Tendances de la mode...
La mode, chaque année nous révèle son lot de surprises : il s'agit d'innover pour inciter à la consommation... Cette année, la mode est au clinquant, très clinquant même : du strass, des paillettes sur les robes, les tee shirts, les sacs, les chaussures !
Le strass s'affiche partout, même sur des tee shirts ordinaires ou sur des pull- overs en laine, façon épaulettes : breloques, perles de strass, en rivière....
Le comble du bon goût ! Les sacs, les vestes s'ornent aussi de picots brillants, argentés ou dorés sur les épaulettes ou les manches...N'oublions pas les imprimés léopards qui reviennent en force...
Le brillant, le clinquant sont au rendez- vous pour attirer le regard du chaland....Les couleurs flashy, fluos éclatent de mille feux : la mode est gaie, elle se veut chaleureuse pour l'hiver...
Point trop n'en faut quand même, le mélange de couleurs criardes peut aller jusqu' à l'overdose ..bref la mode innove...elle innove aussi dans les formes : tricots asymétriques, dissymétriques. Les jeans, shorts ou pantalons se parent de strass mais aussi de franges, de trous, de déchirures savamment orchestrés : la mode est encore à l'usé, au râpé, au frippé....
Heureusement, la mode est diverse et on trouve encore des tenues classiques qui ne versent pas dans l'originalité à tout prix ...J'ai l'impression que chaque année, les fabricants trouvent tout de même de quoi innover dans les matières, les formes, les ornements...
Tout nous incite à acheter, à suivre une mode extravagante... On se demande pourtant si certaines peuvent être tentées par cette accumulation d'ornements et de strass !
Mais c'est probablement le cas, puisque certaines boutiques sont remplies de ces vêtements extraordinaires...le but étant évidemment de pousser les consommateurs et consommatrices à l'achat compulsif et impusif...
On peut remarquer aussi que la mode tend à reproduire la société dans laquelle nous vivons : d'un côté, un aspect luxueux avec les éclats étincelants et brillants du strass et de l'autre, la pauvreté mimée par les jeans usagés, élimés jusqu'à la trame...C'est comme si l'on retrouvait dans la mode les fractures de notre société, le fossé qui se creuse sans cesse entre les très riches et les très pauvres...
Etonnant ! La mode n'est sans doute que le reflet de notre univers fait de contrastes, d'oppositions, un univers où règnent des disparités de plus en plus grandes, où les pauvres s'appauvrissent et où les riches prospèrent et affichent leur luxe insolent...
En intégrant du strass dans les vêtements ordinaires, les créateurs de mode ne nous donnent- ils pas aussi l'impression que le luxe est à la portée de tous ?
48 réactions à cet article
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Bonnjour, Rosemar.
La mode est une négation de la personnalité. Particulièrement lorsqu’elle est suivie à la lettre, année après année. La mode, ou comment faire d’un homo sapiens censé être intelligent un in dividu décérébré, soumis aux exigences du marketing et du consumérisme.
C’est parfois carrément pathétique. C’est pourquoi il convient de lutter très tôt dans l’éducation des enfants contre cette dictature qui ne dit pas son nom, dé préférence par la persuasion.
Cela me rappelle une discussion que j’ai eue un jour avec un groupe de jeunes punks dans le métro de Paris. Après avoir discuté des Clash, des Ruts ou des Sex Pistols, je leur ai demandé s’ils n’étaient pas gênés, au fond d’eux-mêmes, de « porter un uniforme, comme les flics ou les militaires ». Succès garanti : pas un n’a été capable de formuler une réponse convaincante !
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Bonjour Fergus
oui la mode vise à uniformiser...la mode est aussi le reflet d’une société : c’est le clinquant, le superficiel qui l’emportent...tout ce qui brille....ou attire le regard.Cette année plus particulièrement, elle vise à attirer l’attention .... -
Fergus
Vous êtes sévère.
Ne pas confondre la mode et le code vêtements.
Le code vêtements ne nie pas la personnalité, il sert à souligner une appartenance, des goûts spécifiques, un âge, une profession...
Uniforme, dictature ? Oui, peut-être, l’essentiel étant de se sentir intégré à un groupe et bien dans son jean (ou son smoking !). On en porte tous d’ailleurs des uniformes, costume cravate, survêts, selon l’occasion. -
Bonsoir ZenZoe
on porte des uniformes oui mais la mode sait jouer chaque année d’une certaine variété et diversité pour nous inciter à acheter des vêtements et nous pousser à la consommation... -
Du Luxe ? Non, une sensation de.... En fait du Toc en grandes largeurs. C’est vernir des lentilles, soient elles du Puy, pour faire croire en terrasse passante et bien en vue que l’on déguste du caviar... La mode ? Un vaste décervellement permanent.
Homme, facile de m’en libérer, bien que le regard souvent titillé par certaines pubs raccoleuses. En 2012 j’étais à la mode. Si, si, tendance. Sur un bord de mer. Avec ma marinière ( la fameuse ) éffilochée au col, achetée il y a vingt ans. Un jean de cinq ans usé et élimé, pas par la chimie Turque ou Indienne, juste en coupant du bois. Et des sandales de base. Et j’hallucinais en croisant des hommes-sandwich exhibant en gros le nom de marques« tendance », qui sur le t-shirt, qui sur la ceinture, qui sur le slip savament dévoilé. Qu’elle horreur. De telles fringues, je ne les paye pas, non, la marque me les offre et en plus me rémunère pour afficher leur pub dans la rue. Faut pas déconner. Horreur du moindre logo sur moi, sauf quelques t-shirts avec des citations latines ou de la promo pour de petits clubs de sport amateur de campagne, alors que mon frère a les charentaise, les chaussettes, le caleçon, la cravate, la casquette, le polo, le porte clef, le briquet, la vareuse, le mug...du Barça. une fortune. Risible.
J’ai vécu avec une femme atteinte de modemania. C’est un budjet. Conséquent. Elle entassait, mettait deux fois, jetait la saison suivante. Désolant. Je faisais les boutiques avec elle histoire de passer des glaçons sur ma CB entre deux pas de porte. La seule façon de stopper sa fièvre acheteuse, lui dire « vas-y, prends ton temps, je ne m’ennuie pas, je mate les vendeuses, elles sont pas mal ici » Effet garanti.
Je revais d’une femme feminine, avec une belle garde robe, sans excés ni bling bling, de beaux vetements intemporels qui jamais ne se démoderont, et qui souvent me dirait « A quoi bon faire boutiques ou soldes, j’ai tout ce qu’il me faut »
Homme heureux, je vis avec désormais.
Bonne journée, Rosemar.-
Bonjour paco
Merci pour ce témoignage vécu...oui une impression de luxe surtout : c’est le clinquant qui l’emporte ...on peut être à la mode avec un jean usé, c’est vrai mais il faut voir le prix de ces jeans usés qui sont vendus dans les magasins ! C’est incroyable ! -
s’imaginer luxueux avec un jean artificiellement usé payé plus de 300 euros est débilissime. S’en payer un identique de contrefaçon à 30 euros pour etre dans le vent également. Ils sont souvent fabriqués dans les memes usines chimico-textiles ou l’ouvrier modèle crève tot de ses poumons pourris. Mais bon, tant que c’est pas ici....
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. « On se demande pourtant si certaines peuvent être tentées par cette accumulation d’ornements et de strass ! »..A tel point qu’on ne sait plus distinguer le vrai du toc...pour les êtres aussi...séparer « le bon grain de l’ivraie »mais ce n’est pas d’aujourd’hui, n’est-ce pas ?
On peut déroger dans toutes les couches de la société....Ne pas avoir de tél portable...etc c’est la« honte » comme on dit dans les cités, d’autant qu’il est facile de s’en procurer (hihi)Mais aussi « la haine » comme on dit dans les cités...envers les gens friqués, ceux qui s’affichent dans de beaux 4x4....Peut-être sommes nous tranquillement assis sur un volcan ? ...belle journée de soleil pour les gens du SUDbelle journée rosemar, le soleil, quand il est présent, lui, brille pour tout le monden-
Bonjour noodles
oui profitons du soleil : il est encore gratuit, lui ...Belle journée de soleil à tous... -
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Bonjour cogno
un esprit moutonnier l’emporte : il faut voir le nombre de jeunes qui portent des jeans : c’est devenu presque un uniforme... -
Un uniforme pour d’jeun, oui. Encore faut ils qu’ils sachent que c’est une tenue de travailleur à la base. La toile des marins de Nimes adoptée par les US dans le ferroviaire pour sa robustesse au XIX ème, puis sertie de mini-rivets Excusez l’imprécision, je vous dis tout ça de ménoire sans Wiki.
Je me sens bien dans mon épais velours de vieux. -
Oui, la toile Denim...
Cette ville antique (qui avait je crois un crocodile pour blason) est devenue, presque sans le savoir, mondialement célèbre.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Blason_ville_fr_N%C3%AEmes_(Gard).svg -
Bonsoir cristoferens
merci pour ce rappel de la toile Denim associée à la ville de Nimes.... -
Tant qu’il y aura des mini-jupes les beaux jours revenus ,le reste je m’en fiche .....
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Plus quarante-douze plussoiements à votre post éclairé.
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Les mini-jupes et les shorts sont à la mode et même en hiver !
Mais attention aux fautes de goût ! -
Attention surtout aux souffrances qu’elles s’infligent pour paraitre « in ». le froid, la malcommodité, l’oubli du confort de leur corps.
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oui paco
on peut parler de souffrance et de torture quand on voit la hauteur de certains talons.... -
Sword 10 janvier 2013 22:14Tant qu’il y a des talons hauts, toute l’année, le reste je m’en fiche.
Sinon j’ai arrêté de porter des Jeans, pour y échapper justement, au diktat.Je tourne avec trois pantalons (même couture), deux blousons (dont un en Jeans par contre) et deux paires de chaussures.La tendance ? Sportive et « combative ». Jusqu’à la mort.Pour le reste, ça ne mérite pas d’être signalé. -
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Allez savoir pourquoi j’ai toujours eu un faible pour la civilisation Minoenne...
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La parisienne ! magnifique fresque crétoise....
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Si, @ Lulupipistrelle, elle est craquante et envoutante à souhait. Jamais je ne me lasserais de ces vielles mosaiques ou peintures ou sculptures. Tout en sachant que la mode les délaisse.
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Nom d’une pipe, captain, tu as le don de nous ressortir de sacrés bon morceaux.
Ca ma souviens d’une pépite, « 1941 » de Spielberg, son seul film ayant fait flop. Les scènes de baston y sont fameuses. Et les tenues ne se démoderont jamais. Foi de moussaillon. -
Georges Straß , joaillier de Louis XVLes pierres de Monsieur Strass. Faux et usage de faux à Versailles au XVIIIe s.
Parmi les principaux fabriquants de faux bijoux, un joaillier alsacien acquiert, au XVIIIe siècle, une immense renommée. Georges Frédéric Straß est un alsacien, né à Wolfisheim en 1701, qui travaille très tôt à la création de pierres d’imitation. Il obtient d’excellents résultats en perfectionnant le « cristal », ce verre au plomb conçu au XVIIe siècle en Angleterre. Il en augmente fortement la teneur en plomb, ajoutant également du bismuth et probablement de thallium (à l’époque considéré comme déchets du plomb), augmentant à plus de 50% de la proportion de métal. Le cristal résultant de ces opérations est plus dur que le verre, se taille précisément et possède d’excellentes qualités de réfraction de la lumière. Straß en travaille la couleur par adjonction de sels métalliques, l’éclat en insérant dans la culasse une feuille de métal, d’argent ou de couleur. Ce dernier procédé se faisait couramment d’ailleurs pour les pierres précieuses de faible éclat. Les pierres de Straß / Strass sont alors, pour ses contemporains, si semblables, d’apparence, aux pierres précieuses, qu’elles reçoivent l’appellation « simili », ou plus couramment « pierres du Rhin », en raison de leur provenance alsacienne. Ce n’est qu’en 1746 que l’on commence à désigner ces fausses pierres du nom de leur inventeur, le strass. Dès 1730, Georges Strass crée son propre atelier. Sa renommée est telle qu’il est élevé en 1734 Joaillier du Roi, et ses créations sont portées à la Cour. Les joailliers parisiens mêlent alors habilement, et sans état d’âme, dans des compositions baroques de vraies pierres précieuses et des pierres de strass.
Madame de Genlis note avec nostalgie à ce sujet : « Le luxe (…) prit un caractère imposteur et extravagant qui parut être à la portée de tout le monde, qui confondit tous les états, qui ne laissa rien de durable et qui, par le caprice de son inconstance, ruina toutes les familles. »
Georges-Frédéric Straß , génial inventeur et brillant joaillier, meurt le 22 décembre 1773, à la tête d’une fortune considérable. Sa postérité est plus glorieuse encore sans doute, car les cristaux imitant les pierres précieuses sont toujours appelés « strass » en français, et « rhinestone » (pierre du Rhin) en anglais.
un éternel recommencement
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Merci pour ces liens brieli...et ces rappels historiques....
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Merci aussi pour la chanson de la provençale Michèle....
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GRANDE NUANCE !!!
c’est EUX qui t’ont ...
il y a aussi PRECIOSA
La Verrerie Royale de Saint Louis
http://www.bitscherland.fr/Canton-de-Bitche/Saint-Louis-les-Bitche/cristallerie-st-louis.html
Une annexe de Beaubourg à Mettttttttttttttz et là : triste !!
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Oui les Swarovski qui ont commencé par la luge ...
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Swaro reste dans le pendentif en strass
Serti en France en attendant le made in China au prix coûtant
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On pourrait évoquer aussi la fragilité de ces vêtements avec des strass et des paillettes !
Bonjour le lavage !En fait, maintenant les vêtements ne sont faits que pour durer une saison...-
Bonjour Rosemar,
je fais un petit tour ici. Et je vois que tu continues à écrire, mais sur un sujet « futile », la mode.
Entre le bling-bling et les jeans usés, il y a certes un problème d’argent et une fracture sociale.
Je note que les jeans usés coutent très cher, alors qu’on peut trouver strass et paillettes pour 3 francs 6 sous.
Et j’avoue avoir craqué pour des sequins, qui d’ailleurs me vont plutôt bien.
La honte pour une femme mure comme moi !!!
Bises-
C’est sympa nanoub
de passer sur Agora pour lire mon article : je ne savais pas que tu étais inscrite ici...Le sujet peut paraître futile mais il révèle bien nos sociétés du paraître ....les jeans usés jusqu’à la trame : je n’en vois pas l’intérêt ...mais tu as bien fait d’acheter des sequins : il faut savoir se faire plaisir aussi ...Bises et belle soirée... -
du micro made in France
allons allons on ne se refuse rien
c’est déjà le printemps- comme nous dit Alinea la plus jungienne des bouvières / vachères.
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Alors tu vas pouvoir toi aussi écrire des articles sur Agora ?
Merci encore pour ce premier com sur Agora !Belle soirée nanoub.... -
Bonsoir Rosemar,
« Il n’y a rien qui se démode plus vite que la mode ». Je sais c’est facile, mais c’est l’une des raisons qui fait que je ne m’intéresse que très peu, voir pas du tout, à la mode .Belle soirée Rosemar, et coucou à Nanou qui débarque ici !-
Bonsoir fatizo
je ne m’intéresse pas non plus beaucoup à la mode mais la mode permet de voir les tendances d’une société : là on mise sur tout ce qui est clinquant, bling bling, étincelant et l’aspect pratique est complètement occulté : le lavage, par exemple, de ces vêtements couverts de strass et de paillettes...Belle soirée.... -
Au fait j’ai « positivé » un excellent article de toi hier soir sur « l’amour de la France », je m’étonne qu’il n’est pas été édité . J’espère qu’il le sera demain, il le mérite largement .
Beau week-end Rosemar . -
Je le mettrai sur mon blog...si agora n’en veut pas...
Merci fatizo.... -
« Il n’est de bon bec qu’à Paris », disait en se moquant Montesquieu je crois, un type qui tentait de faire tomber les masques.
La mode sert à se parer de nouvelles plumes pour paraitre plus malin, et ensuite de les vendre en y ajoutant une plus value, qui peut être considérable, et s’avérer comme l’investissement le plus rentable.Mais est-ce que parce que les chaines dorées sont à la mode, qu’on doit se faire esclave, ou se faire forgeron ?
La mode, comme phénomène, balance entre vanité, dépendance, et soumission.
C’est pour ça que le sexe n’est pas jamais loin, qui guette, ainsi que le grand loup, qui rode !.Le compte du roi nu, est sans doute le plus beau raccourci de ces choses, ayant traits à la vanité au pouvoir et à la bêtise.
Reste que la mode repeint parfois joliment la vie, quand elle se fait fraicheur et légèreté, plutôt qu’arrogance et fatuité.
Mais ces choses là s’apprécient bien plus à l’œil, qu’aux pauvres lumières de l’esprit.
Mais je crois pas que le mot mode, d’ordre moutonnier, soit approprié !Reste qu’il émoustille les amateurs de brebis, ravies de voir les capacités de jugement de celles ci désarmocées par le diktat du jour, et se soumettre au grand maitre qui leur ferait se mettre une plume dans le cul, si d’aventure le cher homme (un génie) l’exigeait.
Et c’est un nouveau plaisir !
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