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Les commentaires de Imparti



  • Imparti Imparti 14 avril 2017 12:43

    Ficron, Maillon... Mélengeon

    Et pour mélanger, pour ne pas trop se sectoriser (sur un seul « contre » tous... les autres), songeons au suffrage pondéré comme mis en œuvre, par exemple, dans cette espèce de sondage.



  • Imparti Imparti 28 mars 2017 19:51

    Pour une autre façon de voir, un autre mode de scrutin :

    http://elire.free.fr/



  • Imparti Imparti 28 mars 2017 19:48

    Et pour une autre façon de voir, un autre mode de scrutin :

    http://elire.free.fr/



  • Imparti bayrolien 27 avril 2007 16:17

    Non « il n’y a pas eu de suffrage universel » ! L’emploi du passé composé est incorrect. Nous sommes actuellement au présent en plein dedans ! En plein dans le suffrage universel direct à deux tours.

    Qui êtes vous pour dire qui devrait la fermer et qui devrait l’ouvrir ? Précisément Ségolène Royal fait partie de ceux qui selon vous serait habilitée à l’ouvrir. Et c’est elle qui a demandé à François Bayrou de venir débattre avec elle. Ce n’est pas lui qui ne l’a ni demandé ni encore moins ne l’a imposé.

    Ségolène a parfaitement le droit de discuter avec qui elle veut ! Et de souhaiter que ses discussions soient connues du public ! C’est même quelque chose qui est tout à son honneur. Par ce geste, elle honore la démocratie. Contrairement à Jacques Chirac qui refusa jusqu’à débattre avec le candidat que le peuple lui avait choisi comme concurrent en 2002. Quel mépris pour les électeurs !

    Il n’y a rien de clos. Sauf peut-être, et avec une forte probabilité, votre esprit.



  • Imparti bayrolien 27 avril 2007 16:04

    Qui vous a permis de me tutoyer ?

    Il n’y a aucune allusion à des origines hongroises. Je sais parfaitement qu’il a des origines hongroises et cela m’est tout à fait indifférent. Je dirais même que parmi les pays que j’ai visités, j’aime assez la Hongrie.

    Je ne vois aucune raison d’avoir honte de ses origines. Vouloir les cacher serait un manque d’assurance, de confiance en soi.

    Au fond c’est cela qui nous sépare : je suis pour regarder les choses en face, pas vous, ni lui. La preuve glaçante quand il lâche à Michel Onfray « qu’il n’a jamais rien entendu d’aussi absurde que la phrase de Socrate « Connais-toi toi-même ». »

    Cela veut tout dire !

    Quant à l’histoire d’anticonstitutionnel, votre supposition est fausse. Je faisais allusion aux propos du grand démocrate et humoriste André Santini.

    Ce n’est pas parce que quelqu’un n’apporte pas la preuve de ce qu’il rapporte qu’il ment.

    En revanche traiter (sans avoir été de près ou de loin témoin de la chose) celui qui rapporte quelque chose de menteur parce qu’il n’aurait pas encore apporté de preuve c’est clairement de l’inconséquence voire de la diffamation.



  • Imparti bayrolien 27 avril 2007 12:59

    Depuis quand appeler les gens par leur nom serait méprisant ?

    Si son nom devait être insultant, il aurait eu tout le temps d’en demander le changement. Ce nom, il le tient de son père qui l’avait justement fait changer ainsi !

    Dans le journal officiel de la république pour sa citation à l’ordre de la légion d’honneur, c’est ainsi qu’il est appelé. C’est donc plutôt un honneur que je lui fais de l’appeler par son nom.

    Si vous n’avez pas envie de dialoguer avec moi, pourquoi le faites-vous donc ?

    S’il ne fallait dialoguer qu’avec ceux qui ont les mêmes idées que soi, où serait la démocratie ?

    Mais vous êtes bien dans l’esprit de la mouvance à laquelle vous appartenez.

    Hégémonique.

    2002 : On refuse le débat avec le concurrent que le peuple vous a choisi pour le deuxième tour. Bel exemple de comportement républicain et démocrate.

    Puis on crée un parti unique au moment précis où on en a appelé à l’union nationale au prétexte de combattre l’extrémisme. Parti qui a à lui seul tous les pouvoirs à l’Assemblée, en opposition totale avec l’esprit de la République (et notamment de la 5ème de ses débuts jusqu’en 2002 car même en 1981, la majorité absolue du PS n’étaient pas voulue, il y a quand même eu des ministres communistes).

    En 2007 on ajoute le verrouillage de la presse. On crie à l’anti-démocratie, au caractère anticonstitutionnelle d’un débat entre deux individus !

    Tout cela est hallucinant !



  • Imparti bayrolien 27 avril 2007 11:23

    Comparer un tournoi de football à l’élection présidentielle montre bien les niveaux intellectuels de celui qui s’y emploie et de celui qui l’écoute.

    Dans un tournoi de football, l’enjeu c’est de montrer qui est le plus habile à courir après un ballon (sans parler de l’habiliter à s’injecter des substances sans que l’arbitre ne s’en rende compte ou à payer l’autre pour qu’il se laisse vaincre), éventuellement d’obtenir un objet en or.

    L’enjeu exclusif est donc de satisfaire son ego. De se montrer et de montrer aux autres : je suis plus fort que mon voisin.

    Ce n’est donc pas étonnant que Nagy-Bocsa se plaise dans ce type de comparaisons.

    Au contraire une élection politique a pour but de désigner qui conduira le pays.

    Il y a donc d’un côté ceux qui se moquent pas mal de savoir ce que pense l’autre et qui ne souhaitent que s’imposer eux-mêmes et éventuellement les quelques idées simplistes qu’ils pourraient avoir.

    Et puis il y a les autres, ceux qui préfèrent fédérer leurs idées, les comparer, pour en tirer le meilleur, ensemble.



  • Imparti bayrolien 27 avril 2007 11:11

    Vous reprenez le discours de Sarközy de Nagy-Bocsa.

    Ces comparaisons entre l’élection présidentielle et les tournois de football sont affligeantes. Bonjour le populisme, l’avilissement.

    Je répète une fois de plus, ce n’est pas Bayrou qui veut débattre, c’est Bayrou et Royal qui veulent débattre, c’est même Royal qui l’a proposé à Bayrou.

    Ils ont parfaitement le droit de le faire ! Ils ont parfaitement le droit de voir en quoi ils sont rapprochés, en quoi ils sont éloignés et de le faire savoir aux électeurs.

    Leur démarche est la démarche la plus respectueuse de leur électeur qui puisse être.

    Je pisse sur le football.



  • Imparti bayrolien 27 avril 2007 11:07

    Pour ma part je n’accorde ma confiance qu’à Royal et Bayrou, et ni au PS ni à l’UDF.

    Précisément ce qui me fait espérer c’est que Royal et Bayrou se foutent pas mal de leurs appareils respectifs où se trouvent les réticences des sectaires et ceux qui tiennent à davantage à leurs postes qu’à l’intérêt général.

    Il se trouve que les intérêts personnels de Bayrou et Royal sont de faire exploser le PS et l’UDF (et aussi l’UMP, surtout l’UMP) et que ça tombe bien parce que c’est aussi l’intérêt de la France !



  • Imparti bayrolien 27 avril 2007 10:52

    Cher ami,

    Ce n’est pas François Bayrou qui a proposé le débat à Marie-Ségolène Royal mais l’inverse.

    Vous confondez marchandage et discussion, concertation, débat, échange d’idées.

    Qu’auraient du faire nos amis allemands du SPD et de la CDU quand les électeurs les ont placé à égalité ?

    Camper chacun ad vitam eaternam sur leurs positions ?

    Je suis bien aise de parcourir le monde pour le découvrir, de regarder et d’échanger avec l’Autre, c’est ainsi que je m’enrichis, c’est la vie.

    Vous êtes toutefois libre de demeurer sur place en attendant que la mort vous prenne.



  • Imparti bayrolien 27 avril 2007 10:42

    Absolument !

    Et d’ailleurs il suffit de voir ce que pariait ce pseudo-polémiste omniprésent - que l’on entend le matin à la radio, que l’on lit à midi ici et que l’on nous ressert le soir à la TV - et qui ne regarde la politique que sous l’angle tactique et combien il s’est trompé dans ses prévisions tactiques :

    « Depuis quelques heures, la campagne électorale se trouve donc revivifié par cette proposition de Ségolène Royal. A bien la regarder, cette offre de dialogue avec François Bayrou est tactiquement très intelligente car, très probablement tout à l’heure, le président de l’UDF la refusera. »

    L’obstination avec laquelle l’un ET l’autre tiennent à ce débat est tout à fait révélatrice.

    Nous n’avons pas le droit de leur faire de procès d’intentions.



  • Imparti bayrolien 25 mars 2007 18:18

    " Franchement entre nous bayrolien, « une prétendue difficulté qu’aurait un candidat plutôt que d’autres », je ne vois pas SARKO ni SEGOLENE "

    Vous ne voyez pas Sarközy ou Royal dîtes vous...

    Et pourtant si vous écoutiez le discours du Zénith de Bayrou, lui les y voit justement ! Son argumentation est encore plus forte que ma pauvre argumentation du mode de scrutin :

    Il les y voit même plus que lui à avoir des difficultés à obtenir une majorité absolue !

    Pourquoi ?

    Tout simplement parce que Sarközy avec 26 % au premier tour comme Royal avec 25 % ou 26 % qui se refusent tous les deux, au contraire de Bayrou, à envisager de s’allier avec le centre, où trouveront-ils donc leur majorité ?

    Royal avec Buffet ou Besancenot ? On est loin de faire 50 % ! Sarközy avec Villiers et Le Pen ?

    Mort de rire !

    Sinon, avec qui ?

    Où trouveront-ils leur majorité, eux qui, pas plus que Bayrou, ne feront un score en dehors de la zone « 20 à 30 % » au premier tour ?

    Précisément, celui qui aura le plus de facilité à trouver une majorité c’est celui, le seul, qui accepte de travailler avec les autres : François Bayrou.



  • Imparti bayrolien 24 mars 2007 11:18

    Il n’est nullement question de « FB » dans mon article.

    Il n’y est pas cité une seule fois.

    Mon article est un simple rappel sur le mode de scrutin des élections législatives dont il me semble qu’on a tendance actuellement (c’est pourquoi j’ai modestement estimé d’actualité de revenir par un cours article sur ce sujet) à l’assimiler et même à le confondre avec le mode de scrutin de l’élection présidentielle (dont il est beaucoup question en ce moment) et ceci, idiotement, simplêtement, parce qu’ils ont en commun, et seulement cela en commun, de partager le qualificatif de majoritaire.

    Votre citation d’un article du Monde à propos des sondages n’a en revanche et à mon sens rien à voir avec le sujet de mon article. De surcroît il ne s’agit que d’un avis qui est asséné sans aucune argumentation.



  • Imparti bayrolien 26 janvier 2007 00:37

    Il y a aussi des candidats qui ne laissent pas du tout indifférents c’est-à-dire dont le solde des points est très positif ou très négatif...

    http://elire.free.fr/graphique.php



  • Imparti bayrolien 26 janvier 2007 00:35

    Et même si, comme vous dites, les UMP « sabraient » systématiquement Royal et réciproquement, il resterait bien 65 % des électeurs qui, n’étant ni UMP ni PS, procéderaient plus finement.

    L’objet de la réflexion sur le mode de scrutin est précisément de trouver un moyen de redonner le pouvoir à ces 65 %...



  • Imparti bayrolien 26 janvier 2007 00:32

    Il ne s’agit pas d’élire un candidat par défaut. Il se peut fort bien qu’un candidat ait beaucoup de points positifs et très peu de points négatifs.

    Pour moi, celui-ci est préférable à un candidat ayant autant de points positifs (à quelque chose près) mais davantage de points négatifs.

    Je vous invite à suivre l’évolution de graphique du petit sondage...



  • Imparti bayrolien 26 janvier 2007 00:28

    Représentatif de quoi ?



  • Imparti bayrolien 26 janvier 2007 00:26

    Depuis Montesquieu, il existe un principe qui s’appelle la séparation des pouvoirs



  • Imparti bayrolien 26 janvier 2007 00:24

    Vous pouvez venir voir le graphique des résultats.

    On y distingue très bien les « petits candidats » comme vous dites des « grands candidats de consensus », des « grands candidats partisans », des « grands candidats de rejet »...



  • Imparti bayrolien 26 janvier 2007 00:21

    Ce procédé favorise les candidats de consensus.

    De là à dire que le consensus se trouve au centre...

     smiley