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Accueil du site > Tribune Libre > Un avenir terrifiant pour les abeilles : les drones...

Un avenir terrifiant pour les abeilles : les drones...

Aux Etats Unis, plus précisément à Harvard, des chercheurs imaginent un avenir terrifiant pour les abeilles : les remplacer par des drones.

On le sait : depuis des années, des colonies entières d'abeilles disparaissent. Les pesticides, les prédateurs comme le frelon asiatique, des parasites, le changement climatique sont à l'origine de ce déclin. Une véritable catastrophe écologique se prépare... et plutôt que de prendre le problème à la racine, certains se lancent dans des projets monstrueux : utiliser des machines, à la place des abeilles.

 

Il est vrai que le problème est grave et lourd de conséquences : sans les abeilles, la pollinisation n'est plus possible, sans les abeilles, de nombreux végétaux sont voués à la disparition, sans les abeilles, les hommes et tous les êtres vivants sont menacés.

Mais la solution envisagée pour résoudre cette catastrophe semble relever d'un film de science fiction... des recherches sont bel et bien menées pour fabriquer des armées de robots-abeilles.

Un scénario terrible, quand on y pense : de nombreuses espèces ont déjà disparu de notre planète et au lieu de songer à préserver les abeilles, on envisage de les remplacer par des robots.

 

Les lobbies des pesticides ont-ils commandité ces recherches ? On peut facilement le penser...

Le commerce des pesticides prospère et envahit la planète : bientôt, l'eau, l'air, la terre seront irrémédiablement pollués par ces produits toxiques.

La folie, l'appât du gain conduisent au pire.

Plutôt que de limiter l'emploi des pesticides pour préserver l'avenir des abeilles, on préfère construire des robots.

 

Ce projet ne préfigure-t-il pas l'avenir terrible de l'espèce humaine ? L'homme entouré de robots, dominé par des machines est-il lui-même voué à l'extinction ?

Une extinction qu'il prépare sciemment, une extinction qui viendra inéluctablement quand la plupart des autres espèces vivantes auront été éradiquées.

 

Dans bien des domaines, l'homme joue à l'apprenti-sorcier... il dénature la planète, la détruit avec des objectifs peu reluisants : le profit, une course perpétuelle au rendement.

Ce projet fou, démentiel en est l'illustration parfaite : il démontre, encore une fois, que des scientifiques se livrent à des expériences monstrueuses, dangereuses.

Ce faisant, ils servent les grandes firmes qui produisent des pesticides : Monsanto, Bayer, BASF, Syngenta... Les lobbies chimiques n'ont pas fini d'oeuvrer pour la destruction de notre planète.

La seule solution valable est de préserver la nature afin de sauver des insectes qui sont indispensables à la vie sur notre planète...

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/planete/20161028.OBS0441/les-abeilles-remplacees-par-des-drones-harvard-y-travaille.html

 

Le blog :

http://rosemar.over-blog.com/2016/11/un-avenir-terrifiant-pour-les-abeilles-les-drones.html

 

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34 réactions à cet article    


  • Alren Alren 3 novembre 2016 15:08

    Ce projet est complètement utopique, rassurez-vous !
    C’est aussi illusoire que de coloniser la planète mars !

    Un drone de la taille d’une abeille devrait embarquer un ordinateur ultra-miniaturisé, ainsi qu’une source d’énergie forcément électrique lui permettant de parcourir sans escale 2 km et se rechargeant instantanément à la « ruche-base ».
    Et il faudrait en fabriquer des millions avec des pertes dans la nature inévitables et la pollution que cela représenterait ... N’en jetez plus !
    La nature est encore devant nous techniquement dans la miniaturisation.

    Une solution serait de modifier génétiquement les abeilles pour les rendre insensibles à nos pesticides. Mais là aussi, il y a loin de la coupe aux lèvres.


    • Albert123 3 novembre 2016 16:54

      @Alren


      c’est la fonction 1ere du capital que de remplacer ce que la nature offre gratuitement par un produit manufacturé, payant et imparfait sinon bourré de défauts.

      une fonction que les trans humanistes valident totalement.

      les fondeurs annoncent des puces grand public gravées en 8 nanomètre d’ici 5 ans, on sait déjà comment recharger des micro drones avec l’électricité statique.

      par ailleurs polliniser la flore avec des drones on en parle depuis déjà 2012-2013.

      il existe déjà des courses d’objet nanométrique.

      après vous avez le droit de vous voiler la face, c’est le seul chemin pour l’illusoire bonheur. mais ça n’empêchera pas l’humanité d’avoir sacrément mal au cul lorsqu’elle va se réveiller (si tant est qu’elle se réveille avant de disparaître)


    • rosemar rosemar 3 novembre 2016 16:58

      @Alren

      En tout cas, des chercheurs travaillent sur ce projet, ce n’est pas par hasard.
      Ces abeilles pourraient fonctionner à l’énergie solaire, d’après ce que j’ai lu....


    • mmbbb 3 novembre 2016 20:03

      @rosemar vous me preniez pour un idiot l autre jour . Mais votre histoire de robot est completement ridicule et illusoire et vous etes comme un journaliste de paris match vous faites dans le sensationnel . Je veux croire a la rigueur que ces robots abeilles puissent oeuvrer dans un endroit confine et limite dans l’espace comme dans une serre . Quant a polliniser un champ entier de colza par exemple comment vont operer les ingenieurs en sachant qu il faudra un supercalateur pour modeliser le comportement de ces insectes artificiels. en rentrant tous les parametres ( vent, detecter les plantes ayant du polen calcul des incertitudes collision etc etc ) le cout n’est pas indiqué . Quand par exemple dans certaines regions de France ou les landes doivent etre preservee , les decideurs ont trouve un super robot a quatre pattes ; les vaches de Highland . Des projets farfelus vous pouvez en trouver, les ingenieurs ne sont jamais en manque d’imagination comme celui ci envoyer des milliers de miroirs dans l’espace afin de limiter le rayonnement du soleil et de facto le rechauffement de notre planete En revanche comme vos abeilles aucunes etudes sur le cout reel et la faisabilité de tel projet . Un non specialiste qui vous repond 


    • eau-du-robinet eau-du-robinet 4 novembre 2016 03:13

      Bonjour Alren,
      .
      Et il faudrait en fabriquer des millions ...
      .
      Beaucoup plus ....
      .
      Chaque hiver, 2200 semi remorques pleines de ruches soit 10 milliards d’abeilles sont amenées en Californie à un prix d’environ 140 € par ruche et à raison de 4 à 6 ruches par hectare.
      http://www.consoglobe.com/fin-abeilles-fin-monde-1736-cg
      .
      Alors si on à besoin de 10 milliards d’abeilles pour couvrir seulement la Californie, alors combien faudrait t-il pour le monde entier ?
      .
      Je suis d’accord avec vous « pour le moment » c’est complètement utopique et j’ajouterai surtout effrayant, car à ce stade qui empêche un état d’utiliser ses mini drones pour espionner voir surveiller sa population ?
      .
      Par contre dans un future (moyen) je pense qu’il sera possible de créer des mini drones grâce à la nanotechnologie
      .
      Puis qui empêche un état d’équiper ses mini-drones « abeilles » avec un poison mortel et les lâcher dans une zone de conflit (guerre) sur le champ adversaire ?
      Regardez cette vidéo :
      https://www.youtube.com/watch?v=z78mgfKprdg
      .
      voire aussi
      http://www.robots-et-compagnie.com/robot-espion-et-drone-espion/
      .
      etc. etc.
      .
      Bonjour le dégât !


    • cathy cathy 4 novembre 2016 08:41

      @Robert Lavigue
      Oui tout ça pour ça : 

      « En parlant de robots-tueurs, nous ne devons pas penser à Arnold Schwarzenegger dans « Terminator », mais plutôt aux milliers de drones de trois à quatre centimètres de diamètre, dont chacun est équipé d’un gramme d’explosifs. C’est une charge suffisante pour percer un crâne humain. Ces drones sont programmés pour chercher, détecter et éliminer des milliers d’objets », a déclaré le professeur d’informatique de l’université de Californie à Berkeley, Stuart Russel, cité par le journal suédois Aftonbladet.

      En savoir plus : https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201610301028447820-armee-robots-tueurs-deux-ans/

    • Alren Alren 4 novembre 2016 12:38

      @Albert123

      c’est la fonction 1ère du capital que de remplacer ce que la nature offre gratuitement par un produit manufacturé, payant et imparfait sinon bourré de défauts.

      Vrai, sauf si le retour sur investissement est insuffisant.

      Or des drones à la place d’animaux ne rapporteraient assez par rapport à un coût de fabrication très élevé compte-tenu des performances extrêmes qu’ils devraient avoir en terme de conduite autonome.

      En effet, ils devraient reconnaître les fleurs dans lesquelles ils plongeraient un appendice, sans la détruire (!), pour, après frottement sur les étamines, emporter le pollen ainsi recueilli vers une autre fleur et l’y déposer sans abîmer non plus celle-ci.

      Bien entendu pour ne pas s’autoféconder, les fleurs des arbres fruitiers pas exemple n’ont pas un pistil réceptif quand les étamines répandent leur pollen. Pour son travail, l’abeille utilise son flair. Mais jusqu’à présent on ne sait pas fabriquer de nez artificiel encore moins le miniaturiser. Ce qui sera(it) pour ces drones un handicap insurmontable.

      Supposons cependant ces problèmes résolus.

      Les drones sont lâchés dans la nature par leur propriétaire, qui paiera pour le service rendu par eux ? Car ils risquent de fertiliser plusieurs propriétaires qui pourront dire qu’ils n’ont rien demandé, ce qui sera vrai, qu’ils existent encore des insectes pollinisateurs (il n’y a pas que les abeilles) et ne voudront rien payer !

      Et puis combien des ces drones seront perdus de pannes, d’accidents ? Combien seront volés sur leur parcelle par des propriétaires indélicats ? Combien ne sauront pas le soir rentrer comme les abeilles à la « ruche »  ?

      Un groupe d’ingénieurs confrontés à toutes ces difficultés conseilleront aux commanditaires d’abandonner un tel projet.

      une fonction que les transhumanistes valident totalement.

      Bof ! Ces gens-là causent mais je préfère les auteurs de science-fiction, de même que je préfère les prestidigitateurs qui ont une astuce pour nous bluffer et méritent nos applaudissements à ceux qui prétendent posséder - comment disent-ils ? - des pouvoirs « supranormaux ». Ceux-là nous prennent pour des imbéciles et méritent notre mépris.

      les fondeurs annoncent des puces grand public gravées en 8 nanomètres d’ici 5 ans

      Cela ne suffira pas pour équivaloir au cerveau d’une abeille qui fonctionne en réseau de neurones dès l’acquisition d’image au niveau des yeux composés. Ce que nous ne saurons pas faire d’ici 5 ans, le calcul massivement parallèle étant encore un échec malgré les rêves et les promesses faites il y a vingt ans.

      , on sait déjà comment recharger des micro drones avec l’électricité statique.

      Le problème n’est pas dans la technique de chargement (je pense plutôt qu’il s’agit d’induction magnétique en l’occurrence) mais dans la durée du chargement ainsi que la tension qui règne dans l’accumulateur quel qu’il soit : avec 3 volts le drone n’ira pas loin.

      par ailleurs polliniser la flore avec des drones on en parle depuis déjà 2012-2013.

      Il y a bien des choses dont on parle depuis plus longtemps, qui font même l’objet de recherches sans résultat.

      il existe déjà des courses d’objet nanométrique.

      Il s’agit de molécules très particulières qui possèdent des « roues » faites de quelques atomes. C’est une curiosité sans utilité pratique, surtout pour fabriquer un objet de la taille d’une abeille

      après vous avez le droit de vous voiler la face, c’est le seul chemin pour l’illusoire bonheur.

      Je ne me voile pas la face. Simplement ma culture scientifique me permet de trier entre les véritables avancées, les vrais projets et les utopies destinées à faire rêver ou cauchemarder le lecteur.

      mais ça n’empêchera pas l’humanité d’avoir sacrément mal au cul lorsqu’elle va se réveiller (si tant est qu’elle se réveille avant de disparaître)

      Il appartient aux citoyens électeurs de se donner le gouvernement et les lois qui empêcheront la capital de continuer à détruire le biotope pour engranger des fortunes qui ne servent plus à rien tellement elles sont disproportionnées, sinon à alimenter la bulle financière.

      En l’occurrence c’est le vote pour Jean-Luc Mélenchon lors de la prochaine présidentielle le seul moyen de mette fin à terme à cette folie. Et en espérant que l’exemple français fasse tâche d’huile.


    • Alren Alren 4 novembre 2016 12:42

      @rosemar

      Ces abeilles pourraient fonctionner à l’énergie solaire

      La quantité d’énergie que pourraient recueillir les mini-capteurs de ces drones seraient très insuffisante pour leur permettre de rester en vol permanent.


    • Antidote Antidote 3 janvier 2017 15:47

      @Alren
      Malheureusement non, ce n’est pas une utopie. Plusieurs firmes travaillent dessus, ainsi qu’Harvard. Même Google explore cette piste. Il y a tant d’argent à faire. Ensuite, plus aucune limite pour les pesticides. Ils vendent les pesticides, les drones et les médocs pour nous soigner contre les effets indésirables. Jackpot ! Préparez vous à ce nouveau monde, qui arrivera sans doute très vite. Il y aura aussi des mini drones pour la police, l’armée,... un vaste marché.


    • Nicolas_M bibou1324 3 novembre 2016 15:14

      Ce qui m’embête par rapport à votre article, c’est que TOUS les scientifiques sont d’accord pour affirmer, sans l’ombre d’un doute, que les pesticides ne sont pas responsables de la diminution inquiétante des abeilles ces dernières années.


      C’est un acarien 100% naturel, qui n’a aucun rapport avec les humains, qui s’appelle Varroa, qui décime les ruches un peu partout dans le monde.

      Alors oui, les pesticides, le changement climatique, l’industrialisation de l’agriculture, ça affaiblit encore plus les abeilles, et ça ne les aide pas. Mais blâmer les pesticides et les lobbies encore et toujours, alors que même dans les environnements parfaitement sain et éloignés de toute forme d’agriculture, les ruches se meurent, faut pas abuser.

      • Clocel Clocel 3 novembre 2016 15:49

        @bibou1324

        Le varrao n’est pas un problème pour une ruche saine et suivie.

        Les principaux problèmes des abeilles sont, dans l’ordre :

        La surexploitation des colonies, une érosion calamiteuse de leur capital génétique naturel due à une sélection débile en vue d’augmenter la production de miel, la baisse de la qualité et de la quantité de la ressource florale, les pesticides et le frelon asiatique.

        Je le répète, avec ruche convenablement menée, le varroa c’est peanuts !

        Une abeille se nourrit de miel, pas de sucre candi ! Le sucre affaibli la colonie qui ne résiste plus aux parasites, sans parler des diarrhées et autres joyeusetés qu’engendre ce genre de pratique.

        Mes ruches élevées « à l’ancienne » peuplées de nos bonnes vieilles abeilles noires vont très bien merci !

        Les apiculteurs professionnels récoltent ce qu’ils ont semé,

        Mais ça, personne ne veut l’entendre.


      • rosemar rosemar 3 novembre 2016 16:52

        @Clocel

        Les pesticides triplent la mortalité des abeilles sauvages : des études l’ont démontré...




      • Abou Antoun Abou Antoun 3 novembre 2016 17:57

        @Clocel
        Je ne connais pas grand chose à l’apiculture, mais votre intervention me paraît pleine de bon sens.


      • cathy cathy 3 novembre 2016 18:17

        @bibou1324
        Non le varroa, n’est pas vraiment naturel, il est sorti d’un laboratoire allemand. 


      • mmbbb 3 novembre 2016 20:12

        @Clocel j’ai regarde un reportage sur l Ile d Ouessant Les abeilles noires sont « eleves » et servent de reserve biologique . Quant a votre argument il est tout a fait correct et il est evident qu il a une constante dans la nature plus une espece est uniforme et son patrimoine genetique appauvrie plus elle est vulnerable . Les apiculteurs sont comme les paysans ils sont dans un modele de production et ne veulent pas voir que ce modele est vicié .


      • mmbbb 3 novembre 2016 20:27

        @cathy ils sont costauds nos cousins germains Creer ex nihilo un etre certe petit mais deja tres complexe chapeau bas La meme chose avec le SIDA sorti des labo amerloques nous avait on dit le « on » le chef des bureaux des complots . Que des Frankesstein dans ces laboratoires de genie genetique


      • eau-du-robinet eau-du-robinet 4 novembre 2016 03:57

        Bonjour bibou1324,
        .

        Au cours du milieu du XXème siècle, les pratiques agricoles ont profondément évolué. Le monde agricole s‘est mécanisé, ce qui a eu pour conséquence une diminution de la charge de travail, une augmentation des surfaces agricoles et une diminution de la main-d’œuvre. Les régions agricoles se sont aussi spécialisées. Elles ont développé une agriculture intensive, en privilégiant la monoculture, modifiant ainsi profondement le paysage agricole.
        .
        Les modèles de monoculture attirent des insectes phytophages néfastes pour les cultures et des problèmes de pollinisation apparaissent à cause de la disparition des pollinisateurs.
        .
        Dans certains régions les abeilles meurent de faim, car les monocultures ne leur fournissent pas assez de nourriture.
        .
        Le varroa est est un acarien importé d’Asie dans les années 1980
        .
        Ce « syndrome d’effondrement des colonies » est un ensemble de causes qui provoquent la disparition des colonies d’abeilles
        .
        - Les substances chimiques et des pesticides dans l’environnement
        .
        - Les causes « pathogènes » (parasites, virus ou champignons)
        .
        - Le manque de végétaux dû à une agriculture intensive qui réduit la biodiversité, la monoculture
        .
        - Une cause génétique (les abeilles sélectionnées pour leur productivité sont moins adaptées à leur milieu par manque de diversité génétique).
        .
        - Les ravages du frelon asiatique
        .
        - La pollution électromagnétique
        .
        - Les pratiques des apiculteurs transportant leurs ruches afin de polliniser les cultures et affaiblissant leurs essaims par des voyages incessants


      • Alren Alren 4 novembre 2016 12:48

        @bibou1324

        Les pesticides ne sont pas responsables de la diminution inquiétante des abeilles ces dernières années

        Les derniers pesticides attaquent le système nerveux des abeilles et leur font perdre le sens de l’orientation. Ce qui les empêche de rentrer à la ruche le soir et provoque leur mort dans la nuit suivante.
        Rares sont les endroits où ils n’ont pas été répandus.


      • Attilax Attilax 3 novembre 2016 16:24

        « L’homme entouré de robots, dominé par des machines est-il lui-même voué à l’extinction ? »

        Evidemment ! Comme toutes les espèces sur terre, qui ont vocation à disparaître, un jour ou l’autre... L’évolution ne s’arrête pas le dimanche.

        • rosemar rosemar 3 novembre 2016 16:48

          @Attilax

          Evidemment, tout à fait, bien sûr, mais cette extinction aura lieu à plus ou moins long terme, il me semble...

        • BOBW BOBW 4 novembre 2016 09:32

          @Attilax :Ah, ah à commencer par « Macrosoft » qui a semblé fortement attaqué ces dernières semaines , en particulier sur la côte est des USA !...


        • Alren Alren 4 novembre 2016 13:06

          @Attilax

          L’homme dominé par des machines

          Les machines « intelligentes » ne domineront pas l’homme davantage que l’automobile ou l’ordinateur, pour une raison simple : elles n’auront pas de désir.

          Le besoin de domination des hommes de la préhistoire dont nous avons hérité, était pour eux un gage de survie : ceux qui sont placés haut dans la hiérarchie des animaux sociaux ont bien plus de chances de survie que ceux qui sont en bas. C’est vrai autant dans les sociétés de loups sauvages que de poules d’élevage domestiques.

          C’est aussi un moyen pour les gênes du dominant de se conserver dans les générations futures.

          Cette lutte pour la vie ne concerne pas les machines qui n’ont pas à se battre pour l’accès à l’énergie (la nourriture) ne transmettent pas de gênes spécifiques à chacune d’elle (les programmes sont communs à plusieurs robots) et ne craignent pas la mort (le programme est potentiellement « immortel » et c’est lui qui constitue « l’âme » de la machine).


        • Vinciboulette 3 novembre 2016 17:10

          Vivement le miel de drones ! Miam !


          • Alren Alren 4 novembre 2016 13:09

            @Vinciboulette

            Vivement le miel de drones !

            L’objectif des concepteurs de ces drones n’est pas la récolte de nectar pour fabriquer du miel mais seulement de transporter du pollen d’une fleur à l’autre afin que celle-ci se transforme en fruit.
            Fabriquer du miel à partir du nectar des fleurs n’est pas non plus à notre portée de toute façon ...


          • Vinciboulette 4 novembre 2016 20:28

            @Alren
            Ah ben mince alors ! Moi qui avait déjà coupé les tranches pour les tartines (avec mon bras bionique) !


          • Abou Antoun Abou Antoun 3 novembre 2016 17:55

            Il me paraît plus intéressant, plus réaliste, plus prometteur de dresser les abeilles pour en faire des drones.
            Il suffit d’étudier le langage des abeilles
            Cela fait on organise des stages pour les abeilles en leur expliquant qui elles doivent aller piquer et où. Les formatrices pourraient être des leurres.Par la suite on agrémente leur venin de quelque virus et on lâche la meute.
            Bonne idée, non ?


            • rosemar rosemar 3 novembre 2016 18:26

              @Abou Antoun

              Sauf que les abeilles sont menacées d’extinction.

            • Christian Labrune Christian Labrune 3 novembre 2016 23:57

              @rosemar


              Il m’arrive de voir encore des abeilles, à Paris, et il y a au Luxembourg et sur certains toits d’immeubles des ruches dont on tire un excellent miel.
              En revanche, même si le parc des Buttes-Chaumont est un de mes lieux de promenade favoris, je n’ai encore rencontré au détour d’une allée aucun specimen vivant de tyrannosaurus rex. C’est bien dommage. Les spécialistes pensent qu’il aurait complètement disparu, et sans qu’on puisse incriminer les pesticides, les OGM et la pollution industrielle. C’était pourtant une bien belle bête.


            • rosemar rosemar 4 novembre 2016 12:35

              @Christian Labrune
              ^

              Elle est bien bonne Christian ! En tous cas, les hommes ne sont pas responsables de la disparition des dinosaures, puisqu’ils sont apparus bien après....

            • Alren Alren 4 novembre 2016 13:23

              @Abou Antoun

              qui elles doivent aller piquer

              À la différence des guêpes qui ont un dard lisse, celui des abeilles est finement dentelé ce qui fait qu’il reste fiché dans la peau de ceux qui l’ont contrainte à cette défense désespérée ou qui ont attaqué la ruche. Elle meurt de cette mutilation.

              Lors du butinage, elles sont inoffensives si on les laisse en paix comme tout herbivore.

              Le langage des abeilles, sous forme de danse, déchiffré par von Frisch ne sert qu’aux abeilles exploratrices à indiquer aux butineuses où se trouvent des sources de nourriture.

              Les moustiques seraient mieux appropriés pour répandre une maladie mais avec le risque qu’ils contaminent aussi ceux qui les ont lâchés.


            • Abou Antoun Abou Antoun 4 novembre 2016 21:18

              @Alren
              Décidément rien n’est simple avec la guerre zoologique. Mais enfin on a eu les puces savantes. A-t-on mesuré le QI d’un moustique ?


            • petit gibus 3 novembre 2016 21:01
              « un avenir terrifiant pour les abeilles »

              mais non, suffit de les éduquer

              on éduque bien nos chiens, nos chats
              ou tout animaux de cirque smiley



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