Avec l’appui de la petite bourgeoisie inféodée à la grande, la grosse, la haute finance, les industries de la réclame et de l’amusement public, faiseurs de bulle pharaoniques.. les soixantehuitards.. Ont fait sauter les derniers verrous qui bridaient le développement de la société de sur-konsommation et de spéculation, de dévastation au nom du pognon.
Zébulon continue la mission, ce qu’il y a encore à déblayer, les embryons de résistance, les derniers recoins de l’archipel de la dissidence. Y’a pas beaucoup à espérer devant une telle puissance et tant de finances.
Nous, pauvres prols, attachés à l’idée de nation, de liberté, d’égalité, de fraternité, de politique vertueuse, d’économie, de probité, d’écologie avant le cirque médiatique qui en est fait.. On a failli croire un instant qu’il s’agissait d’une révolution.
Vous résumez brillamment :
"sa fascination pour l’idéologie 68, c’est-à-dire la dilution du social
dans le bling bling libéral - libertaire du spectacle et de l’argent."
Et le peuple, ou ce qu’il en reste, est sans réaction, lobotomisé au spectron.. A la moindre vélléité : traité de populisse, fachisse, bête à corne, naze, remuglant, nauséabond, répugnant.. Le peuple, trouble-Séguéla, lèse-Mitterrand, Zébulonoclaste, BHVnoclaste..
Fort heureusement, les menaces qui pèsent sur l’oligarchie ne sont pas de la France d’en bas, mais sont cependant bien là, qui s’amoncellent : immanente justice ou épuisement du substrat..