Ségolène Royal : la vérité
Tandis que le petit roitelet élyséen détruit méthodiquement la France, servant plutôt les intérêts d’un clan que l’Hexagone, le parti socialiste ou du moins Solférino, rime peu à peu avec Politburo. Usurpateurs et fraudeurs y règnent en despotes, violant en toute impunité les règles du parti, tuant Mitterrand le démocrate. Pour un seul but, la présidentielle 2012, l’unanimité et une vengeance inexpiable à l’encontre de Ségolène Royal s’organisent à l’intérieur même de son parti et dans les médias financés par.... l’Élysée. Normal donc que ces sondages payés aussi rubis sur l’ongle par qui vous savez placent certains, ces ex éléphants domptés par la dame du Poitou lors des dernières primaires au sein du Parti socialiste, dans des positions confortables, sans savoir le rôle qu’ils jouent en France. Voici donc le mystère élucidé du lynchage de Ségolène Royal.
Les non initiés croient effectivement que des primaires seront finalement inutiles. D’un côté, c’est la solution sine qua non d’un exilé en Amérique qui a peur de ces dernières -chat échaudé craint l’eau-, et compte qu’elles n’aient lieu. Dans le même ordre d’idée, plus que jamais, n°1 joue le rôle de faire valoir et/ou de faux nez de l’autre, à qui on dira plus tard que le vrai recours, la seule alternative, c’est l’Américain dont un certain sondage le voit gagner au second tour contre l’actuel locataire de l’Élysée. Un bourrage judicieux de crâne pour jouer à fond l’élimination de fait de Ségolène Royal dans l’imagerie populaire. Comme le disait quelqu’un, la vérité finira par triompher, par se savoir. La trahison sera payée recta. Le caractère de conformité de la représentation mentale tend à dire que madame Royal est donc éliminée pour la présidentielle. Balivernes. La vérité est ailleurs.
Par acquis de conscience, il faut sonder les militants, les vrais, écouter les sympathisants, les vrais, entendre le discours en privé des adhérents pour se rendre bien compte que, la seule et vraie alternative vient du....Poitou-Charentes. Les chiffres ne trompent pas. La réalité du terrain aussi. Au moment ou des bisbilles ridicules, des polémiques sans objet et des brouilles préfabriquées se font jour, la sérénité de l’ex candidate à la présidentielle est sans faille. Quant à lui, le Politburo est aux abois. En Languedoc-Roussillon par exemple. Une petite tournée internétique -passez-moi l’expression-, dans l’outil que vient de mettre en place le Parti socialiste, son réseau social la Coopol, déconstruit le mensonge abyssal qu’on nous sert à satiété et démontre de façon criarde que Ségolène Royal est et reste le nec plus ultra du PS. Dans les groupes à l’intérieur de la Coopol donc, elle reste la personnalité la plus plébiscitée. Plaît-il ? La preuve en image.(Cliquez sur l’image pour l’agrandir)
Chronique annoncée de la victoire de Ségolène Royal
Quel est donc l’endroit où on peut juger réellement des capacités et de la popularité d’une personnalité si ce n’est auprès des siens ? Ici, c’est à l’antre même du parti que la preuve est présente, palpable, et à la barbe et au nez du Politburo, roi de la dissimulation. Le groupe Militants de l’Espoir à gauche, avec Ségolène Royal vient en deuxième place, juste derrière un groupe qui fait la course en tête et commun aux idées de gauche : Pour le droit de vote des étrangers résidents en France aux élections locales. Est-ce un hasard ? Certainement pour ceux qui le découvrent. Comment donc tenter d’expliquer que cette femme de qualité soit éliminée d’office ? Mais, finalement, où sont donc les autres, ceux qui font l’actualité médiatique ? Où se terrent donc leurs supporters ?
Le prétexte fallacieux d’un Georges Frêche antisémite relève aussi des chimères. Les médias s’affolent, le Web n’est pas en reste alors que ça cache la tentative d’élimination de Ségolène Royal dont personne, oui personne, ne peut battre si une primaire est organisée aujourd’hui ou demain au sein du Parti socialiste. L’UMP qui craint la dame du Poitou comme la peste savoure, se frottant les mains et buvant du petit lait. Le président du Languedoc-Roussillon a tort de soutenir simplement Ségolène Royal. Mais, quand les hérauts du Politburo s’appuient dessus alors qu’il suffit un tant soi peu de faire attention aux paroles au lieu de sauter comme des morts de faim et à bras raccourcis sur l’élu, c’est regrettable qu’on puisse user de basses manoeuvres politiciennes pour servir ses intérêts que ceux de son parti. Injure raciale sur les "Harkis sous-hommes" : mensonge. S’il y a quelqu’un qui a méprisé les Harkis, c’est bien Dominique Bussereau, ministre de la République. Alors, pourquoi le Parti socialiste et l’UMP restent-ils silencieux ? Ah, si c’était Ségolène Royal ou un de ses proches... Sur les "9 blacks sur 10 en équipe de France", il précise que "les blancs sont....nul". Or, Kouchner ou Finkielkraut font la même remarque. Pourquoi les laisse-t-on tranquille ?
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