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Accueil du site > Tribune Libre > Semaine de la Mode et du Destin

Semaine de la Mode et du Destin

C'est la semaine Fashion Week, à Paris (du 20 juin au 26 juin). Vous n'y êtes pas invité. Tant pis. Il s'agit de mode masculine.

Les hommes d'abord, dites donc. Il était temps. Le coq revient au poulailler déserté par les poulettes trop occupées à se pavaner ailleurs. Le coq, pas le lion. Restons clairs, Chantecler.

Seuls d'heureux participants triés sur le volet peuvent assister aux événements. Ceux-ci se déroulent au sein de beaux monuments français (Palais de Tokyo) entretenus par de courageux contribuables, ainsi que par des fondations souvent étrangères ; et construits dans les siècles passés par nos architectes les plus méritoires et talentueux. Gloire leur soit rendue à tous.

L'événement est coordonné par la Fédération de la Haute couture et de la Mode et présenté par l'incubateur de talents Sphere Paris Fashion Week®. Pour cette action en faveur des marques émergentes, l'événement bénéficie du soutien de DEFI et de L'Oréal Paris, partenaires officiels

Voici la liste des marques sélectionnées sur critère de prix obtenu, donc accordé par un petit noyau en place qui veille au grain de sa pitance. L'inspiration des faiseurs est nettement "gay pride".

 

ARTURO OBEGERO, un Asturien paraît-il, montre sur son site quelques rares femmes ou qui paraissent telles. Les hommes à sa mode ne sont de toute évidence ni pompiers ni carreleurs ni grutiers ni soldats. Le style à l'écrit de ce faiseur lancé est décontracté. Un exemple :

"Inspiré par le monde de la performance, les mouvements surrealiste et neo-noir, arturo obegero crée une collection romantique, séductive et effortlessly chic pour les hommes et les femmes."

Traduisons ce patois en français intelligible : "Inspiré par le petit monde du rendement, par le surréalisme et par la tendance neo-noir, Arturo Obegero crée une collection romantique, aguicheuse et d'un chic facile pour les hommes et les femmes."

 

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CHRISTOPH RUMPF : du grand théâtre futuriste. L'homme est vu comme un terrain vierge, quoique affaibli, sur lequel bâtir une cuirasse. Intéressant et travaillé sur de belles matières. Mais n'allez pas vous balader dans la rue avec ses créations, vous vous ferez demander vos papiers. C'est fait pour les musicos en concert, s'ils n'ont pas trop besoin de bouger, ou pour les fêtes sur chars, ou pour un héros de Kafka.

C.R.E.O.L.E nous parle anglais et fait de la mode un drapeau. Traduction : "une marque mode avec une approche distincte d'ordre intellectuel, sociétal, politique et sexuel" nous apprennent les trois potos de C.r.e.o.l.e. Rien que ça !

Il fut un temps où la mode existait pour renouveler les garde-robes et mettre en valeur vos atouts. Elle célébrait la couleur, les formes et les symétries du corps humain, sculpture vivante. Elle employait d'ingénieuses petites mains. C'était une mode climatique depuis toujours, qui célébrait les saisons et s'y adaptait, plutôt que revendiquer la bizarrerie ou le décousu.

Mesdames soyez belles, messieurs soyez beaux, ça met de bonne humeur. Tel est en principe le but de la mode.

JEANNE FRIOT : une fille d'artistes du Marais, créatrice de fringues neutres ou neutralisées, qui nous parle de sa vie intime. Elle expérimente des "déconstructions".

. “Pour moi, le vêtement c’est une rencontre amoureuse. Et l’amour n’est pas en fonction du genre” dit-elle. Son style est, selon elle, "puissant, coloré, énergique". Elle bénéficie d'un bel espace à "La Caserne" dans le 10e arrondissement de Paris, ancienne caserne de pompiers du 19e siècle, reconvertie en laboratoire de modes pour habitués du Marais.

C'est tout personnel mais disons-le : je regrette nos pompiers, pas l'embellissement de l'immeuble, lequel logeait des travailleurs essentiels de Paris, dans Paris, pour Paris. Une vraie présence protectrice, de beaux uniformes élégants et fonctionnels (donc neutres) qui mettent en valeur l'architecture du corps masculin, un sentiment de sécurité, un investissement pour le peuple plutôt que pour les amis d'Obama, s'il est toujours là celui-là. Il paraît qu'il était invité, avec sa dulcinée, à la Fâchonne Ouic.

LAGOS SPACE PROGRAMME Il faut dire "they" (ils) quand on parle d'Adeju Thompson, fondateur de cette marque, plutôt que "he" (il). C'est son exigence plurielle car on ne fait rien tout seul (c'est l'idée) et il dépend de toute une bande de potes. Il fait lui aussi de la fringue neutre, c'est moins cher à produire, et nul besoin de célébrer quoi que ce soit : crête, plumes ou falbalas. Le neutre, c'est pratique, ça vous habille en un rien de temps ! Et on peut tacher, déchirer, mouiller la sape, qu'importe ! C'est pas genré !

PONDER.ER La mode du déchiré ayant fait son temps économique, on recycle désormais sur jeune homme triste au garde-à-vous les invendus (mais ce n'est qu'une impression, car l'investissement a dû en fait être conséquent) en fripant du matériau cousu sur du pantalon. Le résultat est amusant, généreux, abondant, froufrou. L'avantage, c'est un pantalon plus chaud pour l'hiver, qu'on peut traiter avec désinvolture. Il y a aussi des créations dessinées à l'eau de javel et des pantalons à smocks au masculin découvrant des bottines haut de gamme. C'est nouveau, bon. On sent un léger effort déprimé vers le sociétal obligatoire, si on veut son petit coup de pouce.

VALETTE STUDIO vêtements de bonne coupe et belle texture, du métier. On voit sur une vidéo d'une des présentations Valette de vrais hommes et d'autres qui se dandinent, et aussi des femmes d'apparence mais pas d'ADN.

Je décerne en toute modestie à Valette Studio le prix de la meilleure fringue de la fâchonne ouic. Pierre-François Valette redécouvre que le costume ou tailleur classique, finalement, c'est ce que les gens apprécient et veulent porter. Évidemment, il est français.

Les faiseurs, pardon les dizaïneurs sont de plus en plus zaméricains (néo-noirs souvent), africains, asiatiques, etc. Pas de Japonais, dommage. Un pays à très forte tradition mode soignée, minutieuse, ingénieuse. Pas beaucoup d'Européens de culture. Dommage pour notre diversité européenne, si riche, si résiliente, si autonome.

 

Que sont-ils alors ces faiseurs, que les femmes ne seraient pas ? Pauvrettes, elles ont trente pour cent de gros muscle en moins et ne pourront qu'avec beaucoup de peine être fossoyeuses, cantonnières, déménageuses ou bêcheuses (quoique...).

Parfois squelettiques, surtout les femmes si peu aimées de leurs habilleurs ou déshabilleurs, les mannequins tirent la tronche depuis au moins deux décennies dans les défilés. En manque, ils sont. Ou alors le métier est éprouvant. Par quoi a-t-il fallu en passer pour devenir porte-manteau, pardon modèle !

Un sourire damoiseaux et damoiselles ? Un défilé n'est pas un enterrement ! Mais non, ils ne vous l'accorderont pas, sur ordre. Seule la petite hôtesse de vente vous le décochera, radieux, une fois votre emplette enregistrée pas loin des Champs-Élysées. Le sourire se paie cash messieurs-dames ; le vrai sourire du contentement d'avoir gagné sa journée, ce luxe raréfié !

Le mannequin est mandaté par ses employeurs pour vous signifier que la vie est un gouffre mortel dans lequel il vaut mieux jeter vos (ou nos) avoirs, vos acquis, vos actions, ça occupe en attendant la Mort, décideuse ultime.

Ce client/cette cliente a besoin au quotidien de stimulants et poudres de perlimpinpin pour supporter une existence de piscines, massages, première classe, petits plats et volupté ; en plus de sa propre tête sinistre reflétée dans les glaces des palaces. Sans stimulus : plongeon dans les affres. Sachez que les castes inférieures n'ont pas le droit d'avoir l'air satisfait. Voyez les laquais de l'ancien temps : il ne s'agissait pas de rigoler, en faisant la haie d'honneur ! Les invités au banquet de la vie veilleront au bon ordre de la triste figure !

Donc jeunes mannequins maladifs, ne souriez pas ! Vous allez vexer le client ! C'est une fâchonne victime, le client. Á tout instant, vous devrez le lui rappeler.

 

Un des avantages imprévus de la Fashion Week, c'est qu'elle a contribué, paraît-il, à sauver du pire de jeunes étudiants d'une école de mode internationale, située au 277 rue Saint-Jacques, juste à côté de l'église du Val de Grâce et de l'hôpital des Armées. Cet immeuble historique a subi mercredi vers 17H une explosion encore inexpliquée et s'est effondré totalement.

On a vu un homme sortir précipitamment de l'immeuble voisin, juste avant l'explosion.

Les étudiants n'étaient pas en cours, ce jour-là, occupés par une exposition ou un défilé de mode, lit-on. Leur directeur, Peter Carman, Australien dont deux ou trois homonymes existent aux Etats-Unis, a malheureusement été grièvement blessé dans l'incendie, ainsi qu'un secrétaire d'une fédération catholique de l'enseignement privé non lucratif, et non affiliée à l'ESS (économie sociale et solidaire). Une dame, professeur de couture, restée à son poste au premier jour de l'été, est portée disparue.

Alors bonne semaine à la Fashion sociétale, si vraiment elle a servi à préserver des vies, loin, si loin de l'ancien pavillon de l'abbaye du Val de Grâce, sur le chemin des pèlerins de Saint-Jacques, à Paris.

 

LIENS

 

Haute couture et semaine de la mode

Fédération de la Haute Couture et de la Mode

Marques émergentes

DEFI mode

L'Oréal Paris

ARTURO OBEGERO designer

Mannequins d'Obegero

Marque Neo-noir vêtements

CHRISTOPH RUMPF designer

C.R.E.O.L.E designer

JEANNE FRIOT designer

LAGOS SPACE PROGRAMME designer

PONDER.ER designer

VALETTE STUDIO designer

Pierre-François Valette

Les tendances mode pour l'été 2023, selon Vogue

École de mode internationale dans le Val de Grâce

Peter Carman directeur d'école de design

 

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20 réactions à cet article    



    • SilentArrow 24 juin 2023 09:48

      @troletbuse

      Bizarre, je croyais que les rayures étaient horizontales pour mieux contraster avec les barreaux qui eux sont verticaux.


    • beo111 beo111 24 juin 2023 14:10

      @SilentArrow

      Non, c’est comme les braies d’Obélix. Verticales elles offrent l’illusion d’optique nécessaire pour cacher quelque embonpoint.


    • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 24 juin 2023 10:55

      Non mais la photo smiley ouais ouais soyez fashion, d’ailleurs ya chions ds le mot smiley


      • lisca lisca 24 juin 2023 11:37

        @bouffon(s) du roi
        J’ai mieux :

        https://lagosfashionweek.ng/designers/lagos-space-programme

        Un entonnoir en tricot sur la figure dans un environnement réchauffé climatique... Il a glissé du crâne. smiley

        On se demande quelles mouches les piquent par moments ? Pas les designers, les sponsors.


      • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 24 juin 2023 18:00

        @lisca

        – Oh Thérèse ! Une serpillère ! C’est formidable, écoutez, fallait pas…
        – Mais non Pierre, c’est un gilet…

         smiley


      • lisca lisca 24 juin 2023 11:35

        https://valettestudio.com/wp-content/themes/valette/images/002-p-800.jpeg

        En voilà un avec du vertical et de l’horizontal, mais il ne fera pas un bon forçat. Faut du muscle.


        • lisca lisca 24 juin 2023 11:41

          Je découvre une petite info insignifiante dans le Parisien, à propros de l’explosion :

          « Avez-vous senti une odeur de gaz ? »

          Michel Denis, directeur de la Schola Cantorum, école de chant voisine du 277 rue Saint-Jacques, répond :

          « Pas particulièrement. Il y a eu des travaux pendant longtemps dans la rue. Heureusement d’ailleurs que l’explosion n’a pas eu lieu durant ces travaux sinon les camions de secours n’auraient pas pu passer. Je ne sais pas si c’est une explosion au gaz. Mais lorsque j’ai pris la direction de l’école il y a 30 ans, j’ai arrêté le gaz. Ça m’a toujours fait très peur. »



          • cevennevive cevennevive 24 juin 2023 12:00

            Bonjour lisca,

            Merveilleux humour, mais si réaliste !

            Pourquoi n’y a-t-il jamais, dans les défilés, des papous en ceinture de raphia, des imams et hommes musulmans en robe blanche, des femmes voilées avec tchador noir, etc ?

            C’est pourtant la tenue de bien plus de gens que les admirateurs de la fa(chions) !

            Et les « grosses dondons » seraient bien contentes de voir défiler des bonnes femmes en sari de soie au lieu de ces « arêtes » de poissons... En plus, les rondes sont très souvent bien plus souriantes que ces anorexiques maussades !

            Bon, je m’en fiche, j’ai toujours aimé le classique, je ne suis ni une "arête, ni une grosse dondon. Au moins me font-ils rire !

            Nb : le jeune homme du site que vous donnez ci-dessus, a fait un peu trop de cheval dans sa prime jeunesse...


            • lisca lisca 24 juin 2023 12:30

              @cevennevive
              Oui, c’est limlite éphèbophobe ces défilés.
              Des jeunes gens qui semblent sortis des orphelinats de Dickens... Pâlichons, maigrichons, dépressifs...
              Il y en a qui en profitent ou alors c’est un genre de sadisme. smiley
              Alors bon, les mannequins ont toujours été grand(e)s et minces car ils/elles font office de cintre, en fait.
              Mais il y a des grand(e)s minces athlétiques et avenant(e)s, quand même.
              Plus un modèle se sent bien avec lui-même, mieux il présentera les collections. Le faire souffrir, c’est méchant, sinon bas ; d’autant plus qu’en général, les modèles ne sont pas des privilégiés.
              Un(e) elfe qui glisse sur les parquets à la saison des roses, en vous souriant gentiment, c’est du luxe ?



            • lisca lisca 24 juin 2023 15:10

              Merci SilentArrow. C’est beau ! La danse du bouleau, par le groupe Beryozka (russe).

              Les commentaires en anglais au-dessous sont admiratifs. Elles glissent vraiment comme des elfes.

              J’en déduis que les guerres russo-américaines ne concernent pas les Américains ; qu’il n’y a pas vraiment d’hostilité entre ces deux peuples, qui ont une tradition en commun de bonne musique.

              La musique adoucit les mœurs.


              • Pauline pas Bismutée 24 juin 2023 15:45

                Au moins, ridicule, mais de quoi sourire !

                Une idée du prix de la tenue en photo ? Le truc blanc qui pend pas ajusté sur l’individu a tête d’épouvantail (le maquillage, enfin on espère !)

                Je ne suis pas contre l’originalité, au contraire (on me complimente souvent sur mon « style »), mais………euh un défilé, mal fagoté comme ça ???


                • lisca lisca 24 juin 2023 16:07

                  Le truc blanc, je ne sais pas combien ça peut coûter, mais ce doit être cher.

                  Reconnaissons que ce costume blanc, avec l’unique bouton mieux placé et les trucs bizarres ôtés, serait pas mal. Bien coupé, beau tissu... C’est du travail.

                  Dommage que la recherche d’extravagance inutile gâche du beau boulot et de belles techniques, réalisés par des personnes de métier.

                  Le jeune mannequin est contraint de se présenter comme il le fait, l’air camé ou godiche. Une soumission extrême est exigée des employés, de nos jours. Soit ça passe, soit ça casse. Quand ça passe, les jeunes surtout, désorientés, ne savent plus comment se tenir ni que faire, traités comme des pions par des gens parfois très louches. smiley


                  • Pauline pas Bismutée 24 juin 2023 16:27

                    @lisca

                    Oui, je suis d’accord, le truc blanc, retaillé et ajusté, ça pourrait avoir de la gueule..
                     smiley


                  • lisca lisca 25 juin 2023 08:21

                    J’ai bien aimé l’article sur la Birmanie, et celui d’avant aussi, de Pauline. Pourquoi plus rien depuis ? Je ne vais que de temps en temps sur agoravox, mais je vais lire plus souvent les articles. Les femmes posent ici leur touche féminine irremplaçable. Elles ont des centres d’intérêt qui ne sont pas forcément ceux des analystes d’événements géopolitiques du site. C’est plus tourné vers les personnes et sentiments, merci à Pauline et à d’autres fauvettes d’agoravox.


                    • lisca lisca 25 juin 2023 10:35

                      @eau-mission
                      Des noms ! smiley
                      Une mustang qui « botte à cru » c’est quelqu’un qui ne travaille pas ses sujets ? Une vrilleuse c’est quelqu’un qui vous casse la tête ? Une cigale perroquet, c’est une chanteuse de scies monotones et conformistes ? Je demande les noms parce que c’est curieux, les femmes, et même un peu pipelettes. Et parce que j’ai cherché sur google pour connaître ces expressions (je ne suis pas très savante).
                      Il est vrai qu’il y a quelques écrivaines que... bon. On leur trouve les défauts féminins bien ancrés ; les qualités... moins. On ne les lit donc pas.
                      Alcibiade était beau, insolent, riche, provocateur, iconcoclaste, bisexuel ; mais plutôt amateur de femmes, au naturel. La coutume de l’époque voulait que les profs masculins orientent leurs élèves vers eux-mêmes et les plus beaux y passaient sans que personne y trouve à redire.
                      Alcibiade avant d’être tué, a été piégé par une hétaïre ; ce n’était pas un homo donc, pas plus que Rimbaud Arthur dont « le désir » fut fortement orienté ou détourné ou salopé par un type plus âgé, cultivé, plus riche, connu, intelligent, sensible, profiteur d’orphelin, etc. D’ailleurs Alcibiade combattait en personne, risquant son propre corps ; ce qui n’est pas le cas des vrais homos durs, détesteurs (mais flatteurs) de femmes qui les « habillent » ou nous gouvernent ou les cavernent.
                      Ici la fauvette babillarde, une espèce de fauvette en France, qui cause gaiement et se promène et qui a énormément régressé vu la destruction croissante de son habitat, la forêt. Une rareté, donc, à protéger, pauvrette, pas fauve pour deux sous (sauf couleur).
                      https://www.youtube.com/watch?v=XWGSMfgR5NA


                    • Pauline pas Bismutée 25 juin 2023 17:09

                      @lisca (et eau mission)

                      Bonjour Lisca (et eau mission)

                      Je n’avais pas réalisé non plus que vous étiez une femme, ce qui dans ce contexte, n’a d’ailleurs pas d’importance..

                      ’J’ai bien aimé l’article sur la Birmanie, et celui d’avant aussi, de Pauline. Pourquoi plus rien depuis ?’

                      Ah ça c’est gentil, pour être honnête je me lasse un peu/beaucoup du site, j’y passe pour valider des articles et « voir » quelques gens sympas…j’essaie de rester optimiste en venant ici, le degré de bêtise est quelquefois proprement ahurissant (mon « article » sur les masques – « écrit » pendant le confinement en dix minutes a été pris au sérieux ! par une seule personne, mais c’est dire…)…bon, il vaut mieux en rire….mais la connerie et la malhonnêteté me gonflent, et apparemment je ne suis pas la seule.

                      Alors comme beaucoup, je regarde, plutôt de loin que de près, le truc s’enfoncer peu à peu, le niveau hanouna surfacer doucement mais sûrement, comme les mousses malsaines et nauséabondes qui flottent à la surface et au bord des eaux polluées….…et préfère me concentrer sur la « vraie » vie (intérieure ou extérieure, tout aussi intéressantes).. Mais merci à vous, je crois que le site garde un peu de dignité grâce à des échanges « normaux » (quoique qu’il y ait des colères nécessaires, absolument nécessaires !)...


                    • lisca lisca 30 juin 2023 16:33

                      Je viens de plusser tous les coms à une étoile, y compris les miens.

                      Ras le bol des moinsseurs en essaim de mouches qui prétendent pouvoir juger plus futé qu’eux, ou qui ne comprennent rien à rien.

                      Ah ça ne leur plaît pas, le deuxième degré !

                      Habitués qu’ils sont à se mirer dans les mares à canards, au son des coincoins flatteurs. smiley


                      • lisca lisca 30 juin 2023 16:45

                        Une autre petite info, sérieuse cette fois.

                        Il paraît que M. Carman n’était pas dans son bureau. Il serait arrivé de l’extérieur et, alerté par l’odeur de gaz, aurait tenté d’éteindre l’électricité, bien qu’il y ait un certain risque qu’une étincelle enflamme tout.

                        Par ailleurs, la dame professeur de couture aurait été retrouvée sous les décombres.

                        Cet incendie est bien mystérieux.

                        M. Carman était-il même à Paris ? J’espère que non, pour lui. Parce qu’il a des homonymes à New York.

                        Dans le doute, souhaitons-lui un très bon rétablissement.

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