coussin à Nicolas Sarkozy lorsqu’il pose son séant sur une chaise (ou un trône). Principes qui ont été bafoués par tous ses prédécesseurs d’ailleurs. 
        Est-ce que le pouvoir corrompt au point que tous les principes s’évanouissent quand on l’exerce au plus haut niveau ? 
        Ou alors il ne faut avoir aucun principe au préalable pour atteindre le plus haut niveau du pouvoir ? 


      • Imhotep Imhotep 19 octobre 2009 20:03

        Réponse aux commentaires 

        Ah, diable ! Il en faut peu dans ce pays pour qu’on s’emballe sans - comme toujours - jamais lire la totalité des déclarations et en se servant, comme à chaque fois de quelques éléments épars pour justifier sa propre argumentation. Me voilà accusé pèle-mèle de « naïveté », de « maladresse » et, l’injure n’est jamais loin, certains me promettent même d’être le prochain ministre d’ouverture... 

        Vive le débat public ! De quoi s’agit-il ? De mon point de vue, Jean Sarkozy n’est pas condamnable parce qu’il s’appelle Sarkozy, ce serait un procès odieux. Ni parce qu’il a 23 ans, ce serait insupportable. Sa nomination est condamnable, parce que le Président de la République a fait usage des prérogatives qu’il tient de sa fonction, pour la faire aboutir (dans des conditions, cela va de soi, dont n’aurait pu bénéficier aucun autre candidat). 

        C’est au regard de ce critère et au regard de ce critère seulement qu’il y a problème. Ce que j’ai demandé dimanche à M. Chatel, c’est s’il trouvait normal que M. Jean Sarkozy puisse bénéficier du vote de 9 fonctionnaires agissant sur instruction du gouvernement. Dois-je faire remarquer que ce point n’avait jamais été soulevé auparavant ? C’est cette omission qui aurait dû être soulignée et dénoncée ! 

        Ce que j’ai proposé ensuite, c’est que le gouvernement et le Président de la République aillent au bout de leur démarche et remontent le fil de l’ensemble de leur manipulation politique : par une dépêche, que personne n’a voulu voir ni reprendre, j’ai dit hier après-midi que M. Marseille devait désormais se retirer du conseil économique et social ou que sa nomination soit reportée parce que c’est celle-ci, obtenue directement du chef de l’État, qui a ouvert la voie à Jean Sarkozy en libérant une place au conseil d’administration de l’EPAD. 

        C’est cette décision que d’autres après moi devraient réclamer, plutôt que de se complaire dans des fausses démonstrations, pointant une prétendue connivence volontaire ou involontaire... ! Je demande à ceux qui s’intéressent à cette affaire de bien vouloir la regarder sous le seul angle qu’il soit possible de faire pour un républicain. À savoir le conflit d’intérêt. 

        Si Jean Sarkozy doit dire merci à quelqu’un, c’est à tous ceux qui se sont engouffrés dans la brèche sans vérifier mes propos, et en laissant la droite les instrumentaliser. Pour ma part, peu m’importe les jugements et les leçons qui me seront adressés par les uns ou les autres. Je persiste et signe : plus tôt cette polémique prendra fin, mieux cela vaudra pour cette République. Nos concitoyens sont épouvantés par ces pratiques. Et l’on ne pourra en sortir, dans l’intérêt de tous, que si l’on veut bien se placer sur le terrain des principes plutôt que sur celui des personnes. 


        Gaëtan Gorce 


        Merci à vous de venir ici mais votre message est commun, dans le sens où doit être rédigé pour répondre à tous type de site. Par exemple cous citez le terme de ministre d’ouverture. Or ni dans mon texte ni dans les commentaires (jusqu’à présent) n’apparait cette idée. Lorsque vous dites aussi par exemple que le point que les représentants du pouvoir pouvaient voter pour lui n’avait jamais été soulevé est un peu présomptueux. Peut-être par vos amis politiques ou vos amis journalistes, mais d’autres ici même l’avait soulevé. Ensuite vous faites une réponse un peu langue de bois. Ce que vous avez proposé n’est pas sorti du contexte, et voyez-vous j’ai même pris la peine de regarder de près tout ce que vous aviez dit. Sinon j’aurais fait comme tous ces tordus de journalistes qui disent que vous êtes à l’origine de la proposition de Chatel. Si vous aviez bien lu ce que j’ai écrit, c’est qu’au contraire Chatel avait déformé votre proposition. Donc si certains commentateurs lisent un peu vite, vous aussi pour mon texte. En revanche je n’ai jamais écrit que vous étiez traitre à votre patrie, mais naïf ou irréfléchi. Et excusez-moi de vous le dire si vous n’avez pas tenu ces propos de façon naïve mais réfléchi alors c’est plus grave. 

        Entre la critique du fait que les représentants de l’Etat votent pour Sarkozy et la proposition qu’il n’aient pas de consigne il y a un monde. Or ce monde vous l’avez franchi. Vous pouviez vous arrêtez à la première partie. En faisant votre proposition vous faites ce que, moi, je critique, une proposition naïve de demander au pouvoir de ne pas donner de consigne de vote, et complètement irréaliste et ensuite ce qui se passe, vous coupez des verges pour faire battre l’opposition grâce à l’amalgame de Chatel et à la paresse de la presse qui déforme et permet à l’idée de Chatel de prospérer sur votre dos et par lui celui des autres de l’opposition. Merci quand même d’être venu ici faire un tour, il y avait de la lumière et vous êtes entré. Vous y êtes le bien venu.

        PS : vous résumez les critères de Sarkozy Jean, pour accéder à ce poste au seul de la déontolgie, ce qui prouve que là aussi votre raisonnement est court, pour être politiquement correct, car il manque deux qui sont indispensables : la compétence et l’expérience. Or il n’a ni l’un ni l’autre. Donc vous ajoutez en plus des arguments propices à la défense du prince Jean en excluant ces deux critères que tout le monde partout au travers de la vie de tous les jours on demande à tout postulant.

      • Woland Woland 19 octobre 2009 19:26

        Question cruciale : quels risques encourraient les représentants de l’Etat qui auraient l’audace de voter pour un autre candidat que petit Jean ? Réponse : carrière brisée.


        • Woland Woland 19 octobre 2009 20:53

          Monsieur Imhotep, je viens de lire votre réplique en page rose. Vous serait-il possible d’écrire en français ? Je veux dire : de construire de temps en temps une phrase qui tienne debout ? Manifestement, vous avez dû apprendre notre langue par correspondance et des courriers se sont égarés. Il est vrai que ce qui ne se conçoit pas bien ne s’énonce pas clairement.


          • Imhotep Imhotep 19 octobre 2009 21:08

            Monsieur Imhotep, je viens de lire votre réplique en page rose. Vous serait-il possible d’écrire en français ? Je veux dire : de construire de temps en temps une phrase qui tienne debout  ? Manifestement, vous avez dû apprendre notre langue par correspondance et des courriers se sont égarés. Il est vrai que ce qui ne se conçoit pas bien ne s’énonce pas clairement.


            Excusez-moi mais ce point d’interrogation (mis en gras dans votre texte par l’étudiant par correspondance) n’a pas de sens. Désolé, vous avez mal conçu ce bout de phrase. Pas grave je l’avais comprise. Moi, je compte sur la clarté intellectuelle de mes lecteurs, c’est moins fatigant.

            PS : Si la précédente phrase à celle du mauvais point d’interrogation est une interrogative, la seconde complète ou éclaire le sens de la première et donc n’a pas besoin de ce point d’interrogation car elle explique le sens de la possibilité d’écrire en français et non l’interrogation elle-même.

          • Woland Woland 19 octobre 2009 21:39

            C’est bien ce que je pensais : des lettres se sont égarées. Et vous compensez en inventant des règles à votre façon pour masquer vos lacunes. Remplacez « Je veux dire : » par « Et » - et vous verrez que la répétition du point d’interrogation se justifie.


          • Imhotep Imhotep 20 octobre 2009 08:26

            Vous vous enfoncez, professeur. Si vous mettiez « et » vous feriez alors une redondance avec deux termes qui sont identiques, et le « je veux dire » détermine une équivalence évidente entre ces deux termes et en aucun cas ne veut dire « et » (soit + en mathématiques et même en français) mais « égale » (soit = en mathématiques et aussi en français). 


            Je n’invente aucune règle, c’est une question de logique. Quant à avoir des lacunes, j’en ai et je vous envie de ne pas en avoir. 


            Pour terminer, en plus de donner des leçons, vous êtes mauvais perdant. Remarquez, cela va souvent bien ensemble.

          • geo63 20 octobre 2009 10:02

            Cher Imhotep. Je vous lis depuis un certain temps et je n’ai aucun doute sur votre qualité intellectuelle et d’excellent rédacteur. Dans ce débat, absolument normal sur l’élection du Président de l’EPAD il y a un aspect qui me trouble totalement.
            J’ai passé quarante ans de ma vie à essayer de respecter le plus scrupuleusement possible les statuts, en particulier lorsque des élections de personnes étaient en jeu. Quorum, vote à bulletin secret, qualifications des votants etc...Dans cette élection, presque au plus haut niveau de l’Etat on discute pour MAGOUILLER, TRUQUER celle-ci afin que la nomination de Jean Sarkozy passe comme une lettre à la poste. Dans quelle
            gadoue sommes-nous tombés ?


            • Imhotep Imhotep 20 octobre 2009 12:28

              Vous avez - une fois encore ? - perdu une bonne occasion de vous taire. Gaëtan Gorce ne me fait pas l’honneur de m’écrire à titre personnel. Du reste avant même de le savoir j’avais répondu que sa réponse était commune. En fait ce texte est un texte qu’il a envoyé à tous les sites - je suppose - qui parlaient de sa fameuse proposition. En voici la preuve. Ce texte est exactement le-même dans les commentaires de cet article de Marianne.


              Vous voyez je suis bien moins orgueilleux que ce que vous pensez car j’ai tout de suite imaginé que je n’avais pas l’insigne honneur d’avoir une réponse personnalisé du grand Gaëtan Gorce. Surtout je lis ce qui est écrit contrairement à vous qui n(’avait pas vu que sa réponse était générale et non personnelle, ni ma réponse qui aurait dû éveiller en vous un sens critique qui vous fait généralement défaut.

            • Imhotep Imhotep 20 octobre 2009 12:36

              Exact c’est la raison pour laquelle je parle de proposition naïve de Gaëtan Gorce. Voilà tout. Pas mal votre Eskabo 1er. Vous devrais-je des droits d’auteur si par hasard je vous pillais ?


            • Imhotep Imhotep 20 octobre 2009 13:48

              Non mais je vais me mettre à la chasse.


            • Imhotep Imhotep 20 octobre 2009 14:05

              Oh le faux modeste ! (j’ai donc cherché pour rien alors que voulais le plusser - enfin peut-être - ?)


            • Sandro Ferretti SANDRO 20 octobre 2009 14:56

              @Calmos et Furtif :
              Eloigné d’Avox depuis quelques temps pour tenter de recouvrer un peu d’intelligence, dont je risquais d’étre dépourvu maintenant que l’hiver est venu ( et depuis que j’ai pris l’hiver en grippe), vl-’à -t’y -pas que mon détecteur automatique me signale un article de Calmos.
              Le temps que je m’y rende, le Professeur Gary, d’un coup de bistouri incisif, l’avait excisé.
              Je me suis aussitot vengé en modo sur 3 amputés du Bescherelle et trois mono-neuronaux en jachère de mulot.

              PS : Calmos, je n’ai pas oublié ton message digne et noble sur Mme Bérange, trop vieille, tout au bout de la vieillesse.. Tu n’as rien à regretter ni à prouver.
              L’important , c’est ce que tu as dans le container, c’est pas la clef du cadenas pour l’ouvrir.
              Fin du message personnel.
              Les autres peuvent reprendre une activité normale ( Bayritudes, Sarkozeries, prix comparé de la saillie en Californie et en Thailande dans les années 70, etc, etc).


            • Hieronymus Hieronymus 20 octobre 2009 18:18

              « comme disait Talleyrand ce fut plus qu’une erreur , une faute.  »
              sauf que ce n’est pas ce que Talleyrand a dit (1804) :
              « C’est pire qu’un crime, c’est une faute » a propos de l’execution du Duc d’Enghien

              sinon le reste impigeable comme d’hab a part une autocongratulation qu’il ne s’adresse qu’a lui meme, ca degouline et pas que furtivement a longueur de forum ..
              un fat infatue de sa fatuite, c’est comme de la graisse d’oie, ca tache (desole pour les accents)


            • Philippe D Philippe D 22 octobre 2009 17:29

              Salut Sandro, Calmos et Furtif,

              J’aurais bien aimé le lire, moi aussi, cet article de Calmos.

              Je réagis un peu trop tard, ayant été retenu par des c911onneries à la pelle et en veux-tu en voila, et même si t’en veux pas, en vla quand même. Mais c’est ma faute, je pourrais faire comme si tout cela n’existait pas.

              Bref pas là pour parler de moi, mais de ces articles qui nous changeraient, qu’on attend et qui ne paraissent pas.
              Furtif et Sandro, vous qui êtes dans le secret des Dieux, du genre à tutoyer l’Olympe, j’ai pourtant l’impression que votre « impuissance sélective » pour nous éviter les pires horreurs (je conçois que vous ne puissiez faire surgir des lumières inexistantes) devrait vous amener à douter de la valeur démocratique appliquée au concept de journalisme citoyen.
              (Jsais pas si jsuis bien clair)

              En attendant que vous ne résolviez au mieux ce dilemme, j’envisage moi aussi de prendre une nouvelle fois mes quartiers d’hiver.


            • Imhotep Imhotep 20 octobre 2009 12:49

              Ailleurs je vous disais de ne pas vous faire plus bête que vous n’êtes, j’avais commis une erreur d’appréciation. Puisque vous avez la flemme voici sur Marianne (suivi du texte exactement le même avec la même introduction) et vous ne savez pas lire. Il n’est pas écrit réponse à l’article mais réponse aux commentaires. Vous ne comprenez même pas les mots les plus simples :


              Posté par Gérald Andrieu le 19/10/2009 19:27 
              Gaëtan Gorce a tenu à apporter sa « réponse aux commentaires ». Une « réponse » que nous passons bien volontiers. Mais puisqu’au passage Gaëtan Gorce considère que ses propos ont été tronqués nous invitons les Mariannautes à réécouter son intervention (4’25’’) lors du Grand Rendez-vous Europe 1 - Le Parisien et la réponse qui lui est faite par Luc Chatel (7’35’’). 

            • Papybom Papybom 20 octobre 2009 20:10

              Bonjour Calmos,

              En suivant un article d’Imhotep, j’avais de grandes chances de vous trouver. Ne dit-on pas : « par l’odeur alléché, le minet va troller ! ».

              Mais troller que ce brave Imhotep, c’est trop laid.

              Avez-vous trouvé, votre Gargamel de lait, sur le perron de l’Elysée ? Dans votre cas, vous devriez changer de pseudo. Pourquoi ne pas choisir un autre chat. AZRAEL, serait parfait. Vous pourriez schtoumpfer du Modem en permanence.

              Cordialement.

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