Trierweiler, la scandaleuse...

Voilà Valérie Trierweiler en tournée en Grande Bretagne, pour faire la promotion de son brûlot, Merci pour ce moment... Son livre doit sortir le 25 novembre en Grande Bretagne.
On est, pour le moins, gêné par cette campagne de promotion pour un livre dont le but est de vilipender le président de la République et de déballer une intimité qui aurait dû rester secrète...
"Ce n'est pas une vengeance, affirme-t-elle devant les caméras de télévision, c'est pour me reconstruire, moi."
Curieuse reconstruction qui passe par des confidences publiques ! Curieuse envie de promouvoir un livre à l'étranger !
Voilà une femme prête à tout pour vendre un livre d'une qualité plus que douteuse, avec des relents de dénonciation, des envies de régler des comptes...
D'ailleurs le journal britannique, The Guardian n'est pas tendre avec elle.
La journaliste Christina Patterson estime que l'ex-première dame a perdu tout "sens commun". Selon elle, son livre est "pénible à lire" et "pas seulement pour François Hollande".
Selon elle, il s'agit là d'"une série de clichés à couper le souffle trempés dans suffisamment de venin pour couler un gouvernement, sans parler de la narcissique prétentieuse qui semble avoir construit toute sa carrière autour d'un ego fragile", écrit-elle, avant d'asséner : "Si c'est cela que les Français appellent l'élite, que le Ciel vienne en aide aux pauvres !"
Valérie Trierweiler ose même affirmer "Il a fallu sept ans à Ségolène Royal pour pardonner. Il me faudra peut-être moins de temps".
A cette occasion, elle rappelle qu'elle n'a pas hésité à se laisser séduire par François Hollande, alors qu'il vivait en couple avec Ségolène Royal...
On perçoit une femme aigrie, avide de gains à travers cette promotion pour un livre qui lui a fait déjà gagner beaucoup d'argent....
Aucune pudeur, un déballage de la vie privée digne des plus mauvais romans : on est étonné par tant de haine, d'impudeur, de démesure.
Au fond, Valérie Trierweiler semble aimer le scandale : son attitude l'a montré à maintes reprises : on se souvient, par exemple, du tweet assassin à l'encontre de Ségolène Royal, en faveur de Falorni.
Cette femme semble avoir la vengeance chevillée au corps : elle ne pense qu'à elle, son attitude est scandaleuse.
Avec ce livre et cette promotion par delà les frontières, Valérie Trierweiler se décrédibilise elle même...
Le succès réservé à ce livre, aux relents de scandale, montre aussi un certain goût pour le voyeurisme, dans nos sociétés où la vie privée est étalée au grand jour, sur des réseaux sociaux comme Facebook.
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