L'heure de l'engagement a sonné.
Bonjour chers compatriotes,
Après quelques mois d'inscription, je me décide enfin à prendre la plume pour parler de l'initiative engagée par le
mouvement Colibris, la campagne Tous Candidats.
En effet, dans mon immense naïveté, j'ai espoir que le peuple français va se réveiller de sa torpeur (mieux vaut tard que jamais), arrêter de fêter une Révolution qu'il n'a pas finit puisque nous sommes toujours et encore dirigés par une bande de ploutocrates parasites qui siège indéfiniment comme députés, sénateurs (quand est ce qu'on vire le Sénat ?), maires, conseillers régionaux, etc. Se permet de surcroît de cumuler plusieurs fonctions sans que personne ne lève la voix... Apathie exaspérante...
Mais revenons à la campagne Tous Candidats. Campagne engagée par des citoyens qui ont décidé de s'immiscer dans cette élection car notre société ne changera pas si nous ne changeons pas nous-mêmes et que nous restons des moutons regardant cette parodie de démocratie . Car comme ils le disent si bien :
"Nous croyons que pour se transformer, la société a besoin de se recomposer par sa base, c’est à dire par chacun d’entre nous. La politique, dans sa forme actuelle, est incapable de résoudre seule les problèmes immenses que nous rencontrons. Le poids des structures, des lobbys, la difficulté à sortir d’un schéma de pensée unique, font que nous ne pouvons plus attendre des seuls responsables politiques, si volontaires soient-ils, un changement en profondeur. Ils ont besoin de nous et de notre engagement au quotidien."
Pour en savoir plus et devenir vous aussi candidats :
http://www.colibris-lemouvement.org/agir/campagne-tous-candidats
Initialement appelé Mouvement pour la Terre et l'Humanisme, Colibris tire son nom d’une légende amérindienne, racontée par Pierre Rabhi :
Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »
Et le colibri lui répondit :« Je le sais, mais je fais ma part. »
A bon entendeur, salut !