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Tremblez ! Braves gens... Bientôt les Grandes Bouffes. Ça cache les horreurs qui se préparent

Ebola ? Qu’est-ce qu’il devient celui-là ? On n’en entend plus parler… Chassé des actualités par d’autres titres plus vendeurs. Pourtant on peut supposer qu’il continue à se répandre, à ravager, à tuer silencieusement. Á tuer, mais en Afrique seulement. Les contaminés – blancs - rapatriés dans les hôpitaux étazuniens et européens ont été (presque tous) guéris. On peut dès lors se poser des questions sur le départ de l’épidémie (on ne peut pas encore parler de pandémie.)

Dans une interview donnée au média italien « Il fattoquotidiano », le professeur de droit international Francis Boyle émet une opinion plus que troublante. D’après lui « cette épidémie n’est pas ce qu’on dit, avec cette histoire de chauves-souris qui sont venues par les airs depuis le Zaïre, et qu’il s’agirait ici d’une variante de l’ « Ébola du Zaïre » ce qui est curieux, car le Zaïre est à plus de 3500 km de là. Le gouvernement américain possède trois laboratoires BSL-4 (Bio Safety Lab niveau 4). Un en Guinée, un au Libéria, un en Sierra Leone, au cœur de l’épidémie en Afrique de l’Ouest. Et ces laboratoires BSL-4 font toutes sortes de recherches plus effrayantes les unes que les autres sur les armes biologiques. » Le professeur laisse entendre que le virus Ebola aurait été sciemment et volontairement administrés à travers de pseudo vaccins aux Africains de l'Ouest, sur une grande échelle. lien

 

« Si vous mettez ensemble le virus vivant d’Ebola avec celui du rhume, vous obtenez quelque chose qui est aussi contagieux que le rhume commun, mais pas autant que la grippe. Et ça pourrait bien être ce à quoi nous avons affaire ici. Ce vaccin, ou appelez-le comme vous voulez, avec l’Ebola vivant et le rhume commun, a été injecté à une vaste population en Sierra Leone, et peut-être au Libéria, et c’est cela l’origine de l’épidémie, mais ne me croyez pas sur parole et allez voir le site Web du Ministère de la Santé de la Sierra Leone, et vous verrez que c’est leur conclusion sur ce qui arrive aujourd’hui, et c’est pour cela qu’ils ont ordonné la fermeture du laboratoire américain BSL-4 cet été. »Á noter que les USA n'ont pas envoyé des médecins en Afrique de l'Ouest mais...3000 militaires ! Derrière l'épidémie, y aurait-il la recherche US sur les armes biologiques ?

Francis Boyle énonce des faits qui, s'ils sont avérés, font froid dans le dos. Il laisse entendre que s'il n'y a jamais eu de lanceurs d'alerte, c'est parce qu'on les a tué. « 27 ou 28 microbiologistes sont morts. Je pense que ces chercheurs ont menacé de sonner l’alarme sur ces programmes aussi dangereux qu’illégaux de recherches américaines sur les armes biologiques, et on les a tués. Et c’est pour cela que nous n’avons pas de lanceurs d’alerte ici, parce qu’ils seraient tués eux aussi. Je crois que c’est clair. Malheureusement nous avons (aux USA - NDLR) 14 000 scientifiques qui participent à ces affreuses recherches en armements biologiques pour le compte du gouvernement des USA, je les appelle les « scientifiques de la Mort », et plus de 1500 laboratoires aux États-Unis qui font ce type de recherche. »

On se focalise sur le danger que représente la dissémination des armes nucléaires, mais il est bien plus facile de créer des virus et bactéries mortelles. De petits laboratoires faciles à dissimuler suffisent. Le génie génétique permet maintenant, en manipulant le génome des agents classiques de la guerre biologique - peste, maladie du charbon, tularémie, etc. -, de les rendre beaucoup plus dangereux qu’ils ne le sont déjà. Volontairement par folie politique ou par accident, existe à présent le risque de destruction de l'espèce humaine par un organisme génétiquement modifié !

Comment le génie génétique peut-il servir à mettre au point de nouvelles armes biologiques  ? La liste des possibilités, décrite par les spécialistes, est désagréablement longue. On peut rendre pathogène une bactérie inoffensive et bien connue, telle Escherichia coli, en lui insérant des gènes de toxicité empruntés au génome de bactéries dangereuses. On peut modifier une bactérie pathogène, afin qu’elle ne soit pas reconnue par le système immunitaire ou que les vaccins existants soient inefficaces. On peut chercher à rendre l’agent insensible aux antibiotiques, ce qui rendrait la protection des populations ciblées difficile, voire impossible.

Comme il n’y a rien en biologie qui ne soit transposable sur le plan militaire, le décryptage et la publication des génomes deviennent une source d’inquiétude majeure  : le danger est en effet que l’on puisse reconstituer le virus à partir de sa séquence, ou tout du moins repérer les zones de virulence, cloner ces gènes et les transférer dans un autre organisme. Le centre britannique Sanger a d'ailleurs fièrement annoncé le décryptage du génome de Yersinia pestis, la bactérie responsable de la peste noire...

Plus vicelard : la possibilité d’introduire un virus "silencieux" dans le génome d’une population donnée, virus qui serait réveillé ultérieurement par un signal chimique. "L’idée, explique David Sourdive, un spécialiste français de l’étude des génomes, est de réaliser une arme ciblée sur une population choisie et préalablement "marquée" par un virus."

 

"De nombreux spécialistes craignent davantage une autre forme de bioterrorisme : celle qui ciblerait l’agriculture. "Des armes tournées vers la production agricole seraient beaucoup plus efficaces, dit David Sourdive. D’abord, l’effet de déstabilisation d’une maladie agricole est garanti et bien connu : voyez par exemple ce qui s’est passé avec la fièvre aphteuse en 2001. Et puis l’agriculture est plus vulnérable parce qu’elle présente beaucoup moins de diversité génétique que les populations humaines." Le travail sur les maladies agricoles était déjà un des principaux programmes de recherche d’armes biologiques pendant la guerre froide, tant aux Etats-Unis qu’en URSS.

Outre son efficacité, ce type de recherche présente un autre avantage : il est beaucoup plus discret. Comment distinguer un laboratoire agronomique d’un laboratoire militaire  ? Enfin, les OGM agricoles présentent certains points communs avec les agents bactériologiques militaires  : ainsi la bactérie Bacillus thuringiensis, qui est un des outils les plus utilisés par les firmes de biotechnologie végétale, est un cousin très proche de Bacillus anthracis, l’agent de la maladie du charbon, dont il constitue un très bon modèle.

La question de l’emploi de l’arme biologique n’appartient plus, depuis quelques années, à la pure spéculation : dans le cadre de leur lutte contre la drogue, les Etats-Unis tentent depuis 1997 de faire accepter l’utilisation d’un champignon, Fusarium oxysporum, qui détruit la plante d’où l’on extrait la cocaïne. Une version génétiquement modifiée de ce champignon existe en laboratoire. Les Etats-Unis voulaient l’utiliser en Colombie, même si, selon des mouvements écologistes comme le Sunshine Project, ce champignon pourrait avoir des effets dévastateurs sur la biodiversité très riche des terres colombiennes : devant l’opposition qui s’est levée en Amérique latine et en Europe, ils ont pour l’instant repoussé l’utilisation du champignon. Mais jusqu’à quand ? Á l’autre bout du monde, en Asie centrale, ils étudient aussi, dans un laboratoire de Tachkent, en Ouzbékistan, un champignon capable de s’attaquer au pavot, largement cultivé dans la région et notamment en Afghanistan. Si les opinions publiques n’y prennent garde, la guerre agrobiologique est à deux doigts de se banaliser, tandis que la guerre biologique - devrait-on dire biotechnologique ? - est redevenue une possibilité sérieuse." (Hervé Kempf)

 

Bon appétit quand même et vive le foie gras !

 

Photo X - Droits réservés

 

 Sources :

http://guerre.libreinfo.org/controle-populations/armes-nouvelles/581-ogm-guerre-bacteriologique.pdf

http://www.editionsdemilune.com/guerre-biologique-et-terrorisme-p-15.html

https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=322983307878518&id=281064805403702

http://ilfattoquotidiano.fr/les-laboratoires-us-de-guerre-biologique-a-lorigine-de-lepidemie-debola-en-afrique-de-louest-interview-de-francis-boyle/

 https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=322983307878518&id=281064805403702

 

Francis Anthony Boyle, né en 1950, est un professeur de droit international à la Faculté de droit de l'Université de Chicago.


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24 réactions à cet article    


  • ben_voyons_ ! ben_voyons_ ! 10 décembre 2014 20:15

    Bonsoir Victor,

    il manque un mot dans votre article, le mot drone.

    Des p’tits drones pour disséminer ce que l’on veut, biologique ou chimique, c’est sympa, non ?

    Pchittt !

    Tremblez, bonnes gens, la fin des temps est venue !


    • VICTOR Ayoli Victor 10 décembre 2014 22:50

      Effectivement !


    • Le Corbeau Magnifique Le Corbeau Magnifique 10 décembre 2014 20:24

      On peut offrir un virus Ebola à certains participants d’ici célèbres pour leur articles chiant leur censure et leur esprit obtus ?

       smiley


      • alinea alinea 10 décembre 2014 23:05

        Quel est le mobile du crime ?


        • tinga 11 décembre 2014 03:41

          Les noirs, c’est mieux que les rats de laboratoire pour faire avancer la science.


        • tinga 11 décembre 2014 03:39

          Soyons clairs, le mode de vie des américains n’est pas compatible avec sept milliards d’humains, tous les projets américains sont de ce fait orientés vers le génocide, c’est le fondement même de ce pays, prédation, destruction, racisme, sont les valeurs de l’Amérique.
          Leur volonté de s’imposer en Afrique ne présage rien de bon, le mode de vie occidental à un prix, exorbitant pour les nations ciblés.


          • VICTOR Ayoli Victor 11 décembre 2014 09:00

            C’est dur à dire comme à entendre mais c’est la sombre vérité.


            • howahkan Hotah 11 décembre 2014 09:37

              je n’y crois pas....ceux qui dissémineraient cela, sachant que de maîtrise il n’y a pas et n’y aura jamais, ces gens étant comme nous tous en gros c’est a dire vivant dans la peur et la terreur de la mort ne se risqueraient pas à propager un tel « truc » si il existait..de plus obamo ayant classé cela dans les pires craintes que l’humanité DOIT AVOIR avec celle de la russie.....par la bande on a la reponse que c’est du bidon total.......

              qu’il y ai ou pas des maladies, des virus etc etc est un sujet...la manipulation artificielle de tout cela étant éventuellement plus radicale qu’un conflit atomique mais surtout pour le cas totalement aléatoire, aux conséquences et à la propagation totalement imprévisible ..le dis ; sujet suivant..

              si c’était faisable en le contrôlant vu les déments qui ont pris le pouvoir, la grosse épidémie serait déjà la..

              cela dit merci du mot smiley

                Lire les 12 réponses ▼ (de Hermes, Jimmy, undefined, nicolas_d, VICTOR Ayoli, Ruut, ben_voyons_ !)

              • nicolas_d nicolas_d 11 décembre 2014 13:57

                Les américains ? S’attaquer au pavot ? La CIA va pas être contente !


                • scalino scalino 11 décembre 2014 17:04

                  « Pourtant on peut supposer qu’il continue à se répandre, à ravager, à tuer silencieusement ».

                  Oui oui vous supposez bien comme des milliers de maladies dans le monde dont beaucoup tue beaucoup plus efficacement et ravage beaucoup plus (polyo , sida , grippe ) , alors si c’est un projet ricain bah sont pas très doué la nature fait largement mieux .

                  Enfin bref me suis arrété a cette phrase là, c’est tellement ridicule comme affirmation que ça m’as donné envie de zapper aussitôt .


                  • ben_voyons_ ! ben_voyons_ ! 11 décembre 2014 22:40

                    Si vous voulez vous instruire, accessoirement vous procurer quelques frissons d’épouvante, je vous conseille la lecture de cette étude :

                    http://www.editionsarchipel.com/livre/les-armes-chimiques-et-biologiques/

                    Où l’on apprend des horreurs véridiques et sourcées de la part de presque toutes les armées du Monde.

                    Où est cité le fameux assassinat de Reinhardt Heydrich en 1942, l’opération « Anthropoïd » :

                    http://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Anthropoid

                    Wikipedia indique bien
                    - « Heydrich décède le 4 juin d’une septicémie provoquée par les crins de la sellerie de la voiture qui avaient pénétré dans ses blessures »
                    - mais note AUSSI
                    "Selon une hypothèse tout à fait marginale, développée par Patrick Berche dans son ouvrage L’histoire secrète des armes biologiques. Mensonges et crimes d’État (Éditions Robert Laffont, 2009, p. 65), Heydrich pourrait avoir été victime d’une arme biologique antipersonnelle, ce qui expliquerait son décès alors que le pronostic vital n’était pas engagé initialement. Il serait mort du botulisme provoqué par la toxine botulique mêlée à la couche de colle enduisant la grenade"

                    Où est la vérité ?

                    Jusqu’où un gouvernement peut-il aller pour éliminer un adversaire, un opposant ?

                    Lire la suite ▼

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