Trump banni par le duo Twitter/Facebook
Allons-nous rester les idiots utiles de ces GAFAM ?
Au nom d'un invraisemblable processus électoral aux Etats-Unis pour élire le candidat des GAFAM, c'est-à-dire celui garantissant le "business as usual", en d'autres termes la poursuite de la mondialisation numérisée, Donald Trump est devenu le nouveau fascite interplanétaire.
La vertu et le code moral de bonne conduite de Twitter et de Facebook ont alors sonné immédiatement la charge contre l'impudent, que dire le forcené. C'est à mourir de rire ou plutôt à pleurer d'angoisse. Car le constat est amer. Pour la plupart d'entre nous ces réseaux sociaux n'ont pas de visage, à peine ont-ils une forme d'entreprise que nous ne comprenons pas vraiment. A en croire ce doux rêve d'un droit d'expression universel sans limite, on s'était habitué à imaginer ces jeunes youpies assis dans des canapés à boire des smoothies, à jouer au baby-foot, en somme jouer à travailler. Cela résonnait comme une promesse de ce nouveau paradis que le monde du numérique nous livrait à domicile, que dis-je dans votre poche ou au bout de votre main où que vous soyez, 24 heures sur 24.
Les grands sourires, le attitudes cool, les chemises blanches à col ouvert, de ces nouveaux dignitaires de la liberté avancaient sans aucun frein, prospérer sans limites, prenaient possession de notre temps de cerveau disponible et tout cela sans que personne ne s'inquiète vraiment mise à part une "bagatelle" d'impôts échappant à nos gouvernants. Un nouvel ordre mondial se déployait sous notre nez, à l'insu de notre plein grè.
Et puis le grand soir, ou plutôt le grand jour, le 6 janvier 2021 à Washington nous a été servi. Le Capitole, emblême de la nation qui se veut la première démocratie au monde, aurait été attaqué par des fascites trumpiens. Voilà le raccourci exemplaire que les médias asservis aux Démocrates américains ont distillé et que nos chers journalistes français ont repris en coeur sans sourciller le moins du monde. Il était ainsi gravé non plus dans le marbre mais dans le silicium des puces électroniques que la ligne rouge avait été franchie par l'incontrôlable Trump ameutant ses hordes d'insurgés à piétiner les fondements même de la démocratie. Mais que se passait-il réellement à l'intérieur du Congrés ? Des sénateurs avaient été triés par Madame Pelosi pour exercer une parodie de débat contradictoire sur les objections qu'une dizaine de sénateurs Républicains avaient eu le courage de présenter. Leurs documents en nombre devant eux ne furent bien sûr pas examinés le moins du monde. Le dialogue de sourd fut consternant. Aux faits précis de fraude énoncés par ces fidèles à Trump, un sénateur Démocrate se levait et disait tout simplement qu'il n'y avait pas eu fraude sans bien sûr oser répondre point à point sur les arguments prononcés. Une sénatrice Démocrate de Califormie osera même déclamer que ce furent les élections les plus honnêtes que les Etats-Unis aient jamais eues.
Les juges avaient bloqué les procédure. La Cour Suprême était dépassé par la nature de l'enjeu. Les jeux étaient faits ! Les problèmes de sécurité des machines à voter de Dominion, les innombrables faux bulletins de vote rajoutés dans certains comtés des Etats clés comme la Pennsylvanie, le Colorado, la Virginie, le Wisconsin, etc... les blocages faits aux observateurs Républicains dans les bureaux de vote dans la nuit du 3 au 4 janvier, les listes électorales rassemblant des électeurs décédés ou inexistants dans le territoire, tout cela a été placé sous l'éteignoir par les médias américains avec la complaisance des journalistes occidentaux. Trump et ses avocats étaient alors suivis à la culotte par Facebook et Twitter. La presse française comme par hasard ne jouait plus à se moquer des Twitts de Donald Trump. Dans les coulisses, les intérêts des grandes loges, des fortunes personnelles, des carrières à protéger furent attisés au plus haut point pour retourner ou au mieux neutraliser le plus de troupe dans le camp des élus Républicains, Mitt Romney el le clan Bush en tête. En somme nous n'étions informés de rien en pensant que nous l'étions pleinement. Avoir accès aux discours et séances en live fut un vrai parcours du combattant. Mais entre ce que je voyais et entendais sur PBS America entre autres me foutait la gueule de bois dès le lendemain quand j'entendais "France Inter" orchestrer la plus incroyable désinformation jamais faite.
Et lorsque les objections sur la validité des grands électeurs de Joe Biden furent balayées les unes après les autres sur la forme et non sur le fond, que Madame Pelosi salua du coude Mike Pence pris dans la tourmente de la loyauté envers son Président Donald Trump et probablement des lobbies ultra-puissants, la messe fut dite. Ces messieurs du monde digital profitèrent d'un utlime Twitt du Président encore en fonction en faveur de ses supporters appelés émeutiers fascites par toute la presse occidentale, pour s'auto-proclamer censeur et gardien de ladite démocratie. Facebook et Twitter banissaient Donald Trump de leurs plateformes !
Et nous avons pu lire à propos du compte @realDonaldTrump : Twitter suspends acounts which violate the Twitter rules.
Comme je le disais voir l'entreprise et non pas le réseau social Twitter s'arroger tout à coup une chaste et soudaine envie de réglementer l'essence même du droit d'expression sur le dos de Donald Trump est une fantastique surpercherie après toutes les dérives les plus intolérables véhiculées par ces réseaux sociaux que cela soit au titre de la pornographie, de la propagande en tous genres, de l'apologie de toutes les doctrines possibles y compris malheureusement les thèses terroristes. Que Twitter et Facebook balayent déjà devant leurs portes avant de vouloir nous faire croire à une opération de sainteté moralisatrice.
Non,le seul problème dans cette histoire, que j'avais déjà évoqué dans un de mes articles "Aux USA assistons-nous à une tentative de Cyber-Coup d'Etat du 30/11/2020, c'est la triste réalité que ces organismes ont bien pris le contrôle de nos destinées. Twitter et Facebook savent tout de nous et orchestrent selon leurs propres stratégies ce qui doit être absolument vu et ce qui doit être noyé et maintenant ce qui doit être interdit. Tant qu'il était question d'un livre, d'un tableau, d'une petite entreprise, d'une petite opinion que le monde numérique ne promotionneraient jamais, nous imaginions que c'était une question de renommée, de talent ou de qualité. Il n'y avait rien de grave. Mais le 6 janvier, pour ceux qui ont résisté à la duplicité de nos médias, nous nous sommes retrouvés en plein jour au beau milieu d'une démocratie leurrée. Joe Biden a des casseroles plein les poches, les clans Obama, Clinton trempent dans les mêmes systèmes d'enrichissement personnel au travers de fondations et de réseaux de soutiens pour faire élire des députés, des sénateurs, des juges, des procureurs,
Le bannissement de Trump sera notre croix à tous, idiots utiles de Twitter et de Facebook tant qu'une réaction ne s'opérera pas. Les preuves des fraudes des élections américaines sont dans des dossiers qui peut-être demain seront enfin ouverts par des juges suffisamment indépendants. Trump se rangera-t-il ou ouvrira-t-il une autre voie face à ces GAFAM qui viennent de faire la preuve qu'ils sont devenus les maîtres du monde puisqu'ils ont installé leur marionnette Joe Biden comme à la plus belle époque du Muppet Show afin que le business continue de plus belle et que ces Messieurs et Mesdames veillent à ne pas leur fourguer des concurrents dans les pattes !
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