« Viva La Muerte – Viva El Covid » : Aux « sur-masques », les citoyens[1] !
2020 est l’année du 75ième anniversaire, à Hiroshima et Nagasaki, de ce à quoi a conduit « l’épidémie de folie, la maladie mentale collective, avec un fond pathologique[2] » des déviants psychiques de l’époque.
Un petit retour en arrière est proposé ci-dessous, sans prétention de « conseil sur les combats qui seraient à entreprendre » ou de « démontrer une quelconque hypothèse »[3]
Viva La Muerte, ce sinistre cri lancé par le général José Millán-Astray lors d'un discours de Miguel de Unamuno en 1936, est resté tristement célèbre. Unamuno, philosophe et Recteur de l’Université de Salamanque, avait dit lors de ce discours : « Vous vaincrez mais vous ne convaincrez pas. » Le philosophe avait pris ses distances vis-à-vis du franquisme vu « le tour que prenait cette guerre civile, vraiment horrible, du fait d'une maladie mentale collective, une épidémie de folie, avec un fond pathologique"1.
Ce qui se passe actuellement dans le monde semble bien tenir de cette maladie mentale. Il ne s’agit pas d’une épidémie physiologique mais d’une pandémie de troubles pathologiques cérébraux. Elle a sans doute commencé avec les crises sanitaires précédentes : H1N1, Sras, Hong Kong, Grippe saisonnière, etc., qui n’auraient été que des « répétitions, des tests ».
Alors peut-on continuer le petit retour en arrière ?
Qui a dit, à partir de 1933 qu’Hitler était fou quand il devenait clair que son plan était, outre la domination mondiale, l’extermination de tous ce qui n’était pas Arien et en premier lieu ce qui était juif ? Il était conseillé par de très intelligents savants. Entre autres le Dr Joseph Mengele et son assistant Hans Delmotte qui créèrent l’Institut pour l’Hygiène des Races, preuve de la folie collective de l’époque. Y a–t-il quelque chose de changé depuis ?
Qui a dit en 1945-1946, à Nuremberg qu’il fallait que l’Empereur fou Hiro Hito soit également mis au banc des accusés pour les crimes commis sous son autorité sur des cobayes humains dans le centre expérimentale connu sous le nom d’ Unité 731, en Chine. L’Empereur avait, entre autre conseiller, un savant médecin, Shirō Ishii décrit comme le Mengele japonais[4].
Qui a dit, en 1953, que Staline était fou quand il purgeait son parti et affamait son peuple tout en envoyant des millions de ses compatriotes à la mort ou au goulag (9,5 millions de victimes[5]) ? Il était conseillé par de très intelligents intellectuels. Entre autre Trofim Lyssenko qui ruina l’agronomie et l’élevage de toute l’URSS sur des bases de théories complètement folles. Y a–t-il quelque chose de changé depuis ?
Qui a dit qu’Idi Amin Dada, Obote, Bokassa et Mobutu étaient des fous dangereux lorsqu’ils massacraient, violaient et allaient jusqu’à dévorer certains de leurs ennemis et quand ils vendaient littéralement les ressources de leur pays à l’Occident, alors qu’ils étaient conseillés par les plus grands experts des organisations nationales et internationales ? (Banque Mondiale, FMI, CEE, FED et autres instances). Y a–t-il quelque chose de changé depuis ?
Ne devrions-nous pas continuer avec les Mao Tse Toung, Pol Pot, Pinochet ? Et pourquoi pas plus près de chez nous avec les Tony Blair, Bill Clinton, Margareth Thatcher, John Major, Nicolas Sarkozy, Bush, Emmanuel Macron, Boris Johnson, Charles Michel, Justin Trudeau, Guy Verhofstadt, Thomas Middelhoff, Mark Rutte, Klaus Schwab, et leurs conseillers Bill Gates, Georges Sorros, Neil Ferguson, et autres Dr. Marc Van Ranst et Alexandre Benalla (pour pas descendre trop bas) ?
Cela suffit, car on comprend qu’il a été impossible de décider des mesures de confinements telles qu’elles sont appliquées actuellement (et pour longtemps encore) sans qu’il y ait eu une « préparation - évaluation - planification » étudiée depuis un certain nombre d’années .... depuis 2001, à Davos ( ?). La véritable menace ne serait pas celle d’un virus dont la virulence se serait accrue. Non, la dangerosité réelle est celle d’une mutation anthropologique[6] protocolisée.
Alors ? Maintenant, faudra-t-il, que nous nous taisions à propos de ce qui apparait, de plus en plus, comme flagrant, à propos de ces actes qui révèlent que des mégalomanes psychotiques sont en train de tenter de monopoliser tout (et à tous les niveaux des leviers du pouvoir). La pointe visible de l’iceberg pour les citoyens lambda que nous sommes tous, est le marketing. La marchandisation est devenue la seule norme et tant pis pour nous (ou tant mieux pour « les marchands de canons et les fabricants de cimetières [7] ») puisque même la mort et la maladie sont devenus objets de commerce, de spéculations. L’acharnement thérapeutique est encore actuellement meilleur pour le PIB que les soins palliatifs ou l’euthanasie (Ariel Sharon : 8 ans !). Viva La Muerte ou Viva Le Covid ?
Alors ? Tous, en guise de « désobéissance méta-civique », ne devrions-nous pas porter le masque, en masse ? Non pas pour une quelconque utilité, pour un quelconque respect de la contrainte mais pour rendre impossible la mise en évidence de la différence entre ceux qui le portent par conviction et ceux qui le portent sous fausses bannières[8]. En effet, qui prouvera que le porteur du masque, le porte sincèrement et non pas, uniquement, par obligation ? Ne pourrait-on les prendre, eux, qui portent le masque par « croyance intime, sincèrement acceptée et par coopération librement consentie » ; ne pourrait-on les confondre, dis-je, à la limite, avec ceux qui le portent, en fait, en guise de déguisement pour faire croire qu’eux, ils y croient, alors que « c’est même pas vrai » ?. Ceux-là qui le portent, ne serait-ce pas pour pouvoir justement faire front à la reconnaissance faciale et dire « non » à la lecture sur les lèvres ? ... Indécidabilité ! ... Comment discriminer les pratiquants conformes des déviants déguisés ? Comment séparer l’Ivraie du Bon Grain ? Comment démasquer, oserais-je dire, tous ceux-là qui les portent, les masques, sans conviction, pour se cacher derrière l’obéissance consentante mais en fait, adeptes de la stratégie de la feinte ou même, pire, en étant de véritables clandestins, des résistants ?
Alors : « Aux Sur-Masques les Citoyens ! ». Si nous ajoutions aux masques légaux l’expression de nos pensées que nous ne pouvons plus prononcer et donc propager, muselés que nous sommes légalement. Cela pourrait-il se faire en portant un « sur-masque », en guise de phylactère ? N’oublions cependant pas qu’il nous est interdit d’y inscrire l’expression d’une manifestation festive (Viva la vida !) ou revendicative (Bas les masques !). En effet, cela est interdit sur la voie publique sans une autorisation en bonne et due forme de la Mairie et de la Police, car constituant une incitation possible à la provocation de troubles à l’ordre public et à la sécurité des citoyens dont la police à la charge d’assurer le maintien par tous les moyens (Gaz, auto-pompes, matraques, etc. ). Pourrions-nous, sans risque de se faire « refouler, engueuler assommer sur le champ par les agents[9] » « phylactiser » sur nos masques des « J’y crois pas ! », des « Jusques à quand ? », des « L’enfer me ment ! » ?
[3] Suivant commentaire de la « modération » sur la version précédente de mon texte
[6] Proposition de lecture, l’article, difficile, mais profond de Jean-Claude Paye et Tülay Umay sur
https://www.mondialisation.ca/coronavirus-une-mutation-anthropologique/5648374
[7] Boris Vian
[8] Toute ressemblance avec ce qui aurait été dit sur certains réseaux sociaux serait pure coïncidence. Par exemple sur : https://www.youtube.com/watch?v=xSMOZLFufCE L’« info en question » J.-J. Crévecoeur et Al.
[9] Boris Vian (bis)
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