TAXES, Taxes, taxes, …
Un autre manière d’augmenter les impôts et la pression fiscale, c’est de passer par les taxes !
S’il y a bien un domaine où “la bande à Flamby“ excelle, c’est bien celui des impositions et taxations.
Les nouvelles taxes arrivent :
Deux taxes supplémentaires de 0,02 € sur le gas-oil et une autre dont je n’ai pas le détail.
Une augmentation de la taxe de séjour pour l’hôtellerie.
Une taxe de transit sur le périphérique parisien.
Une extension de la taxe de la redevance télévisée.
Je ne parle même pas de ma hausse de la taxe d’habitation et des impôts directs.
Les hausses aussi :
Deux nouvelles hausses du prix du gaz en prévision, de la poste, et il parait qu’il y a dans les cartons des hausses pour l’électricité !
Toujours la même chose, on impose et l’on taxe à tout va, en reprenant le principe consistant à élargir la base des impôts afin que cela rapporte plus et passe mieux !
Vous souvenez-vous, il y a un an, des interventions de nos gouvernants et politiques, la main sur le cœur, pour dire que l’on avait atteint des niveaux d’imposition insupportables et qu’il n’y aurait plus d’augmentation des impôts (ou taxes) ?
Afin de mieux supporter, on en rajoute toujours !
Car ne croyez pas que cela ne vous touchera pas, toutes les hausses sont répercutés sur les prix de revient (vous me direz, cela va relancer l’inflation), mais voilà, les impôts et taxes ne sont pas pris en compte dans le calcul de l’inflation (c’est d’ailleurs probablement pour ça qu’elle n’augmente pas !).
En quelques années, notre pouvoir d’achat a baissé en moyenne de 1 500 € en 5 ans, c’est à dire que nous sommes retombés à celui de 2009 avec une inflation entre les deux dates de + 6,9 %, une hausse moyenne des salaires de 4 % et, par dessus, les impôts de 2014 (car ils ne sont pas compris dans le calcul de l’inflation) !
ET, je vous parie que d’ici peu, une nouvelle taxe va nous tomber dessus. Pas une des multiples taxes et/ou hausses partielles qu’ils nous pondent régulièrement pour faire croire que rien ne bouge et en pensant que personne ne réagira.
Non, une vraie et bonne, du type + 2 % de TVA (vous savez cette taxe insupportable que Sarkozy avait déjà fait voter et qu’ils se sont empressés de supprimer dès qu’ils sont arrivés au pouvoir en énonçant toutes les bonnes raisons pour lesquelles il fallait qu’elle soit supprimée), ou autre, car à ce niveau, ils ne manquent pas d’imagination !
Y en à marre !
34 réactions à cet article
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Un autre manière d’augmenter les impôts et la pression fiscale
Car bien sur, il n’y a d’autre but à cette augmentation que d’augmenter les impôts etc, etc.
Et votre conclusion.... « Y en a marre ».. dites, vous l’avez piqué à Morice ?
Bref, vous aurez compris, votre bouse n’est pas un article mais une charge gratuite et maladroite contre le gvt en place.
Comme s’il était nécessaire d’écrire pareille merde pour se farcir l’huître de l’Elysée ;-
J’en conclu donc que vous aimez les huitres farcies et que vous avez manifestement du mal pousser un raisonnement au delà de la cause en vous concentrant sur un but fictif.
Bon, peut-être qu’il vous reste une bonne marge d’évolution, comme disent certains. -
Te fatigues pas mon pépère.
C’est pas moi qui dit qu’on augmente les impôts dans le seul but d’augmenter les impôts.
C’est toi dans tes premières lignes.Et pour le y’en a marre ?
T’es comme morice, au bout de la 2000ème fois t’espères un changement ?La prochaine fois je te suggère le « c’est pas gentil ça mon pépère ».
Je suis sur que ça va révolutionner la contestation. -
J’en conclu donc que vous aimez les huitres farcies et que vous avez manifestement du mal pousser un raisonnement au delà de la cause réelle en vous concentrant sur un but fictif.
Bon, peut-être qu’il vous reste une bonne marge d’évolution, comme disent certains.Ah ? Et où est-ce que je dis ça ?Là c’est plus grave, c’est un problème de capacité d’analyse et de lecture, mais il parait que ça se soigne bien. -
Je suis d’accord avec Bourrico, cet article est un peu ridicule.
1. Les automobilistes ne payent pas ce qu’ils coûtent. Deux solutions :- Privatiser et d’installer des péages sur l’ensemble de 100% des routes (périphs, nationales, mais aussi rues dans les villes)- Taxer pour financer les infrastructures2. La taxe sur l’hôtellerie est absolument minime comparée aux prix des hôtels : 3,50€ pour un palace à plus de 1000€ la nuit.... Pas de quoi percer le panier de Rotchild...3. La taxe d’habitation et votée par les collectivités territoriales, pas par le gouvernement.4. La Poste est une entreprise privée, c’est elle qui décide de ses tarifs, pas le gouvernement.5. La hausse du Gaz est largement inférieure à ce qu’elle devrait être. Le gouvernement intervient pour empêcher le prix du marché de s’imposer aux français (mais ça ne saurait tarder)6. Dire que le pouvoir d’achat baisse à cause des impôts : c’est se foutre de la gueule du monde. Les salaires baissent, les dépenses augmentent (téléphones, ordinateurs, assurances santés/retraites privées, etc.). Les impôts représentent une fraction infime de la baisse du pouvoir d’achat.Bref, si vous payez beaucoup d’impôt, c’est que vous gagnez beaucoup d’argent. Alors arrêtez de vous plaindre, merci. -
Vous dites n’importe quoi. Je comprend que vous soyez d’accord avec Bourrico.
Je pense que vous êtes dans la bonne catégorie. -
La politique de la tirelire, des « pressions économiques », des « crises économiques préfabriquées » et des « réformettes-bricolages » qui terrorisent le peuple mais épargnent les milliardaires-accumulateurs de richesses nationales... C’est fini !
Les promesses non tenues, les contradictions permanentes et les attitudes obstinées des responsables Gauche-Droite ont obligé le peuple français à sauter le Rubicon des cons de la connerie politicienne ; le « troupeau » n’étant plus dans l’enclos délimité par le Pendule, il est désormais dans l’immensité des prés et pâturages où il n’est pas aisé de le « rassembler » !
Moi berger... http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/moi-president-de-droite-de-gauche-157600#forum4134843
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Pourquoi augmentent t-ils les impôts ?
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Parce-que il y à toujours de moins en moins d’état.
Le monde le la finance à pris le pouvoir sur les hommes politiques et cela sera pire encore avec le grand marché transatlantique. Les multinationales feront appel à des tribunaux supra-nationaux et pourront ainsi faire condamner les états à leur guise !
Notre constitution nous ne protège plus et encore moins la constitution européenne.
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Adoptées en 1998 et 2008, les deux premières réformes de l’imposition des entreprises leur ont apporté des allégements fiscaux massifs. La troisième de ces réformes, en cours d’élaboration, prévoit une baisse de la contribution des entreprises aux budgets publics. Seule une correction constitutionnelle permettra d’arrêter ce mécanisme.
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:ncjNEHNBKoAJ:www.roger-nordmann.ch/articles/2014.02.04_Stopper_la_machine_infernale_des_cadea ux_fiscaux_aux_multinationales.pdf+&cd=4&hl=fr&ct=clnk&gl=fr
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La constitution européenne à été rédigé de manière à ce que il est quasiment impossible à la modifier.
http://www.youtube.com/watch?v=UPpXKtSJcRI
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Les stratégies fiscales élaborées par ces experts internationaux restent très difficiles à connaître en raison du manque de transparence qui caractérise les paradis fiscaux. Mais elles reposent sur un principe général simple : faire peser le plus de charges (marketing, conseil, management…) dans le pays à forte imposition afin de réduire au maximum les profits susceptibles d’être taxés sur ce territoire et rapatrier les gros profits dans les zones à fiscalité très faible ou nulle.Quel est le résultat de cette politique ?
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Les milliardaires sont plus nombreux et plus riches en 2014
Le classement Forbes des milliardaires de la planète met en évidence que cette crise financière qui durée depuis 2008 à bien épargné les riches.
Le nombre d’ultra-riches est en effet en hausse de 15,3% et ils sont désormais 1.645 à faire partie de ce classement, un record absolu depuis sa création il y a 27 ans. Pour l’anecdote, ils n’étaient plus que 793 en 2009 en pleine débâcle financière.
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C’est la preuve irréfutable que cette dite « crise » est volontairement imposé aux états européens pour spolier le bien des travailleurs et de la classe moyenne. Les grandes entreprises contribuent de moins en moins à l’effort général pour financer notamment les routes, les écoles, la recherche, les hospitalité !-
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Est-ce une réponse au fait que le gouvernement n’arrête pas d’augmenter les impôts ?
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Vous ecrivez une contre vérité sur lequel est fondé votre démonstration, je vous cite :
« Pourquoi augmentent t-ils les impôts ?
.Parce-que il y à toujours de moins en moins d’état. »le nombre de fonctionnaires a augmenté depuis 30 ans ( contrairement à ce qu’on entend)
1998 = 4 385 826 fonctionnaires
2005 = 5 179 881
2011 = 5 493 900
2012 = 5 509 000
2013 = ?le pays n’est pas prêt d’être réformé, 1 salarié sur 5 est payé par nos impots !
A la question "Pourquoi augmentent t-ils les impôts ? je répondrai, parcequ’il faut bien les payer ces braves gens !
Bah ! ma foi ! c’est ’l jeu, ma pov Lucette !! :
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Et en plus, plus de fonctionnaires ne veut pas dire qu’un état fonctionne mieux !
Il y les utiles et les sangsue (qui suent très peu). -
Cher Monsieur « Loyeber »,
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« Est-ce une réponse au fait que le gouvernement n’arrête pas d’augmenter les impôts ? »
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C’est avec très grand plaisir que je vous répond à votre question !
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L’état français comme l’UE ont vendu ses citoyens au monde de la finance !
.
D’arrière la mondialisation, programme américain, donc toutes les états européen se soumettant (constitution européenne oblige), se cache en réalité la privatisation des biens et services publics.Puis les multinationales grâce à leur influence sur les hommes politique contribuent de moins en moins à effort général pour financer, les routes, les écoles, la recherche, les hôpitaux, etc.
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L’état protège de moins en moins ses citoyens (l’intérêt général) et de plus en plus l’intérêt des grandes groupes (industrielles et financier) privées.
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Ceci se traduit avec une pression accru sur les petits ... c’est à dire les citoyens, les chômeurs, les malades, les PME et les toutes petites entreprises.
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La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est un impôt majeur pour les caisses de l’État : elle devrait représenter près de 48% des recettes brutes de l’État en 2013. Il s’agit d’un impôt indirect supporté par les consommateurs, cela signifié que ce sont les consommateurs qui contribuent à cet impôt.
http://www.comptespublics.fr/index.php?page=taxe-sur-la-valeur-ajoutee
.
De 1954 à 1966, seules les grandes entreprises étaient concernées par la TVA dont le taux ordinaire s’élevait alors à 16,85%. En 1966, la loi n° 66-10 du 6 janvier 1966 étendit le champ d’application de la TVA à l’ensemble des acteurs économiques du pays (commerçants, artisans, agriculteurs, prestataires de service) à l’exception de quelques secteurs économiques (voir ci-dessous).
http://www.comptespublics.fr/index.php?page=taxe-sur-la-valeur-ajoutee
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Depuis 1983 le taux de la la TVA est en croissance permanente !voire le graphique :
Évolution des recettes brutes de TVA
http://www.comptespublics.fr/index.php?page=taxe-sur-la-valeur-ajoutee
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L’historique de la crise de 2008 a eu pour effet de poser la question essentielle par le plus grand nombre : Comment se fait-il que quand une banque commet des erreurs, ce soit le contribuable qui paye ? En fait ce qu’ils appellent la crise est une grande escroquerie ... on nous fait toujours payer pour les pertes des banques privées ou plutôt des casinos privées qui ont mélange notre argent, celui produit par le travail, avec l’argent virtuel (paquet financier toxiques, etc.).
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Dans ce tsunami financier provoqué par les grandes banques commerciales irresponsables, un fonds spécial européen, le MES (ancien FESF), Mécanisme Européen de Stabilité, a été mis en place en 2011 pour la zone euro, pour « sauver » les pays européens en situation de faillite parce que les investisseurs et toujours les mêmes, les grands établissements financiers, spéculaient contre la dette souveraine de ces pays.
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Les financiers ont profité donc une nouvelle fois de leurs propres erreurs. Là encore, c’est le contribuable qui paye in fine, encore et toujours, puisque chaque pays européen contribue au sein de la zone euro au plan du Mécanisme Européen de Stabilité, le mécanisme financier de « sauvetage » des pays européens attaqués sur leur dette souveraine.
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En France nous payons des impôts sur les revenues (50 milliards d’euros / ans) qui partent en fumé chez les banques privées par intermédiaire des intérêts que nous payons pour la dette publique !
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C’est inacceptable que nous payons nos impôts pour engraisser les marchés privées c’est à dire le monde de la finance !
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Cette crise qui nous est imposé par la TROÏKA est une énorme escroquerie !
Car en cas de réel crise tout le monde devrait être perdant, mais étrangement ce n’est pas le cas !
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Les milliardaires sont plus nombreux et plus riches en 2014
Le classement Forbes des milliardaires de la planète met en évidence que cette crise financière qui durée depuis 2008 à bien épargné les riches.
Le nombre d’ultra-riches est en effet en hausse de 15,3% et ils sont désormais 1.645 à faire partie de ce classement, un record absolu depuis sa création il y a 27 ans. Pour l’anecdote, ils n’étaient plus que 793 en 2009 en pleine débâcle financière.
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C’est la preuve irréfutable que cette dite « crise » est volontairement imposé aux états européens pour spolier le bien des travailleurs et de la classe moyenne. Les grandes entreprises contribuent de moins en moins à l’effort général pour financer notamment les routes, les écoles, la recherche, les hospitalité !
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A 33 %, le taux d’impôt sur les bénéfices n’est payé que par les petits commerçants, tandis qu’il tombe à 8 % en moyenne pour les entreprises du CAC 40. http://www.francesoir.fr/comment-grandes-entreprises-echappent-l%E2%80%99impot-60965.html.
En France, plus les entreprises sont grosses, moins elles sont taxées. Officiellement, le taux d’impôt sur les bénéfices des sociétés est en effet de 33 %. En réalité, il ne concerne que les plus petits des artisans et des commerçants. A l’autre bout de l’échelle, on trouve les multinationales du CAC 40 : ces quarante entreprises françaises cotées en Bourse, les plus importantes du pays, qui payent en moyenne 8 % d’impôt sur leurs bénéfices, selon un rapport du Conseil des prélèvements obligatoires publié .
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Un chiffre qui ne cesse d’ailleurs de se réduire, année après année, grâce à l’action conjointe des spécialistes de « l’optimisation fiscale » et à la bienveillance des gouvernements de droite et de gauche.
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En même temps l’état français augmente la pression sur sa population notamment à travers l’URSSAF !
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Curieusement, le taux d’imposition des entreprises diminue régulièrement à mesure que leur taille augmente, comme vient de le révéler le magazine Challenge’s. Le taux de 33 % n’est payé que par les gros bataillons d’entreprises individuelles ou limitées au cercle familial. Dès qu’une PME se constitue, avec un conseiller fiscal, voire un simple comptable qui occupe la fonction, c’est fini. En effet, le taux d’imposition des petites entreprises, celles qui emploient entre 20 et 50 salariés, tombe déjà à 23 %. Et ainsi de suite (voir illustration), jusqu’aux plus grosses boîtes. Ceci pour arriver à un taux moyen de l’impôt sur les sociétés de 18 %, celui que payent effectivement les grosses PME (entre 500 et 2.000 salariés). http://www.francesoir.fr/comment-grandes-entreprises-echappent-l%E2%80%99impot-60965.html.
Et comme montre l’exemple de l’entreprise Amazon qui devrait être imposé à un taux de 12% (en Irlande) ne paye en réalité même pas 2% !!!!
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Les grandes entreprises jouent aussi avec la déductibilité des intérêts d’emprunts, eux aussi non plafonnés, le crédit d’impôt recherche, très généreux et mal contrôlé. Mais l’essentiel de l’optimisation fiscale réside, pour les multinationales, dans la possibilité de faire apparaître les profits dans les pays où ils sont le moins imposés. Il suffit de jouer sur les prix d’achats internes entre les filiales étrangères et la maison mère. Une pratique déjà difficile à contrôler lorsqu’il s’agit de produits industriels, pratiquement impossible lorsqu’on parle de brevets, de droits, de logiciels, de conseils de gestion, etc.
Les gouvernements auraient pu mieux encadrer ces pratiques, faute de les empêcher. Mais, en dépit des déclarations officielles, ils ont toujours fermé les yeux. Avec en tête l’idée de favoriser la création de champions nationaux (même si beaucoup d’entre eux, comme Renault-Nissan, EADS et autres, ont leur siège social en Hollande !) et de limiter les délocalisations..
Sur ce plan, la stratégie suivie par tous les gouvernements s’est montrée efficace puisque la France dispose, proportionnellement, de plus d’entreprises multinationales que les autres pays développés, y compris l’Allemagne. Mais la contrepartie est lourde : moins de recettes pour l’Etat – donc des déficits accrus – et un tissu de PME et d’entreprises de taille moyenne, bien moins performant que celui de notre puissant voisin. Donc moins d’exportations. C’est une des tâches du nouveau gouvernement : rééquilibrer un système absurde de redistribution fiscale à l’envers, où les petits payent plus que les gros..
L’article 63 du TFUE rend possible les délocalisations
https://www.youtube.com/watch?v=4kKk0jrlX44.
La constitution européenne est l’outil d’excellence du monde de la finance pour arriver à ses fins. Cette constitution réduit le pouvoir des hommes politiques des états européens qui ne pourront plus se défendre contre les délocalisation, les restructurations des très grandes entreprises abusives, qui ont pour objectif de réduire le nombre des employées pour que le bénéfice des actionnaires augmente ! Nous avons également perdu le contrôle sur notre monnaie du à l’abandon du Franc ! La constitution européenne interdit aux états d’intervenir pour aider financièrement les entreprises.
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L’article 123 du traité de Lisbonne
L’article 123 du Traité de Lisbonne stipule que : « 1. Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres ; l’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales des instruments de leur dette est également interdite »
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A L’UPR nous nous battons pour remédier à cet déséquilibre grandissant entre le monde privée (multinationales et banques privées) et les services publics, services qui sont de plus en plus absorbé par le monde privée. On laisse les parties non rentables à l’état français donc à la charge des contribuables et les entreprises privées s’appropriant les parties rentables comme par exemple les autoroutes qui dégagent des belles marges ....
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http://www.upr.fr/wp-content/uploads/presidentielles/Programme-Liberation-Nationale.pdf
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Y’en a marre des éternels râleurs.
Faites donc des propositions ! Pour nous sortir de la merde, toutes les idées sont à explorer...
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Voici notre proposition :
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Le Programme politique de l’UPR -
Y’en a marre des éternels râleurs.
Faites donc des propositions ! Pour nous sortir de la merde, toutes les idées sont à explorer...
C’est très simple ! En 30 ans 200 milliards d’€ ont glissé du travail vers la remuneration des
actionnaires ,en réintroduisant cette somme là où elle devrait être:plus de trou de la sécu,plus de
problèmes de retraite...
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Commencer par cesser de dépenser l’argent que l’on n’a pas !
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Bonjour,
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L’état à vendu ses citoyens au monde de la finance !
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D’arrière la mondialisation, programme américain, donc toutes les états européen se soumettant (constitution européenne oblige), se cache en réalité la privatisation des biens et services publics.Puis les multinationales grâce à leur influence sur les hommes politique contribuent de moins en moins à effort général pour financer, les routes, les écoles, la recherche, les hôpitaux, etc.
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L’état protège de moins en moins ses citoyens (l’intérêt général) et de plus en plus l’intérêt des grandes groupes (industrielles et financier) privées.
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Ceci se traduit avec une pression accru sur les petits ... c’est à dire les citoyens, les chômeurs, les malades, les PME et les toutes petites entreprises.
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La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est un impôt majeur pour les caisses de l’État : elle devrait représenter près de 48% des recettes brutes de l’État en 2013. Il s’agit d’un impôt indirect supporté par les consommateurs, cela signifié que ce sont les consommateurs qui contribuent à cet impôt.
http://www.comptespublics.fr/index.php?page=taxe-sur-la-valeur-ajoutee
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De 1954 à 1966, seules les grandes entreprises étaient concernées par la TVA dont le taux ordinaire s’élevait alors à 16,85%. En 1966, la loi n° 66-10 du 6 janvier 1966 étendit le champ d’application de la TVA à l’ensemble des acteurs économiques du pays (commerçants, artisans, agriculteurs, prestataires de service) à l’exception de quelques secteurs économiques (voir ci-dessous).
http://www.comptespublics.fr/index.php?page=taxe-sur-la-valeur-ajoutee
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Depuis 1983 le taux de la la TVA est en croissance permanente !voire le graphique :
Évolution des recettes brutes de TVA
http://www.comptespublics.fr/index.php?page=taxe-sur-la-valeur-ajoutee
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L’historique de la crise de 2008 a eu pour effet de poser la question essentielle par le plus grand nombre : Comment se fait-il que quand une banque commet des erreurs, ce soit le contribuable qui paye ? En fait ce qu’ils appellent la crise est une grande escroquerie ... on nous fait toujours payer pour les pertes des banques privées ou plutôt des casinos privées qui ont mélange notre argent, celui produit par le travail, avec l’argent virtuel (paquet financier toxiques, etc.).
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Dans ce tsunami financier provoqué par les grandes banques commerciales irresponsables, un fonds spécial européen, le MES (ancien FESF), Mécanisme Européen de Stabilité, a été mis en place en 2011 pour la zone euro, pour « sauver » les pays européens en situation de faillite parce que les investisseurs et toujours les mêmes, les grands établissements financiers, spéculaient contre la dette souveraine de ces pays.
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Les financiers ont profité donc une nouvelle fois de leurs propres erreurs. Là encore, c’est le contribuable qui paye in fine, encore et toujours, puisque chaque pays européen contribue au sein de la zone euro au plan du Mécanisme Européen de Stabilité, le mécanisme financier de « sauvetage » des pays européens attaqués sur leur dette souveraine.
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En France nous payons des impôts sur les revenues (50 milliards d’euros / ans) qui partent en fumé chez les banques privées par intermédiaire des intérêts que nous payons pour la dette publique !
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C’est inacceptable que nous payons nos impôts pour engraisser les marchés privées c’est à dire le monde de la finance !
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Cette crise qui nous est imposé par la TROÏKA est une énorme escroquerie !
Car en cas de réel crise tout le monde devrait être perdant, mais étrangement ce n’est pas le cas !
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Les milliardaires sont plus nombreux et plus riches en 2014
Le classement Forbes des milliardaires de la planète met en évidence que cette crise financière qui durée depuis 2008 à bien épargné les riches.
Le nombre d’ultra-riches est en effet en hausse de 15,3% et ils sont désormais 1.645 à faire partie de ce classement, un record absolu depuis sa création il y a 27 ans. Pour l’anecdote, ils n’étaient plus que 793 en 2009 en pleine débâcle financière.
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C’est la preuve irréfutable que cette dite « crise » est volontairement imposé aux états européens pour spolier le bien des travailleurs et de la classe moyenne. Les grandes entreprises contribuent de moins en moins à l’effort général pour financer notamment les routes, les écoles, la recherche, les hospitalité !
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A 33 %, le taux d’impôt sur les bénéfices n’est payé que par les petits commerçants, tandis qu’il tombe à 8 % en moyenne pour les entreprises du CAC 40. http://www.francesoir.fr/comment-grandes-entreprises-echappent-l%E2%80%99impot-60965.html
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En France, plus les entreprises sont grosses, moins elles sont taxées. Officiellement, le taux d’impôt sur les bénéfices des sociétés est en effet de 33 %. En réalité, il ne concerne que les plus petits des artisans et des commerçants. A l’autre bout de l’échelle, on trouve les multinationales du CAC 40 : ces quarante entreprises françaises cotées en Bourse, les plus importantes du pays, qui payent en moyenne 8 % d’impôt sur leurs bénéfices, selon un rapport du Conseil des prélèvements obligatoires publié .
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Un chiffre qui ne cesse d’ailleurs de se réduire, année après année, grâce à l’action conjointe des spécialistes de « l’optimisation fiscale » et à la bienveillance des gouvernements de droite et de gauche.
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En même temps l’état français augmente la pression sur sa population notamment à travers l’URSSAF !
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Curieusement, le taux d’imposition des entreprises diminue régulièrement à mesure que leur taille augmente, comme vient de le révéler le magazine Challenge’s. Le taux de 33 % n’est payé que par les gros bataillons d’entreprises individuelles ou limitées au cercle familial. Dès qu’une PME se constitue, avec un conseiller fiscal, voire un simple comptable qui occupe la fonction, c’est fini. En effet, le taux d’imposition des petites entreprises, celles qui emploient entre 20 et 50 salariés, tombe déjà à 23 %. Et ainsi de suite (voir illustration), jusqu’aux plus grosses boîtes. Ceci pour arriver à un taux moyen de l’impôt sur les sociétés de 18 %, celui que payent effectivement les grosses PME (entre 500 et 2.000 salariés). http://www.francesoir.fr/comment-grandes-entreprises-echappent-l%E2%80%99impot-60965.html
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Les grandes entreprises jouent aussi avec la déductibilité des intérêts d’emprunts, eux aussi non plafonnés, le crédit d’impôt recherche, très généreux et mal contrôlé. Mais l’essentiel de l’optimisation fiscale réside, pour les multinationales, dans la possibilité de faire apparaître les profits dans les pays où ils sont le moins imposés. Il suffit de jouer sur les prix d’achats internes entre les filiales étrangères et la maison mère. Une pratique déjà difficile à contrôler lorsqu’il s’agit de produits industriels, pratiquement impossible lorsqu’on parle de brevets, de droits, de logiciels, de conseils de gestion, etc.
Les gouvernements auraient pu mieux encadrer ces pratiques, faute de les empêcher. Mais, en dépit des déclarations officielles, ils ont toujours fermé les yeux. Avec en tête l’idée de favoriser la création de champions nationaux (même si beaucoup d’entre eux, comme Renault-Nissan, EADS et autres, ont leur siège social en Hollande !) et de limiter les délocalisations..
Sur ce plan, la stratégie suivie par tous les gouvernements s’est montrée efficace puisque la France dispose, proportionnellement, de plus d’entreprises multinationales que les autres pays développés, y compris l’Allemagne. Mais la contrepartie est lourde : moins de recettes pour l’Etat – donc des déficits accrus – et un tissu de PME et d’entreprises de taille moyenne, bien moins performant que celui de notre puissant voisin. Donc moins d’exportations. C’est une des tâches du nouveau gouvernement : rééquilibrer un système absurde de redistribution fiscale à l’envers, où les petits payent plus que les gros..
L’article 63 du TFUE rend possible les délocalisations
https://www.youtube.com/watch?v=4kKk0jrlX44.
La constitution européenne est l’outil d’excellence du monde de la finance pour arriver à ses fins. Cette constitution réduit le pouvoir des hommes politiques des états européens qui ne pourront plus se défendre contre les délocalisation, les restructurations des très grandes entreprises abusives, qui ont pour objectif de réduire le nombre des employées pour que le bénéfice des actionnaires augmente ! Nous avons également perdu le contrôle sur notre monnaie du à l’abandon du Franc ! La constitution européenne interdit aux états d’intervenir pour aider financièrement les entreprises.
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L’article 123 du traité de Lisbonne
L’article 123 du Traité de Lisbonne stipule que : « 1. Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres ; l’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales des instruments de leur dette est également interdite »
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A L’UPR nous nous battons pour remédier à cet déséquilibre grandissant entre le monde privée (multinationales et banques privées) et les services publics, services qui sont de plus en plus absorbé par le monde privée. On laisse les parties non rentables à l’état français donc à la charge des contribuables et les entreprises privées s’appropriant les parties rentables comme par exemple les autoroutes qui dégagent des belles marges ....
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http://www.upr.fr/wp-content/uploads/presidentielles/Programme-Liberation-Nationale.pdf
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Commencer par cesser de dépenser l’argent que l’on n’a pas !
Foutage de gueule, ce fric qu’on a pas nous est prêté par des gens qui ne l’ont pas non plus.
Que les banquiers cessent de prêter du fric qu’ils n’ont pas et on ne pourra le dépenser.
Tocard ! -
Tiens, le bouffon est plus efficace quand il s’agit de faire son guignol que quand il s’agit de répondre aux questions.
Allez, vas faire jouer ailleurs.
Calmez vous , je vous sens au bord de l’ énervement .Mon pauvre, tu as trop de prétention, t’as à peine de quoi me faire pitié.
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Je viens de recevoir ma taxe d’habitation : presque 1OO euros de plus que l’année dernière !
Bon prince mon percepteur me donne jusqu’au 17 novembre pour payer mes 788 €.
-
Je crois que je vais me résigner à partir. Quand c’est trop, il faut aller voir ailleurs.
C’est triste, mais c’est probablement le mieux.Et, ça laissera la joie de continuer à tout ceux qui sont contents comme ça, ils auront la joie de partager les moins entre eux !-
Bon voyage.
J’espère que si vous êtes malade, vous reviendrez pas vous faire soigner ici. -
Mais il y a d’excellents hôpitaux dans bien d’autres pays !
Il faut voyager un peu. ) -
Ça fait longtemps que les grigri et pseudo chat man ne m’impressionnent plus ! )
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rocla,
je vous plains : comme je ne peux pas croire que vous soyez naturellement aussi ignoble, je pense que ce qui justifie votre cordialité, c’est que vous en êtes déjà atteint.
Courage, mon vieux : c’est un mauvais moment à passer.
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Ça fait longtemps que les grigri et pseudo chat man ne m’impressionnent plus ! )
NON, je pense que le départ sera un bon moment avec un grand soulagement. -
rocla et loryeber,
vous devriez apprendre à lire, ça vous éviterait d(écrire des conneries.
Je reformule ma phrase qui était trop compliquée pour vous :
Si un jour vous êtes malade, j’espère que vous ne reviendrez pas vous soigner ici.
Parceque, s’il y a de bons hôpitaux ailleurs, il faut casquer plein pots. Ou alors, avoir une solide assurance : au cas où vous ne le sauriez pas, si la France arrive dans le peloton de tête pour les prélèvements obligatoires, c’est parce que, contrairement à d’autres pays, les cotisations maladies y sont comptées.
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Ça fait longtemps que les grigri et pseudo chat man ne m’impressionnent plus ! )
NON, je pense que le départ sera un bon moment avec un grand soulagement.Vous devriez apprendre à raisonner et voyager. Il y a d’autres pays qui ont un système médical avancé et qui n’ont pas les prélèvement obligatoires que l’on a en France et je paie assez cher mes assurances maladies pour en trouver l’emploi ailleurs.Et, c’est un choix, mais je préfère dépenser de l’argent si j’ai besoin de soins que d’être forcé à en dépenser lorsque je n’en ai pas besoin ! -
Manquent pas d’air, les mauvais contribuables : d’abord ils pleurent contre les impôts, snif snif, la progressivité c’est pas juste !
Puis comme les recettes de impôts progressifs diminuent (évasion fiscale, fraudes, délitement des classes moyennes), le gvt augmente les taxes injustes puisqu’elles frappent de plein fouet les petits consommateurs et épargnent les gros revenus, ils sont pas contents !
Cassez vous ! Bon débarras.
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C’est justement ce que je me souhaite, un bon départ !
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Nos impôts augmentent car il y a de plus en plus de rétribuables que de contribuables
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Mais j’ai le droit de dire ce que je pense, départ ou pas !
Et la question n’est pas le départ, car certains ne peuvent pas partir et en crèvent.-
’’certains ne peuvent pas partir et en crèvent.’’
Ils crèvent de quoi, à votre avis ?
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