Une mystérieuse disparition : l’affaire Agnès Le Roux
Cette affaire demeure l'une des plus grandes énigmes judiciaires contemporaines. En 1968, Jean-Dominique Fratoni se porte acquéreur du Casino de Nice pour lequel la municipalité lui a accordé un prélèvement préférentiel au taux de 4 % au lieu de 15 %... Jacques Medecin, le maire de Nice, souhaite le démantèlement du Casino situé place Masséna pour laisser place à un nouveau casino sur la promenade des Anglais à l'emplacement de l'ancien hôtel Ruhl. Fratoni retenu par la commission des jeux n'est pas un inconnu, ce Corse et ancien résistant fut propriétaire du Casino club à Nice et directeur du casino de Sainte-Maxime. L'inauguration officielle se déroule le 18 février 1975 (les travaux ont coûté 60 millions), et le premier bilan du casino présente un actif de 41 millions de francs ce qui représente 65 % pour l'État et 15 % pour la ville. Le Casino Rhul est deuxième (sur 147) derrière le casino de Divonnes-Les-Bains.
Dominique Fratoni a des vues sur son concurrent direct, le Palais de la Méditerranée, classé au 4° rang. Les parts de cet établissement appartiennent pour 50% à Roger Hely et Maurice Guérin, les autres 50 % à Madame Renée Le Roux et à ses quatre enfants héritiers de leur père décédé en 1967. Le 8 juillet 1975, le Palais de la Méditerranée perd près de 5 millions en une seule partie de Trente et Quarante (jeu proche du tric-trac), gains que le casino est incapable d'honorer. L'un des deux bénéficiaires des gains a déjà mis à mal le Sun Beach, le casino de Menton à la table du « Trente et Quarante ». Fratoni avait proposé au propriétaire d'« éponger » la perte en contre-partie de la direction de l'établissement.
Le PDG du Palais de la Méditerranée (Maurice Guérin) démissionnaire est remplacé par Renée Le Roux. Fratoni lui propose de racheter les parts détenues par la famille Le Roux. Si Roger Hely et Maurice Guérin sont d'accord à lui céder leurs parts, Renée Le Roux y reste fermement opposée. Une série d'incidents survient : inondation, incendie, agression de Mme Le Roux. Marcel Francisci, patron du cercle Haussmann (Paris) et ami de Fratoni, qui lui a fait une offre de rachat est abattu. Au mois d'août 1976, le Canard Enchaîné publie une note de la Police Judiciaire, Fratoni serait chargé de racheter tous les casinos de la Côte d'Azur pour « les banquiers romains », une ramification de la Mafia.
Le 30 juin 1977, Agnès Le Roux, 29 ans, cède ses parts à Jean-Dominique Fratoni pour 3 millions de francs au cours de Assemblée générale du Palais de la Méditerranée. Jean Buchet le secrétaire général du Rhul élu PDG du Palais de la Méditerranée nomme Dominique Fratoni conseiller technique du casino. C'est Maître Maurice Agnelet qui a persuadé Agnès Le Roux, devenue sa maîtresse après avoir été sa cliente pour son divorce en 1975, de céder ses parts. Le jour de l'AG, Agnès a déjà perçu un acompte de 1,8 million et signée une promesse de cession à Fratoni. Cet avaloir fut versé le 16 mai sur un compte ouvert dans une banque genevoise au nom d'Agnès avec procuration à Maurice Agnelet, lequel ouvrait à son tour un compte avec procuration à Agnès (comptes croisés). Le solde de la cession, 1,2 million versé à Agnès, va rejoindre le coffre-fort de Maître Maurice Agnelet qui invoquera, plus tard, qu'il a agit comme séquestre... Agnès semble avoir oublié qu'elle a déjà cédé ses actions le 28 septembre 1976 à la Société civile monégasque RLR (Renée Le Roux) gérée en indivision (3.500 actions pour le Palais de la Méditerranée et 6.580 pour la SA Palais Vénitien propriétaire des murs) ! Comment Maître Agnelet qui fut un temps l'avocat de Renée Le Roux pouvait-il l'ignorer ?
Au mois de juillet, le contrôleur hôtelier du Rhul est abattu au volant de sa Mercedes à proximité du domicile d'Agnès. Au mois d'août, Maurice Agnelet profite de l'absence d'Agnès partie en Grèce en compagnie d'une amie pour se rendre à Genève avec Françoise Lausseure, l'épouse d'un médecin niçois et mère de quatre enfants. Il vide quasiment le compte d'Agnès, numéraires qu'il s'empresse d'aller déposer dans une banque de Vevey (canton de Vaud) sur un compte ouvert à son nom avec procuration à Françoise Lasseure. Il semblerait qu'il ait déposé le reliquat de la vente lors de ce voyage...
Jacques Médecin déclare que le Palais de la Méditerranée n'est guère rentable. En septembre, la municipalité fait savoir que le P.M : « pourrait bien laisser la place à des salles de congrès et à un complexe hôtelier ». Renée Le Roux dénonce une « convergence évidente entre le plan mis en œuvre par Jean-Dominique Fratoni et l'intérêt que M. Médecin porte à ce dernier » (les deux hommes sont amis d'enfance et Francs maçons).
Agnès de retour de vacances annonce à son amant, de dix ans son aîné, qu'elle veut vivre à ses côtés, ce qui n'a pas l'heur de plaire à l'élu : « tout le monde savait que je fréquentais quatre femmes en même temps ». Agnès craque, le 4 octobre, elle absorbe des médicaments. Agnelet, alerté par un ami, prévient les pompiers sans leur préciser qu'il possède les clefs de l'appartement... Agnès est transportée à l'hôpital Saint-Roch (Nice). De retour chez elle (Boulevard Carnot), nouvelle tentative de suicide. C'est Agnelet qui alerte Police Secours. Agnès s'en sort, mais « elle vit très mal d'être considérée par sa famille comme une traitrese ». Elle passe chez le coiffeur pour se faire-faire une tresse, de lui confier qu'elle envisage de faire du camping sauvage en Italie avec Agnelet pour les vacances de la Toussaint.
Le 22 octobre 1977, Madame Renée Le Roux écrit au procureur de Nice pour lui signaler qu’elle est sans nouvelles de sa fille depuis plusieurs semaines. La jeune femme a disparu entre le 26 octobre et le 2 novembre 1977, et aucune trace de son Range Rover blanc avec le toit noir. Agnelet contacté par la famille répond « qu'Agnès est à Los Angeles, en train de « faire la java » ! Personne ne prend la chose au sérieux, Agnès est considérée comme une cœur d'artichaut, à 15 ans elle s'était entichée d'un homme de 50 ans, elle avait trompé son mari, Jean-Pierre Hennequet épousé en 1969, et ses relations avec sa mère sont exécrables. Selon son ex-mari : « Agnès ne voulait pas dépendre d'une économie de jeu », Patricia, la sœur d'Agnès de préciser : « sans vendre le PM, on pouvait difficilement racheter sa part », et Agnelet de rapporter : « sa mère lui refusait sa part d'héritage, bloqué en indivision » .
Le 13 février 1978 Renée Le Roux dépose plainte contre X pour séquestration arbitraire. Agnès a disparu depuis trois mois. Le 7 mars deux inspecteurs se rendent à l'appartement d'Agnès. Le courrier glissé sous la porte, les magazines présents et les dates des aliments semblent corroborer un départ entre le 28 octobre et le 3 novembre 1977. Les OPJ ont leur attention attirée par un mot écrit de la main d'Agnès et placé en évidence, sur lequel ne figure aucune date : « Désolée, mon chemin est fini, je m'arrête là. Tout est bien. Je veux que ce soit Maurice qui s'occupe de tout. Agnès ». Les enquêteurs découvrent au domicile professionnel de Maître Agnelet, la photocopie de ce mot dans le coffre-fort, mais celle-ci est datée du 6 octobre, jour de la seconde tentative de suicide d'Agnès ! La cassette du répondeur leur réserve une autre surprise. L'enregistrement d'une conversation dans laquelle Agnès parle des vacances de la Toussaint, et Agnelet d'invoquer un problème pour la garde de ses enfants. Le magistrat inculpe l'avocat de « recel d'achat de vote » et va ainsi pouvoir accéder au compte bancaire en Suisse et découvrir comment Agnelet s'est approprié l'actif d'Agnès Le Roux (Lasseure ne sera jamais inculpée pour recel).
Les enquêteurs élargissent le cercle et se transportent au domicile de l'ancienne épouse d'Agnelet. En feuilletant les livres de la bibliothèque, ils y découvrent des annotations portées en marge de plusieurs ouvrages : « 7 oct 77 classement dossiers PM-PV ». Faut-il lire Palais de la Méditerranée et Palais vénitien ? La date correspond au lendemain de la seconde tentatives de suicide d'Agnès... Une autre annotation les intrigue : « Mercredi 2/11/77 reclassement dossiers PM-PV. Liberté ». La date du 2 novembre peut correspondre à la disparition d'Agnès. Le 13 avril, le casino du Palais de la Méditerranée dépose le bilan et 300 salariés sont licenciés. Le comité directoire semble y avoir une part de responsabilité commerciale : suppression des habilitations extérieures, contrôle des joueurs et refus d'escompter les chèques. Fratoni est inculpé pour infraction à la législation sur les sociétés. Le juge d'instruction lui reproche d'avoir acheté le vote d'Agnès Le Roux, lui dit avoir été spolié puisqu'il n'est jamais entré en possession des actions...
Un inspecteur de la section des jeux surprend un croupier du Ruhl en flagrant délit de baronnage (entente illicite avec un complice). Dix-sept croupiers, huit barons et leurs complices sont inculpés (Fratoni a crée l'École des croupiers de Nice en 1976). Le casino Ruhl est condamné à verser 330 millions au fisc, aux douanes et à indemniser les victimes des tricheries ! Le 9 novembre 1979, le ministre de l'Intérieur (Christian Bonnet) ordonne la fermeture de l'établissement. Dominique Fratoni qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt est en fuite. Le « Napoléon des tapis verts » sera condamné par contumace à 13 ans d'emprisonnement et à 410 millions d'amende. Il mourra à Lugano (Suisse) en 1994 des suites d'un cancer. Dans son testament il précise, n'étant jamais entré en possession des actions d'Agnès, la somme versée lui revient en droit, et qu'il en fait don à la Croix rouge et à une associations de lutte contre le cancer.
Maurice Agnelet qui ne semble pas très affecté par la disparition d'Agnès part s'établir au Québec en 1980, où il contracte un mariage blanc avant d'y être rejoint par Françoise Lasseure. Le divorce prononcé, il épouse Françoise en troisième noce. Au mois d'août 1983, Agnelet est inculpé d'homicide volontaire et comparaît devant les assises des Alpes-Maritimes le 23 novembre. L'inculpé a un alibi en la personne de son épouse. Le couple a passé le week-end de la disparition d'Agnès à l'Hôtel de la Paix à Genève. Agnelet bénéficie d’un non-lieu en 1985. Le 15 janvier 1990, la cour d'appel le condamne : « à trente mois de prison, dont deux ans ferme, pour complicité de vente d'actions, et pour abus de confiance sur Agnès. Selon la cour d'appel de Lyon, il a « utilisé sa qualité d'avocat pour abuser de la crédulité et de l'affection d'une jeune femme psychiquement fragile ». Le 16 septembre, Jacques Medecin profite d'un voyage officiel au Japon pour prendre la poudre d'escampette en Uruguay... Il a eu ouï-dire d'une inculpation pour : « détournement de fonds, recel d'abus de biens sociaux et corruption passive ». Extradé le 17 novembre 1994, il sera condamné à deux ans d'emprisonnement.
Renée Le Roux qui affirme l'existence d'un lien franc-maçonnique entre les deux premiers juges d'instruction et Maurice Agnelet et Dominique Fratoni, veut à tout prix éviter la prescription. En 1994, elle dépose plainte contre « X » pour recel de cadavre (délit continu). Agnelet qui a hérité de ses parents part s'installer à Panama. Une plainte pour complicité de recel de cadavre est déposée contre Françoise Lasseure en 1997. Le 24 septembre 1998, Noël Fratoni, le fils de Dominique est abattu d'une dizaine de balles de 9 mm sur le parking au pied de son immeuble à Nice.
Au mois de juin 1999, Françoise, divorcée d'Agnelet, déclare à la Juge d'Instruction : « J'ai menti. J'ai fourni un faux témoignage. C'était un alibi fabriqué à la demande de Me Agnelet dont j'étais la maîtresse avant de devenir sa femme ». L'affaire est rouverte et Jean-Maurice Agnelet mis en examen pour homicide volontaire et séquestration. Le 23 novembre 2006, Maurice Agnelet est acquitté par la Cour d’assises des Alpes-Maritimes ; le procureur fait appel de cette décision du jury populaire. Agnelet est condamné le 11 octobre 2007 par la Cour d’assises des Bouches-du-Rhône à 20 ans de réclusion criminelle pour l'assassinat d'Agnès Le Roux.
Mars 2011, Jean-Pierre Hernandez publie « Confessions d’un caïd ». Il y affirme que Jean Lucchesi, homme de main du clan Zampa, lui a confié à l'automne 1986 : « Tu sais, la fille Le Roux, c’est pas le nave, c’est nous. C’est moi qui suis monté à Nice pour les lui filer. Ca ne m’a pas plu, j’étais dégoûté, mais on m’a demandé de le faire et je l’ai fait ». Il se serait ensuite débarrassé du corps d'Agnès aux Goudes (Marseille), et un garagiste aurait fait disparaître le Range Rover. Lucchesi lui aurait aussi demandé de récupérer auprès de Jean Toci (demi-frère de Gaëtan Zampa) la somme promise pour ce contrat. De nombreux faits contredisent Hernandez qui a rencontrée Christiane Lucchesi en 1986 : « Il a demandé des photos de Jean-Marie, de Gaëtan Zampa et il nous a dit qu’il allait faire un scoop dans son livre. (...) En 1977, mon mari était en cavale, caché chez moi, et il n’a pas quitté la maison ». Toci n'est plus là pour le contredire, il a été abattu le 7 mai 1997 sur le parking d'un Supermarché d'Istres (Bouches-du-Rhône).
La veuve et les deux héritiers de Gaëtan Zampa (qui s'est pendu dans sa cellule le 23 juillet 1984) saisissent la justice pour « complicité de diffamation publique envers la mémoire d'un mort ». L'ancien voyou est relaxé par le tribunal correctionnel de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Le défenseur de Maurice Agnelet saisi alors la commission de révision. Celle-ci, après avoir entendu Hernandez et d'autres témoins, se prononce le 17 septembre 2012 : « le récit évolutif et peu vraisemblable s'est avéré soit invérifiable, soit inexact, si bien qu'il ne saurait être de nature à faire naître un doute sur la culpabilité d'Agnelet ».
Le 13 juin 2012, le tribunal civil vaudois lève le séquestre, la somme de trois millions de francs suisses ira à la famille Le Roux. En 2013, la Cour européenne des droits de l'Homme estime que le procès n'a pas été équitable (le verdict n'a pas été motivé). Un troisième procès se tient devant la cour d'assises à Rennes. Le dimanche 6 avril 2014, Guillaume Agnelet, informaticien âgé de 45 ans, accuse son père du meurtre d'Agnès Le Roux : « Je suis convaincu que mon père est bien le meurtrier d’Agnès Le Roux. J’en suis arrivé à cette conclusion à la suite des révélations que m’ont faites à la fois mon père et ma mère à qui il s’était confié ». D'apporter des précisions, il a 14 ans et ils sont dans l'appartement parisien quand son père lui confie : « De toute façon, je suis tranquille tant qu’ils ne retrouvent pas le corps. Et moi, le corps, je sais où il est ». Son père aurait tué Agnès d'une balle dans la tête et enterré le corps dans un sous-bois proche de Monte-Cassino et abandonné le Range Rover sur place avant de rentrer à Nice par le train. Sa mère affirme qu'il s'agit de déclarations « irréalistes et rocambolesques », son frère Thomas l'accuse de « raconter n'importe quoi ». La justice italienne est saisie, les investigations ne confirment en rien la version de Guillaume Agnelet.
Le 26 juin 2014 Maurice Agnelet est condamné à vingt ans de réclusion. Des échotiers judiciaires s'interrogent sur ce long zigzag judiciaire. Un non-lieu, une relax et une peine qui leur semble une condamnation de principe. Maurice Agnelet a toujours clamé son innocence. Un tiers des véhicules disparus n'est jamais retrouvé, de rappeler le cas de l'humoriste Teddy Vrignault qui s'est volatilisé le 1 novembre 1984 à bord d'une Peugeot 503 de couleur bronze. En ce qui concerne Agnès Le Roux, une rumeur circule, le Range Rover a été jeté dans la mer nuitamment avec le corps d'Agnès à l'intérieur lors du chantier de l'aéroport de Nice... Chaque jour, 60.000 tonnes de pierres y étaient déversées pour étendre le tarmac, et le glissement de terrain du 16 octobre 1979 qui a emporté 11 ouvriers, a bouleversé à jamais la zone. L'hypothèse reste plausible, des plans d'eau naturels, aménagés ou artificiels sont de véritables cimetières de voitures immergées. Une BMW engloutie en 1981 par 24 mètres de fond et couverte de moules lacustres a été découverte par un plongeur au mois d'août 2020 à Talloires !
Le 3 juin 2016, Maurice Agnelet perd sa plus farouche adversaire. Celle à laquelle il avait dit « Je me vengerai » après son éviction du P.M est décédée. Renée Le Roux née Bousquet le 22 décembre 1922 à Anglet (Pyrénées-Atlantiques) s'est éteinte à l'âge de 93 ans à Monaco. Qui se souvient que Madame Le Roux avait terminé deuxième au Championnat du monde de tir au pigeon en 1951 ?
Selon ses défenseurs, Agnelet a été la victime d'un acharnement judiciaire et l'accusation ne repose que sur des soupçons et sur la personnalité de l'inculpé. Il a appartenu à la Jeunesse étudiante chrétienne, au PS, Franc-Maçon, il a créé les loges Véga et Imagination, il a prêché Krishnamurti (il lui arrivait de plaider en sandales) et a milité à la Ligue des droits de l'homme. A la veille de Noël 2020, le détenu Agnelet libérable en mai 2024 bénéficiait d'une suspension de peine pour raison médicale. Ayant interdiction de paraître en région PACA et Monaco, il est parti rejoindre son fils Thomas à Nouméa où il est décédé le 12 janvier 2021 à l'âge de 82 ans.
Quant à Agnès Gloria Le Roux née le 14 septembre 1948 à Neuilly-Sur-Seine, déclarée « absente » le 11 avril 2007, son certificat de décès numéro 751 mentionne la date du décès au 26 octobre 1977 à Nice. « Colombe Pringle qui avait rendez-vous avec Agnès, dit avoir reçu, entre le 28 octobre et le 1er novembre, de son amie Agnès, preuve que la jeune femme n'avait pas encore disparu à ce moment-là »...
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