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Accueil du site > Tribune Libre > Une seule exigence : l’annulation de cette dette inique

Une seule exigence : l’annulation de cette dette inique

Est-il exagéré de dire que nous devons nous attendre aux plus grands chocs, est-il exagéré de dire que le président élu au soir du 6 mai sera sommé par les marchés financiers de s’attaquer au déficit creusé par le renflouement des banques privées, et que pour cela, il dispose d’une arme de destruction massive, le nouveau traité européen sur la stabilité et sa règle d’or, traité dont l’article 3 n’autorise pas un déficit supérieur à 0.5% du PIB, sachant qu’il est actuellement de plus de 5% ? Est-il exagéré de considérer que toute politique qui ne place pas en son centre la lutte contre la ratification de ce traité est une politique qui tourne le dos à la défense des intérêts des travailleurs et qui se soumet à la dictature des marchés ?

Les marchés financiers n’ont pas beaucoup d’inquiétude sur la volonté de résistance du président élu, quel qu’il soit. Le problème pour les marchés est ailleurs ; qu’ils aient voté Hollande ou Mélenchon, Poutou ou Arthaud, ou qu’ils se soient abstenus, les travailleurs de ce pays aspirent à chasser la politique anti-ouvrière de l’Union européenne, celle précisément que le traité sur la stabilité prétend graver dans le marbre de la Constitution.

Si des millions de travailleurs, se prononcent inconditionnellement pour chasser ce gouvernement afin de mettre un terme à cette politique de massacre social, on ne saurait pourtant se contenter de remplacer un président par un autre qui, pour rassurer les marchés financiers, continuerait à payer la dette aux banques, à imposer la réduction des déficits publics et à respecter toutes les exigences de la troïka qui veut démanteler les conquêtes sociales et démocratiques arrachées par la lutte de classe.

Ce que le peuple veut, c’est ne pas suivre la voie empruntée en Grèce, au Portugal, en Espagne, en Italie où des gouvernements de toutes couleurs ou de « salut national »mettent en œuvre des politiques de destruction au service du capitalisme contre les besoins de la population.

Quelle réponse ouvrière à la hauteur de l’offensive contre nos droits et nos acquis sociaux déclenchée par le capital financier à travers ses agences de notation ?

Faut-il rembourser la dette ?

La réforme du financement de la Sécurité sociale, comme les privatisations, les suppressions d’emplois dans les services publics, les mesures de restructuration dans l’industrie, toutes les attaques contre les droits ouvriers et démocratiques, sont prises, prétendument, au nom de la dette et des déficits publics.

Mais est-ce la réalité ? A qui appartient la dette publique française ?

Elle est entre les mains de grandes sociétés d’assurance et de banques, de groupes financiers français et étrangers.

Et on ose exiger des travailleurs et des jeunes qu’ils sacrifient tout ce qui a été conquis par la lutte de classe au nom de la dette, des déficits publics, alors qu’il s’agit exclusivement d’engraisser

les banquiers et les spéculateurs !

 

Depuis 2008, des milliers de milliards d’euros ont été mis à disposition des banquiers, des capitalistes et des spéculateurs qui les utilisent dans le seul but d’accroître leur profit. Pendant ce temps, le chômage dépasse les 10%. Le gouvernement s’attaque aux retraites, aux salaires.

900 usines ont été fermées en trois ans et 150 000 emplois supprimés dans la fonction publique. En trente ans, 1 800 000 emplois ont disparu dans l’industrie de notre pays.

Il y a aujourd’hui près de cinq millions de chômeurs.N’est-ce pas cette spirale qu’il faut briser ? N’est-ce pas avec cette politique qu’il est urgent de rompre ? Comment avancer dans cette voie ?

Pour les capitalistes, les banquiers, les spéculateurs, les agences de notation, cette élection présidentielle présente l’immense avantage de se limiter à désigner celui qui sera le plus efficace pour appliquer les plans de l’Union européenne, de la Banque centrale européenne, du Fonds monétaire international grâce aux pouvoirs que lui confèrent les institutions antidémocratiques de la Ve République.

Le suffrage universel perd, dans ces conditions, sa signification d’expression de la volonté démocratique. Le débat est biaisé, la communication prend le pas sur le fond et les idées.

Le citoyen est bafoué, la souveraineté du peuple piétinée, au nom, précisément, du suffrage universel.

Ne faut-il pas rejeter ces institutions antidémocratiques, de rompre avec l’Union européenne et de jeter les bases d’une authentique démocratie.

Au-delà, le débat porte sur : qu’est-il possible de faire pour sortir de cette situation ?

N’est-on pas en droit d’estimer que la rupture nécessaire avec la politique de destruction généralisée passera par la mobilisation du peuple et de la jeunesse : la mobilisation de la classe ouvrière sur son propre terrain de lutte de classe, la mobilisation contre les plans d’austérité, quelle que soit la couleur politique du gouvernement qui les impose.

Est-ce possible ?

Qui oserait prétendre qu’il est impossible de mettre en œuvre une politique qui parte des besoins de la population et pas des besoins des spéculateurs ?

 

Quelles sont les premières mesures qui permettraient immédiatement de répondre aux besoins les plus urgents du peuple ?

N’importe quel travailleur peut en dessiner les contours. Il s’agirait de toute évidence d’abord d’annuler la dette et de rompre avec les traités de Maastricht, Lisbonne, Amsterdam et les institutions de l’Union européenne, du FMI et de la Banque centrale européenne.


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37 réactions à cet article    


  • lemouton lemouton 5 mai 2012 09:57
    à Chapoutier.. bon récapitulatif.. réaliste.. smiley

    et en plus cette dette porte en puissance, des germes de guerre.smiley

    Car si je comprends bien les chinois, par exemple, ont payé, ont acheté de la dette française, et si demain la France dit :
     « Et bien non, on ne paye plus rien, ni interets et encore moins un remboursement de dette.. !! »

    Qu’est ce qui empecherait la Chine de se dire spoliée, et d’exiger d’être payée en nature, donc en possession de territoires ou de matières premières 
    —> c’est bien un pas vers la guerre, ça non.. ?? smiley

    Et en plus n’oubliez pas que la Grêce a déjà vendu, une partie du port d’Athène, aux chinois.  smiley
    Donc une zone aussi inviolable qu’une ambassade..
    Vous devinez la situation explosive, si les grecs veulent récupérer de force l’intégralité du port d’Athène.. smiley



    • chapoutier 5 mai 2012 11:20

      effectivement la dette remet en cause l’existence même des nations en les disloquants et c’est le cas de la Grèce et du Portugal qui deviennent colonies de l’union européenne sans droits politiques.


    • Francis, agnotologue JL1 5 mai 2012 10:16

      Le MES n’est pas un mécanisme de solidarité européen, par Claude Debons, Jacques Généreux, Janette Habel, Jean-Marie Harribey, Pierre Khalfa, Marie-Christine Vergiat et Francis Wurtz (1/3/12) : « Loin de sortir les États et la zone euro de l’emprise des marchés financiers, le MES la renforce encore. Les banques, qui peuvent emprunter à 1 % auprès de la Banque centrale européenne (BCE), prêteront au MES à un taux nettement supérieur. Le MES prêtera aux États à un taux encore supérieur et ces fonds serviront à payer la charge de la dette qui entrera dans les coffres des banques. C’est la solidarité version néolibérale, les banques solidaires avec elles-mêmes. Mais ce n’est pas tout, car ces « aides » aux États se font « sous une stricte conditionnalité » qui sera définie par la Commission européenne, la BCE et le Fonds monétaire international (FMI). C’est cette troïka qui est en train de mettre le peuple grec à genoux à force de réductions de salaires, de privatisations, de remise en cause des droits des salarié-es…. Bref, loin d’être un mécanisme de solidarité européen, le MES va être une camisole de force pour soumettre les peuples aux exigences des marchés et le S de MES risque fort d’être celui de servitude…. Il existe pourtant une autre solution pour sortir de l’emprise des marchés : que la BCE finance, sous contrôle démocratique européen, les déficits publics des Etats. Cela est d’ailleurs possible dès aujourd’hui car l’alinéa 2 de l’article 123 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne autorise la BCE et les banques centrales nationales à prêter aux établissements publics de crédit qui pourraient donc par là-même financer les déficits publics. Sortir la dette publique de la mainmise des marchés est la condition de toute politique progressiste. Claude Debons, syndicaliste, Jacques Généreux, économiste, Janette Habel, universitaire, Jean-Marie Harribey, économiste, Pierre Khalfa, syndicaliste, Marie-Christine Vergiat, députée européenne, et Francis Wurtz, député européen honoraire, soutiennent la candidature de Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle. »

      QUI DETIENT LA DETTE DE LA FRANCE ? Posté par 2ccr le 29 février 2012 « ... Euroclear France sait donc parfaitement qui détient combien et à quel moment. Mais la loi l’autorise à ne pas rendre publiques ces données. Pourtant, ce sont bien les citoyens qui paient la charge de la dette.... »


      • jaja jaja 5 mai 2012 10:48

        D’accord sur le constat il faut annuler la dette et refuser de rembourser les capitalistes qui la détiennent....

        Cela ne pourra s’imposer que par la mobilisation tant il est évident que la gauche parlementaire (dans ses composantes « molles » ou « dures ») n’a que le désir de nous la faire payer d’une manière ou d’une autre....

        C’est pourquoi il me semble important que se construise un front « anti-crise » regroupant les partis, associations et syndicats anti-capitalistes déterminés à se battre contre les mesures d’austérité à venir et ce quel que soit le gouvernement....

        Sans la création d’un tel front la cause est entendue... Nous l’aurons dans l’os....


        • chapoutier 5 mai 2012 11:23

          entièrement d’accord, toute la suite des évenements en France mais ailleurs aussi va etre conditionné par notre capacité à mobiliser un large front contre l’application des plans de la troika, à commencer par la regle d’or, le mes et le tscg.

          les mois à venir vont etre agités.


        • The jester 5 mai 2012 11:32

          Dette Inique ? s’il y a dette c’est parce que la France a voulu vivre au dessus des ses moyens ! Vous avez profité et surement vous profitez encore des largesse de l’état, de la distribution d’aide a tout va alors qu’il n’y a pas d’argent dans les caisses !
          Alors oui la France a preté au banque pour qu’elle ne se casse pas la gueule et oui il faut réformer le système de ce côté là. Mais NON , la dette n’est pas la faute des banques et des investisseurs mais bien de ceux qui ont dépenser sans compter !


          • chapoutier 5 mai 2012 11:38

            jester
            désolé d’etre brutal, mais vous ne savez pas de quoi vous parlez !

            avancez des chiffres vérifiables , argumentez votre point de vue , et un riche échange pourra se faire. on pourra même jouer à la guerre des chiffres si vous voulez. smiley

            dans l’attente.....


          • jaja jaja 5 mai 2012 11:44

            Il n’y a pas plus de dépenses qu’auparavant.... Depuis plusieurs décennies les dépenses sont les mêmes... Ce qui a changé c’est le taux des prélèvements et des cadeaux fiscaux faits par l’État aux plus riches. Allié au fait que les emprunts se font avec des taux d’intérêt forts qui sont un double cadeau fait aux riches au détriment de la masse des gens du peuple....

            C’est un véritable scandale qui ne pourra cesser qu’avec l’expropriation totale des banques, leur socialisation et la création d’un service public ayant le monopole des activités bancaires et donc du crédit et de la création monétaire.....


          • The jester 5 mai 2012 11:51

            Je n’ai pas besoin de chiffre mais d’une simple logique.

            Si la France emprunte c’est pour payer ses fonctionnaires, distribuer des aides sociale, etc ... en gros pour faire vivre la machine qui devient toujours plus grosse.Si elle emprunte c’est parce qu elle ne capte pas au même rythme qu’elle dépense. 

            Prouvez moi le contraire, prouvez moi que ce sont les investisseurs qui ont imposés à la France d’emprunter et là je rejoindrais votre camp. Mais pour l’instant je continu à dire que la France a emprumpté pour des besoins qu’elle s’est créé en proposant à l’ensemble de la population la mise en place d’un système impossible à financer, car toutes les projections ont été faite selon le raisonnement suivant :

            - on emprumpte pour lancer de grand projet et mettre en place des aides de ci de là.
            Grace a cela l’économie va être relancé, donc il va y avoir une croissance donc on pourra rembourser et pourquoi pas être mieux.

            Sauf que cela ne marche pas !
            1 - le moindre grain de sable enraye la machine
            2 - les Français en demande toujours plus
            3 - les politiques pour quelques voix vont proposer des nouveauté toujours plus couteuses

            Le système ne fonctionne pas ! La je suis d’accord avec vous, mais ce n’est pas la faute des banques, mais bien de ceux qui ont fait des promesses, de ceux qui en profite et de ceux qui réclame !

            Pour information, au vu de mon statut et de mes revenus je pourrais jouer à fond des defiscalisations mise en place sous tous les gouvernements depuis 1981, mais je n’en fait rien ! Car profiter de cela c’est prendre le chemin de la Grèce !
             


          • PhilVite PhilVite 5 mai 2012 12:44

            « Si la France emprunte c’est pour payer ses fonctionnaires, distribuer des aides sociale, etc ... en gros pour faire vivre la machine qui devient toujours plus grosse.Si elle emprunte c’est parce qu elle ne capte pas au même rythme qu’elle dépense. »

            Exactement il faut donc capter tout ce qu’il faut, comme il faut et là où il faut !
            Et pendre les « défiscaliseurs » de tout poil avec leurs tripes.


          • chapoutier 5 mai 2012 18:33

            Jester Je n’ai pas besoin de chiffre mais d’une simple logique.

            Je cites néanmoins quelques chiffres déjà connus et maintes fois rabâchés .

            La dette est de 1700 milliards d’euros, on à déjà remboursé pour 1500 milliards rien qu’en intérets.

            Même si les chiffres ne vous intéresse pas, seule la logique vous intéresse, je vous rappellerai néanmoins qu’il à 30 ans en arrière on « subissait » du 10% d’inflation annuelle. Tout benef pour les emprunteurs publics et privés entreprises et particuliers, mais manque à gagner pour les financiers. D’où la dictature de la pensée qui s’en est suivie : il faut combattre l’inflation !

            Si vous le voulez on pourrait épiloguer sur l’inflation , mais ce qu’il faut en retenir, c’est que la dette publique et les dettes privées ont enflées démesurément depuis cet oukase anti-inflation.

            Mais les financiers internationaux se sont gavés.

            La finance ne veut pas perdre cette poule aux oeufs d’or.

            Le hic, c’est que la dette des nations, comme les dettes privées, sont inexorablement en train de se transformer en bulle spéculative tellement gigantesque que, quand elle explosera, parce que elle explosera, elle entrainera l’ensemble de l’économie mondiale dans une récession à coté de laquelle , celle de 29, aura été une aimable plaisanterie.


          • chapoutier 5 mai 2012 19:32

            Jester Si la France emprunte c’est pour payer ses fonctionnaires, distribuer des aides sociale, etc ... en gros pour faire vivre la machine qui devient toujours plus grosse. Si elle emprunte c’est parce qu’elle ne capte pas au même rythme qu’elle dépense. 

            Faux, la France emprunte principalement pour rembourser les intérêts de la dettes et pour renflouer les banques , étonnant non  !

            50 milliards d’euros, c’est là le montant des intérêts annuel de la dette.

            30 milliards d’euros , c’est là le montant des exonérations de charges patronales par an au titre de la sécu.

            À cela on peut rajouter les cadeaux fiscaux .

            Comme les chiffres ne vous intéressent pas, on s’arrête là.

            Alors, non, ce n’est pas pour payer des fonctionnaires que la France emprunte .

            Vous êtes allez à l’école,il me semble ? Qui à payer vos instits et vos profs.

            Ils servent à quelque chose les fonctionnaires.

            Mais à quoi sert un banquier qui se gave sur la dette de la nation ?

            Jester Prouvez moi le contraire, prouvez moi que ce sont les investisseurs qui ont imposés à la France d’emprunter et là je rejoindrais votre camp.

            Combien d’articles sur agora pour expliquer les mécanismes pervers mis au point par les financiers pour contraindre les états à emprunter auprès des banques privées. La loi de 73, l’oukase contre l’inflation. Ne seriez vous pas un peu de mauvaise foi ?


          • Yohan Yohan 5 mai 2012 19:36

            Ah bon :


            « La France a emprunté »en urgence« 930 millions pour payer les salaires de certains fonctionnaires.

            Le Sénat a validé mercredi l’ouverture »en urgence« de nouveaux crédits par l’Etat, pour un total de 1,39 milliards d’euros. A quoi vont servir ces nouveaux crédits ? Non pas à investir, mais tout simplement à payer le salaire de décembre des fonctionnaires de huit ministères, dont celui de l’Education nationale.

            930 millions pour le salaire des fonctionnaires

            Sur cette somme de 1,39 milliards, »930 millions d’euros seront destinés à couvrir des dépenses de personnel", a expliqué, dans un communiqué, la commission des Finances du Sénat, présidée par le centriste Jean Arthuis.


          • Lea Andersteen Lea Andersteen 5 mai 2012 20:53

            Vous ne voulez pas donner de chiffre car vous décrivez ce qui tombe sous le sens ? Qui semble logique et évident ?

            A une époque, il semblait logique que la terre était immobile et que c’était le soleil et la voute étoilée qui tournaient autour de la terre. Cela semblait logique. Et ca l’est toujours. C’est bien le mouvement apparent que nos sens peuvent constater tous les jours. Pourtant.... Ce n’est pas vrai.

            Logique n’est pas forcément vérité.

            Concernant plus simplement cette dette, elle provient, d’une part, et c’est les chiffres qui le prouvent, d’une baisse des prélevements notament sur les plus riches alors que les dépenses ont stagné. C’est un fait établi et non une idée en l’air. D’autre part, elle provient du fait qu’avant les états européens empruntaient à leur banque centrale a taux 0 ou 1% alors que depuis les traités de maastrich et lisbonne pour l’euro, ils ne peuvent plus faire cela : ils empruntent a des taux croissants aux banques qui elle-même peuvent emprunter entre 0 et 1% à la banque centrale européenne.

            Ceci n’est pas logique. Ceci est juste vrai. Car en fait, ce n’est carrément pas logique. C’est une rente que les banques prélèvent indûment aux peuples. Oui, les banques et le monde de la finance sont coupables. Pleinement coupable de s’en mettre plein les fouilles et perpétrer le plus grand casse de l’histoire de l’humanité.


          • chapoutier 5 mai 2012 23:30

            lea

            tout à fait d’accord avec vos propos


          • jaja jaja 5 mai 2012 11:57

            "Pour information, au vu de mon statut et de mes revenus je pourrais jouer à fond des defiscalisations mise en place sous tous les gouvernements depuis 1981, mais je n’en fait rien ! Car profiter de cela c’est prendre le chemin de la Grèce !"

            La preuve par neuf qu’il faut exproprier les gros actionnaires des banques et institutions financières qui ne peuvent que nuire à l’ensemble des gens du peuple.....
            Compter sur leur sens moral et leur bienveillance c’est de la pure folie !


            • The jester 5 mai 2012 12:05

              Retirerez vous un jour vos œillères ?
              Il n’y a pas que les gros actionnaires qui profites des defiscalisations


            • jaja jaja 5 mai 2012 12:08

              Dites moi quels sont les autres que je les ajoute à la liste smiley


            • chapoutier 5 mai 2012 18:16

              juluch
              je reste sur le c..l que vous avez apprécié cet article.

              et vous avez raison, il y a là les germes des conflits à venir.


            • lloreen 5 mai 2012 14:41

              Le « rêve » américain ( le cauchemar américain serait plus approprié... ) : la plus grande arnaque de tous les temps.

              http://www.youtube.com/watch?v=QNbCAzzXw14

              Le « problème » de la dette expliqué en dix minutes.

              http://www.dailymotion.com/video/xlen9m_comprendre-la-dette-publique-en-10-minutes_news

              La solution (pour l’instant adoptée seulement par les islandais...)

              http://www.dailymotion.com/video/xqfqlr_la-revolution-islandaise_news

              Diffusez et informez ceux qui l’ignorent et dont la vie devient un enfer à cause de cette escroquerie « légalisée ».


              • Robert GIL ROBERT GIL 5 mai 2012 15:23

                bonjour,
                pour ceux qui veulent aller plus loin voici une serie d’articles qui parlent de dette, d’argent , de monnaie alternative ou de creation monetaire.....

                http://2ccr.unblog.fr/category/finance/


                • bakerstreet bakerstreet 5 mai 2012 15:30

                  Pourquoi voudriez vous qu’il renonce à cette carte ?
                  la dette, n’est à mon avis pas un accident, une sorte de dérive fatale, mais bien un moyen inventé pour mettre au pas le social, une conception de la politique au service de l’homme dont les fondements remonte à la révolution française.

                  Dans les années 20 se tint dans les faubourgs de Londres une réunion secrète, qui fut cachée pendant plus d’un demi siècle. Les « sept sœurs » , le cartel des compagnies pétrolières se réunit ce jour là ( Exon, total, BP, Texaco......) pour se partager le gâteau de la production et des sphères d’influence. La réalité et le travail de ce cartel conditionna la plupart des conflits du vingtième siècle, les crises, la position des hommes de pouvoir, les assassinats politiques....)
                  Elle finit par avoir la peau de L’URSS, entérimé par le gouvernement Reagan, en baissant artificiellement le cout du gaz et du pétrole afin de mettre les communistes sur le flanc.....

                  Sans doute apprendra t’on un jour qu’une réunion a eu lieu de même au début des années 70.....

                  Il s’agissait cette fois de condamner toute forme de social démocratie, de tuer toute possibilité d’interventionniste des états dans la sphère économique, dont la hausse des impôts devenait intolérable pour les grandes sociétés, rognant leurs marges.
                  En un mot, de les mettre à terme sous la tutelle des banques, dans une logique de profit exponentielle !« 

                  Comment faire pour faire accepter ce changement de paradigme au citoyen lambda ?

                   »Créons artificiellement une ligne de crédit des états en faveur des banques, dit quelqu’un dans la salle ! Qui pourra redire à ça dans un premier temps ?« 
                  Quand la dette explosera, nous aurons le prétexte rêvé qui nous manque actuellement pour mettre les états au pas, tout libéraliser, et partager la poule aux œufs d’or ! »

                  Ca pourrait s’appeler :
                  COMMENT CONVAINCRE UN ELEPHANT DE SE FAIRE LIGOTER PAR UNE SOURIS !


                  • Aleth Aleth 5 mai 2012 17:46

                    Rien n’est du au hasard en effet. Il faudrait être naïf ou se mentir à soi-même pour penser que toutes ces « crises », toutes ces « dettes » soient le résultat de malencontreuses coïncidences, ou d’une maladroite et mauvaise gestion. La même « idéologie » continue de s’appliquer à la lettre comme si de rien n’était. Et ça va de mal en pis avec cures d’austérité en option. Les « responsables politiques » auraient comme qui dirait les pieds et poings liés par les marchés, comme si aucune réforme majeure ne pouvait être appliquée. Donc ils mettent des pansements, encore et encore, faisant semblant de ne pas voir le coeur du problème, ce monopole offert aux banques, sans consultation du peuple, cette interdiction aux Etats d’émettre du crédit. Qui osera prendre exemple sur l’Islande ? Trop d’enjeux !

                    L’ampleur de la trahison est telle que personne (ou presque) dans les « hautes sphères politiques » n’ose remettre en cause le système en lui-même, en Europe ou ailleurs. Et la plupart des citoyens se font dérober le peu qu’il leur reste au bénéfice d’institutions financières privées. « N’oubliez pas de payer votre impôt sur le revenu »... ça fait encore plus mal quand on sait que la totalité de cet impôt récolté sert à rembourser les 50 milliards € annuels nécessaires (rien qu’en France) pour engraisser les banksters. Et ça ne fait qu’empirer d’années en années. La dette explose et le peuple trime ! Il s’agit là de très haute trahison ! Un enfant de dix ans comprendrait... mais eux « là-haut », soi-disant, ça ne leur saute pas aux yeux. Cette « idéologie » serait paraît-il un avantage pour le peuple.

                    Idem pour la FED et sa création (suite à la réunion sur l’île de Jekyll Island) par un cartel de quelques grands banksters en 1913 avec bénédiction du Congrès... la même année est créé par pure coïncidence l’impôt sur le revenu. L’année prochaine la FED fêtera son centième anniversaire. Je serais curieux de savoir la somme totale accumulée par les familles propriétaires de la FED notamment (et ça vaut pour l’Europe entre autres « zones », Rothschild & co), depuis qu’elles ont pris possession du monopole de battre monnaie ou émettre du crédit. Combien de dizaines de milliers de milliards $ ou € ont-elles été capables d’amasser au fil du temps ?! Tellement indécent que c’en deviendrait inconcevable. La réponse à cette question n’apparaîtra pas dans les colonnes de Forbes par exemple. Ceux qui sont mis sur le devant de la scène sont les « petits » multi-milliardaires, les Gates, Buffett et autres Slim qui montrent leurs visages. En comparaison ceux-là sont des petits joueurs.

                    Les banksters s’accaparent les nations et leurs richesses avec l’aide de leurs agents qui se font passer pour nos « dirigeants ». Et les médias ne sont pas en reste. Quand cela va-t-il enfin cesser ? Nous oublions trop souvent que nous sommes les 99%. Quelqu’un a-t-il le mode d’emploi ? ça urge...


                  • sisyphe sisyphe 5 mai 2012 16:27

                    Entièrement d’accord avec l’article et les commentaires :

                    CETTE PSEUDO DETTE EST TOTALEMENT ILLÉGITIME !

                    Elle est celle des banques et organismes financiers ; en aucun cas celle des citoyens !

                    Que les citoyens se mobilisent partout ; dans tous les pays d’Europe (au moins), et fassent savoir qu’ils ne paieront pas pour les spéculateurs, les banquiers, les prédateurs et les mafias financières.


                    • fredleborgne fredleborgne 5 mai 2012 17:59

                      Bon, pour l’instant, il y a encore les législatives, pour donner à FH un chef de gouvernement anti-dette. La campagne de Mélanchon n’est pas terminée et il doit prendre le pas sur le candidat socialiste localement. On verra alors comment va fonctionner le report des voix à gauche.

                      Que font NPA et LO ?

                      Il serait temps que la vrai gauche bouge d’une seule voix.


                      • chapoutier 5 mai 2012 18:32

                        Jester Je n’ai pas besoin de chiffre mais d’une simple logique.

                        Je cites néanmoins quelques chiffres déjà connus et maintes fois rabâchés .

                        La dette est de 1700 milliards d’euros, on à déjà remboursé pour 1500 milliards rien qu’en intérets.

                        Même si les chiffres ne vous intéresse pas, seule la logique vous intéresse, je vous rappellerai néanmoins qu’il à 30 ans en arrière on « subissait » du 10% d’inflation annuelle. Tout benef pour les emprunteurs publics et privés entreprises et particuliers, mais manque à gagner pour les financiers. D’où la dictature de la pensée qui s’en est suivie : il faut combattre l’inflation !

                        Si vous le voulez on pourrait épiloguer sur l’inflation , mais ce qu’il faut en retenir, c’est que la dette publique et les dettes privées ont enflées démesurément depuis cet oukase anti-inflation.

                        Mais les financiers internationaux se sont gavés.

                        La finance ne veut pas perdre cette poule aux oeufs d’or.

                        Le hic, c’est que la dette des nations, comme les dettes privées, sont inexorablement en train de se transformer en bulle spéculative tellement gigantesque que, quand elle explosera, parce que elle explosera, elle entrainera l’ensemble de l’économie mondiale dans une récession à coté de laquelle , celle de 29, aura été une aimable plaisanterie.


                        • chapoutier 5 mai 2012 18:45


                          elle n’est pas fini la campagne ?

                          Le Point.fr - Publié le 05/05/2012 à 15:47 - Modifié le 05/05/2012 à 17:34

                          Jean d’Ormesson, Charles Aznavour, Gérard Depardieu... Plus d’une vingtaine de personnalités appellent dans une tribune à voter pour le président sortant.

                          http://www.lepoint.fr/politique/election-presidentielle-2012/les-intellectuels-et-les-artistes-a-la-rescousse-de-sarkozy-05-05-2012-1458412_324.php


                          • chapoutier 5 mai 2012 19:31

                            Jester Si la France emprunte c’est pour payer ses fonctionnaires, distribuer des aides sociale, etc ... en gros pour faire vivre la machine qui devient toujours plus grosse. Si elle emprunte c’est parce qu’elle ne capte pas au même rythme qu’elle dépense. 

                            Faux, la France emprunte principalement pour rembourser les intérêts de la dettes et pour renflouer les banques , étonnant non  !

                            50 milliards d’euros, c’est là le montant des intérêts annuel de la dette.

                            30 milliards d’euros , c’est là le montant des exonérations de charges patronales par an au titre de la sécu.

                            À cela on peut rajouter les cadeaux fiscaux .

                            Comme les chiffres ne vous intéressent pas, on s’arrête là.

                            Alors, non, ce n’est pas pour payer des fonctionnaires que la France emprunte .

                            Vous êtes allez à l’école,il me semble ? Qui à payer vos instits et vos profs.

                            Ils servent à quelque chose les fonctionnaires.

                            Mais à quoi sert un banquier qui se gave sur la dette de la nation ?

                            Jester Prouvez moi le contraire, prouvez moi que ce sont les investisseurs qui ont imposés à la France d’emprunter et là je rejoindrais votre camp.

                            Combien d’articles sur agora pour expliquer les mécanismes pervers mis au point par les financiers pour contraindre les états à emprunter auprès des banques privées. La loi de 73, l’oukase contre l’inflation. Ne seriez vous pas un peu de mauvaise foi ?


                            • jaja jaja 5 mai 2012 19:49

                              Collectif contre le TSCG et la dette...

                              Non à l’austérité en Europe, non au Pacte budgétaire !

                              Le Collectif pour un audit citoyen de la dette publique rassemble une trentaine d’organisations du mouvement social[1]. Son objectif est d’ouvrir le débat sur les vraies alternatives à la crise de la dette pour sortir de la pensée unique de la rigueur budgétaire en France comme en Europe.
                               
                              Fort des 60000 signatures de son 
                              appel constitutif, et de plus d’une centaine de collectifs unitaires locaux, le Collectif lance une vaste campagne d’éducation populaire sur le nouveau traité européen, le Pacte budgétaire, sur la base d’un document d’explication disponible en ligne (cliquez ici).
                               
                              Quelle que soit l’issue du scrutin présidentiel, le mouvement social doit faire pression pour que ce traité d’austérité soit rejeté. L’ajout d’un volet de croissance, appelé des vœux de M.Hollande, ne sera d’aucune utilité sans le rejet des dispositifs coercitifs et technocratiques qui visent à imposer de force l’austérité en Europe.
                               
                              Partout en Europe, les peuples se lèvent contre ces politiques injustes qui plongent l’Europe dans la crise. Les dirigeants européens ne peuvent pas continuer à bafouer leurs droits démocratiques et sociaux !
                               
                              Le Collectif pour un audit citoyen de la dette publique,
                              Le 4 avril 2012

                               
                              [1] Voici les organisations signataires de l’appel constitutif du Collectif pour un audit citoyen de la dette publique :
                               
                              Membres du collectif
                                : Act Up-Paris, Agir ensemble contre le chômage (AC !), AITEC, Amis de la Terre, Attac, CADTM, CEDETIM, Collectif National pour les Droits des Femmes, Collectif Richesse, Confédération CGT, Convergence SP, Coopérative DHR, Economistes Atterrés, Emmaüs International, Fakir, Fédération Syndicale Unitaire, Finances CGT, Fondation Copernic, Indecosa-CGT, L’Appel des Appels, Ligue des Droits de l’Homme, Marches Européennes, Marche Mondiale des Femmes France, Mouvement Utopia, Réseau Education Populaire, Résistance Sociale, SNESUP, Sud BPCE, Union SNUI-SUD Trésor Solidaires, Union syndicale Solidaires.
                               
                              En soutien  : Alliance Ecologiste Indépendante, Alternatifs, Association Nationale des Élus Communistes et Républicains, Démocratie & socialisme, Europe Ecologie Les Verts, FASE, Gauche Anticapitaliste, Gauche Unitaire, M’PEP, NPA, Parti Communiste Français, PCOF, Parti de Gauche, Parti pour la décroissance
                              ...


                              • eric 5 mai 2012 21:58

                                Monsieur Chapoutier, vous avez l’air d’être très préoccupé par l’appel d’artistes à soutenir Sarko. Fort heureusement, il est antérieur à la fin de la campagne officielle, vous trouverez tous les détails sur http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000769091
                                Mais il faut que vous soyez rassuré. Soutiennent Sarko essentiellement des artistes qui pourraient vivre de leur œuvre même sans argent public. Ils sont par construction en France bien moins nombreux qui ont appelé à voter Hollande parce que leurs revenus en dépendent.
                                Vous êtes rassuré ?


                                • sisyphe sisyphe 5 mai 2012 23:55

                                  Soutiennent Sarko essentiellement des artistes qui pourraient vivre de leur œuvre même sans argent public. Ils sont par construction en France bien moins nombreux qui ont appelé à voter Hollande parce que leurs revenus en dépendent.

                                   ??????????
                                  Je pas compris....
                                  Vous pourriez expliciter ?

                                  Merci


                                • chapoutier 6 mai 2012 08:47

                                  Si Hollande avait déclaré : « moi élu, j’annule la dette » il aurait eu le soutient de millions de français qui n’en peuvent plus, il aurait eu le soutient des grecs et des espagnols, des irlandais et des italiens.

                                  Oui, si monsieur Hollande avait osé une telle déclaration, ce n’est pas une élection qui l’aurait porté, mais un raz de marée humain, tous ceux que Sarkozy n’a cessé de vilipendé tout le long de son quinquennat. Tous ceux qui sont supposés avoir un faux travail, qui se lèvent tard, qui ne souffrent pas, les assistés, les chômeurs, les salaires médians, les smicards, enfin tous ceux qui n’ont pas le privilèges de fêter les résultats des élections au Fouquet’s.

                                   

                                  Mais monsieur Hollande n’a pas fait une telle déclaration.

                                  Bien au contraire, puisqu’il s’est engagé à réaliser des économies sur le budget de la France.

                                   

                                  La réalité est que la France doit lever 180 milliards d’euros pour financer ses dettes, et que si Sarkozy est battu, la nouvelle équipe devra emprunter 500 millions d’euros par jour pour terminer l’année.

                                  Cette situation fait dire à Michel Sapin ; « nous n’aurons qu’une nuit d’état de grâce  », ce qui est aussi vrai pour Sarkozy dans l’improbable cas de sa réélection.

                                  Il n’y aura pas d’état de grâce ! Il ne peut en être autrement dès lors que l’on se soumet à la dictature de la dette.

                                  Hollande le confirme dans sa réponse à Bayrou puisqu’il lui jure qu’il : « souscrit aux disciplines budgétaires ».

                                  C’est un comble, on vire Sarkozy pour être néanmoins assujetti au traité de Sarkozy.

                                  Parlant des électeurs du FN, Hollande déclare ; « ils ont l’impression de n’avoir droit à rien, et que la mondialisation se fait à leur détriment. Ils se sentent abandonnés par la droite comme par la gauche depuis 20 ans. » certes, mais n’est-ce pas le cas des 14 millions d’électeurs du PS et du Front de Gauche, qui vomissent l’austérité européenne et ses traités iniques ?

                                  C’est donc par millions que les français vont voter pour virer Sarkozy, mais le choix réel, celui de dire non, de peser en faveur d’une politique véritablement différente et répondant aux attentes de la population laborieuse et de la jeunesse n’existe pas.

                                  La souveraineté du peuple qui fonde la démocratie est détournée de son objectif, et soumise à la volonté des intérêts de la finance.



                                  • rocla (haddock) rocla (haddock) 6 mai 2012 08:57

                                    Dette inique ?


                                    Normal qu’ elle croisse .

                                    • rocla (haddock) rocla (haddock) 6 mai 2012 09:03

                                      La démocratie est le régime politique dans lequel le peuple est souverain. La formule d’Abraham Lincoln, la démocratie est « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple », est l’une des définitions canoniques couramment reprise, ainsi qu’en témoigne, par son introduction, la Constitution de 1958 de la Cinquième République française.


                                      • chapoutier 6 mai 2012 10:50

                                        ce qui infère que la Vème république est anti-démocratique, car comment un individu peut-il prétendre représenter un peuple dans toute sa diversité d’opinion ?


                                      • eric 6 mai 2012 09:15

                                        Oui
                                        Et à l’époque ou les communistes étaient communistes, ils auraient voté Sarkozy pour aviver les contradictions du système et accélérer sa chute.
                                        Aujourd’hui....http://www.bacdefrancais.net/loup.php


                                        • chapoutier 6 mai 2012 10:48

                                          eric

                                          pas les communistes, non-non, ce que vous décrivez, c’est les staliniens !

                                          les communistes, eux , n’ont pas d’intérêts différents de ceux de la majorité de la population laborieuse.

                                          mais c’est un débat qui plonge ses racines dans la révolution de 1917. ni le lieu, ni le moment.

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