Traçage Covid-19 : la guerre est finie ? Le Gladio Nouveau est-il arrivé en Belgique ?
Mon correspondant belge me cite un article paru dans Le Soir, quotidien de Bruxelles, mis en ligne le 19/06/2020 à 06:35, par l’agence de presse belge « Belga » (leur AFP)
« L’homme à la tête du traçage en Belgique est décrit comme totalitaire ». « Des experts seraient inquiets pour la protection des données ». « La technique du « traçage du Covid -19 » poserait d’inquiétantes questions sur des personnes et sur des procédures ».
Pour les personnes, il faut d’abord lire ce qui en est d’un certain Frank Robben (illustre inconnu de votre humble serviteur, ce qui n’est pas étonnant). Je renvoie aux l’URL des articles pour cela[1]. Mais je reprends cependant l’analyse du virologue Wilfried Emmanuel André, ex-coordinateur du traçage Covid-19, et ex-porte - parole du Conseil National de Sécurité, qui aurait dit : « Frank Robben est au cœur d’une situation de monopole sur le marché des données de santé publique et de sécurité sociale. À partir du moment où il occupe à la fois les cénacles du pouvoir et du contre-pouvoir, nous sommes tous pris dans sa toile » (Sic). Je reprends aussi les dires d’une certaine Olivia Venet, Présidente de la Ligue (belge ?) des Droits Humains : « C’est un simulacre de démocratie. Des choses effrayantes sont en train de se jouer. (…) Dans un système sain, les mandats devraient être confiés à des personnes différentes, mais Frank Robben est partout. Moi, si on m’appelle parce que j’ai été en contact avec un malade, je ne donne pas d’infos, car je ne fais pas confiance. Avec le traçage, les dirigeants de notre pays disposent d’un outil hallucinant, HALLUCINANT, de contrôle sur les citoyens » (re Sic). Faut-il faire remarquer que cette dame ne semble absolument pas être une Guru d’une secte complotiste ou conspirationniste.
Frank Robben aurait été promoteur du Comité de la Sécurité de l'Information (CSI) et rédacteur de la loi de fixation des « conditions du suivi des contacts des malades touchés par le coronavirus », qui définit qui est autorisé à puiser dans les données de la Sécu. Les députés[2] ont approuvé l'organe contre l'avis de la Commission européenne et du Conseil d'État, contre la Constitution belge et le règlement général sur la protection des données (RGPD), écrit « La libre Belgique » de Bruxelles consœur du quotidien « le Soir ».
Mon correspondant poursuit en me signalant quelques incidents qui ont émaillé la crise covid-19 en Belgique. Le gouvernement belge est en « affaires courantes » depuis près d’un an (dont trois mois en « pouvoirs spéciaux »). La Première Ministre de ce Gouvernement d’exception, n’aurait pas voulu répondre lors d’une conférence de presse à un journaliste qui lui demandait des précisions sur la composition du Conseil National de Sécurité et de ses membres quant à d’éventuels conflits d’intérêt, depuis la déclaration de l’Etat d’Urgence Sanitaire. A une autre occasion[3] la première Ministre aurait dit sur le plateau de la Télévision Nationale Belge : « On peut critiquer les politiques, mais on ne peut pas critiquer les scientifiques. Qui croyez-vous que je sois pour ne pas suivre leur avis ? ». Certains téléspectateurs belges s’attendaient à ce que la présentatrice de l’entrevue lui réponde « Staline, lui aussi a suivi les recommandations de Lysenko[4] » ..... Mais il semblerait que la présentatrice aurait pu craindre pour sa carrière (suivant les mauvaises langues). Mais de plus, et cela semble significatif, un autre présentateur de la même chaîne, en entrevue, avec un expert, professeur d’université, spécialiste de virologie, de vaccinologie, d’épidémiologie, de biologie moléculaire, etc., etc. aurait « commis » le dialogue suivant, « live » sur plateau, à propos de la pandémie :
Le présentateur : « ... ceci et cela ... et patati et patata .... catastrophique ... ceci et cela et patati et patata » ....
L’expert : « Catastrophique, non, je n’irais pas jusque-là ....... »
Le présentateur interrompant l’expert ; « Mais c’est pourtant bien ce que vous avez dit lors de la préparation de l’émission.... »......Avec un chaton cela s’appelle lui mettre le nez dans ses excréments pour lui apprendre la propreté. Le présentateur est toujours sur les plateaux...mais l’expert n’est pas encore Ministre de la Santé (il faut savoir qu’en Belgique, suivant mon correspondant, entre l’Etat Fédérale, les trois Régions, les trois Communautés il y aurait 9 ministres de la santé ...).
Un autre détail de ces histoires belges, suivant mon informateur. Deux laboratoires vont être construits en Belgique pour expérimenter des traitements avec des citoyens volontaires. (Gaia[5] se réjouit que l’expérimentation animale soit abandonnée dans le cadre du Covid-19). Les volontaires resteront confinés de 14 jours à trois semaines et toucheront de 8 à 10.000 €. L’expérience se fera en partenariat « public-privé ». Deux universités seront les parties publiques et le privé sera ....la fondation Bill Gates. Selon mon correspondant il semble que le nom de la Fondation Bill Gates qui était un détail de l’information n’aurait pas dû « échappé » à un des promoteurs du projet, lors de son entrevue avec la presse. On n’a plus jamais entendu parler de cette belle collaboration .... on se demande pourquoi. !
Simultanément l’enquête sur les tueries du Brabant de 1982 et 1985 diffuse un nouvel appel à témoin ..... Vous avez dit Gladio ?
[1] https://www.lesoir.be/308167/article/2020-06-19/lhomme-la-tete-du-tracing-en-belgique-decrit-comme-totalitaire-des-experts
et
[2] Le cadre juridique dans lequel l’application doit opérer est en proposition de loi au Parlement.
[3] « Le port du masque à certains endroits, à certains moments suivant certains critères peu clairs ne fait-il pas un peu désordre ? » demanda la présentatrice à l’adresse de la Première Ministre.
[5] Groupe d'Action dans l'Intérêt des Animaux. asbl
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