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Les commentaires de Canis Ethica



  • Canis Ethica Canis Ethica 12 septembre 2018 21:30

    @hunter

    Merci.
    Au vu du nombre de cancers et autres problèmes de santé qui se révèlent chez nos Chiens et Chats, nous ne pouvons pas attendre « un jour... ». Les statistiques officielles de l’Etat sont là, pour le montrer.
    L’action est appelée aujourd’hui !

    L’Europe est à notre service, nous sommes les européens. A nous de rester vigilants et de nous défendre.

    Vous lisez cette Directive et c’est dingue : en lieu et place de protéger nos animaux, leur bien-être, leur santé et de permettre l’égalité des citoyens européens dans leur accès aux médicaments pour leurs animaux ; elle permet aux labos de jouer au « plouf plouf » qui aura droit au vaccin avec une étiquettede validité de 1 an, qui aura droit au même vaccin avec une étiquette de 2 ans, etc au sein même de l’union européenne...

    Quelque chose cloche sérieusement !
    Y en a marre de voir nos Chiens et Chats déclarer des maladies douloureuses et létales même des années après parce qu’ils auront été bombardés sans en avoir besoin !



  • Canis Ethica Canis Ethica 11 octobre 2017 21:21

    @Julyo



    Courrier au Defenseur des Droits

    18. Le Serment de Bourgelat ; 
     
    19. La mission du Ministère de l’Agriculture « d’adapter constamment sa politique en fonction de l’évolution des connaissances scientifiques et de l’expérience acquise sur le bien-être animal » ; 
     
    20. L’appartenance de la France à l’Union Européenne selon le Traité de Maastricht, le Traité de Rome, le Traité de Lisbonne ; 
     
     



  • Canis Ethica Canis Ethica 11 octobre 2017 21:19

    @Julyo


    Courrier au Defenseur des Droits


    Les articles R221-1 et R221-2 lient la santé à la protection animale sous l’égide du Ministère de l’Agriculture ; 
     
    4. L’Article L5141-6 du Code de la Santé Publique permet de modifier une autorisation de mise sur le marché (AMM) au nom du bien-être animal ; 
     
    5. Les Articles L5145-1 à L5145-7 du Code de la Santé Publique reconnaissent les compétences de l’Agence Nationale du Médicament Vétérinaire (ANMV) à demander des modifications sur AMM ; 
     
    6. L’Article L5121-8 du Code de la Santé Publique énonçe qu’une AMM peut être modifiée par l’ANMV en respect de l’Article 6 de la Loi 2007-248 du 26 février 2007 ; 

    8. Le Règlement 726/2004 du 31 mars 2004 établit des procédures communautaires pour l’autorisation et la surveillance en ce qui concerne les médicaments à usage humain et à usage vétérinaire ; 
     
    9. Le Règlement CEE n°2309/93, opérationnel depuis le 1er janvier 1995, concerne les procédures européennes de mise sur le marché des médicaments, qui permet une « procédure de reconnaissance mutuelle. » ; 

    11. La Directive 2004/28/CE du Parlement Européen et du Conseil du 31 mars 2004 instituant un code communautaire relatif aux médicaments vétérinaires 
     Article 1 (27) Pour garantir la sécurité des médicaments vétérinaires après leur mise sur le marché, les systèmes de pharmacovigilance dans la Communauté doivent être adaptés constamment aux progrès scientifiques et techniques. 
     Article 13.1. Par dérogation à l’article 12, paragraphe 3, premier alinéa, point j), et sans préjudice de la législation relative à la protection de la propriété industrielle et commerciale, le demandeur n’est pas tenu de fournir les résultats des essais d’innocuité et d’études des résidus, ni des essais précliniques et cliniques s’il peut démontrer que le médicament est un générique d’un médicament de référence qui est ou a été autorisé au sens de l’article 5 depuis au moins huit ans dans un État membre ou dans la Communauté. Un médicament vétérinaire générique autorisé en vertu de la présente disposition ne peut être commercialisé avant le terme de la période de dix ans suivant l’autorisation initiale du médicament de référence. 
     Article 32.1. En vue de l’octroi d’une autorisation de mise sur le marché d’un médicament vétérinaire dans plus d’un État membre, le demandeur présente une demande basée sur un dossier identique dans ces États membres. Le dossier comprend l’ensemble des informations administratives et de la documentation scientifique et technique prévues aux articles 12 à 14. Les informations présentées contiennent également une liste des États membres concernés par la demande. Le demandeur demande à l’un de ces États membres d’agir en qualité d’État membre de référence et de préparer un rapport d’évaluation concernant le médicament vétérinaire, conformément aux paragraphes 2 ou 3. Le cas échéant, le rapport d’évaluation contient une analyse aux fins de l’article 13 ou de l’article 13 bis, paragraphe 3. Si le médicament vétérinaire a déjà reçu une autorisation de mise sur le marché au moment de la demande, le ou les États membres concernés reconnaissent l’autorisation octroyée par l’État membre de référence. À cette fin, le titulaire de l’autorisation de mise sur le marché demande à l’État membre de référence, soit de préparer un rapport d’évaluation du médicament vétérinaire, soit, si nécessaire, de mettre à jour tout rapport d’évaluation existant. L’État membre de référence prépare ou met à jour le rapport d’évaluation dans un délai de 90 jours à compter de la réception de la demande valide. Le rapport d’évaluation ainsi que le résumé approuvé des caractéristiques du produit, l’étiquetage et la notice sont transmis aux États membres concernés et au demandeur. 
     Article 79 Toute modification qui peut être nécessaire pour mettre à jour les dispositions des articles 72 à 78 afin de tenir compte des progrès scientifiques et techniques est adoptée conformément à la procédure visée à l’article 89, paragraphe2. 


    12. La Directive 2004/28/CE du Parlement Européen et du Conseil du 31 mars 2004 prévoit un quatrième motif dans la liste autorisant un Etat à retirer un médicament du marché : un rapport bénéfice-risque défavorable dans les conditions d’emploi autorisées ; 
     

    13. Le Règlement CE n°998/2003 impose des conditions aux mouvements non commerciaux d’animaux de compagnie entre Etats membres. 
    Ces conditions incluant une vaccination antirabique valide réalisée sur les animaux de compagnie en question à l’aide de vaccins répondant aux normes minimales prescrites dans le chapitre concerné du manuel des tests de diagnostic et des vaccins pour les animaux terrestres de l’OIE ou ayant fait l’objet d’une autorisation de mise sur le marché conformément à la Directive 2001/82/CE ou au règlement CE n°726/2004.  
    Ces vaccins protégeant efficacement les animaux contre la rage et faisant partie des exigences relatives à la validité de la vaccination antirabique énoncées à l’annexe I ter du Règlement CE n°998/2003.  
    Ces conditions figurant à l’annexe III du Règlement UE 576/2013 du Parlement Européen et du Conseil du 12 juin 2013 relatif aux mouvements non commerciaux d’animaux de compagnie ; 
     
    14. Les dispositions règlementaires relatives à la pharmacovigilance vétérinaire figurent aux Articles R .5146-41-2 à R .5146-41-20 du Code de la Santé Publique ; 
     
    15. Le règlement (UE) N° 712/2012 de la Commission du 3 août 2012 modifiant le règlement (CE) n°1234/2008 concerne l’examen des modifications des termes d’une autorisation de mise sur le marché de médicaments à usage humain et de médicaments vétérinaires ; 
     


  • Canis Ethica Canis Ethica 11 octobre 2017 21:12

    @Julyo



    Courrier au Defenseur des Droits


    1. « le marché des animaux de compagnie en France, pèse 4,2 milliards d’euros par an. Un engouement lié à une population française qui voit l’animal comme un membre à part entière de la famille dont il faut prendre soin et lui offrir ce qu’il y a de meilleur. » ; 
     
    2. La France compte 20 millions de chiens et chats pour 66 millions d’habitants avec des français qui, pour 98% d’entre eux vaccinent leurs animaux de compagnie et font face à des dépenses vétérinaires comptant pour 19% du budget qu’ils consacrent à leurs animaux de compagnie soit une augmentation de 72% du budget consacré aux frais vétérinaires en 15 ans ; 
     
    3. Le marché européen du médicament vétérinaire représente un chiffre d’affaires de 4,3 milliards d’euros. La France étant le premier marché européen avec 24 % du marché de l’Union Européenne. Il y a une tradition française du médicament vétérinaire depuis les vaccins pasteuriens contre la rage ; 
     
    4. L’Organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE) travaille étroitement avec le VICH : seul organisme international qui adopte, publie les lignes directrices sur les règles techniques d’enregistrement des produits vétérinaires, constituant des garanties de sécurité et d’efficacité pour tous les pays qui les adoptent, tout en évitant des lourdeurs administratives nationales qui font perdre de précieuses années pour l’adoption des innovations dans le domaine thérapeutique ou préventif 
    (Assemblée Générale et 4e conférence mondiale du VICH au siège de l’OIE à Paris en juin 2010 ) ; 
     
    5. L’OIE insiste sur la mise à jour continue des législations nationales en matière de produits vétérinaires
    (Conférence Mondiale de l’OIE, Tunis du 7 au 9 décembre 2010) ; 
     



  • Canis Ethica Canis Ethica 11 octobre 2017 21:08

    @Julyo



    Courrier au Defenseur des Droits


    12. « Les protocoles vaccinaux actuellement utilisés chez le chien et le chat visent à vacciner chaque animal contre les maladies auxquelles il est potentiellement exposé. Ainsi il est recommandé de vacciner tous les chats contre le Coryza, la Panleucopénie infectieuse féline, la Leucose féline, la Chlamydophylose et la rage. Pour les chiens il est recommandé de tous les vacciner contre la maladie de Carré, l’hépatite de Rubarth et la Leptospirose. Puis les animaux peuvent éventuellement être vaccinés contre la Piroplasmose, la maladie de Lyme ou la Toux de chenil (virus Parainfluenza canin et Bordetella bronchiseptica) s’ils y sont particulièrement exposés. Enfin la vaccination contre la rage est obligatoire pour certains animaux domestiques ou peut être recommandée dans certaines situations. 
    ( Thèse C.LEPRETRE « La vaccination des carnivores domestiques en 2008 », Ecole Nationale Vétérinaire d’Alfort, 2009 )
     
    13. Le protocole vaccinal recommandé par les différents fabricants est exactement le même que celui recommandé pour la vaccination contre la maladie de Carré (rappel annuel) dans la mesure où ces deux vaccins sont toujours associés dans les préparations vaccinales or, la vaccination contre l’hépatite de Rubarth permet la mise en place d’une immunité protectrice pendant cinq à sept ans. » 
    ( Thèse C.LEPRETRE « La vaccination des carnivores domestiques en 2008 », Ecole Nationale Vétérinaire d’Alfort, 2009 ) ;



  • Canis Ethica Canis Ethica 11 octobre 2017 21:05

    @Julyo


    Courrier au Defenseur des Droits


    14. Pour l’octroi d’une AMM, la sécurité/innocuité du vaccin est considérée comme prouvée par le laboratoire fabriquant dès lors qu’il a démontré qu’aucune réaction indésirable n’a été détectée sur les au moins deux animaux cibles séronégatifs sains auxquels il a inoculé par l’itinéraire recommandé au minimum une double dose du vaccin. Les animaux sont observés quotidiennement pendant 14 jours. Le vaccin est conforme au test si aucun des au moins deux animaux ne présente de réactions indésirables ou ne meurt de causes imputables au vaccin
    ( Européen Pharmacopoeia, 2012b. P17, chapitre 2.2.2, iv, b ) ; 
     


    16. Selon le Dr Eloit, Présidente de l’Organisation Mondiale de la Santé Animale : 
    « le prolongement de la durée d’immunité pour les vaccins vétérinaires relève de la gestion des enregistrements et cela s’effectue au niveau des pays ou des régions dans le cas de l’Union Européenne par exemple qui a mis en place des procédures centralisées et décentralisées d’autorisation de mise sur le marché des médicaments vétérinaires. Bien qu’un changement intervenant dans un ou plusieurs pays ne s’applique pas automatiquement à l’ensemble des pays où le produit est enregistré, l’ensemble des acteurs concernés travaille pour une harmonisation des enregistrements afin d’éviter qu’un même produit soit enregistré avec des caractéristiques différentes dans différents pays.
    ( Courrier du Dr Eloit du 7 mars 2016. Pièce n° 8 ) » 


  • Canis Ethica Canis Ethica 11 octobre 2017 20:58

    @Julyo


    Courrier au Defenseur des Droits


    36. « 90 % des déclarations de pharmacovigilance transmises aux acteurs institutionnels sont envoyées par des vétérinaires praticiens : avec 83,9 % de ces déclarations de pharmacovigilance concernant les chiens et les chats. […] Ces chiffres reflétant une exposition beaucoup plus importante des différentes populations animales à certains types de produits et/ou une réactivité plus élevée des déclarants par rapport à des effets survenant sur des animaux sains  ; 
     
    37. Le nombre de déclarations de pharmacovigilance qui sont envoyées directement à l’ANSES ANMV augmente tous les ans de plus de 40% soulignant la sous-déclaration nationale des effets indésirables chez les animaux. Cette augmentation concernant à la fois les cas graves et non graves
     
    +43,9 % de déclarations de cas graves en 2013 
    +44,9 % de déclarations de cas graves en 2014 
    +47,4 % de déclarations de cas graves en 2015
    (Rapport ANSES 2015_Pharmacovigilance vétérinaire, Bilan activité, P.19 https://www.anses.fr/fr/system/files/ANMV-Ra-Parmacovigilance2014.pdf 41 ; 
     
     
    38. La répartition des déclarations en pharmacovigilance vétérinaire entre cas d’effets indésirables graves et non graves varie en fonction de la classe thérapeutique concernée : pour les vaccins, 71% des déclarations transmises pour le chien comme pour le chat concernent des cas d’effets indésirables graves. Plusieurs cas de réactions anaphylactiques ont entraîné la mort des animaux. 
    ( P.40, ANSES, Rapport annuel 2015, Surveillance des médicaments vétérinaires en post-AMM, octobre 2016 )
    ( Rapport ANSES 2015 _ Pharmacovigilance vétérinaire, Bilan d’activité, P.5, 20-23 https://www.anses.fr/fr/system/files/ANMV-Ra-Parmacovigilance2014.pdf ) » ; 
     
    39. Selon l’Article R. 5146-41-5 du Code de la Santé Publique « on entend par : 
    Effet indésirable grave : 
    un effet indésirable qui entraîne la mort, qui est susceptible de mettre la vie en danger, qui provoque des symptômes permanents ou prolongés, qui se traduit par une anomalie ou une malformation congénitale ou provoque un handicap ou une incapacité importants chez l’animal traité  ; 


  • Canis Ethica Canis Ethica 11 octobre 2017 20:51

    @Julyo



    Courrier au Defenseur des Droits


    52% des français possédant un animal de compagnie l’ont adopté pour recevoir de l’affection, 50,7% des français possédant un animal de compagnie y sont attachés comme à un enfant, 11% des français possédant un animal de compagnie l’ont adopté pour combler la solitude
    ( Enquête FACCO/TNS SOFRES, mars 2015 ) ; 
     
    41. « La réaction à la perte d’un animal de compagnie est comparable à celle qui suit la perte d’un être humain avec le choc psychologique, émotionnel et, parfois, métaphysique que ressent l’être humain lors du décès de son animal familier. 
    ( Gagnon, 2006 ) » ; 
     
     



  • Canis Ethica Canis Ethica 11 octobre 2017 20:49

    @Julyo



    Courrier au Defenseur des Droits


    33. Le chantage émotionnel subit de la part d’un corps vétérinaire allant en minimisant les effets indésirables liés aux vaccins, faisant planer haut le spectre de l’euthanasie, faisant passer pour impérative la vaccination de plus à une fréquence annuelle quand un pourcentage marginal de vétérinaires, dont la Clinique Vétérinaire des Docteurs Sachdé (Gers), auxquels je n’ai pas accès, eux, prônent un arrêt de la survaccination au vu des études les plus récentes à ce sujet.

    ( Clinique Vétérinaire Calvisson/Villevieille : 
    « Les réactions vaccinales graves, (autres qu’une fatigue transitoire ou une douleur passagère au point d’injection), sont exceptionnelles chez le chien », 
    « Apres la première année, il est impératif de procéder à des rappels annuels réguliers, afin d’entretenir la protection obtenue. », 
    « Y a-t-il des effets secondaires ? Ces effets secondaires sont rares sans être exceptionnels et ne sont jamais graves. […] 
    Les effets secondaires graves (choc allergique « sous la seringue », anémie ou thrombopénie à médiation immune se déclarant durant les jours qui suivent…) sont décrits mais très exceptionnels. » 


    « Pour un chien qui ne voyage pas et qui ne rentre pas dans la liste ci-dessus, le seul intérêt de la vaccination contre la rage est d’être protégé, (s’il est également identifié), en cas de contact avec un chien enragé…ce qui est tout de même très improbable, puisqu’il n’y a plus de rage en France métropolitaine, en dehors de cas d’importation tout à fait ponctuels. Souvenons-nous malgré tout que lors du cas de rage à Nîmes en mai 1998, les chiens présents dans la salle d’attente et dans le chenil du vétérinaire chez qui le chien enragé a été amené, ainsi que les chiens de la SPA susceptibles d’avoir été en contact avec lui, ont tous été euthanasiés. Le vaccin antirabique se fait en une seule injection la première année suivie d’un rappel chaque année. » 

    Clinique Vétérinaire du Dr Lustman « la vaccination doit être répétée chaque année pour un animal adulte » 



  • Canis Ethica Canis Ethica 11 octobre 2017 18:20

    @Julyo

    Cher Dr Rouby, notre tout premier interlocuteur dans ce dossier en décembre 2015, basé en Bretagne à 40mn de notre siège social, nous expliquant à quel point modifier une durée de validité pour une firme pharmaceutique est simple des lors que l’ANMV accepte toutes les preuves publiées tant que concernent les mêmes molécules que celles faisant l’objet de l’étude.

    Aie, aie, aie vous êtes désorienté au point de refaire un tour complet de roue revenant à votre premier amour : l’absence d’obligation de vacciner ?

    Il n’est nul part question d’obligation il est question d’offre et de droit sur un marché européen avec directive en demandant l’harmonisation.

    Vous ferez seul votre nouveau tour des arguments ou sagement vous relirez toutes nos réponses précédentes ;o)

    Gratitude. Gratitude !



  • Canis Ethica Canis Ethica 11 octobre 2017 12:29

    @Julyo

    Vous ne pouvez pas être sérieux ?! Et surtout vous êtes lamentablement à court d’arguments ce qui au passage ne nous empêchera nullement de continuer sur notre belle lancée smiley

    L’article porte sur une information qui vient conclure nos actions depuis deux ans : une plainte déposée à la Commission européenne au motif que le droit européen n’est pas respecté des lors qu’avec les mêmes produits nous vaccins chaque année quand le reste de l’Europe vaccine tous les 3 ans pour toutes les maladies communes rage y compris. Le marché français c’est 4 laboratoires et plus de 20 valences.

    Nous vous avons expliqué que nous partons du texte antirabique car est le seul normé.

    Vous avez argue dans tous les sens et en dépit de tous vos efforts vous n’avez pas réussi à invalider nos arguments alors vous criez à la désinformation.

    Voici l’article publié au niveau National qui... c’est bizarre... Explique aux français le cas de Mérida qui est l’exception venant confirmer la règle http://www.lepoint.fr/sante/un-vaccin-contre-la-rage-qui-fait-debat-28-04-2016-2035509_40.php

    Nous travaillons dur et en toute transparence.

    WOW ! pour qu’un individu anonyme se donne autant de mal pour enfumer son monde c’est que nous devons être sacrément plus proche du but que nous ne le pensons.

    Merci à vous.

    Sur ce, ayant fourni toutes les preuves possibles devant vos posts remplis d’inepties les unes plus grosses que les autres nous vous saluons et envoyons toute notre gratitude.



  • Canis Ethica Canis Ethica 11 octobre 2017 11:09

    @Julyo

    Vous vous egarez. Merial a fait son changement avant la création de l’association et son courrier est adressé aux vetos. Ce courrier est cité comme base de procédure dans tous nos courriers aux instances gouvernementales et administratives. C’est en l’occurrence l’exemple qui nous sert à montrer la faille.

    Nous vous l’avons dit avant hier : au lieu d’aller d’inepties en inepties en plus de proposer des actions judiciaires qui ne peuvent concrètement se faire, lisez le dossier. Nous avons fait preuve de grande diplomatie à l’égard de vos posts allant jusqu’à calmer le jeu en vous invitant à nous contacter donc sortir de votre anonymat.

    Personne ne peut vous empêcher de débiter vos inepties.

    Vous n’avez pas encore fait mouche une seule fois or vous en êtes à combien de posts ?!

    Quelle que puisse être votre motivation elle nous conforte dans le fait que nous prenons les bonnes décisions et suivons correctement la procédure.

    Nous sommes au taquet ;o)



  • Canis Ethica Canis Ethica 10 octobre 2017 07:31

    @chantecler

    En tous les cas nous essayons de réduire la fréquence des rappels comme chez nos voisins européens et outre atlantique.



  • Canis Ethica Canis Ethica 9 octobre 2017 21:08

    @Julyo

    Maïeutique : c’est user de diplomatie ici pour qualifier votre propension à remettre en question depuis hier ce que vous n’’avez pas pris le temps d’ étudier..

    Les articles sur Agoravox ne sont pas représentatifs de l’ensemble des arguments mis en valeur ces deux dernières années ni ne font état de notre stratégie juridique.

    Plainte : c’est le sujet de notre article. Nous avons déposé une plainte.

    Anonymat : ces posts dans leur intégralité sont accessibles à quiconque possède un compte ce qui n’est pas compliqué et ne nous dérange pas.

    Si chaque fois qu’une personne sous couvert de l’anonymat sans vouloir venir a notre rencontre nous disait dans l’erreur et nous écoutions alors nous n’aurions pas bouge d’ un iota.

    Vous souhaitez vous informer=> nous vous invitons à lire le dossier via notre site internet

    Vous êtes un expert en matière juridique qui plus est européenne et vous souhaitez nous faire bénéficier de votre expertise au nom du bien-être animal alors venez officiellement à notre rencontre

    Nous avons honoré notre mission en vous informant au mieux de nos libértes et capacités au vu des procédures en cours.



  • Canis Ethica Canis Ethica 9 octobre 2017 20:00

    @Julyo

    Ce que vous voyez en gras est ce que NOUS souhaitons voir rajouter dans l’article 3 de l’arrêté.

    Une primo vaccination suivie d’un premier rappel dans l’année est une norme internationale préservée par l’OIE.

    Vous semblez vouloir refaire le match sans vous être donné la peine de le suivre.... Vous condamnez la portée de nos actions de ces deux dernières années et pourtant depuis hier vous n’avez de cesse de nous envoyer des posts.

    Prenez le temps de lire notre dossier via le site internet puis contactez nous si le cœur vous en dit car d’une part toutes les bonnes volontés sont les bienvenues et d’autre part vous vous evertuez à focaliser sur un point qui n’est pas le notre et à vous faire des frayeurs (cf post précédent) qui n’ont pas lieu d’être....



  • Canis Ethica Canis Ethica 9 octobre 2017 17:34

    @Julyo

    Oui les animaux ont droit à ce type de traitement.

    Peur ? Non. Merci pour vos réflexions



  • Canis Ethica Canis Ethica 9 octobre 2017 16:31

    @Julyo

    Désobéissance soft : inciter à le faire c’est voir derrière les animaux trinquer une fois la désobéissance passée avec double voire triple ration de vaccins pour eux au travers d’un renouvellement de la primo-vaccination + rappel avant de rétablir les rappels annuels sous couvert de rupture de couverture vaccinale.... donc non. Et si vous pensez « primo-vaccination » ne peut avoir lieu qu’une fois dans la vie d’un animal alors repensez car dans les faits nous en sommes très très loin.

    Nous comprenons les contributions faites sur ce fil seulement nous ne sommes pas là pour prendre partie.

    Nous allons revoir nos copies, rectifier le tir. Toutes pièces peuvent être ajoutées à la plainte tout au long de la procédure. Merci.



  • Canis Ethica Canis Ethica 9 octobre 2017 14:06

    @Julyo

    Nous venons de comprendre. Nous allons nous cantonner à l’indemontable et conjointement de la plainte à la commission européenne relancer le Ministère de l’agriculture sur la seule base du non respect de la directive. Merci pour ce bel exercice de maïeutique. Y a plus qu’à !



  • Canis Ethica Canis Ethica 9 octobre 2017 13:45

    @Julyo

    Nous ne vous prenons pas pour un « zelateur de la pratique vaccinale » Nous vous remercions pour votre intérêt et vos observations constructives.

    Nous faisons de notre mieux et avec nos moyens. Si vous avez lu la rafale de commentaires postés sur le forum depuis la parution de notre article vous pouvez entendre notre réserve.

    Appelez nous et discutons en. Ce sujet est national. Toutes les bonnes idées sont vraiment les bienvenues !

    Merci.



  • Canis Ethica Canis Ethica 9 octobre 2017 13:17

    @Julyo

    C’est la que nous ne nous comprenons pas.

    Nous ne faisons pas le procès de la vaccination mais plutôt celui du droit européen qui nous est nié.

    En cela il ne nous appartient pas de démontrer ce qui l’a déjà été par le passé et à amené les labo à rendre disponible leurs produits avec durée de validité supérieure.

    L’intégralité du dossier porte sur le droit européen qui nous est de fait garantie et n’est pas appliqué en France (article 3 de l’arrêté qui incite à des décisions commerciales de la part des laboratoires à double niveau lorsque l’on considère les mêmes produits en tout identiques sur des territoires différents appartenant à la même zone économique) et mène à une aberration qui sur le plan éthique va à l’encontre de deux constantes :
    l’état français doit permettre aux citoyens français de profiter des avancées en matière scientifique (durée de validité d’un vaccin à 3 ans est une avancée scientifique lorsque l’on parle des mêmes produits fabriqués par les mêmes laboratoires) ici au nom du bien-être animal sur lequel le ministère de l’agriculture s’est engagé
    le bénéfice/risque lié à toute action médicale doit rester en faveur du patient (statistiques ANMV et toutes les études scientifiques accompagnant le dossier infirmation cela dés lors que l’on reste sur la base de rappels à fréquence annuelle)