Truvada : jackpot pour Gilead, enfer à venir pour les gays séronégatifs
A plus de 27 dollars la pilule, l’antirétroviral (ARV) Truvada fabriqué par Gilead Sciences Inc. rapporte gros. Approuvé en 2004 par la FDA en tant qu’ARV pour les séropositifs, cette même FDA vient d’approuver, en “expedited” (cad avec un minimum de tests et, sans doute, un maximum de corruption) l’usage du Truvada en tant que médicament préventif pour les plus susceptibles, de part leur “style de vie” (cad essentiellement les homosexuels mâles), de devenir séropositifs. Cela ouvre évidemment d’intéressantes perspectives commerciales, car au rythme d’une pilule par jour ça fait tout de même au bas mot 10 000 dollars US par an par gay qui serait convaincu de l’utilité de cette médication. Même sur une estimation plutôt basse du nombre de gays aux USA de l’ordre de 2 millions, avec un taux d’accroche de 10% seulement cela ferait tout de même un chiffre d’affaire supplémentaire annuel de 2 milliards de dollars ! Et si on extrapole à la planète gay dans son ensemble…
Si encore cela servait réellement à quelque chose, mais d’une part si vous suivez ce blog vous êtes au courant des arguments qui démontrent que le VIH, s’il existe, n’est pas la cause du Sida et d’autre part, même la très orthodoxe AIDS Healthcare Foundation, une association qui prend en charge les personnes atteintes du Sida, s’est fendue d’unvirulent communiqué au sujet de cette annonce, signé par son président Michael Weinstein :
“L’approbation par la FDA du Truvada de Gilaed en qualité d’anti-VIH préventif, sans l’obligation d’un test VIH préalable, est irresponsable et causera un retour en arrière des efforts de prévention. Depuis le début nous croyons qu’il y a eu une ruée vers une décision de la part d’officiels du gouvernement et d’ailleurs, en faveur de cette approbation malgré des résultats d’études très mitigés. Et alors que la FDA recommande un résultat de test séronégatif avant toute prise de Truvada en mode préventif, et stipule que cet usage pour des personnes de statut séropositif ou indéterminé est contre-indiqué, ce test n’est pas obligatoire – la FDA ne fait que renforcer l’avertissement sur l’emballage du produit. Cette action de la FDA révèle une négligence à la limite de l’abus (malpractice) qui résultera en de nouvelles infections, une résistance accrue (à ce type de médicament , ndt) et de sérieux effets secondaires pour de très nombreuses personnes.”
Weinstein fait ainsi ressortir plusieurs problèmes, n’ayant bien sûr rien à voir avec le problème fondamental de la cause réelle – et du traitement – du Sida, mais néanmoins révélateurs de l’arnaque en cours :
D’une part les résultats mitigés des études s’efforçant de démontrer l’efficacité du Truvada. Etudes probablement bidon (voir l’article Sciences de la vie, dangers mortels ?) mais dont les résultats ont quand même obligé la FDA et Gilead de préciser que “le Truvada seul ne doit pas être utilisé en tant que préventif anti-VIH (et pourtant c’est bien à ce titre qu’il est vendu, ndt) mais doit être combiné avec d’autres pratiques de safe sex.” Par “autres pratiques”, hors le préservatif je ne vois pas très bien – et d’ailleurs c’est bien ce que dit Fauci, pour qui les “autres pratiques” sont le préservatif, le conseil en réduction des risques (autrement dit, porter un préservatif) et les tests de séropositivité. On pourrait naïvment se poser la question de savoir à quoi peut servir un médicament à 10 000 dollars par an s’il ne “fonctionne” qu’avec un préservatif, lui-même censé réduire le “risque d’infection” de près de 100% pour un coût infiniment moindre… Mais, comme le disait le Grand Jacques, chez ces gens-là on ne cause pas, on compte.
Ce qui mène au second problème soulevé par Weinstein, l’attitude qu’auront les personnes à risques : tout comme le passage de l’AZT à forte dose aux tri-thérapies a transformé le Sida d’une maladie fatale en une maladie chronique (et surtout infiniment plus rentable) et ce faisant lui donnant une image de “pas si grave que cela, on en meurt plus” associé à une recrudescence des rapports non protégés, l’accès à un Truvada “préventif” aura probablement pour effet que des gens prendront plus de risques (cad plus de rapports non protégés) en se croyant “couverts” par leur prise journalière de Truvada. Ce qui, dans la logique virale du Sida, ne peut que mener à une recrudescence des contaminations vu que le Truvada seul ne sert à rien, de l’aveu même de la FDA et de Gilead. Mais pas de problème pour Gilead, c’est tout bénéfice : plus de contamination = encore plus de séropositifs à traiter par… le Truvada, entre autres.
Et pour terminer Weinstein s’inquiète, à très juste titre, des effets secondaires inhérent à ce médicament. Même s’il est possible de justifier, dans une certaine mesure et dans certains cas, l’utilisation d’ARVs tel le Truvada pour des personnes séropositives, c’est sans doute impossible pour des personnes séronégatives et, a priori, en relativement bonne santé. Bonne santé qu’ils risquent désormais de ne pas garder très longtemps, et cela n’aura rien à voir avec le VIH. Comme quoi la création sans fin de nouveaux problèmes médicaux fait bien partie du “business model” de l’industrie pharmaceutique…
24 réactions à cet article
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@AUTEUR/Vincent Verschoore
Vous dites : « cette même FDA vient d’approuver, en “expedited” (cad avec un minimum de tests et, sans doute, un maximum de corruption) »
[...]
« et de sérieux effets secondaires pour de très nombreuses personnes »
Hélas...Vous dites : « et pourtant c’est bien à ce titre qu’il est vendu, ndt »
Comme quoi l’arnaque est bien là... !Vous dites : « Mais, comme le disait le Grand Jacques, chez ces gens-là on ne cause pas, on compte »
+1 Mortel
Vous dites : « une recrudescence des rapports non protégés »
Voire même l’affirmation que l’on peut en guérir !Vous dites : "Mais pas de problème pour Gilead, c’est tout bénéfice : plus de contamination = encore plus de séropositifs à traiter par… le Truvada, entre autres."
Ca fait humour noir, mais c’est la triste vérité !Pour compléter :
FDA :
Questions and Answers on Emtricitabine 200 mg/Tenofovir Disoproxil (marketed as Truvada)
Emtricitabine 200 mg/Tenofovir Disoproxil Fumarate (marketed as Truvada) InformationTruvada approved to reduce the risk of sexually transmitted HIV in people who are not infected with the virus
L’info officielle sur la FDA : FDA approves first drug for reducing the risk of sexually acquired HIV infectionAIDS - Is Truvada the Cure ? - YouTube [On y répond qu’au Kenya c’est le cas !]
Sida : Truvada la fin de la capote ?
Mon avis
Toujours excellent en matière d’article.
Je ne fais pas partie de ceux qui parlent la langue de bois.
Leo Le Sage ne mange pas de ce pain là.
Ces criminels ne reculent vraiment devant rien.
En cherchant l’aspect positif de la chose, apparemment donc un gars de cette société a trouvé le moyen génial de faire passer sa pilule aussi bien à la FDA (corruption dans le texte) qu’au reste du monde.
J’ai l’impression depuis déjà hier que c’est une trouvaille [genre miracle]. J’ai trouvé çà louche.
Tout à coup je me pose soudain la question s’il n’y a pas un audit sur cette FDA qui pourrait être envisagé...Comme vous le dites si bien en conclusion, ils [ceux qui prendront ce médicament] tomberont malades de tout ce qu’on voudra mais pas du sida à cause de ce médicament.
Et ce « business model » n’est pas un modèle mais une forme de génocide autorisée par la très sérieuse FDA.
Oh pardon, pour ma colère mais, la plupart des êtres humains n’ont pas la chance d’être bien informés donc nécessairement beaucoup tomberont dans le panneau.J’appelle çà un poison pour l’humanité !
Cordialement
Leo Le Sage-
Vincent un article avec deux vidéos [et deux liens vers deux autres vidéos] pour être encore plus complet :
Le truvada : une tentative de prévention contre le SIDA ?
Cordialement
Leo Le Sage -
bonjour Vincent
Tu l’as connaissais celle-là. Des aiguilles retrouvées dans des sandwichs sur delta air lines, quelques piqûres et traitement au truvada.-
Oui, j’avais vu cela :) Le type a eu la chance de ne pas crever en bouffant des aiguilles, et maintenant il va lui falloir résister au Truvada.
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’une part si vous suivez ce blog vous êtes au courant des arguments qui démontrent que le VIH, s’il existe, n’est pas la cause du Sida
Non non et non.
Ne venez pas mélanger vos délires négationnistes avec le problème réel posé par le truvada, que vous exposez par ailleurs très justement. ne confondons pas tout.
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« »La communauté scientifique, dans sa grande majorité, considère que les preuves que le VIH cause le sida sont concluantes, et rejette ces théories, qui sont, pour elle, négationnistes et essentiellement basées sur des arguments pseudo-scientifiques et des théories du complot."
Mascarille, elles sont où ces preuves ???
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tout comme le passage de l’AZT à forte dose aux tri-thérapies a transformé le Sida d’une maladie fatale en une maladie chronique (et surtout infiniment plus rentable)
Bah c’est quand même un progrès, non ? Merci pour ceux qui sont toujours vivants, au fait, ils vous passent le bonjour.
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@Kiouty
Erreur d’interprétation, si je puis me permettre : Quand je dis « tout comme le passage de l’AZT à forte dose aux tri-thérapies a transformé le Sida d’une maladie fatale en une maladie chronique (et surtout infiniment plus rentable) », je veux dire que c’est l’AZT qui tuait les séropositifs. les tri-thérapies ne les tuent pas, ou du moins beaucoup moins rapidement.Et concernant les « délires négationnistes », renseignez-vous au lieu de proférer de stupides insultes. Mais j’admets que se renseigner, sur un tel sujet, implique des dizaines d’heures de recherche et de lecture pour comprendre réellement le problème. Ca demande un effort critique peu compatible avec la facilité de la simple croyance au message de ceux qui gueulent le plus fort. -
@Mascarille,
« La déclaration rappelle que les preuves que le VIH cause le sida sont claires, exhaustives et non équivoques. »Certes. Mais où sont-elles, ces preuves ? Nulle part. Par contre ce que l’on sait, c’est que le VIH n’a jamais été isolé, sa prétendue infectiosité par voie sexuelle est une fiction (voir l’étude Padian), son dépistage n’est pas spécifique. Rien que cela devrait suffire à générer quelques doutes, mais bon... -
Déclaration de Durban... si ces chercheurs voulaient conserver leurs subventions, il fallait bien qu’ils signassent.
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@Ursulin,
Vous inversez la charge : si je dis que tel virus a telles caractéristiques et induit telle maladie, c’est à moi de le prouver. Pas à vous de prouver le contraire, sauf éventuellement si je me refuse à apporter des preuves de ce que j’avance mais que j’ai les moyens marketing pour vendre mon point de vue malgré tout. L’industrie du VIH n’a jamais prouvé ses hypothèses d’existence et de causalité infectieuse entre un rétrovirus et le Sida. C’est pour cela que ses recherches n’aboutissent à rien, le postulat de départ étant faux. Elle a juste créé des antibiotiques (les ARVs) qui s’attaquent aux symptômes de la déficience immunitaire (les infections).Mais comme la déficience immunitaire existe, il faut bien qu’il y ait des raisons - et ces raisons sont depuis 30 ans étudiées par un petit nombre de scientifiques et de médecins, hors du système de l’argent facile lié au VIH, qui démontrent que le stress oxidatif (du notamment à la prise de drogues, à la malnutrition, au stress) induit effectivement un état de déficience immunitaire. En Occident, le Sida fut au départ la résultante de l’épidémie de prise de drogue ayant commencé aux USA au début des années 70 (avec les GIs de retour du Vietnam) et ayant explosé dans le milieu homosexuel « fast-track ». 10 ans après, ces gens-là commençaient à tomber comme des mouches à cause de la destruction de leur système immunitaire.Luc Montagnier lui-même insiste sur l’importance de ce stress oxidatif, allant jusqu’à dire qu’un système immunitaire en bon état peut se débarrasser tout seul du VIH.Mais, malheureusement, plutôt que de confronter le vrai problème du style de vie des populations touchées, l’establishment a préféré inventer un virus car c’était utile politiquement (la politique de la peur ne date pas de Bush) et surtout il y avait des milliers de « chercheurs » ayant passé des années à traquer d’hypothétiques virus du cancer, n’ayant rien trouvé, et qu’il fallait recaser sans perdre la face.Bon là je vous la fait courte de chez courte, mais en gros c’est l’énoncé du problème. -
Question à Vincent :
J’ai lu 2 de vos articles, je trouve votre point de vue intéressant. Une recherche sur ggogle m’a envoyé sur différents sites, dont celui-ci : http://www.sidasante.com/edh/edhvih.htm
Quel crédit apportez-vous à l’auteur, à ce message et à la biblio citée ??
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Etienne de Harven (docteur en médecine) a travaillé en microscopie électronique au Kettering Hospital de New York, où il a fait d’innombrables photos de virus.
Il se réfère aux principaux officiels français, allemands (Montagnier, Barré-Sinoussi, Gluschankof,...) ainsi que certains chercheurs dissidents (docteurs, voire professeurs de médecine) : Turner, Lanka,...
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Que faites-vous de ceux qui ont le SIDA sans entrer dans la catégorie « drogué », comme les hémophiles ?
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Ici on peut essayer de raisonner de manière logique. Mais ce que j’avance reste encore à valider.
En effet, selon ce document :http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/14681238
les oxydants azotés tels les peroxynitrites favorisent la formation du caillot. On peut donc en conclure que les composés capables de favoriser la coagulation ont un lien avec la formation de ces peroxynitrites.
Or il y a également un lien entre les peroxynitrites et le « VIH », comme le montre Aquaro.
Conclusion : les agents permettant d’éviter l’hémophilie peuvent peut-être bien avoir le même effet que le fameux « VIH ». -
@Usuline : Vous voulez quelqu’un qui remet en cause l’approche virale du SIDA et qui a un diplôme ? Tiens : Luc Montagnier Médecin diplômé (il parait), Prix nobel de Médecine en 2008 et accessoirement co-découvreur du SIDA : http://www.dailymotion.com/video/xbrwl7_urgent-sida-luc-montagnier-avoue-on_news
Du coup, votre commentaire est ridicule : renseignez-vous avant de poster : vous n’avez pas la science infuse et encore moins reçue par les infos de manière passive i.e. par la propagande du lobby pharmaceutique. Il faut faire l’effort de passer une dizaine d’heures pour commencer à comprendre l’ampleur du mensonge : tests HIV aléatoire, trucage des première études à grande échelle dans les années 80 (voir etude Concorde qui contre les premières études à l’aveugle etc.), aucune photo d’un virus HIV n’a jamais été faites dans un échantillon de sang d’un séropositif, etc etc.
Regardez houseofnumbers pour commencer, et revenez nous parler après.
A bon entendeur.
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Comme le dit Jean Umber, De Harven est un spécialiste de l’identification par microscope électronique, a beaucoup travaillé sur le virus de la leucémie, et à même présidé un temps l’association américaine Electron Microscopy Society of America. Il a publié de nombreux articles sur le sujet du VIH et co-écrit un bouquin assez sympathique, « les 10 plus gros mensonges sur le Sida » publié chez Dangles. Il maintient qu’il n’existe aucune image représentant le VIH. Les images présentées par Montagnier puis Gallo ne sont pas des virus mais des « particules de type viral », ce qui n’est pas du tout la même chose. En virologie « normale », cad hors VIH, on utilise le microscope électronique pour identifier de visu les virus et s’assurer qu’il s’agit bien de virus et non pas de débris, les fameuses « particules de type viral ». Ceci n’a jamais été fait pour le VIH. Montagnier à toujours admis que le virus n’a jamais été purifié, donc jamais isolé. Pire encore, le scientifique chargé par Gallo de réaliser les photos au microscope électronique de ce que Gallo disait être un rétrovirus, un certain Dr Matthew Gonda, patron ( à l’époque) du laboratoire de microscopie électronique du National Cancer Institute, à clairement indiqué à Gallo que les échantillons fournis n’étaient en rien des rétrovirus mais de simples débris cellulaires (voir : http://www.omsj.org/wp-content/uploads/Mika-Gonda-Gallo_no_HTLVem.jpg).Gallo est passé outre, à publié ses 4 fameux articles fondateurs dans Science avec des photos de débris vendus comme étant the virus, et la machine était lancée.D’ailleurs la version original de ces articles est due à Popovic, assistant de Gallo (et récipiendaire de la lettre de Gonda), et il y écrivait que rien de démontrait l’existence d’un rétrovirus associé au Sida. Gallo a tout simplement réécrit les textes à sa sauce, tellement il était convaincu (à juste titre) que les médias et l’establishment allaient le suivre, peu importe ce qui pouvait dire la vraie science. Sa seul précaution fut de dire qu’il avait découvert la « cause probable du Sida », mais dès le lendemain le mot « probable » avait déjà disparu des écrans.Il faut savoir que Gallo était par ailleurs connu comme étant un fraudeur patenté, ayant fait de fausses déclarations dans le cadre de ses recherches sur le cancer, et en 1992 il fut accusé par le Federal Office of Research Integrity de fraude au sujet de l’isolation du VIH : http://query.nytimes.com/gst/fullpage.html?res=9F0CEFDA103DF932A05751C1A964958260&pagewanted=all -
@Mascarille
À noter une tendance à la fausse séropositivité au VIH chez les multiparesVous pouvez expliciter ? -
Il peut être intéressant d’approfondir ce lien :
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la plus grande pharmacie du monde se trouve dans la forêt amazonienne
mais elle vas bétot fermer cause déforestation-
Je conclus de ce article qu’il faut absolument interdire les médicaments, proto-vaccins et plus largement toute recherche sur les traitements du sida,
Et en plus ça libérera les nombreux policiers, ceux qui forcent un tas de gens à avoir des rapports non protégés.
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Si on veut bien analyser le mode réactionnel du truvada (combinaison de FTC - emtricitabine et de ténofovir) selon les critères exposés par Luc Montagnier, à savoir que le sida est associé à un stress oxydatif, on peut légitimement accepter que cette combinaison diminue fortement la « charge virale », car ses deux constituants sont des réducteurs chimiques puissants.
Cependant, autant le FTC comporte deux liaisons soufre - carbone que le métabolisme cellulaire sait bien gérer sans qu’il y ait trop de toxicité, autant le ténofovir comporte-t-il une liaison carbone - phosphore, qui est inconnue de ce même métabolisme.On retrouve cette liaison dans plusieurs composés dont la particularité est également d’empêcher la formation d’ADN, et en particulier dans le glyphosate, constituant principal du roundup.
Il serait temps que les biochimistes analysent de façon détaillée la manière dont est métabolisé le ténofovir et en arrivent à interdire ce type de composé dans la santé humaine.
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Gilead Sciences dont Donald Rumsfeld fut président du conseil d’administration de Janvier 1997 à Janvier 2001.
Le scandale du Tamiflu, acheté massivement pendant la pandémie de la grippe aviaire alors que toutes les études sérieuse démontraient son inefficacité, aurait permis à Rumsfeld de faire un plus-value entre 2.5 million et 15.5 million de $ :https://fr.wikipedia.org/wiki/Donald_Rumsfeld#Tamiflu
https://en.wikipedia.org/wiki/Gilead_Sciences#HistoryAvec la nouvelle indication du Truvada, va-t-il réaliser son reve de toucher le jackpot ?
Rumsfeld fut également PDG de Searle, qui avait été à l’origine de la découverte de l’aspartame, addictif alimentaire le plus controversé de l’histoire :https://fr.wikipedia.org/wiki/Aspartame#Controverse
Toutes ces histoires ont un point commun : elles sentent mauvais.
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Pour moi, GILEAD, c’est surtout Ronald Rumsfeld, ainsi que toute sa bande de Republicains du GOP.
In January 1997, Donald Rumsfeld, a Board member since 1988, was appointed Chairman of the company.[4] He stood down from the Board in January 2001 when appointed United States Secretary of Defense at the start of George W. Bush’s first term as President. Federal disclosure forms indicate that Rumsfeld owns between US$5 million and US$25 million in Gilead stock. The rise in Gilead’s share prices from US$35 to US$57 per share will have added between US$2.5 million to US$15.5 million to Rumsfeld’s net worth.[5]
http://en.wikipedia.org/wiki/Gilead_Sciences
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