Bonjour, Zen,
Beaucoup de choses peuvent changer un processus en cours Mais, pour le moment, ces évènements ne sont pas survenus, et le cours actuel des faits est ainsi que la corde est déjà aun cou des 17 pays de la zone euro.
Il n’est effectivement pas écrit qu’elle devrait y rester éternellement.
Bien amicalement,
Chère Mylène,
Je n’ai pas compris ce que votre oeil tendrait à suggérer sur ce que la phrase citée vous inspire ; Serait-elle une erreur, un non-sens ou une vérité ?
Merci d’éclairer plus avant votre remarque, qui, ainsi formulée trop concisément, perd en clarté sur le fond.
Bien cordialement,
Cher Sylvain Reboul,
Je relève une petite erreur dans vos dires, tout en respectant votre droit à nier les évidences les plus publiques : vous confondez visiblement les positions affichées des directions des partis politiques allemands avec les sentiments, connus par de multiples sondages de masse, de la population allemande !!!
Ceci serait-il une forme de déviation de le pensée afin de se rassurer quand tout s’écroule.
Par ailleurs, sans offenser votre sensibilité, vous confondez aussi « mondialisation » et « fin des problèmes nationaux ».
Il est heureux que vous soyez rassuré par les déclarations de plus en plus paniquées de dirigeants politiques (vous êtes bien seul dans ce cas), mais la réalité des faits est là et elle ne cesse de s’imposer devant toutes et tous.
D’ailleurs, Mme Merkel, qui est loin d’être stupide et qui a aussi lu les sondages d’opinions du peuple allemand, sait très bien qu’un autre plan coûtant à l’Allemagne serait facteur de crise grave.
Car, elle aussi comprend une vérité politique et sociale : ce ne sont pas les dirigeants politiques qui sont le peuple, c’est le peuple qui a ses propres expressions et positions.
Il y a en Allemagne un syndrome 29 mai 2005 à retardement entre l’opinion publique et les directions des partis.
Cela se note dans les sondages. Mais, si vous remplacez le peuple allemand par les chefs politiques, évidemment, vous supprimez donc le peuple ;
Rappelez-vous ce slogan de novembre 1989 : « Wir sind das Volk, wir sind ein Volk ».
Vous n’êtes pas, à l’évidence, à l’écoute du peuple, mais de chefs de plus en plus isolés sur leurs positions, et surtout, qui ne savent plus quoi faire pour éviter la mort inévitable de l’euro.
Bien cordialement,
Cher alcodu,
Vous n’aimez pas les ETATS, c’est votre droit le plus absolu.
Donc, vous ne supportez pas que quelques dirigeants, proches des spéculateurs privés, pillent sans vergogne 100 milliards d’euros des impôts versés par tous en faveur de la collectivité, et cela au profit de banques privées qui ont déjà reçu largement de l’argent public en 2008.
Il semble que privé et public (Etat) soient très mélangés dans ce qui se déroule devant vos yeux et que vous refusez même de voir.
Dommage. Pour vous, comme citoyen et contribuable.
Bien cordialement,
Cher Soubise,
Dans le cas de l’euro au stade actuel de sa crise, le pronostic vital serait plutôt mèche courte pour l’explosion, mèche longue pour s’en dégager au mieux.
Bien cordialement,
Cher Millésime,
Certes, regarder ailleurs est une manière de fuir les réalités, mais il semble qu’elle ne soit pas une issue pour les peuples concernés.
D’autant que, lorsqu’on ne mange plus à sa faim quelque part, ce n’est pas en se disant que d’autres sont dans une situation similaire que cela apporte des aliments dans l’assiette.
Ceci dit, les Etats-Unis et d’autres pays ne sont pas du tout dans la même situation que la zone euro. Les moyens de perpétuer une économie, même artificiels, existent, et sans mettre la population de pays entiers dans la rue ou sur la paille.
L’avenir des citoyens de la zone euro est pour l’heure déterminé par la crise de dislocation de cette zone, avec toutes ses conséquences.
Là est le problème collectif en Europe.
Bien cordialement,
Cher copainsky,
La fraude fiscale est une réalité de tous les temps.
Mais, ce n’est pas à cause d’elle que l’euro coule après avoir été mortellement touché par des contradictions qui ne peuvent être maîtrisés à un niveau administratif quelconque.
Bien cordialement,
Cher Paul,
On peut aussi voir votre conclusion, juste, avec un angle différent :
sont-ce les agences de notation qui influencent des politiques soumis à leurs souhaits ou des politiques serviles qui veulent aider par leur soumission volontaire les spéculateurs à saigner leurs propres peuples ?
L’influence est toujours acceptée, quand elle n’est pas demandée avec empressement.
Bien cordialement,
Cher Alberto,
Heureux de vous savoir en excellente santé. J’ai par ailleurs demandé à l’équipe qui a voyagé loin des nouvelles de la diffusion : j’attends la réponse.
Sur le fond de l’article, et votre commentaire, vous résumez bien les choses, passées et à venir.
Bien amicalement,
Cher Razzara,
La crise de la zone euro et l’impossibilité de dégager une solution viable quelque peu pérenne se lit sur tous les visages des protagonistes concernés, pas seulement sur le visage de Nicolas Sarkozy ;
Par contre, ses propositions ayant été rejetées avec mépris, il a des motifs de ne pas arborer un air enjoué...
Il a joué au sauveur, mais il n’a rien sauvé, tout en se coulant lui-même sur la scène internationale.
Bien cordialement,
Cher Login,
Belle maxime qui connaît de légères variantes, mais le sens demeure le même.
Actuellement, dans les sommets de la zone euro, règne un climat de panique à tous les étages. D’où des reports de décisions qui, quelles qu’elles soient, ne pourront pas sauver plus l’euro de sa mort inévitable que les plans antérieurs.
Bien cordialement,
Cher Yvance77,
Ces 100 milliards d’euros qui surgissent par un miracle admirable, ce sont à la fois de nouvelles baisses du niveau de vie, de nouveaux impôts et taxes pour la population et un zeste d’emprunts.
Vous avez raison : ces milliards étaient introuvables pour les pauvres et les classes moyennes travailleuses, mais, pour renflouer les banques de nouveau, les milliards coulent à flots.
A force de tromper, voler et abuser les peuples, il arrive aussi que ceux-ci se révoltent et que les anciens dirigeants finissent par être rejetés brutalement dans le néant.
Depuis quelques temps, les révolutions sont sur le devant de l’actualité.
Bien cordialement,
Cher Andromède,
Quand une monnaie n’a plus d’avenir, la raison commande d’en changer.
Cette maxime semble ne pas avoir atteint les passionnés de réunions sans fin qui accoucheront d’un nouveau plan qui conduira, comme les précédents, dans le mur.
Petite remarque : l’Allemagne est aussi tournée vers l’Est, et même l’Asie dans toute son acception. Et la réputation de ses produits n’a rien à voir avec celle, catastrophique, de nombre de produits français.
Quand l’euro s’écroulera, les différences de cette nature auront aussi un rôle majeur dans la redistribution des positions et des rapports de force.
Bien cordialement,
Cher Goc,
Il est exact que Nicolas Sarkozy, car je suppose que vous voulez parler de lui quand vous évoquez un être de petite taille, a fait beaucoup, sans le vouloir toujours, contre l’UE et la zone euro.
D’abord avec sa politique intérieure qui écorne et rabote sans cesse le pouvoir d’achat et donc sape toute possibilité matérielle de croissance. Ensuite avec sa politique extérieure, de sa validation du Traité Constitutionnel Européen contre l’avis exprimé des électeurs jusque dans son rêve de faire payer l’Allemagne à l’infini pour la crise de l’euro à laquelle il a fortement contribué.
Il est des politiques, qui, croyant construire, détruisent tout par leurs actions.
Bien cordialement,
Monsieur,
Vos raisons de noter un article vous sont propres et le besoin de l’expliquer est le seul vôtre. Quant au reste de ce que vous avez cru comprendre, cela relève de l’invention dont, il est vrai, n’étant pas historien, mais ancien du renseignement militaire, vous êtes un vrai champion.
Quant à ce que pense le monde, y compris les autorités chinoises, vous ne devez pas lire le mandarin pour manifester une si criante ignorance de ce dont les hauts responsables de ce pays (et d’autres) craignent avant tout, à savoir une politique générale d’austérité aboutissant à abaisser les achats de produits made in China ou made in PRC (cela est pareil) en Europe via une chute du pouvoir d’achat des peuples de la zone euro et alentours.
Il vous convient mieux de parler de vos inventions sur le passé que de tenter, en vain, de comprendre un présent qui vous échappe.
Bon retour en Saône et Loire.
.
Cher Robert Gil,
Le passage à l’euro a été en effet l’occasion parfaite, avec l’aide active des politiques dirigeants de diverses couleurs, de fortes hausses de prix, lesquelles continuent encore en 2011, via les parités changeantes dollar- euro.
Bien cordialement,
Cher Lambda,
Il semble clair que la Grèce est déjà agitée et que l’Allemagne avance vite sur le même chemin, par anticipation.
Le volontarisme est une chose positive, mais les grands mouvements sociaux et politiques naissent et se développent du fait justement des coups portés aux peuples et à leurs intérêts immédiats.
Cela est déjà cours et partout au sein de la zone euro, la situation se tend à une vitesse qui fait aussi peur aux dirigeants des Etats. D’où les contradictions et hésitations qui se multiplient....
Bien cordialement,
Cher Lambda,
C’est précisément ce que vous décrivez qui est en voie de s’effondrer.
Les plans sont une chose, ce sont les réalités vivantes qui disposent ;
Bien cordialement,
Cher Pierrhot,
Votre lecture est en effet une des lectures possibles de l’indépendance, interne et externe, de la Justice taïwanaise, qui a mis et gardé en prison l’ancien président du pays pour corruption, ainsi que plusieurs ministres et hauts fonctionnaires, le tout sans lien avec un dossier international.
Une autre lecture peut être les progrès d’une démocratie qui se structure, avec en parallèle un changement de personnel politique sans liens avec les scandales passés, mais qui veut solder les vieux comptes.
Quant aux rapports Chine-Taïwan, au mieux depuis l’accord ECFA, sur le plan militaire, il importe de savoir que récemment, le Président Obama a validé un plan de modernisations de l’aviation et des unités anti-aériennes taïwanaises pour 5,3 milliards de $, et que de l’autre, Taïwan produit de nombreuses armes sophistiquées sur place : avions, missiles, armes de haute technologie ( le pays est un des plus en pointe dans ce domaine).
Si la population taïwanaise aime bien la France comme pays, et son peuple ainsi que sa culture, son art, sa littérature, et sa cinématographie, il en va tout autrement de ses dirigeants politiques et de son appréciation de la nature de l’Etat, vue comme une république corrompue et peu démocratique.
Quant à la Justice française, elle est notée en-dessous de celle de l’Italie, ce qui est tout dire sur le sujet.
En résumé, en matière d’armements, mais j’en avais parlé voici 3ans dans un article intitulé : « Taïwan : les armes de l’indépendance », qui, à l’époque avaient surpris des « pseudo-spécialistes » du pays, que cet Etat comptait de plus en plus sur lui-même, un peu, mais de moins en moins sur les Etats-Unis, mais surtout traavillait à établir des relations apaisées et fructueuses avec le voisin chinois.
On appelle cela en taïwanais, traduit en français, le « gagnant-gagnant », une philosophie politique peu pratiquée en Europe, et surtout en France, où, avec les pays asiatiques, le slogan est plutôt : « ils gagnent, nous perdons ».
Bien cordialement,
Cher Pierrhot,
Votre question est pertinente et il convient d’y répondre avec des sources déjà évoquées.
Concernant les corrompus chinois dans ces dossiers (voir liste avec ce lien) :
http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=38764
Comme en France, la Justice de leur pays ne les a jamais recherchés, donc identifiés.
Donc, sur le plan du droit, Chine et France sont à égalité dans le camouflage de la corruption et des corrompus.
A Taiwan, tous les impliqués ont été jugés et sont en prison (sauf un qui est décédé depuis).
Taïwan est donc le seul pays qui a eu un système judiciaire efficace et indépendant, lequel a aussi fait rendre l’argent volé au peuple par les corrompus.
Ce que la France va encore payer, c’est son refus de respecter les clauses strictes des contrats signés et, avec les commissions qu’elle ne devait utiliser, les rétro-commissions illégales à hauteur de sommes énormes par rapport au contrat de base.
Cela est l’hypothèse actuelle basée sur le passé récent.
Si arrive au pouvoir en France un gouvernement qui laisse la liberté à la Justice d’identifier (ce qui est facile puisque la liste des 19 est à Bercy- Paris-France), elle pourrait alors faire payer à l’Etat français et à Taïwan leurs justes dus réciproques.
Si tel n’est pas le cas, les contribuables français seront les payeurs finaux, comme pour le contrat Bravo des frégates Lafayette.
Bien cordialement,
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