Sous prétexte de lutte contre le terrorisme, l’Etat socialiste impose sa dictature !
Les barreaux européens condamnent le projet de loi relatif à la lutte contre le terrorisme
Dans une « déclaration de Barcelone », les barreaux européens condamnent le projet de loi relatif à la lutte contre le crime organisé, le terrorisme et leur financement pointant
« les atteintes disproportionnées aux libertés individuelles ».
Les Conseils et Ordres d’avocats signataires estiment que ce texte va entraîner
« la poursuite indéfinie des mesures d’exception adoptées après les attentats de Paris de novembre 2015 ». « Lesdites mesures exceptionnelles entraînent une restriction des garanties des citoyensdevant la possibilité d’actions discrétionnaires des forces de sécurité, sans contrôle des institutions indépendantes. La simple dénonciation ou suspicion sera considérée comme suffisante pour réaliser des contrôle dans les lieux publics, des perquisitions ainsi que des auditions hors la présence d’un avocat pendant les 4 premières heures incluant les mineurs de plus de 13 ans ».
Dans un communiqué, le barreau de Paris souligne que
« pour la première fois dans l’histoire de la justice en Europe, l’ensemble des barreaux européens, (…) a pointé la dérive liberticide d’un État membre, la France pays des droits de l’homme en l’occurrence ».
D’ailleurs, cette dérive liberticide se voit de plus en plus dans le traitement des affaires médiatiques et judiciaires ainsi que dans la violence ou le harcèlement des forces de police vis à vis des Français qui ne pensent pas comme le pouvoir socialiste. La récente arrestation du Général Piquemal à Calais lors d’une manifestation pacifique en est un parfait exemple… En effet, il n’est pas bon aujourd’hui de crier son ras-le-bol face aux multiples agressions commises par les migrants : les victimes sont donc fermement invitées à se taire sous peine d’être accusées de racistes ! Dans le même temps, les antifas et autres extrêmistes de gauche peuvent continuer d’agresser une partie de la population ou dégrader sauvagement les centre-villes, comme à Rennes, en toute impunité ou presque…
Dans ce contexte tendu qui rappelle les sombres heures de notre histoire, l’État justifie les contrôles au faciès, lesquels vont à l’encontre de la jurisprudence française et internationale.
C’était pourtant l’une des mesures phares de la campagne de François Hollande en 2012. Avant son élection, le futur chef de l’État s’était engagé à lutter contre les discriminations dans les contrôles d’identité. L’engagement numéro 30 de son programme pour rétablir la justice : « je lutterai contre le délit de faciès dans les contrôles d’identité par une procédure respectueuse des citoyens, et contre toute discrimination à l’embauche et au logement. Je combattrai en permanence le racisme et l’antisémitisme », avait-il écrit.
Cinq ans plus tard, un mémo dévoilé par Mediapart explique qu’il est légitime de ne contrôler que les Noirs et les Arabes au motif qu’ils ont plus de chances d’être étrangers et donc sans papiers. Mais pour les migrants, ces clandestins hors la loi, l’Etat préfère fermer les yeux pour ne pas nourrir la colère des oubliés de la France, ces Français qui se sentent patriotes !
Avec la prolongation de l’état d’urgence en France et ses arrestations arbitraires, l’étape suivante sera, à n’en point douter, l’extension des mesures d’assignation à résidence des personnes suspectées de ne pas penser « socialiste », le blocage systématique de sites d’information politiquement incorrects sur Internet… soit un socle de mesures qui définit les fondements même de toute dictature !
Sources :
https://www.mediapart.fr/journal/france/250216/l-etat-justifie-les-controles-au-facies
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