« Le retrait de ce CPE est une catastrophe pour nous les jeunes de banlieue. C’était pour beaucoup d’entre nous le seul moyen d’avoir un premier emploi. Si vous les gaulois vous avez supprimé ce CPE c’est en fait pour nous brimer encore plus. En fait c’est du racisme. Ce n’est pas étonnant de la part de la gauche de ce pays qui fait tout hypocritement pour que nous restions pauvres à tenir les murs... » Signé Nasser.
Type de commentaire haineux, communautariste, et éminemment raciste. Deux possibilités : ou bien M. Nasser prêche pour Sarko - le communautariste et l’adepte de la « purification sociale » à Neuilly - ou bien il travaille pour les barbus qui, au seul nom de « gauche », réclament l’exorcisme. Dans un cas comme dans l’autre, il est en service commandé et il utilise tous les arguments, même les plus vils, pour taper sur l’ennemi. C’est assez abject, mais il faut désormais vivre avec ces gens prêts à salir les autres au gré de leurs seuls intérêts idéologiques. Que M. Nasser s’exprime ainsi, c’est petit, c’est mesquin (car j’imagine qu’il doit quand même profiter de pas mal de lois votées par cette gauche tant honnie) mais, après tout, il est en service commandé. C’est une nouvelle forme de terrorisme intellectuel mise au point par ceux qui veulent détruire les bases de notre société. Mais que des intervenants sur ce forum lui demandent d’en rajouter une couche et l’encouragent dans ce sens, c’est encore plus révoltant. La bassesse des bons sentiments se porte bien par les temps qui courent. Quant à ceux qui admirent le modèle social chinois, pourquoi ne vont-ils pas, dès demain, s’installer avec armes et bagages dans ce nouvel eldorado ? Il pourraient alors faire in situ la promotion d’un système tellement humaniste qu’il a réussi à transformer 80 % de sa population en vil outil de production corvéable à merci. Sans parler, qu’en quelques années, il est parvenu à détruire la valeur réelle des trois quarts des produits que nous sommes appelés à consommer. Résultat acquis en jouant sur les deux leviers de base de « compétitivité » qui forment désormais le socle du commerce internationnal : un taux de change et un coût de main d’œuvre dérisoires, seuls capables de générer des plus values faramineuses et de bâtir des fortunes en quelques mois. Quant à la gauche qui, toujours d’après M. Nasser, prendrait plaisir à « faire tenir les murs » de nos banlieues par les pauvres, il n’est pas inutile de rappeler que cette expression est née à Alger, à la fin des années Boudemienne, quand a commencé à se faire sentir dans ce pays une pression démographique incontrôlable, alors que les structures de la société algérienne étaient incapables de procurer un emploi aux jeunes toujours plus nombreux qui arrivaient sur le marché de l’emploi chaque année. Il serait alors assez plaisant de rappeler le fameux discours de Houari Boumedienne aux Nations Unies, au début des années 70 quand, tapant à coups de poing sur le pupitre de la tribune, il avait hurlé à la face du monde que la richesse de son pays résiderait désormais dans sa jeunesse... Et qu’on se le tienne pour dit... Le moins que l’on puisse dire c’est que la suite des évènements ne lui a pas vraiment donné raison. Mais bon, il n’était plus là pour faire le bilan tant humain que comptable. Patrick Adam
« Le retrait de ce CPE est une catastrophe pour nous les jeunes de banlieue. C’était pour beaucoup d’entre nous le seul moyen d’avoir un premier emploi. Si vous les gaulois vous avez supprimé ce CPE c’est en fait pour nous brimer encore plus. En fait c’est du racisme. Ce n’est pas étonnant de la part de la gauche de ce pays qui fait tout hypocritement pour que nous restions pauvres à tenir les murs... » Signé Nasser.
Type de commentaire haineux, communautariste, et éminemment raciste. Deux possibilités : ou bien M. Nasser prêche pour Sarko - le communautariste et l’adepte de la « purification sociale » à Neuilly ou bien il travaille pour les barbus qui, au seul nom de « gauche », réclament l’exorcisme. Dans un cas comme dans l’autre, il est en service commandé et il utilise tous les arguments, même les plus vils, pour taper sur l’ennemi. C’est assez abject, mais il faut désormais vivre avec ces « gens » prêts à salir les autres au gré de leurs seuls intérêts idéologiques. Que M. Nasser s’exprime ainsi, c’est petit, c’est mesquin (car j’imagine qu’il doit quand même profiter de pas mal de lois votées par cette gauche tant honnie) mais, après tout, c’est normal puisqu’il est en service commandé. C’est une nouvelle forme de terrorisme intellectuel mise au point par ceux qui veulent détruire les bases de notre société. Mais que des intervenants sur ce forum lui demandent d’en rajouter une couche et l’encouragent dans ce sens, c’est encore plus révoltant. La bassesse des bons sentiments se porte bien par les temps qui courent. Quant à ceux qui admirent le modèle social chinois, pourquoi ne vont-ils pas, dès demain, s’installer avec armes et bagages dans ce nouvel eldorado ? Il pourraient alors faire in situ la promotion d’un système tellement humaniste qu’il a réussi à transformer 80 % de sa population en vil outil de production. Sans parler, qu’en quelques années, il est parvenu à détruire la valeur réelle des trois quarts des produits que nous sommes appelés à consommer. Résultat acquis en jouant sur les deux leviers de base de « compétitivité » : un taux de change et un coût de main d’œuvre dérisoires. Quant à la gauche qui, toujours d’après M. Nasser, prendrait plaisir à « faire tenir les murs » de nos banlieues par les pauvres, il est utile de rappeler que cette expression est née à Alger, à la fin des années Boudemienne, quand a commencé à se faire sentir dans ce pays une pression démographique incontrôlable. Il serait alors assez comique de rappeler le fameux discours de Houari Boumedienne à la tribune des Nations Unies, au début des années 70, quand, tapant sur le pupitre de la tribune, il avait hurlé à la face du monde que la richesse de son pays résiderait désormais dans sa jeunesse... Le moins que l’on puisse dire c’est que la suite des évènements ne lui a pas vraiment donné raison. Mais bon, il n’était plus là pour s’en rendre compte. Patrick Adam
Oui, le pacifisme peut être dangereux, comme toute doctrine quand elle tend à devenir coercitive. Mais si le texte de cet article est d’actualité, il l’est plus par rapport à la situation iranienne qui est en train de tourner chaque jour davantage au cauchemar planétaire, que par rapport au spectacle (somme toute quelque peu folklorique) de ceux qui manifestent bruyamment pour tenter de réécrire l’histoire de l‘Irak qui a été mis à feu et à sang par d’autres doctrinaires, tout aussi endurcis. Il est peut-être encore temps de se poser la question s’il ne serait pas plus judicieux de défiler ces jours-ci pour stigmatiser le danger nucléaire bientôt aux mains des Mollahs enturbannés à l’uranium enrichi, plutôt que celui qui peut représenter la construction d’un nouveau réacteur atomique (EPR ou autre). Alors... Bombarder ou ne pas bombarder... Là, va être bientôt toute la question...Et si on commençait dès aujourd’hui à en parler, sans chercher à envenimer la situation mais sans attendre béatement que ça nous pète sur la tête ? Patrick Adam
Trêve pascale sur Agoravox. Belle preuve d’oecuménisme. Chut ! Ne réveillez pas le demian qui dort. P. Adam
A l’imprécateur anonyme qui ne peut s’empêcher d’éructer sa haine d’une société dont il doit profiter grassement, à M. l’excrémentiel africain qui sévit régulièrement sur ce blog par des commentaires qui tournent toujours au ras des vespasiennes, à M. Demian West qui, échappé de Médrano, n’a d’autre arguments que de s’en prendre personnellement à ceux qui le dérangent, je livre cette note de lecture relevée dans l’excellent article de M. Abdallahi Hormatallah, secrétaire chargé de la communication de SOS-Esclaves (Mauritanie) intitulé « Le cri de l’esclave » : « jusque dans un passé récent, lorsque chez les Maures une esclave tardait à avoir des enfants, on pouvait l’attacher quelques jours les jambes écartées pour satisfaire les gens du voyage passant par le campement, afin de faire naître de nouveaux enfants ».
Merci d’avoir cité cette très belle phrase de Mitterrand.
Mme Lalla Votre première intervention paraissait engageante. Il est à déplorer que la seconde ne soit que l’énoncé de slogans sans cesse rabâchés par ceux qui cherchent à se donner bonne conscience sur le dos des autres. A vous lire, j’ai l’impression d’entendre un journal télévisé du Maghreb des années 70 déroulant quotidiennement les mêmes rengaines : Sharon, Sabra et Chatila, la Palestine, le Hamas, sans oublier un bon couplet sur les cicatrices de la colonisation qui n’en finiront jamais de se refermer. Pourquoi ne nous parlez-vous pas des 300 000 esclaves officiellement recensés dans la Mauritanie d’aujourd’hui, du sort des Nimadi maliens ? De la condition des travailleurs émigrés sur les chantiers de Dubaï ? Votre majorité modérée n’est pas silencieuse, elle est muette.
Chère Lalla Quand donc les musulmans (ou les arabes) arrêteront-ils de se poser en victimes ? La colonisation, c’est fini depuis longtemps et les anciens pays colonisés ne décollent toujours pas, ni économiquement, ni culturellement. Les pays arabes possèdent une richesse en pétrodollars difficile à chiffrer. L’Algérie regorge de devises et elle ne sait pas quoi en faire pour élever le niveau de vie de sa population et lui offrir un minimum de bien-être. Vous vous plaignez de ne pas trouver d’éditeur pour votre livre ? Bien sûr, c’est regrettable. Mais pourquoi les médias arabes (notamment ceux qui gèrent Al Jazira) ne se lancent pas dans l’édition de tels ouvrages ? Ça pourrait les occuper un peu mieux que de déverser, comme ils le font chaque jour, la haine de l’Occident mécréant. Ne trouvez vous pas étrange quand même qu’on puisse se procurer en Europe nombre d’ouvrages d’auteurs arabes interdits dans leur pays ? Et je ne parle pas seulement sur le plan politique ou sur les différentes problématiques sociales en vogue aujourd’hui. Je vous mets au défit d’acheter dans un pays arabe l’excellent ouvrage de Ahmad Al Tifachi « Les Délices des cœurs » écrits dans la Tunisie du XIIIème siècle ? Il est disponible en France depuis 20 ans ainsi qu’en Angleterre. Et l’excellent travail de M. Sarwat Anis Al-Assiouty sur les origines du christianisme et de l’islam, pourquoi n’est-il pas à l’étal des libraires de Casablanca ou d’Alger ? On pourrait dire la même chose en ce qui concerne la musique arabe. Si Fairuz ne vend peut-être pas plus de disques en Europe qu’en Orient, j’imagine qu’elle doit quand même toucher un peu plus de droits d’auteurs de fait de cette diffusion... Je me permets aussi de vous signaler que De Gaulle, en la personne de Mme Nefisa Sid Cara, avait créé en 1958 un ministère de la femme musulmane en Algérie et qu’au lendemain de l’Indépendance, il a été jeté prestement aux poubelles de l’histoire. Quant à la voix de la majorité modérée musulmane que personne ne voudrait entendre, dites-vous, c’est peut-être tout simplement parce qu’elle est inaudible. Pourquoi les musulmans modérés ne sont pas intervenus pour défendre le malheureux Pakistanais converti au christianisme alors que la presse magrébine dans son ensemble s’est rengorgée du changement de religion de Philippe Troussier (ex-entraînement de foot) ?
Cher Monsieur Etre comparé régulièrement à Don Quichotte ne me gêne pas. Au contraire. C’est un personnage sympathique qui compte dans la littérature mondiale et dans les mythes qui ont façonné l’Occident. Bien sur, rassurez-vous, je ne prétends pas à un tel statut. Le terme de « croisé » me choque davantage car vous vous ne pouvez vous empêcher de l’utiliser « à sens unique ». Car qui sont les véritables croisés aujourd’hui ? Pour moi, ce sont les fous de Dieu qui rêvent de conquérir le monde pour imposer leur foi. Ce ne sont donc pas ceux qui cherchent à s’en défendre. D’autant que les croisades n’ont pas été l’entreprise coloniale que l’on décrit souvent, mais une réaction de l’occident chrétien pour reconquérir la Méditerranée qui lui avait été confisquée pendant des siècles par des pillards et pour accéder aux lieux saints de Palestine qui lui étaient interdits. Quant au fait de savoir si je porte ou non une armure, une telle caricature me fait sourire. Je vis dans un pays que je m’efforce de comprendre et pas de repeindre en saint-sulpiceries vulgaires comme le font tant de commentateurs qui croient faire preuve d’humanisme en léchant les bottes des intégristes et des arriérés mentaux. Quand je lis la littérature complaisante qui envahit nos kiosques (je pense au numéro spécial du Nouvel Obs sur les 50 ans d’indépendance du Maroc) je suis consterné par tant de clichés édulcorés et tant d’hypocrisie. Aucun Marocain lucide ne peut reconnaître son pays dans de tels phantasmes orientalistes. Quant à mon « lyrisme » qui a l’air de vous déranger comme si c’était une tare, je pense qu’il reflète autre chose que de l’exaltation. « Ecrire n’est après tout que mettre des mots les uns à la suite des autres », disait Flaubert. A chacun sa méthode et ses préférences. Il est cependant extraordinaire de constater que, sur ce forum, dès qu’on aborde des problèmes qui dérangent les bonnes manières de penser, on se voit attaqué personnellement mais jamais sur le fond des problèmes abordés. Un peu d’exigence intellectuelle ne nuirait pas à vos propos. J’attends en vain un débat d’idées, pas de petits coups de griffe.
Mon message n’était pas plus condescendant que le votre n’était un ramassis d’insultes à mon égard. Et bien que vous ayez eu la « délicatesse » de m’avertir que cet échange en resterait là, je mets néanmoins un point d’honneur à vous communiquer une sommaire explication de texte qui vous a fait défaut à la lecture de mon précédent article :
- je vous mets au défi d’étayer par un de mes propos ma « haine du musulman ». C’est un phantasme trop commode pour éviter de répondre aux différents problèmes culturels que j’ai soulevés. Quoiqu’il en soit, je n’ai pas l’intentin (pour le moment) de me justifier à cet égard.
- je n’ai jamais dit que vous-même aviez « écrit que c’était la faute des juifs de leur solidarité [si] ce jeune avait été tué !!! » Je sais lire, et pas seulement entre les lignes... J’ai simplement dit que votre article avait suscité de tels propos, et je vous suggérais de méditer là-dessus
- vos propos ne s’articulent qu’autour de comparaisons qui n’ont jamais valeur de raison. Cadavres contre cadavres, guerres contre guerres, inhumanité contre inhumanité. Et vous irez jusqu’où comme ça ? Vous allez toujours chercher ailleurs un appui au déficit d’arguments qui frappe vos écrits englués de soi-disant bonnes intentions. Mais répondez donc au moins une fois à ce que l’on vous dit, sans vous enliser dans des faux-fuyants et sans jeter des insultes à votre interlocuteur en vous empressant de lui tourner le dos
- pour ce qui est du meurtre de Ilan Halimi, pour moi ce n’est pas un « cas ». Ni un cas d’école ou un cas clinique comme vous semblez le suggérer. Décidément, les mots que vous utilisez semblent sortir d’une bourse peu ragoûtante. Le meurtre d’Ilan Halimi est pour moi une monstruosité à connotation éminemment raciste. J’attends de la justice qu’elle vienne me prouver sereinement qu’il n’en était rien. Mais en attendant le verdict je ne vais pas me priver d’avoir une opinion sur le sujet et de l’exprimer sereinement sur ce forum, même si les gardiens du temple de la bonne pensée veulent m’arracher la langue.
C’est pas un peu raciste ça.... Patrick Adam
C’est pas un peu raciste, ça ?... Patrick Adam
Que de piètres commentaires. Incapable de lire convenablement un texte, vous n’êtes disposé qu’à salir son auteur. Belle hauteur de vue dont je vous laisse profiter à votre aise. Je préfère rester les mains dans le cambouis, avec tous mes amis métèques qui pensent comme moi et qui m’encouragent à crever la bulle d’hypocrisie qui tend à recouvrir la planète dès qu’on essaye de toucher à l’immense pouvoir des religions quelles qu’elles soient. Vous en êtes la preuve patente.
à M. Aspi-rine Vous ergotez. « C’est dans la ligne ». Vous vous livrez à une opération de dissection morale qui paraît bien surfaite. Ilan Halimi a été kidnappé exclusivement en raison de son nom. Ca ne vous paraît pas suffisant pour qu’un tel crime soit qualifié de raciste ? Qu’attendez-vous pour combattre le communautarisme que vous prétendez affaiblir par des compromissions idéologiques ? Quant à mon prétendu racisme anti-musulman, je vous mets au défi d’en apporter la moindre preuve. Vous m’insultez dans l’intention, et non pas dans les faits. Question de méthode. Aiguisez un peu mieux vos arguments et on en reparlera... Patrick Adam
A M. Floran Il m’arrive d’écouter du rap et même si ce n’est pas ma tasse de thé (est-ce aussi une preuve de racisme anti-jeune...) j’avoue un faible pour certains groupes, notamment le groupe 113 à qui je trouve bien du talent. Excusez-moi si ma culture musicale en la matière en est restée à « La souris déglinguée » ou à la bonne vieille époque de « Carte de Séjour », avant que Rachid Tahar ne devienne une institution. Si vous avez des textes de rap à me faire parvenir pour éclairer ma pauvre lanterne, je suis évidemment preneur.
Message subliminal à l’intention de Scaton l’anonyme africain J’ai du mal à croire que vous ayez aussi peu de considération pour les Français avec lesquels apparemment vous vivez au quotidien... et que vous dénigrez sans scrupules chaque fois que vous vous installez devant votre clavier. No coment Patrick Adam
Et vlan, encore une manifestation d’islamophobie manifeste... Merci à Alain Hertogue de nous l’avoir signalée avec l’humour british qui sied si bien à ses textes. Faire l’amour à l’ombre d’une mosquée, quoi de plus insultant ! Mais jusqu’où iront-ils ces mécréants s’ils se mettent à cacher leur haine de la « vraie foi » dans des messages subliminaux accrochés aux cols des chemises ? Zara, Zara, c’est pas très courageux tout ça... Je crois que je vais boycotter. Le manque de courage et la reptation me donnent la nausée.
Moi monsieur, dans le désert, j’y vis et j’y passe régulièrement la nuit... Qui plus est j’y accomplis modestement un devoir de mémoire porteur de potentialités pour l’avenir de toute une région et je ne me gave pas de littérature de salon. Qui va donc apprendre la lune à l’autre ? Mohamed M’Barek, le nomade sahraoui qui me disait, il y a peu, que les hommes n’avaient jamais pu atteindre la lune car il faudrait 300 000 ans pour y parvenir et que Dieu ne le permettrait pas... J’avoue que j’ai plutôt un faible pour la lune de Cyrano de Bergerac (le vrai autant que le faux). Et j’aime aussi l’empreinte que les hommes y ont laissé, même s’ils ont peut-être un peu triché sur l’authencité du cliché. Je m’en fous. Je regrette seulement que ce soit le drapeau américain qui ait été planté sur son sol et non celui des Nations Unies. Mais on ne peut pas trop demander à un peuple qui, comme tant d’autres, ne vit que pour chanter sa gloire.
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