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Vladimir Poutine et le KGB : une histoire d’amour qui supplée aux anciennes carences du Parti communiste d’Union soviétique

Tout en nous penchant sur la biographie de Vladimir Poutine telle qu’elle peut nous être connue en Occident, nous allons essayer de comprendre d’où vient, à cet homme-là, la manifeste clarté de vue dans les affaires internationales qui a fini par modifier complètement la perception que le monde peut avoir, de la Russie, après une quinzaine d’années d’exercice du pouvoir par ce personnage d’abord plus ou moins énigmatique..

Il est certain que Vladimir Poutine dispose d’un appui très solide dans la confiance qu’il fait à ce qui était désigné, lorsqu’il était plus jeune, par les trois lettres : K, G, B. En français, ce dernier acronyme pourrait être rendu par : Comité pour la Sécurité de l’État.

Successeur du MVD (ministère des Affaires intérieures) qui avait, lui-même pris la suite du NKVD (Commissariat du peuple aux Affaires intérieures), le KGB avait été créé le 13 mars 1954, c’est-à-dire un an presque jour pour jour après la mort de Joseph Staline (5 mars 1953).

Si crimes de ce dernier il y a eu, l’exécuteur en aura été le prédécesseur resté célèbre du KGB : le NKVD. Sur le point de savoir ce que Vladimir Poutine pense lui-même du « petit père des peuples » et du sang qu’il pourrait avoir fait couler de façon plus ou moins torrentielle, nous pouvons tout d’abord nous en remettre au témoignage de l’un de ses ex-collègues dans l’organisme auquel il a longtemps appartenu, un certain Oussolzev. C’est Frédéric Pons qui s’en fait l’écho dans la biographie de Vladimir Poutine déjà citée :
« En petit groupe, ses vues politiques étonnaient pourtant ses amis : «  Il doutait des exactions du KGB sous Staline, mais il était visiblement choqué par les abus de la justice en Union soviétique et disait sa sympathie pour les critiques du Kremlin, des gens comme Sakharov.  » » (Pons, page 71)

Il y a déjà là quelque chose qui aurait tendance à nous laisser sans voix… En effet, loin de devoir incriminer le NKVD, Vladimir Poutine sait, mieux que beaucoup d’autres sans doute, ce qu’il y a eu d’abnégation, de courage et de don de soi chez ceux qui ont fait leur devoir de citoyen soviétique en son sein ou dans ce qui se rattachait directement à ses activités. C’est Masha Gessen qui nous le rappelle dans l’ouvrage, Poutine – L’homme sans visage (Fayard, 2012), qu’elle n’a manifestement pas écrit pour tresser des couronnes ni à sa famille ni à lui :
« Pendant la Seconde Guerre mondiale, Vladimir Poutine père avait été affecté dans les troupes dites subversives, de petits détachements chargés d’intervenir derrière les lignes ennemies. Ces soldats étaient placés sous les ordres directs du NKVD – nom que portait alors la police secrète soviétique – et étaient largement issus de ses rangs. On leur confiait des missions suicide : ils ne furent pas plus de 15 % à survivre aux six premiers mois de la guerre. » (page 63)

Evoquant plus particulièrement ce que Vladimir Poutine ne doit guère cessé de porter en lui depuis toujours, Frédéric Pons précise pour nous :
« Affecté à une unité de sabotage du NKVD sur les arrières ennemis, son père se trouve un jour engagé dans une opération en Estonie. Dénoncé par des villageois, traqué par les Allemands, il aura la vie sauve en plongeant dans un étang. Sous l’eau, il respire par un roseau coupé, le temps que ses poursuivants et leurs chiens passent. » (« Poutine  », etc., page 41)

Ainsi y a-t-il eu encore, au-delà de la venue au monde du petit Vladimir
« ce combat pendant le siège de Leningrad où son père fut sérieusement blessé en défendant une portion de terrain indispensable pour la liaison entre les lignes de défense soviétiques. Ce corridor fut préservé au prix de milliers de morts russes. » (page 41)

Vivant, Vladimir Poutine ne devait plus jamais pouvoir séparer son père de ce temps de gloire qui était aussi celui où l’URSS perdait 27 millions de ses habitants pour avoir voulu hisser le drapeau des travailleurs des villes et des champs très haut dans le ciel de l’humanité. Cet homme-là, comme tant d’autres, avait été définitivement estropié :
« Il boita le reste de sa vie. » (page 41)

Au lendemain de ces années effroyables qu’ils devaient aux atermoiements criminels des prétendues démocraties occidentales mises en présence dès janvier 1933 d’Adolf Hitler et de l’ignoble nazisme, les futurs parents de Vladimir durent, comme toute la population soviétique, s’atteler à la reconstruction du pays, et dans des conditions longtemps plus ou moins effroyables tant les destructions avaient été massives, tout particulièrement chez eux, à Leningrad, où la famine organisée par l’envahisseur allemand avait entraîné la mort de plus de 600.000 personnes, s’il faut retenir les chiffres fournis à l’occasion du procès de Nuremberg :
« Ils reprirent leur emploi : pour lui, ouvrier métallurgiste dans la célèbre usine Egorov, sur Moskovsky Prospekt (la route de Moscou), où Lénine annonça en 1917 les objectifs de la révolution ; pour elle, concierge, livreuse, nettoyeuse dans un laboratoire. » (page 42)

Si Vladimir Poutine a bien reçu la leçon d’un certain héroïsme, il semble que, pour ce qui le concernait plus personnellement, il en ait plutôt retenu la perspective dans une dimension autre que celle de la problématique strictement intérieure à l’URSS. Quand, autour de lui, tout se délita à la suite de la chute du mur de Berlin, il choisit de ne se formaliser vraiment que d’une certaine part du désastre collectif :
«  Pour être honnête, j’ai seulement regretté que l’Union soviétique perde sa position en Europe, bien qu’intellectuellement je savais que cela ne pouvait pas durer. » (page 72)

Sans doute y a-t-il de multiples raisons à cet absence d’un vrai regard sur la situation intérieure du pays des Soviets. Mais il en est une qu’il ne faudrait surtout pas omettre de signaler : que pensait-on du parti communiste d’Union soviétique en un temps où Vladimir était déjà un jeune homme ? Et plus particulièrement, qu’en pensait-on lorsque l’on arrivait dans la proximité de ce KGB venu succéder au NKVD du temps de papa ?… C’est qu’il y avait un passage obligé pour enfin atteindre ce corps d’élite : il fallait auparavant être devenu membre du parti communiste… d’un parti dont la mauvaise réputation sonnait haut et fort chez les « kagébistes », ainsi que nous le rappelle Frédéric Pons, tout en citant Vladimir Poutine lui-même :
« […] lui qui n’avait jamais été membre du Parti communiste doit prendre sa carte. C’est la règle pour tous les membres des services de renseignement et de sécurité. Ce qui ne les empêche pas de ne jamais recruter des gens ayant été des permanents du Parti : « Ils n’étaient bons à rien, fainéants et carriéristes, avec un ego surdéveloppé. » » (page 60)

La phrase est suffisamment brutale pour qu’il ne nous soit plus possible d’en oublier l’écho avant longtemps… Et sans doute y a-t-il une vérité profonde dans ce que nous indique Masha Gessen :
« Comme d’autres membres de sa génération, Poutine remplaça la foi dans le communisme, qui ne paraissait plus ni plausible ni même possible, par la foi dans les institutions. Sa loyauté allait au KGB et à l’empire que celui-ci servait et protégeait : l’URSS. » (L’homme sans visage, etc., page 147)

Alors, oui, il faut en convenir : c’est bien le KGB qui, à travers Vladimir Poutine, a sauvé de la ruine totale cette Russie qui se présente, d’abord et avant tout, comme un vestige de l’URSS abandonnée en 1953, malgré lui, par Joseph Staline, à un parti communiste incapable de se ressourcer auprès de sa jeunesse ouvrière…

Sans doute le vérifierons-nous assez rapidement.

NB : Pour entrer davantage dans la réflexion conduite ici, et l’étendre à des questions bien plus vastes, je recommande que l’on s’inscrive dans le groupe « Les Amis de Michel J. Cuny » sur Facebook.


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21 réactions à cet article    


  • howahkan 10 janvier 2017 12:05

    Ah salut revoilà l’auteur qu s’en est pris à en vomir à De Gaulle pendant de très nombreux articles, aujourd’hui c’est à un autre personnage de prendre des mensonges dans la poire....quoique je doute que Mr P ai conscience de l’existence d’un tel immense écrivain ...



    • Doume65 11 janvier 2017 11:34

      @Michel J. Cuny
      Bonjour.
      « De Gaulle ?... Mais oui, bien sûr... »
      Je ne comprends rien à cet énigmatique passage ni à l’article (censé m’éclairer) vers lequel pointe le lien qui le suit. Je fais à nouveau ce vœux : que vous vous exprimiez un jour de façon à ce que les autres vous comprenne. Sinon, d’ailleurs, à quoi bon vous exprimer ?


    • Michel J. Cuny Michel J. Cuny 11 janvier 2017 11:53

      @Doume65,
      De Gaulle, me dit-on... Et de cet article, vous n’avez donc rien retiré qui puisse un peu vous surprendre par rapport à la légende...
      Eh bien, il y a ici la collection complète :
      http://www.agoravox.fr/auteur/michel-j-cuny


    • sahb 11 janvier 2017 17:18

      @Michel J. Cuny

      très intéressantes notes de lectures comme d’habitude ! évidemment pour certains, sorti du « Staline vilain pas bô ! assassin ! » on a rien le droit de dire ! la VÉRITÉ en particulier ! comme prévu, dérange !!

      NB : Pour entrer davantage dans la réflexion conduite ici, et l’étendre à des questions bien plus vastes, je recommande que l’on s’inscrive dans le groupe « Les Amis de Michel J. Cuny » sur Facebook.

      oui mais comment on fait si on veut pas s’inscrire sur FessPlouc c’est-à-dire filer toutes ses coordonnées à la Cia ?


    • Michel J. Cuny Michel J. Cuny 11 janvier 2017 18:16

      @sahb
      Je ne sais pas si nous sommes davantage protégé(e)s ici...
      Merci pour votre commentaire : il va me donner l’envie de revenir à cet endroit...
      Où je ne viens plus que très rarement, ayant beaucoup à faire ailleurs.


    • Doume65 12 janvier 2017 15:16

      @Michel J. Cuny

      Vous voulez donc dire qu’il faudrait revoir la légende de de Gaulle ? Pourquoi alors ne pas le dire simplement plutôt qu’employer ces formules absconses ?


    • sahb 15 janvier 2017 14:27

      @Michel J. Cuny
      oui c’est vrai que ce site non censuré est envahi de trolls professionnels (on sait qui les paye !) rabâcheurs de tout ce qu’il y a de pire dans la propagande officielle anti-soviétique et pro-sioniste !
      on les repère facilement car ils sont aussi bêtes qu’envahissants !! je n’y vais moi aussi que très rarement !
      Bien sûr que les U$ sont PROPRIÉTAIRES de tout le système névralgique d’Internet ! mais sur les blogs (constat !) il y a encore un peu de place ! ça censure moins que sur FessePlouc et autres « réseaux sociaux » (comme on dit à la téloche !) dont j’ai une aversion totale (et même totalitaire ...) vue la manière dont on a piégé à peu près tout le monde qui y met ses photos de vacances et son carnet d’adresses !


    • Doume65 16 janvier 2017 18:55

      @sahb
      « Bien sûr que les U$ sont PROPRIÉTAIRES de tout le système névralgique d’Internet ! »

      Oh n’exagérons rien ! Ils ne se sont attribués que la moitié de IP (adresses IPV4). Sont bien sympas d’avoir laissé l’autre moitié au 96% de la population de la planète restante. smiley


    • alain_àààé 10 janvier 2017 14:25

      aarticle moyen mais je constate que l auteur aprés avoir fais des articles sur DE GAULLE qu il n aime pas aujourdhui il nous sort un article sur poutine en prenant comme référence un auteur qui aurait fait un livre sur poutine qui la aussi il n aime pas beaucoup Mr poutine.je l ai écri lorsque A2 a fait un reportage les journalistes d A2 nous parlaient d un petit fonctionnaire et j avais écri mais pour qu ils se prennent ses journalites de merdes que l on aurrait méme pas embauché comme ramasseur d ordure tellement leur intelligence et leur culture vole bas.ON N RENTREpas dans un sevice secret comme ca je sais de quoi je parle il y a une longue enquéte sur vous sur votre famille vos amis et vos diplomes de plus aprés de longues études dans l espionnage ou le contre espionnage on vous évalue et c est la que la décision est prise de plus on ne deviens pas Colonel comme ca et j ajouterai enfin une chose trés importante si vous étes pupille de l état ou non on voit votre situation famililale en clair comme me l as dit mon officier sup des services secrets Mr vous ne couterez pas cher a l état en cas de décés.


      • devphil devphil 10 janvier 2017 16:28

        @alain_àààé

        On progresse dans l’honnêteté intellectuelle car avant cuny appuyait ses articles sur ses livres.

        J’ai écrit un livre et maintenant je fais un article dont la véracité s’appuie sur le livre que j’ai écrit ....

        Et en bas d’article , il y avait un lien vers le site marchand du livre ...

        Belle objectivité ! 
         

      • Michel J. Cuny Michel J. Cuny 10 janvier 2017 18:13

        @devphil

        Par exemple, Philippe ?...

      • devphil devphil 10 janvier 2017 16:24

        2016 l’année anti De Gaulle 

        2017 l’année anti Poutine 

        A quand des écrits constructifs et intéressants ??? 

        La seule raison d’écrire de Cuny est d’avoir un discours destructeur et biaisé des faits en pensant par ces contres vérités vendre des livres.

        C’est tomber bien bas dans l’écriture et l’amour propre ...... 

        Enfin , nous avons l’habitude de sa part , il reste juste à mettre des moins et espérer que la calomnie se videra de son sens rapidement 

        Philippe 


        • Michel J. Cuny Michel J. Cuny 10 janvier 2017 17:02

          @devphil
          Désolé, Philippe... Je suis plutôt pour Vladimir Poutine...


        • devphil devphil 10 janvier 2017 17:33

          @Michel J. Cuny


          Pas de honte , il suffit de mettre vos écrits en accord avec vos commentaires !

        • Michel J. Cuny Michel J. Cuny 10 janvier 2017 17:44

          @devphil
          Par exemple ?...


        • Rincevent Rincevent 10 janvier 2017 17:01

          Un peu après la chute du Mur, je me souviens avoir lu un article de presse qui disait que le KGB avait été la première institution à pronostiquer l’implosion du système (il était bien placé côté renseignements). En conséquence de quoi, il aurait commencé, des années à l’avance, à placer ses cadres dans les rouages de la haute administration. L’article citait comme exemple un obscur lieutenant-colonel parvenu au poste de maire-adjoint de Leningrad et à qui on promettait un bel avenir. Son nom ne disait rien à personne en Occident il s’appelait Poutine…


          • Michel J. Cuny Michel J. Cuny 10 janvier 2017 17:03

            @Rincevent
            Je souscris à ce que vous écrivez. Merci.


          • Rincevent Rincevent 10 janvier 2017 22:13

            @roman_garev

            Holà, qu’est-ce qui vous arrive ? Jusqu’à présent, nous avons pu échanger des points de vue pas toujours concordants, mais sans se prêter des intentions plus ou moins malveillantes et là, d’entrée, c’est le questionnaire policier. Alors, j’aurais effectivement aimé retrouver cet article, qui a dû paraitre vers 1990/91, mais figurez-vous qu’en tapant « KGB prévision chute URSS », j’ai eu 303 000 occurrences, rien qu’en français. Au bout de la dixième page j’ai laissé tomber…

            Après, « dommage, mais on s’y attendait ». Dommage pour qui, pour quoi ? Quant à « on », non, pas on mais roman garev. Si, pour vous, la simple évocation d’un article, lu il y a longtemps, se transforme en une manœuvre ou une agression, ça va être difficile de continuer à dialoguer valablement.

            Sur le fond : que les cadres du KGB, à l’époque, aie pris des dispositions pour s’insérer dans un nouvel ordre des choses, qu’ils étaient les premiers à voir venir, je n’y vois pas un affreux complot. Réflexe logique d’une puissante administration qui savait, si elle avait vu juste, qu’elle allait se retrouver très diminuée (au mieux). Ce qui ne fait pas d’un Poutine, le sous-marin du FSB d’aujourd’hui, ça, pour moi, c’est du raisonnement type guerre froide (l’ancienne, pas celle qui couve maintenant). D’ailleurs, ceux qui avaient pensé s’en servir comme d’une marionnette s’en sont mordus les doigts depuis...

            Alors voila, cela a t-il calmé vos appréhensions (pour ne pas dire plus) à mon sujet ? Au plaisir de vous lire dans de meilleures conditions.


          • Rincevent Rincevent 11 janvier 2017 00:51

            OK. J’ai dû donc lire ça plus tard. Il est vrai que tout ça remonte à loin dans les souvenirs maintenant, mine de rien, 27 ans déjà… A mon avis, la chute de l’URSS et l’ascension de Poutine sont deux événements qu’on peut traiter séparément. Je n’avais pas dit que Poutine avait été désigné dès 1989/90. Il n’était effectivement, au départ, qu’un simple officier supérieur et, si ce plan du KGB a bien existé, il n’était pas dans les mieux placés à priori (combien de généraux au KGB à cette époque ?). Juste que, si certains avaient les éléments objectifs (renseignements, chiffres, analyses non politisées) pour évaluer assez précisément la dégradation en cours, c’était bien au KGB qu’on pouvait les trouver. Il n’y avait pas que des flics et des espions et on n’y rentrait pas facilement, le recrutement visant depuis longtemps la crème des postulants et pas seulement sur leur loyauté politique, présumée acquise, mais surtout sur leurs capacités professionnelles.

            ll est vraiment regrettable que je n’ai pas pu récupérer cet article, pour voir sur quoi se basait le journaliste et surtout sa date. Il est possible que se soit une « brillante » analyse à postériori et à bon compte. Depuis, Poutine a surpris son monde et, à mon avis, il n’a pas fini.

            Content qu’on ai pu faire le point tranquillement et bonne nuit.


            • ENZOLIGARK 11 janvier 2017 05:15

              J ’ ai regarde sa derniere grosse conference de presse de l ’ annee 2016 a la city de Moscou * devant plus de 1400 journalistes ... ; ... j ’ ai personnellement ete decu de sa perfo quand il a prononce des mots religieux et parler d ’ un dieu ... ( ! ? ) . ... Coluche ( ex candidat a la presidence frOncaise et humoriste / comedien / chanteur ) ... disait lui : «  Dieu , c ’ est comme le sucre dans le lait chaud , il est partout mais on le voit pas ... ; et plus on le cherche moins on le trouve !  » . ... Sans doute que pour les attentats commis en Russie * ou ailleurs dans le monde , par des individus se reclamant d ’ un dieu , .... le lait devait etre plus qu ’ a moitie tiede ! ( ? ) . ... АФФ ИСС ... 

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