"La bonne nouvelle de tout ça c’est que je pense que c’est le chant du cygne de l’islam qui est en passe d’être balayé par la modernité mais que comme chacun devrait le savoir les convulsions précédant l’accouchement ne se font pas sans douleurs.«
Je ne serais pas aussi optimiste que vous, hélas...
Comme vous le dites, l’islam a été conçu dès le départ comme un outil de formatage total, qui couvre tous les aspects de l’existence : politique, économique, juridique, psychologique, familial, sexuel, tout, le tout enseigné à coup de lavage de cerveau dans les madrassas.
Mais voilà, face au néant libéral et consumériste du monde que l’Occident a construit et proposé comme modèle à l’ensemble de la planète, l’Islam propose une »vision du monde« , une cosmogonie. Complètement conne et simpliste, certes, mais efficiente.
Nous, les occidentaux, qu’avons-nous a proposer comme vision du monde ? Qu’avons-nous à proposer de transcendant ?
Le seul combat que nous devrions mener est celui de l’environnement, de la défense de la biodiversité et de la décroissance. Et nous ne le faisons pas. Et ’c’est en train de nous péter à la gueule.
Nous devrions nous embarquer dans la sobriété, changer nos mode de vie dispendieux et nous ne le faisons pas : nous ne voulons pas changer, fondamentalement, notre »western way of life".
Eh bien d’autres vont s’en charger à notre place. Voilà comment je vois les choses.
Ah ces communistes, si ils étaient pas là pour leur foutre tout sur le dos, hein ?
On parle beaucoup ces derniers temps d’intelligence artificielle.
Moi, je propose de réfléchir un peu sur la connerie naturelle. Ca nous changera.
Oui mais le problème, c’est qu’en votant, on laisse également la porte ouverte peut-être pas aux extrêmes, en tout cas au bordel généralisé.
J’entendais il y a quelques jours un sondage : avec quelle personnalité politique les français aimeraient passer leur réveillon ?
Et kisséki k’arrive en tête ? Sarko.
Les terriens ont ce qu’ils méritent.
Le pire s’est déjà produit plusieurs fois dans l’Histoire, et continue d’ailleurs de se produire en ce moment, et ça ne change rien.
Les « plus jamais ça », ça me fait doucement rigoler.
Depuis 40 ans, l’état, c’est les banques.
C’est parfaitement vrai que ça sert à rien d’aller voter ; mais ça sert à rien non plus de pas y aller...
Chers amis...
Oui et alors ? Tout ça on le sait au moins depuis 40 ans.
Les états sont aux mains des banques. Oui.
Les multinationales contrôlent la bouffe, la flotte et l’énergie. Oui. Pourquoi ne le feraient-ils pas ? Ce sont des denrées de première nécessité. Logique.
Les mafias diverses contrôlent le reste : drogue, prostitution, et extraction des minerais précieux : toujours beaucoup d’opacité entre les échelons : les donneurs d’ordre, d’un côté, et les pauvres mecs sur le terrain, de l’autre.
Les mafias sont actuellement les seules structure à même d’insufler des liquidités ans le circuit financier.
Conclusion : dans quelques années, les circuits financiers seront totalement contrôlés par les mafias, et la boucle sera bouclée.
Et pourquoi ça changerait ? On change, nous ? On est prêts à changer ?
Autre chose : les salopards qui font chier le monde depuis au moins le début du néolithique, ils sont comme vous et moi. Et ils aiment probablement leurs mômes.
Après, c’est des questions de contextes et d’individus.
Bonne année.
Bon d’accord, tout ça est parfaitement vrai.
Mais, techniquement, on fait comment ?
Sommes-nous prêts à nous faire sauter le caisson avec une ceinture d’explosifs ?
Non.
Disposons-nous d’un budget kalachnikoff ?
Non.
Avons-nous une vision du monde alternative qui tient la route ?
Non.
Sommes-nous prêts à changer radicalement nos modes de vies ?
Non.
Et même si au bout du compte on réussissait à « balancer tous ces satrapes à la flotte », pensez-vous vraiment que certains d’entre nous ne seraient pas capables de les remplacer ?
Le capitalisme, le communisme, le productivisme et tous les systèmes en -isme, avant tout, c’est une question d’individus. Et depuis que le monde est monde, c’est toujours les cinglés avides et cupides qui font chier les autres, ça commence dans la cour de récré, et ça continue à la City ou à Wall Street, dans les bas-fonds de Little Odessa ou de Ciudad Juarez...
Mais c’est toujours une question de personnes. Et ces personnes sont comme vous zé moi.
Bonne année
J’avais bien compris. J’avais juste envie d’extrapoler un peu.
Certaines boites japonaises trippent sur des robots humanoïdes, genre qui vont aider les personnes âgées ou les handicapés dans leur quotidien (alors qu’il y a partout de VRAIS chômeurs). Je voulais juste pousser l’absurdité au bout : des machines (bagnoles) conduites par d’autres machines (ordi). Voilà. L’idée me faisait juste marrer.
Jaune.
La conscience, c’est la faculté de formuler « je ».
En fait la question est de savoir si un jour, un ordi sera capable de dire : « je ».
Ca va être vachement utile un robot qui conduira une bagnole.
Au départ la bagnole c’est pour transporter des gens, non ?
J’ai dit une connerie ?
Exact. Si on veut fabriquer un être intelligent et conscient, il suffit de faire un enfant. C’est même plutôt agréable.
Bonjour.
La Vie ! On est plongés dedans alors on trouve ça extraordinaire et on a tendance à en faire le but ultime de toutes les recherches. Exemple, en recherche spatiale, on voudrait bien trouver une planète capable de générer la vie.
La vie, jusqu’à preuve du contraire, c’est ni plus ni moins que la propriété particulière de la chimie du carbone à s’auto-perpétuer, depuis que la première protéine a bouffé sa voisine d’à côté.
C’est donc un phénomène purement local, terrestre, récent en rapport de l’existence de l’univers, et y’a franchement pas de quoi, à l’observation de ce que nous en faisons, de la vie, sauter au plafond.
Et ça ne résoud pas la question de la conscience. Ce serait faire preuve d’un anthropocentrisme et d’un géocentrisme aigus que d’imaginer que la conscience soit apparue avec la vie, et sur terre.
Question : un bébé qui naîtrait sourd, aveugle, et insensible au toucher serait-il conscient ?
Tout ça me fait bien rigoler.
La CIA n’est qu’une courroie de transmission parmi tant d’autres. Et non, désolé, il n’y a pas de « complot ».
Dans quel monde croyez-vous vivre ?
Le monde est tenu avant tout par des organisations qui gèrent non seulement les flux financiers, mais qui contrôlent évidemment les denrées de première nécessité : la bouffe, la flotte et l’énergie.
C’est parfaitement normal : c’est la forme suprême de la prédation. Pourquoi voudriez-vous que ces organisations lâchent la poule aux oeufs d’or ? Par esprit citoyen ? Par compassion ?
Ha ha !
Alors oui, ils corrompent, ils achètent, parce qu’ils en ont les moyens. Et le reste de la population est divisé en 2 catégories : ceux qui en croquent et les autres, c’est à dire le vulgus pecus.
Et vous découvrez ça seulement maintenant ?
La question est de savoir si on en sortira. Et dans quel état. Et surtout comment ? Parce qu’on cause, on cause, certains prétendent qu’il faut s’emparer des moyens de production, mutualiser les bénéfices etc etc etc...On fait comment ?
On leur demande d’être plus gentils ? Ou alors il y a un budget kalach planqué quelque part ?
Tout ça me fait bien rigoler.
La CIA n’est qu’une courroie de transmission parmi tant d’autres. Et non, désolé, il n’y a pas de « complot ».
Dans quel monde croyez-vous vivre ?
Le monde est tenu avant tout par des organisations qui gèrent non seulement les flux financiers, mais qui contrôlent évidemment les denrées de première nécessité : la bouffe, la flotte et l’énergie.
C’est parfaitement normal : c’est la forme suprême de la prédation. Pourquoi voudriez-vous que ces organisations lâchent la poule aux oeufs d’or ? Par esprit citoyen ? Par compassion ?
Ha ha !
Alors oui, ils corrompent, ils achètent, parce qu’ils en ont les moyens. Et le reste de la population est divisé en 2 catégories : ceux qui en croquent et les autres, c’est à dire le vulgus pecus.
Et vous découvrez ça seulement maintenant ?
La question est de savoir si on en sortira. Et dans quel état. Et surtout comment ? Parce qu’on cause, on cause, certains prétendent qu’il faut s’emparer des moyens de production, mutualiser les bénéfices etc etc etc...On fait comment ?
On leur demande d’être plus gentils ? Ou alors il y a un budget kalach planqué quelque part ?
Les agriculteurs ont souvent élevé du bétail, pas toujours, destiné au départ à leur propre consommation, dans une optique d’économie.
Rien à voir avec l’élevage industriel.
Mon père -88 ans-, pourtant issu d’une famille assez bourge, me racontait qu’avant-guerre, on mangeait de la bidoche 1 ou 2 fois par semaine, le vendredi du poisson (évidemment, famille de tradition catho !). lLe reste du temps, c’était quasiment végétarien. Féculents, légumineuses : lentilles, fèves...Tubercules : patates, topinambours (avant que ça devienne le quotidien pendant l’occupation). Verdure, choux, etc...
La surconsommation de protéine animale telle qu’elle est pratiquée depuis plusieurs décennies est une aberration, sanitaire et environnementale.
Je ne prone pas un végétarisme à 100%, je dis juste qu’il faut se calmer, sur la bidoche, et les produits laitiers, et le sucre.
Observez bien le fait que depuis les années 50, toute la politique agricole mondiale est articulée autour des filières viande et sucre. Plus de 50 % des terres cultivables mondiales servent à fabriquer de la bouffe pour animaux d’élevage industriel.
Alors évidemment c’est impossible de le faire d’un coup. Mais faudrait commencer à y penser avant de ne plus avoir le choix du tout.
On peut tous faire des « petits gestes ». C’est plus facile de consommer moins de viande que d’arrêter de fumer, par exemple...ou d’arrêter de conduire ! Pour plein de gens, conduire est obligatoire. Bouffer de la viande tous les jours, non.
Quitte à me reprendre une volée de bois vert et à me faire traiter de facho « végétaryen » (oui, avec un igrec !) ou de khmer vert, je persiste et signe : la planète a largement les moyens de nourrir 10 milliards de quasi-végétariens, mais surement pas 7 milliards de bouffeurs de bidoche comme on en consomme en occident depuis près de 50 ans.
Alors que ça plaise ou non, et avant qu’on y soit contraints, commençons par nous réfréner un peu : 1 protéine animale par semaine, c’est largement suffisant pour nos besoins énergétiques.
Je me suis juste connecté pour vous répondre, à vous joletaxi : vous êtes un connard, et je ne vous donnerai pas plus d’argument que ça.
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