Une situation indignante parmi tant d’autres
Entrée sur le marché du travail relativement désespérante
Je suis un jeune qui rentre dans la deuxième moitié de la vingtaine. Je souhaiterai travailler dans le milieu de la presse, j'ai un site internet que j'ai monté pour pouvoir écrire sur des sujets qui m'intéressent ( politique, culture etc...).
Je le fais par passion mais aussi par résignation. Après avoir demandé à plusieurs personnes qui travaillent et s'intéresse à ce milieu des pistes vers lesquelles on pourrait m'orienter ( piges etc..) sans compter les cv et lettres de motiv envoyés de façon quasi industrielles sans aucune réponses.
A vrai dire je ne recherche même plus de CDD, cela me parait totalement inconcevable. Une personne m'a quelque peu déçu : le rédacteur d'un journal national de gauche.
C'est ce qu'on pourrait appeler un ami de famille, on partait souvent en vacances ensemble quand j'étais plus jeune et quand mon père était encore en vie ( et au passage avec une bonne situation ).
Je lui ai envoyé un premier message en lui demandant de me trouver au moins une pige ( 70euros) et même çà il n'a pas réussi à me l'avoir. Il m'a dit qu'il n'était pas décisionnaire... Pas décisionnaire mais lui gagne tout de même un salaire avoisinnant les 8000e/ mois.
Il va me faire croire qu'il ne peut même pas m'avoir une pige rémunérée 70euros ? Je veux dire qu'est ce que c'est 70 euros ? Je ne pourrais même pas vivre avec çà.
Je ne demande même pas un contrat, je ne vais pas prendre la place d'un autre journaliste.
La dernière fois je lui ai même envoyé un message pour lui dire que j'étais dans la merdre... Aucune réponse. Je demande de l'aide on m'envoit chier.
Cela me rappelle quand je suis dans le métro et qu'un SDF rentre et dit : "Bonjour à tous, je suis sans domicile fixe, ma femme m'a quitté, j'ai perdu mes enfants..."
Et à ce moment là un de mes voisins de siège ne trouve rien de mieux à faire que de lancer un regard amusé en direction de sa copine en face de lui l'air de dire " Qui est cet imbécile qui vient nous casser les couilles ?"
Bref je sais que je ne suis pas le seul dans ce cas là, que je ne suis pas le seul à galérer. Parmi mes amis, nombreux sont ceux qui sont dans mon cas ou embauchés dans des emplois précaires sans intêrets et parfois même au black....
Mais ce n'est pas parce que cela existe que ca doit perdurer.
15 réactions à cet article
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À l’auteur :
1)
Évitez les fautes d’orthographe...
2)
« j’ai un site internet » : URL ? Si vous voulez que les gens puissent apprécier vos capacités et votre originalité.-
À l’auteur :
Bon. Alors ? Quelle est l’URL de votre SITE INTERNET ? ? ?...
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« Une personne m’a quelque peu déçu : le rédacteur d’un journal national de gauche. » : essayer un journal de droite, ou même d’extrême droite, peut-être vous aurez plus de succès.
Quand vous aurez compris que la société capitaliste dans laquelle on vit est incapable de fournir du travail à tout le monde, un environnement où tout le monde peut se soigner, envoyer ses enfants à l’école, se nourrir et se loger décemment, avoir des loisirs, alors, vous aurez fait beaucoup de progrès.
N’oubliez pas aussi que la société capitaliste considère que dans toute société, il y a des gagnants et des perdants, que c’est dans la nature des choses. D’après eux, vous faites partie des perdants, vous n’avez qu’à prendre à vous mêmes(mauvaise voie, mauvais âge, manque de motivation, etc, etc, toute la litanie bidon habituelle) tant pis pour vous.
PS Votre précision de « journal de gauche » est bidon : ce n’est pas parce qu’un journal est de gauche, et même s’il l’est réellement, qu’il peut donner des piges à tout le monde. La précision qu’il touche dans les 8000€/mois, pareil : qu’est-ce-que cela a à voir ? Ce n’est pas lui qui paie, c’est le journal, à moins que dans le salaire que le journal leur donne est comprise une partie aux piges qu’il donne à qui il veut !!!
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Quand je précise que le journal est de gauche ce n’est qu’un renseignement.
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Ce que je veux mettre en exergue ce n’est pas tant combien il gagne mais plus ce manque d’entraide, cet individualisme de merde. Désolé si je rentre dans les clichés mais très honnêtement c’est comme ça que je perçois les choses. Et encore une fois je précise : le fait que le journal soit de gauche est juste une info, pas une critique
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Sans vouloir être méchante, comment voulez-vous entrer dans ce secteur extrêmement fermé quand vous ne semblez même pas maîtriser les bases de l’orthographe ? Même à l’époque des SMS, il y a des décisionnaires que cette faiblesse dérange.
Bien cordialement.-
Chevalier, avez-vous relevé cet écho qui dit temps entre votre pseudo et votre photo d’illustration ?...
« Je le fais par passion mais aussi par résignation. » - commencez par choisir, et en tranchant ici, ce sont propres menottes que vous ouvrirez.-
vous rentrez dans des clichés, dites-vous.
bon je suis pas du domaine, mais je vais essayer de vous proposer quelques « trucs » dont vous garderez ce que bon vous semblera :- d’abord prenez une bonne semaine pour méditer en quoi votre droit c’est votre devoir, et votre devoir votre droit.-éventuellement, sachant, Chevalier, que vous semblez avoir l’armure, mais la pique en suspens, prenez soin de vous alléger, quitte à jeter des tas de choses, voire même comportements, ça peut aller très loin le blanc, bref se recentrer.-ensuite, condamner d’office toute attitude quémandeuse, si ce n’est auprès des agences, car même en allant comme ça de décideur en décideur, en 2050 vous serez encore là...-donc fini l’ami de la famille qui va aider.-vous trouvez un bon copain bien photographe, vous choisissez un sujet rare mais prenant, vous foncez, et vous allez pas vers 70 mais 700 le rôt...-vous contactez alors l’ami non décisionnaire juste pour corriger.-vous vous assurez que durant le rédactionnel vous jubilez, humide, voire gloussant.-vous mentez comme vous respirez, nous parlons journalisme, donc l’ami de famille on lui dit « oui j’ai une pige probable, mais faut juste me dire si ça va ».-ensuite, une fois revu vous tournez avec la chose en main, un dossier, etc.(vous avez pas une chance sur cent).-une fois que vous avez répété cet exercice dix fois, sur des sujets pas brûlants ni trop d’« actualité », vous avez un enfin portfolio qui vous plaide.-donc même si vous vendez rien d’écrit, c’est vous qui écrivez.voilà pour un avant-propos.si vous voyez en route que vous ne jubilez pas, que vous peinez, alors un conseil de ré-orientation professionnelle est possible.jouissez d’abord de travailler, ensuite vous travaillerez pour mieux - et à mieux - jouir.voilà,ça a l’air pompeux prétentieux, mais au fond c’est superbasique et megaplat.bonne chance. -
Bravo Volt.
Ce sont en effet de sages conseils à donner à un jeune (pour tout métier et pas seulement pour le journalisme) que je résumerai ainsi :
Si vous avez très envie de faire quelque chose................... faîtes-le, n’attendez pas que quelqu’un vous y autorise !
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C’est quoi « un journal national de gauche » ? Parce que s’il est ’’national’’ , il donne forcément dans la pensée unique ! Tous les journaux sont vendus au système, à de très rares exceptions près (Fakir.)
Tu ne dis rien de tes origines. As-tu fait une école de journalisme ? Pour les patrons de presse c’est l’assurance de disposer de rédacteurs au bon format
, et sans servilité point de salut là dedans ! -
C’est vrai que même moi qui suis routier, je fais moins de fautes d’orthographe !
PS : juste pour info, on ne dit pas « rentrer » dans dans la deuxième moitié de la vingtaine. Mais « entrer », car rentrer signifierait que vous y soyiez déjà allé auparavant.-
C’est vrai que l’orthographe ça coince. J’ai envoyé l’article assez impulsivement sans le relire. Toutes mes excuses
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Apprends a calmet tes impulsions cela t’aidera a corriger ton orthographe et ainsi a eviter de t’excuser .L’ami de famille doit connaitre ton soi disant talent de journaliste qui veut etre ...............pistonne :)
Tu devrais ecrire un article sur le piston dans le travail .
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, et sans servilité point de salut là dedans ! 
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