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Accueil du site > Tribune Libre > Simplification administrative

Simplification administrative

Radarintelligent_11Le titre sonne comme un oxymoron. Comment associer en effet deux termes aussi opposés ? Eh bien, en accroissant le recours à la technologie et aux automatismes ont pensé nos responsables sous la pression des usagers excédés. La mise en oeuvre des radars automatiques en a été la première étape expérimentale. Ce n’est, bien entendu, pas par là que les usagers excédés auraient commencé mais soit... À peine l’infraction est-elle "captée" industriellement, qu’elle est traitée selon un processus très largement automatisé qui décode les immatriculations coupables, les indexe à la base de données des cartes grises, puis identifie le propriétaire et lui adresse, dans les cas les plus simples et en 48 heures, le PV à son domicile. Merci. Paiement par CB ou prélèvement autorisé. L’ État fait aussi bien que La Redoute. C’est en quelque sorte l’octroi automatisé.

Le stationnement interdit, autre vache sacrée du prélèvement autoritaire, digne successeur de la gabelle, était, lui , resté à la traîne. Avec de pitoyables résultats, puisque 50% environ des amendes étaient purement et simplement balancées au caniveau du recouvrement infructueux. Bref il fallait simplifier... C’est ce à quoi s’est employé l’efficace et communicant Jean-François Coppée, ministre délégué au Budget avec les encouragements de son manager de patron, Thierry Breton. La méthode est classique, et utilisée dans toutes les entreprises. Examen des meilleures pratiques, et économies d’échelle. Le constat était facile à faire : pourquoi ne pas utiliser la filière automatisée développée avec tellement de succès pour les radars ? Brillante idée, et les voilà partis. Les papillons vont désormais être robotisés. C’est à peine s’ils auront laissé une trace sur le pare-brise que la facture sera déjà à la maison. Pour les habitués, on parle même d’une autorisation de prélèvement automatique qui pourrait, pourquoi pas, tout à fait être sous-traitée à France Telecom . Dans le fatras des offres "simplifiées" des opérateurs télécom, il faut en effet reconnaître qu’un PV ou deux passerait tout à fait inaperçu. Tout bénéfice pour les préposés, qui pourront donc scanner à distance les coupables sans subir leur vindicte. Avec un petit bonus à la clé, on doit même très sérieusement améliorer le rendement et élargir la cible de clientèle y compris aux innocents... Pour contester, tout est bien sûr prévu. On paye d’abord, puis on discute.

La preuve est désormais faite que la technologie est bien plus efficace que la fonction publique pour permettre à l’ État d’ opérer ses ponctions. La même démarche va être employée pour préremplir les déclarations de revenus, dernière étape avant le prélèvement à la source que tout contribuable salarié appelle logiquement de ses voeux. Les fonctionnaires de Bercy ne sont bien entendu pas du même avis, et se sont employés à le faire savoir. Au point qu’une prime spéciale de 320 € leur a été allouée par nos ministres au titre du préjudice qu’ils vont subir en n’ayant plus à faire ce qu’ils ne faisaient pas. Petit coup d’extincteur, afin de parer au plus pressé, qui rappelle la prime de charbon à la SNCF...

Mais la complexité n’est jamais très loin quand il s’agit de simplifier les procédures administratives. Qu’on en juge. Avec 3 millions de contribuables courageux, j’ai réussi l’an passé à déclarer mes revenus vers 2 heures du matin une nuit de semaine. J’avais vaincu tous les obstacles, mis 3 à 5 fois plus de temps que d’ordinaire à me débarrasser de la corvée, mais j’avais le cœur léger. J’avais contribué à la simplification administrative, et investi pour l’avenir. Car on le sait, c’est le premier de série qui coûte toujours le plus cher. Que nenni ! Pas quand il s’agit de simplifier l’administration ! J’apprends que cette année, tout est à refaire, à commencer par la procédure d’inscription qui est très hautement sécurisée, au cas où un hacker s’aviserait de payer mes impôts à ma place. Et là, nos fonctionnaires ont redoublé d’ingéniosité pour simplifier. Il faut, en effet, pour obtenir un identificateur et le cookie qui va avec, lui-même vous donnant accès au tabernacle fiscal qui contient votre précieuse déclaration, il faut, vous dis-je, votre relevé d’impôts 2003, et votre déclaration 2004. Le relevé d’impôts, je l’ai retrouvé par miracle,, après l’avoir confondu avec les 3 avis d’imposition de la même année, qui ne me sont bien sûr d’aucune utilité pour obtenir mon revenu fiscal de référence. Cette information est strictement obligatoire pour montrer patte blanche. Mais la déclaration 2004 sur papier qui, elle, aurait dû me fournir mon numéro de télédéclarant, est bien entendu depuis longtemps à la poubelle, puisqu’étant justement télédéclarant, je ne l’ai pas utilisée... Au secours !

Me voici donc contraint de revenir à la déclaration sur papier dès le mois de février. Ce qui tombe bien, puisque justement elle sera pré-remplie, et donc simplifiée. Je vais donc gagner du temps. À moins qu’ayant télé-déclaré en 2005, on ne m’envoie plus de papiers, ce qui serait logique, et bon pour nos forêts. Mais j’en doute. Quant aux fonctionnaires des Impôts, gageons que nous n’avons pas fini de les payer à faire de coûteux projets de simplification, à nos frais. La place de numéro 1 européen du ratio coût de recouvrement / Impôts est en effet à ce prix.


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17 réactions à cet article    


  • (---.---.143.14) 22 décembre 2005 13:10

    Où peut-on trouver les chiffres officiels sur les fonctionnaires, en France et dans les principaux pays européens ?


    • Roues Libres 22 décembre 2005 20:37

      Source : le Cri des contribuables associés

      http://www.contribuables.org/2005/02/04/fonctionnaires-mais-combien-sont-ils-au-juste/

      Fonctionnaires : mais combien-sont-ils au juste ? (4 février 2005) En 1896, la France comptait 416 000 fonctionnaires pour trente-huit millions de Français. Et aujourd’hui ?

      Aujourd’hui, cinq millions de fonctionnaires administrent un pays de cinquante-huit millions d’habitants ! La machine s’est emballée.

      L’État, déjà incapable de réduire le nombre de ses agents, n’est

      même plus en mesure de les compter.


    • Roues Libres 22 décembre 2005 20:30

      Excellent ! Je patouille moi-même pour obtenir mon numéro de télédéclarant ! Quant aux radars, tout le monde sait maintenat à quoi ils servent. Il aurait été sans doute moins couteux de conserver la vignette, une part non négligeable des 500 millions d’€ de recettes prévues avec les 1000 radars étant consacrés à l’enrichissement de la société Atos Origin qui s’empiffre en les entretenant.


      • Arakneo (---.---.150.89) 22 décembre 2005 20:38

        Bonjour,

        Juste une petite info, la prime de charbon n’existe plus à la SNCF depuis la fin des trains à vapeur. Il est vrai qu’un mail a été largement ventilé par l’association ETHIC avec des références soi-disant publiées dans « La Vie du rail » (magazine qui, en décembre, a fait un dossier intitulé « Quand Internet sert à diffamer les cheminots » pour démonter toutes les inepties de ce mail et répéter qu’il n’a jamais publié ces fausses données).

        Avoir une dent contre la Fonction publique (soit-dit en passant les cheminots ne sont pas fonctionnaires) est votre droit dans un pays libre mais publier de fausses informations sans en vérifier la véracité, c’est déjà du mauvais journalisme et c’est surtout de la diffamation.

        Cordialement !

        Stéphane VARDON


        • Roues Libres Claude DP 22 décembre 2005 21:33

          Merci pour l’info. Pardonnez la facilité qui se voulait humoristique. Pour une fois que les cheminots prêtent un peu à rire plutôt qu’à pleurer, avouez que ça valait bien une ...diffamation. Quant au fond rien de personnel contre les fonctionnaires bien entendu. Mais 2000 milliards de dettes publiques il faudra bien s’y attaquer un jour, en simplifiant en profondeur la machinerie lourde et lente de l’ Etat avec ou sans l’accord de ses serviteurs zélés ! Très cordialement


        • (---.---.121.237) 22 décembre 2005 21:45

          Pas les chiffres de ce site, les chiffres officiels


          • (---.---.121.237) 22 décembre 2005 21:49

            Pas les chiffres d’un site partisan mais les chiffres officiels


            • Roues Libres 22 décembre 2005 21:56

              L’emploi public

              Les effectifs de la fonction publique ont progressé de 3 % entre 1999 et 2001

              Les dépenses de personnel des administrations représentaient 13,7 % du PIB français en 2002. En Europe, les administrations territoriales sont souvent plus importantes que les nationales, ce qui n’est pas le cas pour la France.

              La fonction publique comptait 5,7 millions d’agents au 31 décembre 2001, si on considère qu’une administration « se caractérise par des ressources provenant de prélèvements obligatoires », comme le souligne l’Observatoire de l’emploi public dès l’introduction de son dernier rapport annuel. En retenant la définition juridique habituelle, le nombre d’agents est ramené à 5,047 millions, soit 22 % des effectifs salariés du pays. Cette estimation progresse de 3,2 % par rapport à 1999.

              L’emploi public ne se confond pas avec le statut de fonctionnaire, qui concerne 3,9 millions de personnes, les autres agents étant non titulaires (854 000 cas), ou recrutés dans le cadre des emplois aidés (289 500).

              Les trois fonctions publiques (État, territoriale et hospitalière) n’ont pas évolué au même rythme. Les effectifs des hôpitaux ont progressé de 0,9 % (887 000 personnes), ceux des communes, départements, régions ont augmenté de 5,4 % (1 551 000), suivant le rythme rapide qui les caractérise (+ 38 % depuis 1980).

              L’État reste le premier employeur (2 601 000 agents), en hausse de 2,4 % par rapport à 1999, toujours selon l’Observatoire, dont l’estimation diffère légèrement de celle de l’Insee (2 314 000 salariés).

              Les hommes restent légèrement plus nombreux (50,2 %) et les agents de catégorie A représentent 43,1 % des effectifs.

              Selon le rapporteur de la loi de finances 2004 au Sénat, les dépenses de personnel de toutes les administrations représentaient 13,7 % du PIB en 2002, soit 208 milliards d’euros. Pour l’État, les données les plus récentes évaluent les charges de personnel à 120,7 milliards d’euros en 2003, soit 44,1 % des dépenses du budget général. Cette année, le budget prévoit la suppression de 4 561 postes, soit un total de 2,2 millions d’euros équivalent temps plein (temps partiels et emplois temporaires ne sont pas comptés dans cette ligne budgétaire).

              L’Éducation nationale reste la première administration de l’État, avec 1 224 000 agents en 2001, en hausse de 1,3 %. Les enseignants représentent 42,4 % des effectifs. L’armée compte 321 505 militaires, auxquels il faut ajouter 90 900 civils et ouvriers d’État, également sur les rôles du ministère de la Défense. L’Économie, les Finances et l’Industrie disposent de 200 000 salariés, en léger recul (-0,4 %), alors que l’Intérieur progresse (+ 0,6 %) avec 169 000 salariés.

              La Corse en tête La répartition régionale reste relativement stable, avec les mêmes caractéristiques : la Corse, qui donne beaucoup de fonctionnaires à la République, en consomme aussi un grand nombre, eu égard à sa population. Le ratio agents d’État/habitants y est le plus élevé de France, à 5,1 %, devant l’Île-de-France (4,4 %), où se trouvent pourtant toutes les administrations centrales. La moyenne nationale se situe à 3,7 %. Ce record corse était déjà établi en 1990, et le différentiel s’est amplifié pendant la décennie. À l’inverse, les Pays de la Loire ont le taux d’administration le plus faible (2,7 %). Seule la Bretagne affiche un léger recul en dix ans, et l’Alsace reste quasi stable.

              Les comparaisons avec les autres pays de l’Union européenne restent toujours aussi délicates, ainsi que le regrettent les rapporteurs du budget de l’État depuis plusieurs années, en raison des définitions variables du périmètre de la fonction publique. La France se distingue par la prépondérance de son administration d’État sur la fonction publique territoriale, bien révélatrice de la tradition centralisatrice de l’Hexagone, alors que dans nombre d’autres pays, les agents publics des régions et des communes sont plus nombreux. Ainsi l’Autriche, la Finlande, l’Allemagne, la Hongrie, la Pologne, l’Espagne, se trouvent dans cette situation.

              Dans plusieurs de ces pays, le nombre d’agents de l’État a diminué depuis 1997 : - 29 % en Italie, - 5 % en Allemagne, - 4 % en Suède, si l’on en croit l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) qui par ailleurs indique aussi une réduction des effectifs pour la France ! Ces réductions du poids du pouvoir central s’accompagnent toutefois presque toujours d’une hausse de la fonction publique territoriale, généralisée à l’ensemble de l’Europe, la progression la plus forte se situant en Espagne, avec 46 % de personnel supplémentaire dans les gouvernements régionaux par rapport à 1990. Par rapport à cette date, seule la Finlande a réduit ses effectifs régionaux.


            • Roues Libres 22 décembre 2005 22:05

              Ce lien pour accéder au rapport du Sénat sur l’évolution des effectifs de la fonction publique. Histoire de se faire peur...La charge des retraites dans le budget de l’état sera de 52 milliards d’€ en 2020, ce qui fera peser sur les salariés du privé une double charge. Celle de la retraite de leurs ainés du privé au travers de leurs cotisations retarites ainsi que celle des fonctionnaires au travers de l’impôt. La double peine est de retour. Courage les jeunes ! Pour les cheminots pas de problème leur retraite reste à 50 ans. Sauf erreur. Pardon d’avance s’il y a diffamation.

              http://www.senat.fr/rap/l04-074-321/l04-074-32110.html


              • Emile Red (---.---.77.239) 23 décembre 2005 08:48

                Et ça continue...

                Seuls les conducteurs grandes lignes ont la retraite à 50 ans, les cadres supérieurs l’ont à 55 ans et les non cadres sont au régime du privé (60 ans et +). Ahhh !!! Rumeur quand tu nous tiens !!!

                D’autre part sachez que les cheminots ne sont pas fonctionnaires, qu’ils cotisent en moyenne plus que dans le privé sans droit supplémentaire sinon un suivi médical plus important (sécurité oblige).

                D’ailleurs à ce sujet j’aimerai savoir ce qu’on apelle « fonction publique », c’est très vague et j’ai l’impression après calcul qu’on (le sénat majoritairement UMP) fait dire aux chiffres n’importe quoi.

                Ex : Est-ce que les médecins libéraux tenant une consultation dans un hopital public sont comptés hors ou dans la fonction publique ? Idem pour les professeurs en disponibilité, ou « prétés » aux écoles privées ?


              • Krakowsky (---.---.66.131) 23 décembre 2005 09:07

                bonjour je suis fonctionnaire territorial et je voudrais faire une petite précision sur les retraites. les agents des collectivités locales cotisent pour la Caisse retraites des agents des collectivités locales. cette caisse est excédentaire ce qui est rare dans notre pays, et de ce fait, et en application d’un principe de solidarité, elle finance des caisses déficitaires comme celle des mines, des cheminots (qui ne sont pas des fonctionnaires) des caisses agricoles ... ect... Ni la CNRACL qui concerne la fonction publique territoriale , ni la caisse des pensions civiles et militaires ne sont déficitaires mais au contraires participent à l’équilibre de celles qui le sont. Ce ne sera donc pas au agents du privé de payer les retriates des fonctionnaires mais depuis des années déjà ce sont les fonctionnaires qui co financent les retraites du privé. Merci de m’avoir lu


              • Philippe (---.---.93.175) 23 décembre 2005 09:35

                http://www.ifrap.org/ je crois que cet article regroupe toutes ces rumeurs. Ne connaissant pas le fonctionnement de la sncf, je te laisse les réfuter.


                • Philippe (---.---.93.175) 23 décembre 2005 09:37

                  (Emile Red )


                • Emile Red (---.---.77.239) 23 décembre 2005 12:15

                  Voilà l’ifrap (peut on dire indépendant, eux ne le disent pas ?) :

                  « L’iFRAP, Institut français pour la recherche sur les administrations publiques, est l’un des premiers think tank (laboratoire d’idées) privé français, par son ancienneté (1985) et son rayonnement(je me la pète grave) ».

                  Voilà ses sources :

                  « L’iFRAP publie dans son magazine Société civile des enquêtes, analyses, interviews et statistiques régulièrement citées par les médias ».

                  Voilà le président :

                  « Bernard Zimmern, chef d’entreprise, polytechnicien et énarque ».

                  Voilà ce qu’on peut trouver aussi (2001) :

                  Président : Bernard Zimmern

                  8, rue d’Uzès, 75002 Paris Tél : 01.42.33.29.15 Fax : 01.40.26.47.19 Abonnement annuel : 400 F

                  Voilà aussi quelques réactions : Ici Ici (lire l’ensemble) (par l’intermédiaire du Figaro)

                  Les amis de l’Ifrap (ou peut-être l’ifrap) :

                  leur page de liens très interessants

                  Voilà la liste des bibles de l’IFRAP :

                  notez les noms sans ambiguïtés

                  Une petite touche de sourire : Une jolie réponse aux excés des corbeaux

                  Ayez la patience de regarder les liens sur l’IFRAP dans Google, vous serez renseignés de qui sont-ils, ce qu’ils pronent en semblant lutter contre la gaspillage de l’état. L’ifrap a beaucoup d’amis qui avancent tous dans un sens unique.

                  J’ai trouvé aussi que le président ne vivez plus en France mais aux USA, preuve supplémentaire de la crédibilité sur les sujets Français.


                • (---.---.120.235) 23 décembre 2005 19:53

                  En complément, l’idéologie sous adjacente à ces think thank américains, c’est la volonté de limiter les prérogatives de l’Etat dans l’optique d’avoir des états nationaux moins forts et absents de la sphère économique.


                • Roues Libres 23 décembre 2005 11:13

                  Il est assez normal que la Caisse de Retraite des Collectivités Locales soit excédentaire. La progression continue des effectifs, constitués pour l’essentiel d’agents jeunes, permet à la masse des cotisants de couvrir les retraites des plus vieux ou de participer aux déficits des retraités agents des services publics, dont la SNCF. (Je note en passant qu’un conducteur grande ligne se retire 10 ans plus tôt qu’un Commandant de bord long-courrier à Air France...) Il n’en est pas moins vrai que les Caisses de retraite des agents des collectivités locales seront un jour aussi déficitaires que les autres. Et que l’impôt devra pourvoir à leur rééquilibrage etc...


                  • (---.---.70.24) 24 décembre 2005 13:32

                    Marrant comme un post amusant sur la simplification administrative est immédiatement détourné sur le thème plus générique de la fonction publique ou para-publique. Et par extension de la nécessaire réduction des effectifs du mammouth. Il est vrai que ceci permettrait celà...Par quoi on commence ?

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