Une bouteille à la mer...
Monsieur ou Madame,
en citoyen que vous êtes, daignez accorder quelques instants à la lecture attentive de cet article, car je doute que vous ayiez connaissance de certaines informations concernant ce qui se passe aujourd'hui dans notre pays.
Vous le savez, beaucoup de Français sentent grandir en eux l'impression que la France est en train de disparaître. Et ils ont raison, car ce n'est pas seulement une impression : c'est la triste réalité. Mais ce que beaucoup ignorent (et votre silence m'oblige à supposer que vous l'ignorez vous-même), ce sont les véritables causes de cette déchéance.
Un certain tribun s'évertue actuellement à nous expliquer que l'Islam en serait la principale. Si personne ne nie que cette religion puisse, dans certains cas, poser un réel problème, ce que je sais m'oblige à vous révéler que c'est, de loin, la plus petite des menaces que notre pays doive affronter.
Comme vous le savez, le monde a bien changé depuis Mars 2020. L'arrivée brutale de la pandémie a été l'occasion pour notre Président d'annoncer : "le monde d'après ne sera plus jamais comme celui d'avant". Et s'il a pu déclarer cela aussi vite, ce n'est pas parce qu'il possédait une boule de cristal. La maladie, nous a-t-on dit, était inconnue, et pour ce qu'on en savait, elle aurait pu s'éteindre très vite, tout comme ce fut le cas avec la grippe H1N1 de 2009. Non, s'il a pu déclarer cela avec autant d'emphase, c'est parce que cela faisait partie d'un plan dont il était parfaitement conscient.
Je vous en conjure, ne froissez pas ce papier trop vite, en vous disant : "encore un cinglé de complotiste, je n'ai pas de temps à perdre avec ça". Donnez-moi une petite chance d'étayer mon propos. Le "plan" dont je parle n'a d'ailleurs rien d'un complot secret, puisqu'il est clairement exposé dans cet ouvrage accessible à tous, "La grande réinitialisation", paru en 2020, mais que le grand public ne lit évidemment pas. Son modeste auteur n'est autre que Klaus Schwabe, grand Ordonnateur du célèbre Forum de Davos. Vous savez, ce cercle très fermé où les puissants de ce monde, financiers, industriels, politiques, faiseurs d'opinion se concertent pour modeler l'avenir du monde.
Car c'est cela la réalité dans laquelle la France, comme bien d'autres Nations, est aujourd'hui plongée : d'un côté il y a ces gens aux moyens démesurés qui poursuivent leurs buts hors de toute démocratie, et de l'autre il y a ces impétueuses populations dont ils cherchent, par le relais de politiques et de media devenus maîtres-menteurs, à s'assurer la soumission en échange d'une illusion de démocratie et de sécurité. Pourquoi cette soumission ? Parce que leurs objectifs sont tellement écoeurants qu'une population saine n'y adhérerait jamais spontanément, et irait plutôt couper la tête à leurs promoteurs. Ces derniers ne peuvent avancer dans leur agenda qu'en manipulant habilement les peuples, et ce processus, qui prend beaucoup de temps, n'a pas commencé hier.
Cependant, nous sommes arrivés, avec cette crise prétendûment sanitaire, au point de bascule. Ils ont estimé (et sans doute avec raison) que les pays "démocratiques" étaient parvenus à un point d'abrutissement suffisant pour ne plus rien comprendre ni encore moins s'opposer à ce qu'ils veulent mettre en place. C'est si vrai que, bien que nous ayions tous remarqué ces derniers temps qu'il se passait des choses très étranges, voire complètement absurdes, nous n'avons pas trop "râlé", et nous nous sommes même empressés de l'oublier dès les premières promesses d'une libération prochaine. Nous avons même été, nous a-t-on dit, remarquablement coopératifs...
Et nous voilà maintenant, en dépit de tous nos sacrifices, en dépit du recul naturel de l'épidémie (comme cela s'observe dans les pays peu vaccinés), et en dépit du miraculeux remède high-tech dont les performances patinent, englués dans un état d'urgence qui est devenu la nouvelle norme et dont personne n'ose plus nous dire s'il durera encore six mois ou vingt ans. Pourtant c'était cela, et rien d'autre, que visait à instaurer cette grande idée de "mondialisation", dont on a débattu pendant des décennies, jusqu'à l'ennui, et finalement jusqu'à s'y résigner en dépit de ses travers manifestes, en se raccrochant à l'espoir qu'un tel monde pourrait peut-être résoudre tous nos problèmes. Les régulations supra-nationales, les nouvelles technologies, l'obsession sécuritaire, la prise de conscience environnementale, la "start-up nation"... tous les souvenirs douloureux de l'Histoire nous poussaient à adhérer sans méfiance à l'instauration de ce "Nouvel Ordre Mondial".
Mais, tandis que nous attendions fébrilement que cette mondialisation balbutiante accouche enfin de quelque chose de sérieux, nous laissant enjoler par ses promesses, nous perdions de vue que ses plus ardents promoteurs, eux, ne travaillaient pas du tout pour l'humanité, mais pour leur propre clan. Pourtant, de multiples signaux auraient dû nous alerter. Des guerres vaines menées à grand renfort de milliards. Un fossé croissant entre riches et pauvres. Des krachs financiers jetant des pays entiers dans la précarité. Des services publics en déroute. Des media de plus en plus abrutissants et médiocres, suivis en cela par le monde de l'Art. Le "green-washing" omniprésent dans les publicités. Une parole politique de plus en plus condescendante voire insultante. Une société misant de plus en plus sur le contrôle, la surveillance, la délation... A l'évidence, nous nous dirigions vers des jours heureux...
La France aujourd'hui n'est plus, en effet, que l'ombre de ce qu'elle a été. Et non, sa nouvelle religion ne sera pas l'Islam, mais cette mondialisation qui a pris le relais de l'américanisation, et dont les commandements sont le consumérisme, l'individualisme, la performance "quoi qu'il en coûte", le sécuritarisme, la culture "woke"... Tout cela faisait partie du plan. Il fallait en effet devenir d'abord ce troupeau d'imbéciles déracinés, sans originalité, sans exigence, sans passion, sans courage, pour pouvoir enfin accepter sans broncher les ultimes coups de bélier de nos maîtres-à-danser.
Voici donc ce qui compose la France en ces jours d'automne 2021 : une population (je n'ose même plus dire un peuple) majoritairement docile, en échange (quelque temps encore) d'un semblant de liberté, à se faire injecter à chaque injonction des produits que les autorités sanitaires ne se soucient même plus de surveiller ; parmi cette population, quelques brebis égarées qui manifestent tous les samedis sous le regard condescendant ou scandalisé des honnêtes détenteurs de QR-code. Et, à cheval entre les deux, du personnel soignant et des scientifiques qui risquent d'être bannis s'ils disent ce qu'ils savent, ou même s'ils s'avisent de soigner autrement que selon les directives imposées. Et tant d'autres qui se retrouvent, à leur corps défendant, dans la même situation que sous l'Occupation : préférant coopérer et se taire que mettre en péril leur confort matériel immédiat...
Savez-vous réellement qui se cache derrière ce qu'on appelle communément "Big Pharma", "Big Tech", et leurs actionnaires ? Non, vous ne le savez certainement pas. Car si vous le saviez vraiment, je suis persuadé que votre conscience crierait plus fort que le souci de votre confort. Vous feriez bien de vous renseigner un peu, et sans attendre, à ce sujet. Discrètement bien sûr, car cela fera vite de vous un "complotiste" et c'est très mal vu de nos jours. Mais arrivé à un certain point d'éclairage, si vous êtes, comme je préfère le croire, "quelqu'un de bien", vous serez obligé de prendre position. Les choses sont désormais si graves qu'il n'y a plus d'autre option. Il en va non seulement de la survie de la France, mais plus largement encore de celle d'une grande partie de l'humanité, faite d'hommes encore libres, et encore riches d'une si belle diversité... mais pour combien de temps ? Vous pouvez aussi, bien sûr, préférer ne rien savoir. Préférer rester parmi le troupeau, parmi ceux qui balbutieront un jour : "je ne savais rien... je n'ai fait qu'obéir à ce qu'on me demandait...", espérant sans doute que cette belle vertu d'obéissance leur vaudra clémence.
Connaître les dessous de cet éprouvant épisode est devenu difficile. Depuis bientôt deux ans, les media classiques diffusent continuellement ce qu'il faut bien appeler des mensonges d'Etat, y compris quand ils font mine de critiquer l'action publique. De plus, vous ne le savez peut-être pas, mais une vague de censure sans précédent a déferlé sur le monde en même temps que le vaccin, y compris sur Internet. Parmi les rares sites proposant encore quelque vérité au lieu de propagande, vous trouverez ReinfoCovid.fr, BonSens.info, France-Soir.fr, et dans une moindre mesure TV-Libertes.com . Pour les "complotistes confirmés", il y a aussi LaUneTV.fr où l'on peut trouver le meilleur et le pire. Même si leur accès est moins évident, vous pouvez aussi chercher les vidéos récentes de Jean-Jacques Crèvecoeur (lanceur d'alerte québecois) ou du Conseil Scientifique Indépendant (CSI) composé de spécialistes français. Et bien sûr, maints comptes Twitter renvoient sur une foule de liens utiles. Enfin, pour comparer les données officielles de l'épidémie partout dans le monde, OurWorldInData.org est un outil très simple à utiliser (bien qu'en anglais).
Voilà. J'espère que cet appel sera un déclic pour vous. J'ai volontairement évité de trop en dire, persuadé qu'aucun argumentaire ne vaut ce que vous serez capable de comprendre par vous-même. Je ne veux pas, en ce qui me concerne, faire de propagande. Croyez seulement, même si c'est dur à avaler, que l'humanité affronte le pire danger de son Histoire. Je jette juste la bouteille à la mer. L'avenir sera ce que nous tous, collectivement, serons capables d'en faire. Mais, tant que nous resterons aussi naïfs, n'espérons plus élire de "bons dirigeants" !
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