Venezuela : à propos d’une attaque sournoise !
Courrier international rapporte une drôle d’affaire : il y aurait au Venezuela une pénurie de papier toilette. Le gouvernement a pris les choses en main : deux douzaines de militaires, en tenue et en armes, ont eu la mission de protéger des fonctionnaires qui inspectent l’entreprise privée Manpa, principal producteur de PQ, couches culottes et protections hygiéniques. Tant que dure l’inspection, les frais d’entretien des militaires sont à la charge de l’entreprise !
- Venezuela : à propos d’une attaque sournoise !
Les fonctionnaires sont chargés de vérifier le processus d’approvisionnement et la chaîne de production. Ils semblent, en effet, soupçonner un sabotage !
Il n’y aurait rien d’étonnant à ça. Le capital vénézuélien, sous autorité étasunienne, combat en permanence le gouvernement populaire. Et l’affaire n’est pas anodine : c’est une agression du capital qui cherche à déstabiliser le gouvernement du Président Maduro en créant des difficultés à la population. Les réactionnaires critiquent le contrôle des prix et le contrôle des changes. C'est-à-dire qu’ils condamnent « les contrôles » pour recouvrer « leur liberté » ! Liberté d’extorquer, liberté d’exploiter, liberté de ruiner ! Ils ne l’ont pas et en sont fort marris !
Le gouvernement protège, quant à lui, la liberté du peuple de disposer de PQ ! Militaires à l’appui !
Puisque le capital vénézuélien semble considérer la production de PQ comme une « production stratégique », la réponse pourrait bien être : puisque c’est stratégique, cette production sera planifiée, et les moyens de production appartiendront au peuple !
DR
http://www.resistance-politique.fr/article-venezuela-a-propos-d-une-attaque-sournoise-120397277.html
40 réactions à cet article
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Pénurie de papier hygiénique au Vénézuela = complot capitaliste ! ? ...
Curieux...
L’honorable Daniel Ortega, actuel président du Nicaragua, parvint au même résultat économique quand il était, en 1984, une espèce de putain de salaud de dictateur sandiniste favorable à l’économie centralisée de tendance communiste...
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C’est une pratique habituelle des USA de créer des difficultés économiques aux gouvernements qui ne leur conviennent pas.
Par exemple, rappelez-vous les longues « grèves » des routiers chiliens (des artisans, les salariés sont moins manipulables) dont on sait qu’elles ont été totalement financées par la CIA.
« Grèves » qui ont généré de grandes difficultés d’approvisionnement, induisant un certain mécontentement, prémisse du coup d’état qui a mis le sinistre Pinochet au pouvoir.
Lequel Pinochet n’avait rien de plus urgent à faire que de rendre service à ses maitres. -
Dans les années 1980, les sandinistes nicaraguayens étaient parfaitement capables « d’organiser » toutes sortes de pénuries tant ils étaient économiquement nuls ! ! !
Sans aucune aide américaine...
Quid du Vénézuela ? -
Ne vous souvenez-vous pas des contras au Nicaragua ?
Contras, financés, de nouveau, par la CIA et par la dictature argentine de Videla (elle-même soutenue par la CIA) et qui semaient terreur et désolation dans le Nicaragua sandiniste.
J’imagine que vous ne vous souvenez pas non plus de l’Irangate, c’est à dire de la vente d’armes, par la CIA, d’armes US à l’Iran des ayatollahs pour financer illégalement les contras du Nicaragua. Financement qui avait été interdit par le congrès US.
Aller donc voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/IrangateJe crois que, voulant défendre l’indéfendable, vous ne faites que renforcer la thèse d’une intervention cachée US au Venezuela.
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Je ne disconviens pas des méthodes américaines.
Mais, je retiens également la capacité intrinsèque de certains gouvernements et politiciens « progressistes » à se mettre dans la panade par eux-mêmes. -
Addendum :
1978 : fin de Somoza, PIB/H : 785 $/an1979 : début du Sandinisme de Daniel Ortega, PIB/H : 540 $/an1990 : début de Violeta Chamorro, PIB/H : 655 $/an1996 : début de Arnoldo Alemán* (conservateur, ancien somoziste), PIB/H : 697 $/an2002 : début de Enrique Bolaños (vice-président de Alemán), PIB/H : 766 $/an2006 : début de Daniel Ortega**, PIB/H : 946 $/an2011 : réélection de Daniel Ortega PIB/H : 1.244 $/an* Arnoldo Alemán sera condamné à 20 ans de prison pour détournement de fonds en 2003** après avoir publiquement déclaré avoir renoncé au marxisme-léninisme et s’être rapproché de l’Église catholique romaine. Il choisit comme vice-président un ancien « Contras ». -
Merci pour ce joli papier humoristique !
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Le Venezuela est dans la merde ! faisons un geste de solidarité !
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Le premier réflexe sera surement pour beaucoup de sourire au texte plus haut, et pourtant ....
Si, dans un deuxième temps, on utilise plus de 3 neurones, on s’aperçoitqu’on serait tous et très vite très ennuyés sans papier toilette. Et que notre colère monterait très vite.
En fait, c ’est bel et bien un « secteur stratégique » qui peut facilement démoraliser la population et la retourner contre le gouvernement en place. Maintenant, complot interne ou mauvaise gestion, c’est une autre question à laquelle je ne me hasarderais pas à répondre.-
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Un problème est plus urgent et vital : celui de la distribution d’eau propre ,le pq ,« on s’en torche » !( avec toutes les fêtes en cours d’année,les confettis se trouvent en abondance)...
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bientôt sur le marché des rouleaux de papiers dollars. https://www.google.fr/search?q=dollar+papier+toilette&ie=utf-8&oe=utf-8&rls=org.mozilla:fr:official&client=firefox-a&gws_rd=cr&ei=qXVOUqa1MY-QhQeL-IGgCg méfiez vous des faux !
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Je vous pris d’excuser ce qui suit, mais je ne sais pas comment le dire en des termes plus choisis : « si la m....e valait de l’argent, les pauvres n’auraient pas de trous du c.. ! ».
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On est mort de rire.
Un coco découvre l’économie planifiée comme une poule découvre une paire de ciseaux !Un belle résultante de l’économie planifiée de cocos stupides.Bienvenue dans l’économie de la queue devant les magasins et de la pénurie permanente.Comme ils sont incapables de résoudre le problème de pénuries de tout ils en sont a créer des ennemis factices.Expliquons l’économie de base aux cocos :Le marché libre est un marché ou celui qui achète le fait de son plein grès et celui qui vend adapte le prix a la valeur de celui qui achète.Dans un monde communiste, c’est un marché interventionniste ou l’état se mêle de la fixation des prix en dehors de toute logique économique, mais uniquement en fonction des groupes de pression, du paraître ou totalitarisme du politicien qui croit avoir raison parce qu’il croit que c’est « social ». On dit de c’est un marché coercitif. Les prix sont imposé par la force de l’état interventioniste qui se « croit » plus fort que l’individu pour fixer les prix.Pourquoi les pénuries sont systématiques dans les mondes socialo-communistes ?Les prix sont fixés par la loi et non le consentement libre des vendeurs ou des acheteurs.1-Il n’y a aucun intérêt pour un producteur de produire un produit qui ne rapporte rien. La production chute.2-La distribution étant nationalisée, que la marchandise soit dans le magasin ou pas n’a aucune importance. Produire a temps ou pas n’a aucune importance. Les flux logistiques ne fonctionnent plus. La marchandise même produite n’est plus dans les magasins. Les magasins sont vides.3-Les magasins qui disposent de marchandise sont rares. Les gens font des stocks pour revendre plus cher à ceux qui n’en ont pas. Les produits coûtent plus cher in finé. L’inflation explose.4-Moins de producteurs entraîne le monopole d’état. Le monopole entraîne l’absence de choix, et un rapport qualité/ prix déplorable. Les productions des pays communistes sont toujours bien pourries.5-L’état se mêlant de tout dérégule le marché libre par son interventionnisme, et crée de « faux prix ». Les faux prix étant inférieurs aux réalités du marché, c’est le contribuable qui paye à la place. Les pays communistes sont toujours endettés.-
@Cogno
Hélas voici ce que donne une France formée à l’économie par une éducation nationale Marxiste.Une France ignorante de l’économie de basique.En seconde nos enfants ont droit a des dissertations sur Marx dont ses idées se limitent a jalouser les plus riches, et aucune sur Hayek et la « route de la servitude ».Il est temps de dé-socialister et dé-communister nos services publics et administratifs. Mettre fin a cette éducation de gauche, cette justice de gauche, cette administration de gauche qui forment à votre mentalité bien sectaire envers les catégories sociales qui entreprennent.J’ai écrit que le Vénézuéla allait aller de pénuries en pénuries déjà en Juin 2013.Et obligatoirement cela va continuer !C’est une évidence de base ! N’importe quel enfant formé à l’économie de base en Angleterre, Suède, Allemagne, USA ou Pologne apprend cela à l’école. Sauf dans notre éducation nationale Marxisée et Keynésienne qui empêche la découverte de l’économie de marché et l’anti-libéralisme.Rappelons les derniers sujets du Bac 2013. « Que devons nous à l’état ? ». On imagine avec ces profs de gauche Trosko-Marxiste, celui qui répond que l’état lui doit tout, puisque que l’état ne fabrique rien mais dépense seulement son argent de contribuable pour son service.Le papier cul est déjà manquant depuis des mois. Comme tous les autres produits de base dans ce pays.Je vous écris aujourd’hui comme je l’écrivais hier que le problème de la pénurie au Venezuela ne fera que s’aggraver, comme il l’a fait au fil des ans dans l’Union soviétique », et dans tous les pays à économie administrée... -
Par contre quand on aborde un problème de caca ,Cassus en extase, exulte en grand technicien de la science scatologique et nous rédige de délicieux posts peaufinés ! -
@Cogno
L’intérêt général n’existe pas. Ce qui existe c’est seulement « l’idée » ou « une construction intellectuelle abstraite » que certains se font de ce qu’est à leurs yeux l’intérêt général.Ceux qui croient agir en fonction de l’intérêt général sont en réalité conduits à favoriser des intérêts particuliers au détriment d’autres.Les socialistes et les communistes justifient le sacrifice de l’individu par le sacro-saint « intérêt général ». Alors que l’individu pour assouvir sa nature agit dans l’intérêt général mieux dans une économie de marché libre que les planifications socialo-communistes qui ne répondent qu’a des constructions intellectuelles de groupes de pressions, comme des petits contre des gros et inversement des gros contre des petits .L’homme, en tant que producteur, est attiré par essence vers un enrichissement individuel (argent, position sociale).En regardant à son intérêt propre, dans une économie de marché ou celui qui achète librement, il crée l’intérêt général par la réponse à la demande volontaire et réelle de celui qui achète volontairement... -
Une France ignorante de l’économie de basique.
??? Vous voulez parler de l’économie du basilic ? A force de vouloir éviter l’endoctrinement marxiste de l’éducation nationale, je crois que votre formation s’avère incomplète jeune padawan.
Ha ! mais ils sont tous là, sparadrap, ronald le clown en marcel, raclure +, manque plus que calmos/kern pour compléter le quarté du jour. Pas étonnant sur un tel sujet de voir autant de mouches à merde.
@ cogno5, vous aussi vous êtes fan des histoires poignantes que nous narre spartacus ?
J’avoue relire régulièrement le soir quand la tristesse et le doute m’envahit, ce très bel article sur cette caissière à la clio brulée par des sauvageons. Et me voilà ragaillardi, prêt à pourfendre du gauchiste. -
Une entreprise c’est une entreprise, ce n’est pas une association à but non lucratif dont la noble mission serait de « créer des emplois ». Sa mission naturelle est dirigée pour ses clients, pour ses employés comme ses actionnaires est son obligation est d’être rentable.
Une entreprise doit gagner de l’argent et quand elle gagne de l’argent, elle embauche. Pour gagner de l’argent, il faut qu’elle fasse de la marge le plus possible avec le moins de monde possible.L’hypocrisie socialo-communiste consiste a croire ou faire croire le contraire, et de faire croire au monde que l’argent se créée sans travailler et qu’il n’y a qu’a le ponctionner.Vous refusez de comprendre les bases de l’économie.Quand cous achetez votre paire de Nike à 100€ fabriquée en pays du tiers monde, 5€ va en réalité au pays du tiers monde en contribue à l’enrichir. 75€ Va à la conception et la commercialisation, et 20€ en taxes.Tout le monde y gagne. Les habitants du pays de fabrication qui devient plus riche. Les consommateurs, les employés de l’entreprise et des services commerciaux partout dans le monde.Quand vous regardez les chiffres, 30% du commerce se fait avec les pays en développement. 70% de nos vrais concurrents sont des pays riches. Et l’état et son coût de fonctionnement est le boulet de notre pays...C’est lui le responsable. Pas les entreprises.Des pays riches connaissent peu de chômage, Suisse, Canada, Nouvelle Zélande, et leur état ne s’immisce pas dans l’économie...Preuve que...l’état n’est pas la solution, mais le problème. -
@gauche normale.
Hélas vous raisonnez en croyant que l’économie est un gâteau qui se partage à part égales. L’économie est un flux. Le bilan passé est passé. On ne fabrique plus de minitels, et le gain de productivité sur la fabrication de minitel ne sert a rien. Le container n’existait pas. Le transfert international n’existait pas.Par ailleurs, la productivité Française est un agrégat. Si on faisait la moyenne de productivité Française en enlevant EADS, le vin et les produits de luxe, on enlèverait 3% de la masse salariale, mais la productivité chuterait de 35%....La productivité de la poste est nulle par rapport à EAD, et en plus le courrier est remplacé par le mail. Le monde a changé.Le capital évolue sur un marché. Il y a plus de besoin que de liquidités, donc la rémunération du capital est plus forte, si nous avions des fonds de pension, une culture de l’investissement privé autere que sur des fond d’état, le capital deviendrait plus disponible pour l’investissement et donc sa rémunération pourrait être inférieure à des taux passés, et votre raisonnement s’inverserait.Le travail dans votre esprit du passé se mesure à l’heure travaillée, ce qui ne représente que la moitié des revenus, et se mesurera de moins en moins comme cela, cela génère des gens jaloux comme vous, car prisonniers de leur emploi du temps et d’une rémunération limité à celui ci.Celui qui écrit un livre, investi judicieusement, celui qui commerce, ou l’artiste, ou le doué, ou l’indépendant, son revenu dépend de ses résultats, et pas de ses horaires...Gauche normale, ce n’est pas en regardant des statistiques passées qu’on fait l’avenir, mais avec des prévisionnels sur le futur. -
Que voulez vous répondre a quelqu’un qui ne sait pas lire un bilan ?
Quelqu’un qui déduit une idéologie sur la base d’une statistique qui ne comprend pas comment elle est calculée.Qui ne veut pas comprendre que la productivité est un agrégat moyen et que que 3% des entreprises réalisent 35% de la valeur de la productivité, et que 97% réalisent 65% de la valeur. -
Bonjour à tous,
Effectivement, cet état de choses est triste et risible à la fois...Mais d’un point de vue pratique, je vais me montrer un peu terre à terre :Autrefois dans les villages (et je ne suis pas si vieille), personne ne connaissait le papier Q. Ce « confort » était superfétatoire... Il y avait les journaux, les papiers d’épicerie, de boucherie, les enveloppes d’oranges, de chocolat, etc.De plus, dans les pays du Moyen Orient ou d’Afrique du Nord, personne n’utilisait de papier toilette. Il fallait utiliser de l’eau (ou des pierres rondes).Dans les hôtels continentaux, encore aujourd’hui, une douchette est prévue auprès des toilettes pour l’hygiène. Et c’est tellement pratique et propre que j’en ai fait installer une chez moi.Il en était de même pour les « garnitures périodiques » et les couches qui étaient en coton, et qu’on lavait tout simplement.Admettez que la pénurie de papier toilette est bien anodine par rapport à une éventuelle pénurie de farine, de pain ou de toutes sortes de nourritures.Personnellement, je trouve ces informations alarmistes très largement surfaites et inopportunes. Pour quelles raisons touchent-elles autant les média ? Il y en a certainement une, et pas très avouable. Non ?Ne vaudrait-il pas mieux qu’il y ait une pénurie d’armes, de cartouches, d’instruments de guerre et de mort de par le monde, de par le monde entier ?Bonne journée.-
Caprilès le leche boules des USA continue son travail de sape ! il peut compter sur les clones
de spartacus pour essayer d’y parvenir... !!
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Et nous en France......on en chie pas encore assez ?
avec ce que nous avons comme hommes politiques laxatifs ?-
« En l’an de grace deux mille treize une lutte des chiasses commencera en Amérique Latrine par des affrontements intestinaux au sein des conseillers du trone ».
Extrait traduit des prédictions de Notsradanus .
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La situation est simple à comprendre.
Le gouvernement Chaviste a soit nationalisé les moyens de production, soit imposé un prix bas aux produits de consommation courante.Le but étant de garantir aux plus pauvres un accès à ces produits. C’est d’une belle intention mais- le prix fixé est bas. Trop bas. Il est inférieur au coût de production. Fabriquer fait PERDRE de l’argent au fabriquant, qui ferme boutique pour ne pas finir ruiné. Donc il y a moins de produits en vente. C’est pareil avec la nourriture. Les prix imposés sont en train de tuer l’agriculture et l’élevage.Quel intéret à cela, me demanderez-vous. Cela force à IMPORTER depuis l’extérieur.Mais est-ce si étrange quand on sait que les plus grandes entreprises d’import-export dont tenues par la famille Chavez ? Avant de clamser, le père Hugo avait assuré l’avenir de sa famille en les mettant tous à la tête des grands groupes industriels.Et donc devinez dans quelles poches tombe l’argent induit par les transports et les taxes à l’importation.C’est fou comme les plus grandes monarchies actuelles prennent pour naissance le marxisme. Karl s’en retournerait dans sa tombe s’il savait.-
Humanlte, la chronique de José Fort. Deux informations donnent à réfléchir sur ce que devrait être une véritable coopération internationale. La première vient de La Havane. Dix mille médecins obtiendront cette année leur diplôme dans la Grande Ile. 5.683 Cubains, 4.843 étrangers, la Bolivie arrivant en tête avec 855 médecins diplômés.
Suivent l’Équateur (718), le Mexique (444), l’Argentine (387), le Salvador (386), la Guyana (280), Timor-Leste (194), l’Angola (118) et la Chine (101). Des milliers de médecins cubains travaillent actuellement dans plusieurs pays d’Amérique du Sud et dans les Caraïbes notamment en Haïti.
La deuxième information arrive de Port au Prince grâce à Radio France Internationale (RFI). Un accord vient d’être signé entre le Venezuela et Haïti portant sur un échange de nourriture contre du pétrole. Depuis 2008, Haïti achète à crédit le pétrole du Venezuela au travers du programme Petrocaribe, entraînant une dette qui s’élève aujourd’hui à un milliard de dollars, indique Amélie Baron de RFI. Elle poursuit en précisant que Caracas a décidé de ne pas réclamer cette somme. En échange, Haïti va lui vendre à tarif préférentiel des denrées alimentaires. Un soutien inespéré à l’agriculture haïtienne selon le Premier ministre Laurent Lamothe qui veut rompre avec le libéralisme de ses prédécesseurs. « Les gouvernements précédents ont appliqué une politique ultra-libérale, estime Laurent Lamothe. Ils ont cassé toutes les taxes, les tarifs douaniers et tous les produits ont envahi notre pays. Notre production nationale est tombée à zéro. » Pour le Premier ministre haïtien, la dette contractée auprès du Venezuela n’est pas un handicap mais une aubaine. Pour lui, la logique de Caracas est simple : « Ne payez pas cash, mais envoyez nous plutôt de la nourriture. » Cet accord, conclut Amélie Baron, permettrait à Haïti de relancer son agriculture et de sortir de la misère.
Ces deux exemples sont à l’opposé de la prétendue « coopération internationale » menée par les grandes puissances capitalistes, les Etats-Unis et l’Union Européenne très particulièrement. En Egypte, les Etats-Unis coopèrent avec l’armée en distribuant chaque année des sommes folles mais pas un dollar ne va au développement du pays. Au Mali, les pays dits « donateurs » ont signé un gros chèque. Une partie de l’argent a été détournée, le solde servant à régler les notes des entreprises et des importations étrangères. Rien pour le coton, les infrastructures, l’électricité ou l’eau. La « coopération internationale », la véritable, celle qui va aux populations est menée par des ONG, comme le Secours populaire Français. Pas par les Etats et encore moins par la Banque mondiale et le FMI.
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Un troc peut toujours être utile.
Mais QUI va fixer les prix et les valeurs d’échanges ? Ce n’est pas la même chose si le baril de pétrole est facturé trente ananas ou trois cent ! -
L’intérêt n’est pas dans le prix du pétrole par rapport à celui de l’ananas, il réside dans le fait que les paysans haïtiens ruinés par des importations abusives (des USA en particulier, mais pas que...) vont redevenir productifs parceque leur production va redisposer d’un débouché solvable.
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C’est vrai que le Venezuela avant le communisme était un grand pays agricole, mais maintenant ne produit plus rien.
La nationalisation des terres a engendré un désastre sans précédent dans la production. Il ne suffit pas de prendre la place et le tracteur du paysan pour faire du fonctionnaire qui le remplace un agriculteur avisé. Le Venezuela c’est une grande partie contiguë à la foret Amazonienne. Un sol très fertile, un climat tropical avec des températures chaudes, une hydrométrie importante accentué par des précipitations violentes.
L’agriculture produit beaucoup, mais nécessite du travail important par des défrichages réguliers. La nationalisation a engendré un abandon de l’entretien des sols que réalisait auparavant les propriétaires agricoles privés, et en peu de temps, les champs sont redevenus des jungles tropicales. Le Venezuela ancien pays producteur aujourd’hui importe son café. Les légumes et fruits ont disparus des supermarchés et s’achètent qu’au noir sur les marchés privés.
Le Vénézuéla en est a proposer des inepties pour simplement remplir ses magasins de denrées de base manquantes !Beau résultat de planification étatique communiste.Les Haïtiens n’ont pas besoin de pétrole, ils n’ont pas de voiture. Ils ont besoin d’argent liquide. -
L’intérêt n’est pas dans le prix du pétrole par rapport à celui de l’ananas, il réside dans le fait que les paysans haïtiens ruinés par des importations abusives (des USA en particulier, mais pas que...) vont redevenir productifs parceque leur production va redisposer d’un débouché solvable.
En fait, l’agriculture haitienne est exportatrice nette. Le pays importe en fait une grande partie, pour ne pas dire la totalité, des biens de consommation courante, qui ont évidemment une valeur supérieure et donc plombe les comptes du pays. -
@ Spartacus
« La nationalisation des terres »Sire, j’ai raté le début du film, pouvez-vous nous indiquer quand ce grand malheur est arrivé au Vénézuela ?-
Cher Bolchévique, vous êtes comme la poule qui découvre une paire de ciseaux, vous faites mine de découvrir le communisme bien dégelasse.
Vos ancêtres ont nié les crimes de Staline même devant Soljenitsyne.Il est vrai que la cocosphère votre seul organisme de réflexion ne se « vente pas des horreurs de la planification forcée de débiles idéologiques.Une simple lecture du rapport de la protection des droits de propriété physique et intellectuelle dans 70 pays. vous l’explique.Depuis l’arrivée de en 1999 de Chavez 20% des terres du Vénézuéla sont devenues propriétés de l’état par expropriation. Soit environ 5 millions d’hectares.Exemple récent en 2011 : 450 000 spoliées qui s’ajoute au reste effectué depuis 1999..Le Vénézuéla est un pays aux mais de débiles mentaux totalitaristes qui au non de ce qu’ils croient »l’intéret général" assurent une oppression monstrueuse sur les individus et les libertés fondamentales.Allez donc faire un tour à Caracas et voir les magasins vides de tout.Bien pourri et abjecte votre idéal sud américain communiste.
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Par contre quand on aborde un problème de caca ,Cassus en extase, exulte en grand technicien de la science scatologique et nous rédige de délicieux posts peaufinés !Ajouter une réaction
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